Petit journal informatif sur certaines pratiques
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, le il y a 1 année et 8 mois.
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C’est amusant cet article : toujours tout vouloir cataloguer avec des termes bizarres comme CNC (on dirait le nom d’un syndicat).
Dans mes jeux de rôles, on ne s’est jamais posé la question de savoir si on faisait du CNC ou pas. On ne se posait pas la question. On jouait par plaisir. J’ai eu la chance de rencontrer deux joueuses exceptionnelles. Des filles qui rentraient dans le jeu avec facilité et étaient super crédibles. Je ne suis pas un très bon acteur, sauf si j’ai face à moi une joueuse douée qui va me stimuler.L’avantage du jeu, c’est qu’on fois qu’on rentre dans le rôle, on peut plus facilement se lâcher… On est moins inhibé. Je peux plus facilement utiliser des termes crus et être plus brutal que je ne le suis car ce n’est pas moi qui parle mais mon personnage. Idem pour elle… Elle peut m’insulter, me frapper, me mordre, ce n’est pas vraiment elle, c’est son personnage de femme violée qui agit et se défend. Et bien entendu, dans ce genre de jeu, le but n’est pas de faire semblant mais de rendre le jeu crédible (gifles, viol… dans des limites intelligentes; je n’ai jamais pris le fer rouge dans la cheminée !)
Cette question du consentement revient depuis quelques années dans l’actualité. Il y a 20 ans on ne se posait pas la question; il allait de soit qu’il me fallait son consentement à elle pour rentrer dans le jeu. C’était tellement une évidence.
Mais souvent on se confiait nos envies sous la couette, elle me faisait part de ses fantasmes, j’inventais une histoire avec moult détails (style une jeune femme enlevée par un sadique qui la torture et la viole, une soubrette abusée par son patron qui en fait une esclave sexuelle, une voleuse menottée par un flic qui entend bien se la faire, etc.) comme on raconte une histoire à un enfant pour qu’il s’endorme… Et quelques jours plus tard on improvisait le jeu. C’est aussi un peu comme à la ligue d’impro; quand on a une joueuse douée qui rentre dans son rôle avec talent, le jeu prend tout de suite et on peut aller très loin !
Dans certaines situations on avait un code secret. On passait une soirée au restaurant avec un fesseur potentiel et s’il lui plaisait elle me faisait un signe discret sous la table et alors je proposait au gars d’aller dans un endroit discret et de lui administrer une bonne correction pendant que je l’immobilisais de force (risque limité; j’étais là pour intervenir si l’autre zouave dépassait les bornes)
Alors cataloguer ça en CNC ou pas, et bien je ne me suis jamais posé la question et je m’en fiche un peu 😉
Matou reproducteur, fournisseur de bébé-Antéchrist garanti, tarif de groupe possible 👻
Très intéressant ton article @evaeyes 🙂
Je pense que le CNC dans la fessée peut parfois rajouter ce petit piquant en plus, le fait de pouvoir être punie de la manière et quand son partenaire l’a décidé “sans pouvoir” s’y opposer peut je pense renforcer ce côté vraie punition chez certaines voir accentuer le côté régressif : “tu es une salé gamine qui a mérité une fessée même si tu n’es pas contente et “n’a pas envie” tu l’as bien cherchée”
Il est par contre évident que le CNC se joue entre personnes ÉQUILIBRÉES et pour moi c’est la personne “soumise” qui doit accorder ce pouvoir et en aucun cas l’apanage de pseudo de doms qui vont se cacher derrière ces pratiques ou les introduire par chantage, ruse, pression pour faire ce qu’ils veulent sans se soucier de leur partenaire
https://lesaventurescuisantesdecamille.blogspot.com/
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