Là maintenant tout de suite, j’ai envie qu’il me prenne par la main et m’emmène explorer les jardins de ce petit coin de paradis. Il fait beau et chaud, les cigales chantent et ça sent bon les pins. Les gravillons crissent sous nos pieds et nous longeons le petit sentier. A cette heure et à l’ombre des arbres il fait plus frais. Il y a dans ce coin du domaine un petit bassin avec son banc de pierre. On entend le clapotis de l’eau qui jaillit sur les pierres disposées sous un bouddha. Il me dit alors:-mets toi là et penche toi,en tapotant le bord du petit banc. Je souris, lui jette un regard espiègle, et doucement remonte ma jupe légère sur mes reins. Je suis sans dessus dessous. Je vois ses yeux s’entrouvir de surprise et briller intensément. Je le prends de court en allant entourer un arbre de mes bras et en lui disant non…plutôt là. Il s’approche alors de moi, parcoure ma nuque de ses lèvres, et la tête enfouie dans mes cheveux me murmure à l’oreille:-huuummm tu sens bon le soleil. Ses paroles et son souffle me font pointer les seins et cambrer les reins. Il passe alors une main sur ma poitrine, descend le long du ventre, passe un doigt sur mon sexe nu et déjà ouvert, offert. De son autre main il se saisit de mes cheveux et les tire vers le haut. Je remonte mes mains le long de l’arbre, l’enserrant encore plus haut, étirant mon corps contre lui, me mettant sur la pointe des pieds. Je sens en moi et tout contre moi l’odeur de l’écorce, et de la sève. Il m’attrape la fesse droite avec ferveur, la serre et me la remonte. Il leve sa main, et me la claque fermement. Le son me fait plisser les yeux et mon cœur bat la chamade. Je souris de la peur d’être surprise ainsi. La vigueur avec laquelle il me claque les fesses me fait vite oublier le bruit. J’expire de petits ha!étouffés sous la force de ses claques. Mes fesses chauffent, j’ai chaud, je me sens m’enflammer. Je brûle de mon feu intérieur. Mes joues se teintent aussi de rouge quand j’entends le bruit que j’aime tant, celui de la ceinture dans les passants. Je me mords la lèvre de désir et d’envie. Vas y!marque moi de ce cuir que j’aime tant. Le premier coup claque et me fait sursauter. Je sens sur mes fesses une bande plus chaude encore. Le second me fait tressailler, il marque le “sourire” à la jonction entre les fesses et les cuisses. Il s’applique alors sur les suivants à couvrir de rouge tout l’espace entre les deux bandes. J’enserre toujours mon arbre, au rythme des claquements, me sentant plus chaude à chaque instant. Je monte plus haut, encore plus chaud quand tout a coup j’entends: Eva?Eva?tu viens dans l’O? Je redescends, ouvre les yeux derrière mes lunettes de soleil et répond un grand sourire aux lèvres :-oui oui j’arrive me baigner!
Ce sujet a été modifié le il y a 3 années et 6 mois par Eva.
Se révèle être "comme une boule de flipper,qui roule qui roule...".