Olga la fumeuse
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- Ce sujet contient 7 réponses, 4 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Fesseurpourdames83, le il y a 1 année et 2 mois.
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30 juillet 2023 à 11:46 #88985Fesseurpourdames83Participant
Il y a maintenant quelques années, j’ai fait la connaissance sur un site comparable à celui-ci mais aujourd’hui disparu d’une femme de 50 ans. Elle avait un problème de tabagisme, ne s’en sortait pas et cherchait un mentor strict pour l’aider dans son sevrage. Après quelques échanges par mail, (mais je n’aime guère ce média, froid et sans âme) nous somme convenus de prendre un verre. Je lui ai laissé choisir l’établissement et elle a opté pour une terrasse ombragée à côté de chez elle. Lorsque je suis arrivé, elle était déjà là, dans une robe légère et fleurie dans les tons vert printanier. Elle semblait anxieuse, crispée, gênée, ce qui est bien naturel. Elle m’a dit bonjour et je me suis assis. Pour la mettre dans l’ambiance et planter le décor, je lui ai fait remarquer que la moindre des choses eût été qu’elle se lève pour me saluer. Elle a eu comme un soubresaut et s’est levée. J’ai eu le temps de noter que la robe était ample et donc facile à trousser.
« Excusez-moi. Bonjour »
« Non ! « Bonjour Monsieur, je te prie » »
Elle était manifestement troublée, regard baissé, sans doute au bord des larmes et aussi à s’enfuir, effrayée par le piège qui se refermait. Pourtant, elle a laissé tomber dans un murmure :
« Bonjour Monsieur »
« Parfait. Tu peux t’asseoir »
Nous avons longuement parlé de sa dépendance tabagique, de son inaptitude à surmonter le problème. En discuter l’a passablement détendue. Je la sentais moins tendue. Je lui ai exposé ma méthode pour l’aider : tenue d’un cahier au quotidien relatant sa consommation, à l’heure près, et visite sensiblement hebdomadaire de ma part pour sanctionner sa consommation. Je l’ai sentie aussitôt terriblement gênée, mais c’était quand même elle qui avait sollicité ce traitement. J’ai décidé d’enfoncer le clou :
« Tu devras faire l’acquisition d’un martinet avant ma première visite »
« Oh ! »
« Ce n’est pas la réponse que j’attends. On dit « Oui Monsieur » »
Cà passait ou çà cassait. C’est passé.
« Oui Monsieur »
« Il est hors de question que tu l’achètes sur internet. Tu trouveras une droguerie. Tu connaîtras ainsi la honte de devoir passer en caisse »
« Oh non, s’il vous plaît ! »
De conciliant et assez doux, mon ton s’est fait dur et cassant.
« C’est ainsi. Cesse de tergiverser ! »
« Oui Monsieur »
C’est à cet instant que j’ai pris conscience que la partie était en passe d’être gagnée.
« A chacune de mes visites, le martinet devra être sur la table, bien en évidence, c’est clair ? »
« Oui Monsieur »
Ses réponses étaient plus murmurées que prononcées. Moi, je parlais normalement et Olga n’avait de cesse de regarder de droite et de gauche, apparemment terrifiée à l’idée que les voisins ne saisissent des bribes de conversation, notamment lorsque je prononçais le mot martinet
« Je pense que les choses sont claires »
J’ai laissé un blanc.
« … cependant, et çà n’a aucun rapport avec ton tabagisme, j’ai fort peu apprécié la façon dont tu m’as accueilli tout à l’heure »
Nouveau blanc, qu’elle s’est bien gardée d’interrompre.
« Si j’ai bien compris, tu habites juste à côté ? »
« Oui Monsieur »
« Hé bien, je vais t’enseigner le sens du mot déférence »
J’ai réglé les consommations et nous avons marché. Naturellement, elle avait compris ce qui l’attendait et semblait résignée.
Elle m’a fait entrer dans un appartement clair, agréablement meublé en moderne.
Au milieu du salon trônait l’inévitable canapé, en cuir miel.
Je m’y suis assis. J’étais rasséréné : j’ai connu plusieurs femmes qui, le moment venu craquent, se rétractent, refusent leur statut et ce qui en découle.
Olga m’avait expliqué en mail qu’elle n’avait jamais reçu la fessée mais que ce fantasme la taraudait depuis de nombreuses années. De toute évidence, malgré une trouille fort compréhensible, elle était « mûre ». Debout, plantée au milieu du salon, elle se trémoussait, dansait d’un pied sur l’autre, se tordant nerveusement les mains. Pervers et sadique, j’ai pris un malin plaisir à faire durer cette attente, sans aucun dialogue, dans un silence pesant.
Puis, je me suis enfin décidé : j’ai tendu la main vers elle :
« Viens ici »
Elle s’est avancée vers moi à pas menus, puis, arrivée tout près de mes genoux, m’a tendu la main. Je l’ai saisie et, sans ménagement excessif, l’ai fait basculer en travers de mes cuisses.
Estimant que la précipitation n’est pas de mise dans de telles circonstances, j’ai attrapé l’ourlet de sa robe et l’ai retroussé lentement sur ses reins. Elle avait des jambes agréables et un postérieur rebondi, sans être gros. Elle avait une clotte fleurie, parfaitement assortie à sa robe. Quand j’ai glissé mes doigts sous l’élastique du sous-vêtement, elle a eu un sursaut de pudeur :
« Oh non , pas çà »
« Avec moi, ma belle, la fessée c’est cul nu »
J’ai fait glisser la culotte jusqu’à mi-mollets
Là encore, j’ai laissé passer quelques instants pour bien la mortifier, puis je me suis mis à claquer. Au début, chaque claquée était accompagnée d’un petit gémissement mais, au bout d’une vingtaine de claques, comme je ne ménageais pas la puissance de mon bras, elle a commencé à pousser des petits cris.
« C’est bien, si tu veux que tous les voisins sachent que tu te fais fesser, continue ! »
Du coup, je n’ai plus rien entendu, sinon qu’elle pleurait en silence.
J’ai arrêté la fessée lorsque les fesses et l’arrière des cuisses ont été incarnat.
Elle s’est relevée. Elle pleurait. D’une voix dure, je lui ai ordonné d’aller au piquet, en lui désignant le mur qui faisait face au canapé. Sa culotte l’entravait mais elle a trottiné jusqu’à avoir le nez au mur.
« Retrousse ta robe. Cul à l’air ! »
Elle était vaincue. Elle a retroussé sa robe et l’a coincée dans l’élastique qui tenait lieu de ceinture à sa robe.
« Mains sur la tête ! »
De nouveau, elle a obéi.
Si ce récit vous a plu et que vous me le faites savoir, je vous narrerai la fin de la journée (car ce n’était pas fini), puis mes visites suivantes
30 juillet 2023 à 13:47 #88986DundeeParticipant
Belle histoire, bien racontée mais est-ce que Olga a réduit son tabagisme ? La méthode du martinet est-elle efficace si Olga y prend goût ?
Épicurien, grand voyageur, adepte de la fessée OTK
30 juillet 2023 à 13:50 #88987Fesseurpourdames83Participant
Oh que oui.
Elle a complètement arrêté
30 juillet 2023 à 17:55 #88988DundeeParticipant
Bravo, gros succès de la méthode !!
Épicurien, grand voyageur, adepte de la fessée OTK
30 juillet 2023 à 18:16 #88989CheloniaParticipant
Et du coup Olga a arrêter de recevoir la fessée?
30 juillet 2023 à 18:20 #88990Fesseurpourdames83Participant
Pas du tout. J’avais d’autres motifs de sanctions. J’en parlerai dans le prochain récit. Mais le tabagisme me révulse, et je souhaitais parvenir à mes fins rapidement. Ce qui fut fait
31 juillet 2023 à 10:02 #89003SaulVisiteur
Joli récit, même si pour une première, et pour vaincre l’appréhension de la dame, j’aurai commencé par une fessée sur la robe, puis sur la culotte, avant effectivement de la deculotter
Suite sans doute à mon post récent, je reçois des sollicitations de fesseurs. donc pour éviter ses importuns avec lesquels je ne me connecterais je précise immédiatement que je suis HETERO, donc messieurs passez votre chemin MERCI
31 juillet 2023 à 10:32 #89004Fesseurpourdames83Participant
A chacun ses pratiques et ses idées.
Pour ma part, je suis persuadé qu’une femme, comme Olga notamment, qui refoule depuis pas mal de temps des pulsions masochistes a besoin de sentir l’humiliation sans retard. Le déculottage, même si il provoque une protestation de la “victime” participe à mon sens de ce sentiment de vulnérabilité, de lâcher prise (terme à la mode) et d’irréversibilité : quand la culotte glisse sur les cuisses, la fessée devient inéluctable
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