Olga la fumeuse – Fin de la première journée

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    Fesseurpourdames83
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    …  J’étais satisfait. Je sentais bien qu’avec Olga je venais de trouver une recrue de choix. Je sentais bien que son désir d’arrêter le tabac était sincère (la suite me l’a prouvé, d’ailleurs) mais aussi que son besoin d’être cadrée et disciplinée dépassait largement le cadre de la cigarette.

    Je me suis levé pour me dégourdir les jambes. La porte de la cuisine était entr’ouverte. J’y ai jeté un œil.  Sans être sale, c’était quand même un peu le foutoir : de la vaisselle sale traînait sur la paillasse, des boîtes de conserves qui, normalement auraient dû être rangées dans un placard trônaient sur la table.

    Je suis revenu au salon. Olga continuait à pleurnicher doucement, toujours dans la position que je lui avais imposée. Non loin du canapé, il y avait un meuble en bois vernis, assez « vintage » qui devait servir de bar. J’ai passé mon doigt sur le dessus : il y avait une très fine couche de poussière.

    J’ai hélé Olga :

    « Viens ici ! »

    Elle est venue à petits pas, toujours entravée par sa culotte.

    « T’ai-je dit de baisser les bras ? »

    Instantanément, ses doigts se sont croisés à nouveau derrière sa nuque.

    « Le ménage ne t’étouffe pas, dirait-on ! »

    Elle était toute penaude. Je pense qu’elle a réalisé à cet instant où j’allais en venir

    « C’est que, je travaille beaucoup, vous savez »

    Je l’ai attrapée par une oreille et l’ai entraînée vers la cuisine

    « Et la vaisselle, c’est pour bientôt ? »

    Cette fois, elle n’a rien trouvé à répondre.

    « Tu as une brosse à cheveux, je suppose ? »

    « Oui Monsieur »

    « File la chercher ! »

    La culotte avait fini par tomber à terre. Elle pouvait marcher normalement.

    Elle est revenue avec une brosse avec le dos en bois. Je ne pouvais espérer mieux. Je m’étais rassis dans le canapé. Elle m’a tendu la brosse.

    Bien que j’en doutât de moins en moins, j’ai voulu tester son obéissance : j’ai donné deux petites tapes sèches sur le dessus de ma cuisse. Elle a parfaitement compris le signal et est venue se coucher en travers de mes cuisses. J’ai dû à nouveau trousser la robe qui était retombée. Au bout d’une dizaine de coups de brosse, elle s’est mise à crier. Il faut dire que les fesses étaient vraiment rouge.

    J’ai suspendu la correction

    « Va chercher ta culotte »

    Elle est allée docilement chercher sa culotte qui gisait près de la porte de la cuisine. J’ai roulé celle-ci en boule, lui ai ordonné d’ouvrir la bouche est l’ai ainsi bâillonnée.

    J’ai repris la fessée. Je lui tenais solidement les poignets. Elle ne pouvait guère se débattre. Je m’étais fixé le nombre de 50, elle a reçu ses 50 coups de brosse.

    Quand elle s’est relevée, elle ne pleurnichait pas : elle pleurait à gros bouillons.

    Je l’ai renvoyée au piquet. J’ai regardé l’heure : la fessée avait duré plus que prévu et j’étais en retard. Je me suis levé.

    « Je dois partir. Toi, tu restes au piquet. Je te téléphonerai quand j’estimerai que ton piquet est terminé »

    Elle avait toujours sa culotte dans la bouche : je n’ai perçu qu’un vague grognement.

     

    Une demi-heure plus tard, je me suis arrêté au bord de la route et je l’ai appelée.

    « Ton piquet est terminé. Je reviens dans une semaine »

    « Bien Monsieur »

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