Obédience

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  • Ce sujet contient 2 réponses, 2 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Anonyme, le il y a 5 années et 2 mois.
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  • #27890
    anatole
    Participant


    La jeune femme était nue devant moi. A genoux, les épaules posées sur la moquette, le visage orné d’un bandeau de soie noire qui cachait sa vue. Quelques secondes plus tôt, je lui avais demandé de mettre ses deux mains dans le dos, et je les avais entravées par une paire de menottes. La chaînette médiane lui laissait suffisamment d’amplitude pour qu’elle puisse faire ce que je lui demandai.
    « -Pose tes mains à plat sur tes fesses et écarte les que je vois ton trou du cul. »
    Habillé en costume cravate, debout devant elle, nue et offerte ainsi en totalité à mon regard lubrique, je profitai de cette vision d’obédience. Le spectacle était craquant. Ses fesses déjà bien rougies par mes mains contrastaient avec la pâleur du dos de ses mains qui les écartaient, et le gris métallique des menottes ajoutait une touche de sadisme qui n’était pas pour me déplaire. Le plissement de son orifice anal me confirmait qu’il n’était pas vierge…je saurais m’en souvenir un peu plus tard.
    « -Ecarte un peu plus s’il te plaît….et respire profondément. »
    Malgré la position peu confortable que je lui avais intimé de prendre, elle obtempéra. Je pouvais profiter d’un seul regard de ses seins dont les mamelons frôlaient la moquette à chaque inspiration, et de sa respiration anale, l’orifice s’entrouvrant régulièrement pendant quelques millisecondes…C’était fort troublant….Et les grandes lèvres de son sexe écartées par la position, luisantes de liqueur vaginale majoraient la qualité de ce spectacle.
    Alors que je defaisais la ceinture de mon pantalon, je lui demandai :
    « -Tu visualises la position dans laquelle je te regarde ?
    -Ouiiii
    -Oui qui ? »
    En attente de sa seconde réponse, ma lourde ceinture de cuir venait de frapper le sol, certes recouvert de moquette, mais suffisamment proche de son cul pour qu’elle en ressente la présence et surtout le son inquiétant…Ses cuisses se refermèrent sous la peur induite, ses mains remontèrent au bas de ses reins, et elle s’affala au sol.
    La ceinture cingla de nouveau cette pauvre moquette qui n’avait rien fait de mal. La jeune femme nue devant moi non plus…juste qu’elle avait accepté que je la punisse. Elle était là pour çà, et moi aussi. Je dus réitérer ma question.
    « -Oui qui ?
    -Oui, Maître
    -Bien….reprends la position….Mieux que ça….écarte ton cul que je le vois bien….Voilà…merci… ».
    Elle avait tourné son visage de l’autre côté pour se redresser et reprendre la position de soumission totale que je lui imposais. C’était toujours aussi joli de l’observer ainsi…
    L’obédience….elle savait, elle voulait, mais elle appréhendait….
    Un peu plus tôt, les mains posées à plat sur mon bureau, elle m’avait laissé remonter sa petite robe noire sur ses reins . Sa petite culotte blanche ourlée de dentelle avait supporté quelques claques débutantes, auxquelles elle n’avait répondu que par quelques petits gloussements d’aise et de contentement. Mes doigts fureteurs avaient un peu exploré son sexe déjà humide, et elle n’opposa aucune résistance lorsque cette petite culotte glissa le long de ses cuisses et de ses jambes. Elle eut même la gentillesse de plier ses genoux l’un après l’autre pour que je la dégage totalement de son corps et que je la jette au sol, non san l’avoir longuement humée. Je lui fis part des délicates odeurs de son sexe avant de la fesser un peu plus violemment, devant parfois poser ma main ferme sur le creux de ses reins, plaquant son ventre contre mon bureau pour qu’elle arrête de se soustraire aux claques administrées par mon autre main. Sous cul rougissait progressivement et la chaleur qui s’en dégageait commençait tout juste à me satisfaire.
    Après ce début de châtiment, je lui intimai l’ordre de se redresser, de faire demi tour et d’avancer de quelques pas vers moi. Sa petite robe noire était naturellement retombée jusqu’à mi cuisse.
    Je lui demandai alors de se dévêtir totalement devant moi. Nous étions face à face, et elle me regarda longuement dans les yeux avant de commencer à m’obéir. Après avoir ôté sa robe noire qu’elle posa maladroitement sur le bureau, il ne lui restait plus que son soutien-gorge de même tissu que la petite culotte qui traînait pas terre.
    Elle massa doucement ses fesses déjà un peu endolories avant de l’ôter, sur ma demande expresse et peu amène.
    Par bravade elle me le tendit….comme si cela pouvait m’amadouer…Je lui recommandai d’arrêter de me provoquer et elle le jeta au sol. Je lui demandai de jeter également parterre la robe noire en chiffon qu’elle avait déposée sur mon bureau. J’adore demander à une pénitente de se mettre nue devant moi, tout en la regardant.
    « -Pose tes chaussures…. ».
    Elle obéit….
    « -Vas te mettre à genoux contre le mur là-bas et attends un peu que je réfléchisse…. ».
    Elle obéit aussi….
    Je la regardai longuement ainsi, après lui avoir demandé de poser ses mains sur la tête et de fixer le mur.
    La rougeur de ses fesses s’estompait progressivement pendant cet acte de pénitence..Qu’à cela ne tienne, elles allaient rougeoyer bien plus.
    Je sortis alors de la poche de mon costard ce long foulard de soie noire, et sans la prévenir le posai devant ses yeux…ses mains quittèrent le haut de son crâne pour tenter de m’en empêcher, mais quelques claques sur le cul lui firent comprendre qu’elle n’avait pas le choix. Le foulard fut alors noué derrière son cou, lui interdisant toute vision.
    Je la priai alors gentiment de quitter la contemplation impossible de ce mur, de se mettre à quatre pattes comme une gentille petite chienne qu’elle était et de venir vers moi. Je dus la guider, la tirant par les cheveux pour que j’obtienne la place que je désirai.
    Ainsi posée comme je le désirai, j’avais engoncé ses poignets dans les menottes, lui demandant d’offrir sa plus profonde de son intimité à ma vue.
    La pauvre moquette qui ne demandait rien à personne avait déjà reçu quelques coups de ceinture…juste une semonce pour la fille agenouillée et offerte devant moi.
    Lentement je fis glisser le cuir de ma ceinture tout le long de son entrecuisse…elle savait ce qu’elle risquait…Malgré tout, elle ne put s’empêcher de fermer ses jambes…le premier coup de ceinture s’abattit au bas de ses reins….elle se tordit et retomba de nouveau sur le côté contre la moquette.
    « -Redresses toi et accepte…. ».
    Lentement, tout en geignant , elle reprit la position….Je profitai de la lente progression de la trace rouge du bas de ses reins….d’autres allaient venir.
    Je laissai passer le temps qu’il fallait. J’aimai cette vision…la fille nue et offerte dans la plus impudique des positions, ses fringues étalées au sol à ses côtés, ses jolies chaussures au bas de ses pieds nus…j’allais enfin la châtier.
    « -Maintenant je vais te punir comme tu le mérites….Tu es d’accord ?
    -Oui Maître… »
    Sa voix tremblottait quelque peu.
    « -Alors dis le moi, que je t’entende clairement…
    -Oui, Maître, punissez moi…
    -Pourquoi ?
    -Parce que je le mérite….Maîtreuuuu… ».
    Ce dernier mot s’étrangla dans sa gorge, alors que je venais de cingler son cul en travers de toute mes forces….Elle tomba au sol…
    « -Redresse toi et reprends la position…. »
    Elle obéit, difficilement….les menottes aux poignets, ce n’est guère facile..
    Obédiente elle était.

    Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

    #27894
    anatole
    Participant


    A ce stade, je laissais ma pénitente dans la position, n’ayant que juste cinglé ses fesses à coups de ceinture le minimum pour lui faire comprendre la situation. Quelques pas et je vins m’assoir derrière mon bureau. Il me fallait me soulever quelque peu pour jouir du spectacle visuel, mais bon, quelques instants de réflexion s’avéraient nécessaires.
    En réalité dans le vrai jeu, ce genre de temps de réflexion est inutile…mais là dans mon récit, c’est peut être le moment de faire le point sur la question.
    Comment une aussi jolie femme que celle que j’avais sous les yeux, le cul déjà rougi et strié de quelques traces laissées par ma ceinture, obéissant à mes ordres, les poignets menottés, obligée de me présenter son anus, de m’offrir son corps dans la plus totale et indécente nudité, comment, pour un homme vis à vis duquel elle n’avait, en tout cas, ce n’était pas prévu, aucun sentiment amoureux, comment pouvait elle se laisser aller à cette offrande suprême….comment s’offrir ainsi…Pourquoi et quel cheminement de sa vie l’avait conduit à se retrouver ainsi….

    Qu’avait elle vécu dans son enfance, puisqu’ il faut bien toujours en revenir là, au point de départ, pour accepter, voire demander, se plier, parfois exiger de se faire punir de la sorte…accepter d’offrir son corps, accepter l’humiliation à ce point…Quels fantasmes de petite fille avaient hanté sa tête pour que des années plus tard, elle se plie aux exigences perverses de n’importe quel dominateur…

    Je n’étais pas n’importe quel dominateur… J’aurais pu à ce moment me poser ce genre de question…et trouver une réponse…inadéquate …me lever, venir défaire les menottes de ses poignets, les masser doucement pour que le sang afflue de nouveau dans ses mains, l’aider à s’allonger nue telle qu’elle était sur la douce et moelleuse moquette, la câliner tendrement et lui demander ensuite de me parler de son enfance …et lui demander en fin de compte 150 euros pour la consultation psy…ce qui n’aurait probablement pas répondu à l’attente qu’elle avait.
    C’était une possibilité….
    Pas celle que je choisis…
    Après l’avoir longuement observée dans cette position d’esclave soumise à mes désirs à venir, j’ouvris un tiroir de mon bureau, en sortant quelques mètres de cordes lisses, et un crochet métallique terminé par une volumineuse boule. Je savais ce que j’allais faire endurer à cette esclave me proposant de façon si naturelle le plus profond de son intimité.
    M’approchant d’elle, je déliai quelques secondes les menottes, amenant ses bras devant elle, et les remis en place, passant la corde au milieu de la petite chaîne. J’étirai ses bras vers le haut et balançai la corde vers un anneau à peine dissimulé derrière le lampadaire du plafond. Elle geignait doucement, libérant ses épaules de la tension précédente, mais acceptant la suivante, lorsque je fis un noeud autour des menottes étirant ses bras vers le haut…Ses seins se soulevèrent enfin de la moquette et je pus en observer la rondeur magnifique dans cette position.
    J’aurais pu immobiliser ses genoux avec la corde qui me restait en main, mais je trouvai plus ludique de l’obliger à rester cuisses ouvertes ainsi sous mes ordres…Et ce restant de corde allait me servir ensuite.
    D’ailleurs ma ceinture n’était pas si loin et je m’en servis pour lui apprendre de nouveau à m’obéir.
    Obéissance, soumission, obédience…l’esclave parfaite…elle jouait…ou pas…elle vivait à la perfection son rôle…celui qu’elle m’avait demandé de réaliser….
    Pour certaines un gel eut été nécessaire….Là, pour elle, il me suffit de faire glisser lentement la grosse boule terminant le crochet entre les lèvres de son sexe béant pour le lubrifier suffisamment…Il pénétra sans problème son petit trou du cul…Certes, elle se cambra et se tortilla sous cette pénétration dont je ne l’avais pas prévenue, mais une fois l’objet en place, quelques claques suffirent à lui faire reprendre sa position d’esclave soumise aux désirs de son Maître.
    A l’autre bout du crochet, un anneau était disponible et j’enfilai le restant de corde dedans, liant l’autre extrémité de la corde sur celLe qui entravait ses poignets. Je savais que la boue enfouie très récemment dans son anus devait quelque peu chatouiller sous cette contrainte.
    « -Alors…qu’en penses tu ?
    -Vous auriez pu me prévenir… »
    Ma ceinture pliée en deux cingla de nouveau son cul et elle se tordit dans les menottes qui étiraient ses bras en l’air…
    « -Te prévenir de quoi ? Tu es là pour que je te punisse…que je t’amène à cette déchéance d’esclave que tu souhaites….tu le souhaites non ?
    ‘—Oui Maître…
    -Tu es là pour quoi ?
    -Pour que vous me punissiez Maître…
    -eEt pour quoi d’autre ?
    -Pour vôtre plaisir Maître…. ».
    Elle était en parfait état de soumission…je n’allais pas m’en priver….
    Je vins m’agenouiller devant elle, saisissant ses deux seins dans le creux de mes mains, les massant .doucement. Je n’eus pas besoin de la forcer, ses lèvres trouvèrent les miennes pour un langoureux baiser….Je terminais ce baiser en tordant violemment ses mamelons, la faisant crier et se tordre dans les liens…j’imaginai la pression de l’objet tout rond qui était dans son cul…
    « -Tu le sais, et le désires…Tout ton corps est à moi , même ton trou du cul….allez assez joué, maintenant je vais te châtier…. ! ».
    Elle courba l’échine, affaissant son visage aux yeux bandés vers le sol….
    « -Oui, Maître, faites ce qu’il vous plaira de moi… ».
    Mais, nom de Dieu, pourquoi acceptait elle çà ? Bon après tout, j’étais là pour çà…aussi…et j’adorais çà….
    Je me redressai, et enroulai ma ceinture autour de ma main…elle allait souffrir….

    Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

    #27898
    Anonyme
    Inactif


    Bien que “Maitre/esclave” ne soit pas mon truc, encore un récit intéressant et très bien imagé.. Vous avez l’imagination fertile en ce moment, @anatoleenfer 🙂

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