Je suis en train de lire ce superbe récit d’EmmaLu @petit-hibou et ses quelques mots :
« Je me réveille, emmitouflée dans des draps blancs, lovée entre ses bras, calée contre son torse et sous son menton. Je suis si bien. Je voudrais que cet instant s’éternise pendant des heures, mais il est déjà 14 heures et le sommeil me fuit. »
me ramènent quelques mois en arrière, dieu que ces instants me manquent, que ses bras puissant autours de moi et ses baisers avides me manquent…
Que sa tendresse me manque moi qui m’en méfie tant de cette sournoise ! Oui sa tendresse aussi me manque.
Ses mots tendres ou sauvages, sa façon de prendre possession de moi, sa voix si troublante et chaleureuse, son regard intense et doré.
Oh dieu qu’ils me manquent, qu’il me manque, lui !
Sa tendresse, sa fermeté, ses mains claquants mes fesses et les caressant tour à tour, son insolente virilité, nos folies…
Oh dieu qu’il me manque !
Odieux il l’a été pourquoi a-t-il fallut que j’ouvre les yeux à cette affligeante réalité ?
Sans cette prise de conscience je serais encore au chaud, blottie dans ses bras qui me serrent comme si sa vie en dépendait, collés corps à corps, nos corps emmêlés dans la plénitude de l’après, dans ce moment d’absolu qui s’échappe toujours trop tôt, dans cet état ou j’aurais voulu rester pour l’éternité, dans ses bras, endormie ou éveillée pour encore mieux en profiter…
Oh dieu qu’il me manque