Nathalie la petite voleuse

[Alfred]

Je tente un petit récit, purement fictif, issu de mon imagination. La suite possible en cas de demande.

Natalie la petite voleuse?

Nathalie est une jeune femme fraichement diplômée, elle vient, à 23 ans, de finir son droit. La voila juriste, prête à se mettre sur le marché de l’emploi.

Afin de se ressourcer après ses examens, elle passe le début de l’été dans la maison familiale, dans une petite ville campagnarde du sud-ouest.

Lors d’une balade en ville, se promenant dans les rues de son enfance, elle tombe sur une vieille librairie qui vends toutes sortes de livres, modernes et anciens, elle se souvient même qu’il y avait en son temps un rayon coquin.

Prise par une bouffée de nostalgie, elle rentre dans la libraire. Une jeune femme est à la caisse, blonde, le milieu de la trentaine pense Nathalie, la vieille dame qui officiait ici il y a quelques années n’est donc plus là, pense t’elle.

se promenant dans les rayons, elle ”tombe” sur le rayon érotique, qui est donc bien toujours là. Discrètement, elle feuillette l’un ou l’autre livre et magazine alors que des souvenirs remontent. Elle faisait à l’époque partie d’une bande de copains et copines, de 14 16 ans. Ils piquaient des magazines ”cochon” ici et allait les visionner en cachette. Elle se souvient de Pierre, le premier à s’être fait prendre par ”la vieille”. Pierre était parmi les plus âgés de la bande et, surprenament, il n’avait pas eu de problème trop sérieux à ce moment là, suite à son forfait. Il s’en était tiré, avait il prétendu, avec une bonne enguelade et la promesse de ne pas recommencer.

Puis ce fut le tour de Lucie, la belle Lucie qui du haut de ses 15 ans avait à son tour été prise en flag. Elle avait été plus loquace Lucie, elle avait raconté que la vieille lui avait donné le choix entre une fessée ici et maintenant ou l’appel de ses parents et des flics. Elle avait bien entendu opté pour la fessée, et quelle fessée elle avait reçue, elle en avait encore presque les larmes aux yeux rien qu’à la raconter. Après cette histoire les vols avaient nettement diminués dans la librairie, seuls Vanessa et Antoine s’était encore fait prendre un peu plus tard. Et si Antoine était resté muet sur les conséquences, Vanessa avait bien confirmé l’histoire de Lucie, elle aussi avait reçu une cinglante fessée.

Comme souvent, ces évocations ne laissait pas Nathalie indifférente, elle ressentait une vive émotion à chaque fois que la fessée était évoquée.

Elle en était là de ces réflexions lorsqu’une dame, qu’elle n’avait pas entendu arriver dans son dos, lui adressa la parole.

”Je peux vous aider mademoiselle”

Surprise et en pleine confusion, Nathalie se retourna et se trouva nez à nez avec la vieille dame. Elle rougit instantanément et de manière inattendue, ce qui ne manqua pas de surprendre la vieille dame ”excusez moi, je ne voulais pas vous importuner, tout va bien?”

Oui oui pas de soucis, je fais un petit tour sans but précis, je regarde” répondit une Nathalie embarrassée.

”Faite donc à votre aise mademoiselle”. et elle tourna les talons.

Nathalie se maudit de son émotivité, ce rappel à ses souvenirs d’ados avait fait renaître certains souvenirs troublants voire certains fantasmes, notamment celui de la fessée. D’où son trouble.

Elle regarda autour d’elle, personne qu’elle connaissait. Il y avait un vieux couple de retraités, une jeune femme qui devait être dans la quarantaine, trois ados au rayon BD, et un homme dans la quarantaine, qui semblait bien intéressé par sa personne se dit Nathalie.

Elle poursuivit son exploration de la boutique avant de la quitter et de poursuivre ses déambulations dans les rues.

A peine sortie de la librairie, des images envahirent son esprit, elle imaginait ses copains d’enfance, couchés en travers des genoux de la vieille dame, en train de se prendre une magistrale fessée. Mais ces fessées étaient elles vraiment magistrales se demandait elle? Ses copains à l’époque avaient ils du baisser leur pantalon ou relever leur robe pour la fessée? certainement pensait elle, ils n’avaient jamais, ni l’un ni l’autre, donné des détails à ce sujet. Elle se doutait bien toutefois qu’elle n’avait pas du osé les déculotter, pas à leur âge quand même.

Elle se sentait à nouveau dans tout ses états suite à ses pensées. une idée se mit à germer dans son esprit, et si elle volait dans la librairie tout à l’heure, juste avant la fermeture, et si elle se faisait prendre? serait elle, elle aussi, a 23 ans, fessée? Elle s’imaginait sur les genoux de la vieille libraire, sa jupe retroussée, exposant sa petite culote bien tendue sur ses fesses rondes à la libraire. Son émotion s’intensifia. Elle fantasmait sur la fessée depuis si longtemps…

Elle poursuivit ses déambulations, se demandant tout du long si elle oserait. Et si elle appelait les flics? Elle n’allait quand même pas leur avouer qu’elle cherchait juste à recevoir une fessée?

Chemin faisant, elle s’arrêta faire quelques achats, des fringues, des spécialités pâtissières du coin, elle se surpris elle même à se retrouver, sans vraiment y avoir pensé, près de la librairie alors qu’il était 17h45. Elle se rappela que la librairie fermait à 18h, son subconscient l’avait il conduit jusque là à ce moment? était ce un signe du destin?

Elle poussa à nouveau la porte du magasin.

Il y avait encore quatre clients ainsi que la caissière et la vieille libraire. Elle supposa que la caissière devait être la fille de la libraire.

les clients étaient toujours le même couple de retraité, une femme distinguée dans la quarantaine, ainsi qu’un homme qui lui semblait il, devait avoir à peu près l’Age de son père, autour de 55.

Elle salua la caissière, demanda si elle pouvait poser ses sacs derrière le comptoir et repris ses pérégrination dans la librairie.

Elle était au comble de l’émotion et de la confusion, allait elle oser? ne serait-ce pas trop risquer? elle pouvait entendre le bruit des battements de son cœur, qui battait bien vite. Elle sentait un nœud se nouer et se dénouer dans son ventre. Bien évidement, il lui faudrait attendre que la librairie se vide. Il lui semblait évident que la caissière serait toujours là à la fermeture, allait elle rester en cas de fessée? rien que l’évocation la mettait à nouveau dans tout ses états.

Il restait 3 minutes avant la fermeture, la libraire avait déjà demandé aux clients de terminer leurs achats et de se diriger vers les caisses.

L’attitude de Nathalie avait interpelé la libraire, laquelle était venue se placer derrière le comptoir, là ou elle avait fait installer les moniteurs permettant de suivre les images des caméra de surveillance judicieusement cachée. C’est ainsi qu’elle put voir en direct, Nathalie qui prenait un livre pour le glisser dans son sac. Elle montra immédiatement la scène à la caissière, tout en lui demandant discrètement d’attendre avant d’agir.

Nathalie avait décidé de ”voler” un livre coquin, un format poche qui ne prendrait pas trop de place. Après moulte hésitation, elle remit ”prison pour femme” qu’elle avait d’abord pris, trop évocateur du risque qu’elle s’apprêtait à prendre, elle préférait plutôt s’orienté vers un ouvrage qui pourrait donner une idée à la libraire sur la meilleure des punitions. Elle finit par jeter son dévolu sur un livre de poche coquin, un livre au titre évocateur ”la collégienne anglaise”, un livre dont le thème était bien évidement l’éducation anglaise.

Une fois le livre dans son sac, elle continua à fouiller dans le rayon, attendant surtout de voir les autres clients sortir.

Tout à la lecture du pitch du livre qu’elle tenait en main, elle n’entendit pas la caissière s’approcher d’elle. c’est qu’avec toutes ses pensées, Nathalie avait une boule au ventre, les oreilles qui bourdonnait tant son cœur battait fort dans sa poitrine, elle voulut plusieurs fois remettre prestement le livre dans son rayon, ou au moins le sortir de son sac.

La caissière ne lui en laissa pas le temps, la saisissant par le bras, de manière décidée et ferme, elle lui demanda de la suivre. Nathalie interloquée et inquiète suivit le mouvement, découvrant avec horreur que les 4 autres clients étaient tous toujours présents.

La caissière conduisit Nathalie devant le comptoir. De derrière celui ci, la vieille dame lui fit un signe du doigt, signe qu’elle l’invitait à s’avancer derrière le comptoir. Elle lui montra alors les moniteurs diffusant les images de surveillance. ”je sais ce que vous avez glissé dans votre sac” lui dit elle alors.

Nathalie s’empourpra, ca y’est, on y était, qu’allait il donc se passer maintenant; Elle était terrorisée à l’idée que les autres clients entendent ou se doutent de quoi que ce soit.

Rendue muette, Nathalie tendit le livre pour le donner à la vielle dame qui tendait la main. Elle le prit et en lu le titre évocateur avant de le déposer sur le comptoir. Votre carte d’identité svp?

Mais … pourquoi? balbutia Nathalie, j’allait le payer dit elle en prenant son portefeuille dans son sac.

Bien sur, bien sur, vous expliquerez ca avec les images vidéos” répondit elle avec un sourire entendu et tout en prenant le combiné de téléphone.

Nathalie tendit sa carte d’identité la mort dans l’âme, dans quoi s’était elle donc aventurée?

Lorsqu’elle lut le nom, elle se dit qu’elle connaissait ce nom de famille, une famille du coin. Elle lu sa date de naissance ”vous avez 23 ans, et on pique encore dans les magasins?”

”mais non, vraiment …mais elle lui coupa la parole et pris son téléphone

‘qu’est ce que vous faites? ”

Vous irez vous expliquez au poste, c’est la procédure.

mais non, je vous en prie ne faite pas ca. Nathalie était catastrophée.

suspendant son geste, la libraire l’apostropha ”ah bon? et pourquoi donc?”

Il doit y avoir un autre moyen…

ah? que proposez vous jeune fille?

elle tournait la tête dans tous les sens, anxieuse que cette conversation puisse être écoutée par des oreilles indiscrète. De fait, les 4 clients restant s’étaient rapprochés, sans pour autant se rendre vraiment à la caisse, apparemment intéressés à voir comment tout cela allait bien finir.

Le geste suspendu, la libraire demanda plus fort ”alors jeune fille? …”

Je me dis que, peut être … elle était de plus en plus nerveuse, regardant dans la direction des autres clients

”alors insista la libraire” non sans reprendre l’objet du larcin ”la collégienne anglaise” murmura t’elle

”il y a un autre moyen non? dit elle rapidement dans un souffle

”dites moi donc lequel répondit la libraire… tout en regardant la couverture explicite du livre, montrant une étudiante déculottée et les fesses toutes rouges

peut être …. les mots ne sortait pas, pourtant Nathalie avait très peur que la libraire n’appelle la police, mais plus aucun son ne sortait de sa bouche

La libraire repris son mouvement et commencait à pinaoter sur le clavier du telephone.

Nathalie regarda autour d’elle, et lança dans un souffle à peine audible ”une fessée…”.

fin de la première partie

 

[Paulparis]

Alfred wrote:

Je tente un petit récit, purement fictif, issu de mon imagination. La suite possible en cas de demande.

 

Il semble impossible qu’il n’y ait pas de suite…

[Ocean et Nathy]

Hum, toute ressemblance ou similitude avec des personnes portant le meme prénom ne serait que forfuite et involontaire …

Quoique…

Nathy.

[PanpanKuku]

Magnifique !!!

On est plus qu’excités à lire la suite … la réalisation de son fantasme, avec tout les sentiments qu’elles ressent, troubles, entre terreur et excitation !!!

[HappyLivingDan]

Magnifique.

Vivement la suite.

Ça donne aussi envie de lire “la collégienne anglaise” si l’ouvrage existe.

[Liloo]

Un texte qui fait écho à une expérience personnelle ou j ai été prise à voler… certes pas de fessée, mais une honte terrible… une excitation aussi… j attends la suite avec ipatience

[Rony]

Très bon récit, avec une très bonne montée de la tension.
J’espère que Nathalie aura ce qu’elle mérite (et désire).
Et, tout comme Dan, j’aimerais beaucoup découvrir des extraits de “la collégienne anglaise” ^^

J'ai la faiblesse de croire que tout cul tendu mérite son dû.

[Auteur]

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