Nathalie la petite voleuse – 2ème partie

[Alfred]

Voici la suite des (més)aventures de Nathalie, petite voleuse

La première partie est ici: https://deculottees.fr/forums/sujet/nathalie-la-petite-voleuse/

Nathalie était une jeune femme de 23 ans, au charme certain. De long cheveux auburn, une silhouette sportive, des seins de tailles moyennes et des fesses ample. un derrière bien rebondi, des fesses bien galbées, bombées, qui parfois la rendait fière, parfois la complexait (elle se trouvait alors avoir un trop gros ”cul”). C’était une jeune femme, très moderne, bien dans son époque.

Elle est au coin dans une vieille librairie, au coin et les mains sur la tête. A 23 ans. quelle honte.

Elle est vêtue comme beaucoup de jeune femme de sa génération, très libre, un crop-top laissant tout le bas de son ventre et son nombril ”à l’air” et une jupe arrivant à mi-cuisse. Sexy et libérée.

Elle est au coin donc, mains sur la tête. Cette image tourne en boucle dans sa tête. Elle a les joues toutes rouges. elle sent son visage, ses oreilles lui bruler. Son cœur bat à tout rompre, elle entend les battements sourd dans sa poitrine. Elle a la respiration un peu saccadée, comme si elle venait de piquer un sprint. Une boule se noue et se dénoue dans son estomac.

Elle a surtout terriblement honte, honte d’être ainsi au coin en publique.

Elle attend sa fessée. Ces mots se répètent en boucle dans son cerveau en ébullition ”je vais être fessée, je vais avoir une fessée”

Elle se tient droite, les mains sur la tête, le nez contre le mur, consciente de tous les regards posés sur elle.

Dès qu’elle avait prononcé le mot fatidique ”une fessée…”, la libraire lui avait saisit le lobbe de l’oreille et l’avait conduite au fond de la librairie, lui ordonnant de rester au coin dans l’attente de sa fessée. Elle avait dit ca d’une voie forte, autoritaire, Nathalie n’avait aucun doute quand au fait que tous le monde dans la librairie avait bien entendu ses propos. Tous le monde savait bien qu’elle allait avoir la fessée.

En dépit de la grosse humiliation subie, être trainée comme une gamine jusqu’au coin en se faisant tirer l’oreille, devant tout le monde, elle était néanmoins satisfaite que la libraire attende la fermeture de sa librairie, au moins ne serait elle pas fessée devant tout le monde.

A l’heure de fermeture, la vieille dame, Mme Lafleur, demanda a tous ses clients de passer en caisse car le magasin allait fermer.

Le couple âgé fut le premier à s’y rendre. De sa position, Nathalie n’entendait que des bribes.

La femme félicitait la gérante pour sa réaction, ces jeunes, il leur manque vraiment un cadre, de la discipline, elle espérait que la libraire se montre bien sévère comme il faut. Elle fit remarquer que si c’était elle, la jupe aurait déjà été remontée pour la mise au coin.

La libraire encaissa le montant des articles, rendit la monnaie puis s’en alla vers sa punie au coin.

Nathalie entendit la vieille dame arriver au son de ses talons claquants sur le carrelage. Nathalie était pleine d’appréhension, le magasin n’était pas vide, elle serrait instinctivement les fesses. la vieille dame murmura à son oreille ”ah on vole dans mon magasin, ah on mérite une fessée, tu vas voir comme je vais m’occuper de tes fesses ma petite fille” Elle fut vexée d’être traitée de ”petite fille”, elle avait 23 ans tout de même, elle s’abstint de tout commentaire de peur d’aggraver son cas.

Elle sentit de l’air frais sur ses cuisses et ses fesses, elle se rendit alors compte avec horreur que la vieille venait de lui relever la jupe et cherchait à la coincer dans la ceinture afin qu’elle ne retombe pas. Elle voulut protester, ses mains, quittant sa tête, fondèrent sur les mains de la vieille pour tenter de retenir sa jupe.

Clac Clac

”j’ai dit les mains sur la tête jeune fille”

Nathalie ne se le fit pas dire deux fois, remis ses mains sur la tête. Mme Lafleur avait haussé le ton, les claques avaient résonné dans le magasin vide, tous les regards fixés sur la scène. Nathalie voulut se faire toute petite, se faire oublier, elle se laissa faire. Une dernière claque sur ses fesses et la vieille s’en retournait derrière sa caisse pour encaisser les autres clients.

Nathalie était au coin, mains sur la tête, la jupe retroussée bien haut,

Elle exposait donc son derrière rebondit couvert de sa petite culotte. Heureusement pour elle, Nathalie avait ce jour là une sage petite culotte, couvrant bien ses fesses, de couleur blanche avec des formes de couleur rose et bleu pastel.

De retour a sa caisse, la vieille dame demanda au vieux couple s’ils voulaient rester pour la fessée, ils étaient les bienvenus. Ils s’empressèrent d’accepter.

Les autres clients se manifestèrent aussi lors du paiement de leurs articles, si c’était possible, pour eux aussi, ils trouvaient que cette fessée serait d’autant plus profitable a la jeune fille si elle était rendue bien embarrassante. Après tout elle avait bien tenté de voler devant eux donc…

Nathalie ne se rendait pas compte de ce qui se tramait dans son dos.

Une fois tous les clients encaissés, la libraire installa une chaise au milieu du magasin, devant la caisse et s’en alla chercher sa voleuse. Elle la ramena vers l’avant du magasin toujours en tirant son oreille, arrachant des aies ouilles à la punie, cri auquel la libraire répondait ”attends que je m’occupe de tes fesses, tu vas avoir une bonne raison de faire aie aouille ” ironisait elle sous les sourires ravis des spectateurs. Nathalie réalisa rapidement avec horreur que les 4 clients étaient toujours tous là, deux hommes et deux femmes en plus des deux femmes qui tenaient la librairie. Elle allait manifestement devoir subir cette humiliante fessée devant tous le monde.

Madame Lafleur laissa Nathalie debout, mains sur la tête, à droite de la chaise et s’assit. Elle sermonna encore une fois Nathalie ”Reconnais tu que tu mérites cette fessée” demanda t’elle, Nathalie, fixant la pointe de ses chaussures, hocha un timide oui de la tête.

Clac

Une claque retentit sur sa cuisse gauche, juste sous ses fesses, ”je n’ai rien entendu” gronda la libraire.

Nathalie émit un petit oui

Clac

nouvelle claque, au même endroit, la marque de la main de la libraire était clairement visible sur sa cuisse blanche

et la libraire de dicter ”oui madame je mérite une sévère fessée”

La mort dans l’âme, Nathalie se résolut à répéter a voix haute ”oui madame je mérite une sévère fessée”. son cœur battait tellement fort dans sa poitrine qu’elle avait l’impression qu’il allait s’échapper.

”Nous sommes bien d’accord répondit elle, tapotant ses cuisses, invitant Nathalie à y prendre place.

Nathalie s’allongea en travers des cuisses de la libraire. Elle avait le visage en feu tellement elle rougissait. Sa jupe était retombée dans le mouvement.

Elle avait la tête dans le vide, elle voyait les pieds des personnes présentes, les mains au sol d’un côté et les pieds qui avaient quitté le sol de l’autre.

Elle serrait les cuisses et les fesses.

”Quelque chose à dire avant qu’on ne commence” lui demanda Mme Lafleur en passant sa main sur ses fesses, comme pour lisser la jupe.

Clac Clac clac clac

Les quatre premières claques résonnèrent dans la pièce, les deux premières atterrirent sur la jupe de Nathalie, les deux suivantes sur ses cuisses nues, sous la jupe.

Nathalie poussa un petit cri de surprise lorsque les claques s’abattirent sur ses cuisses nues. Elle pensait au spectacle qu’elle offrait, aux marques qui risquaient de se voir si elle claquait sous le niveau de sa jupe. Elle ressentit une bouffée de honte encore plus forte à cette idée.

”Vous pourriez par exemple exprimer des regrets, non?” demanda Mme Lafleur en claquant à nouveau sur sa jupe.

Clac clac clac clac deux fois sur chaque fesse.

Nathalie serrait les dents, bien décidée à ne pas se donner en spectacle. Elle murmura ”je suis vraiment désolée”

Clac clac clac clac clac clac clac clac clac clac

La main s’abattit 5 fois sur chaque fesse, alternativement. Les claques étaient fermes mais à travers la jupe, elles ne provoquaient pas de réelles douleurs. C’était surtout la honte de la situation qui faisait gémir Nathalie lors des impacts sur ses fesses.

”Vous auriez pu par exemple, promettre de ne pas recommencer, non?” questionna Mme Lafleur

”Oui, je ne recommencerait pas”

Nathalie avait à peine terminé, dans un murmure à peine audible, sa phrase que Mme Lafleur se saisit du bas de la jupe et la rabattit dans le dos, découvrant les fesses de Nathalie couvertes de sa petite culotte. Des marques rougies débordaient de la culotte, sur le bas des fesses et les cuisses.

Mme Lafleur lissa la culotte sur les fesses de Nathalie, comme pour en retirer le moindre plis, puis sa main s’éleva et s’abattit sur les fesses offertes devant elle.

Clac clac clac clac …. clac

Elle délivra une première série de 20 claques, alternat une fesse puis l’autre. Le rythme était d’une a 2 secondes entre chaque claque. Les fesses vibraient lors des claques qui avaient une bonne intensité. Nathalie tentait de garder sa dignité, elle tentait de retenir les petits cris spontanés qui voulaient sortir en écho à la fessée. Elle se mordait les lèvres. Elle se sentait bizarre. La fessée n’était pas si terrible que ca après tout, même si, en petite culotte, ca commençait à chauffer nettement plus.

“Alors, tu vas encore volé dans mon magasin?” demanda Mme Lafleur, jouant à lisser la petite culotte.

”Non, promis” murmurait Nathalie en Echo.

La fessée reprenait de plus belle, une nouvelle série, à nouveau 20 claques, plus fortes que la précédente série, Nathalie se sentait déjà à la limite.

Elle continuait de bien serrer ses cuisses, bien consciente du regard des témoins de la scène, notamment des deux hommes présents, mais commençait à ne plus pouvoir retenir des petits cris lorsque la main s’écrasait sur ses fesses.

la grande salle de la librairie ne resonnait plus que du bruit des claques, main nue sur fesse nue. Aucun autre son.

Et petit à petit, les cris de Nathalie s’ajoutaient au bruit des claques.

Après une nouvelle pause de quelques minutes durant lesquelles Mme Lafleur sermonnait une énième fois sa petite voleuse, la fessée repris de plus belle. Mme Lafleur fessait maintenant vraiment fort, Nathalie commençait à se demander comment c’était possible. Ses fesses entreprirent une danse sous le rythme des claques, ses cuisses restaient jointes cependant, sa main droite tentait de protéger ses fesses.

”Ah non, pas de ca ma petite fille, tu tires cette main de là ou ca va aller vraiment mal, compris?”

Elle ponctua le ”compris” d’une magistrale claque qui fit se ruer Nathalie sur ses genoux.

Nathalie remis sa main sur le sol devant elle, la courte pause faisait du bien, elle sentait la main de Mme Lafleur caresser ses fesses.

Mais bien vite la fessée repris de plus belle.

Nathalie sentait ses fesses lui bruler, ca piquait fort, chaque claque résonnait dans son cerveau, la douleur était bien pire que ce qu’elle avait pu imaginer, qu’elle mouche l’avait donc piquée pour qu’elle se mette dans cette situation. Et pourtant…. Pourtant son trouble était toujours la, outre la cuisson de ses fesses, elle ressentait une troublante chaleur dans son bassin, elle se sentait terriblement excitée, était ce la honte? serait-ce la fessée? serait-ce la douleur? Certainement un savant mélange de tout ça. Nathalie était excitée comme jamais, elle était sure que sa culotte était mouillée, les spectateurs allaient certainement s’en rendre compte, l’idée même renforçait encore plus son trouble.

Nathalie criait maintenant en continu sous la claquée, gigotait beaucoup sur les genoux de sa fesseuse, commençait à agiter ses jambes de manière désordonnées, sans plus se soucier des spectateurs et du spectacle qu’elle leur offrait à présent. Encore heureux qu’elle avait pu garder sa culotte et qu’elle couvrait relativement bien son anatomie. Elle suppliait que la fessée s’arrête enfin, promettait de ne plus jamais recommencer, mais rien n’y faisait, la fessée se poursuivant. Mme Lafleur était bien décidée à ce qu’elle n’oublie pas de sitôt sa correction.

Gesticulant en tout sens, Nathalie tentait désespérément de protéger ses fesses de sa main droite, en dépit des menaces de Mme Lafleur, que pouvait il bien lui arriver de pire que la terrible fessée en cours?

Mme Lafleur lui saisit le poignet, plia son bras dans son dos, l’immobilisant et repris de plus belle la fessée.

”Je t’avais prévenue ma petite fille”

”aie, ouille, je vous en priiiiie, ca fait trop mal, ….. Plus,

sa deuxième main vint dans le chemin, aussitôt Mme Lafleur se saisit également du poignet droit et joint les deux mains de la punie dans le dos, l’immobilisant.

“J’ai dit pas de ça, tu vas le regretter ma p’tite”

Elle fessait à tour de bras de la main droite, tentant de garder les deux poignets de la punie coincés dans le dos. Nathalie parvenait à se libérer une main, puis l’autre, tentant désespérément d’interrompre son supplice.

Elle ne se rendait plus compte du ridicule de ses gesticulations devant tous ces témoins.

Les spectateurs de la scène avait maintenant devant eux vraiment une petite fille punie tant les gesticulations désordonnées, les cris, les supplications, les promesses de Nathalie y faisait clairement penser.

Elle était secouée de sanglot, sa respiration haletante.

Le silence était revenu dans la pièce. la respiration haletante de Nathalie était pour ainsi dire le seul bruit.

Mme Lafleur laissait Nathalie se reprendre sur ses genoux.

La vieille dame fut la première à rompre le silence des spectateurs, manifestement tous fort émus du spectacle: ”ça c’est une bonne fessée, si tous le monde pouvait prendre exemple sur vous Mme, sure qu’il y aurait bien moins de délinquance. Quoique pour un tel délit, j’aurais bien imaginé que la fessée fut déculottée.”

Mme Lafleur lui sourit en retour.

Nathalie mériterait elle la déculottée? Sera t’elle déculottée? si oui, devant tout le monde?

[Camille 92]

Oui, déculottée devant les spectateurs, hommes et femmes.

[Rony]

Quelle belle correction !
C’est vrai que c’est tentant de déculotter la jeune Nathalie. Mais tout le monde se rendra compte alors que sa culotte est trempée, qu’elle mouille sous la fessée, et que la punition n’en est pas vraiment une.
Mon cher Alfred, la balle est dans votre camp ^^

J'ai la faiblesse de croire que tout cul tendu mérite son dû.

[Auteur]

Messages