Mon test amant

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15 sujets de 1 à 15 (sur un total de 15)
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  • #38552
    anatole
    Participant


    Alors que la fin de l'(Mon?) histoire est proche, il m’est venu ce rêve.
    Mon test amant…
    Au réveil, ce simple et basique jeu de mot m’a bien fait rire…et si….
    Sur la réflexion du rêve j’ai imaginé….toutes les femmes qui m’avaient gentiment offert leur corps, pour quelques heures ou quelques mois, certaines pendant quelques années…debout, plus ou moins vêtues de noir, venant jeter une rose, une orchidée, du jasmin, quelques gouttes de tabasco, un comprimé de viagra (pas souvenir que ça m’ait manqué mais va savoir…) sur le couvercle de mon cercueil….Chacune égrainant dans sa tête les souvenirs que mon sexe et moi leur auraient laissés…Quelques larmes coulant sur quelques joues, un petit rictus masqué par une voilette (cette carne est enfin crevée…non, tout de même pas…ou alors qu’elle se dénonce tout de suite!), d’aucunes si disant que j’ai enfin la paix, une ou deux qui m’ont vraiment aimé et qui n’arrêtent pas de pleurnicher (ah ah….enfin après toutes les trempes que je t’ai filées, tu pleures enfin!!), une ou deux qui pensent (mais putain pourquoi tu n’as pas voulu essayer!) …et puis moi qui les observe du fond de ma tombe….si je pouvais vraiment à ce moment savoir et voir.
    Mais bon, revenons à la vérité crue, mon rêve était bien plus ludique…un défilé de mode…de femmes plus ou moins nues, que j’ai fait, plus ou moins, et heureusement souvent un peu plus, jouir sous mes doigts voire autre chose plus dévoué à ça…
    Dois je vous faire le catalogue ?
    Machinette (c’est un joli prénom)…ma toute première….elle m’avait dit…le sexe de ton pote (mon meilleur ami!) il est si long…bon il jouit très vite mais il rebande tout de suite…mais le tien je l’aime bien, il est…elle n’avait eu le temps de finir sa phrase…mes mains s’étaient plaquées sur ses fesses, et lui en collèrent une…ma première….s’en souvient elle encore ? Oui bien sûr…tant d’années plus tard, elle m’envoya un SMS….je vais avoir cinquante ans bientôt…tu te souviens de moi ? Tu fessais bien….tu veux qu’on se revoit ?
    Ben non…l’eau avait filé sous les ponts…bien d’autres fessiers j’avais eu à claquer depuis…mais j’y suis quand même allé….comme quoi, les vieux souvenirs…de nouveau, mon premier fessier…cinquantenaire, à claquer…une nouvelle première fois….l’amant que je suis fut bon cette après midi là….il avait tenu a faire tant d’efforts pour ne pas la décevoir….ce fut tout….
    Mon test amant….Toutes celles réunis devant mon cercueil….Tout de même….finalement je suis assez fier de moi…je ne devrais peut être pas…mais combien parmi vous et vous, avez eu la chance de connaître autant de….personnes qui ne vous oublient pas…et que vous n’oublierez pas…
    La nuit va bientôt tomber. Je l’accueille dans ma voiture à la sortie de la gare. Elle sent bon. Je l’embrasse doucement. En ce temps là, elle m’avait dit…Je bosse sur un site minitel…je dois faire bander les mecs en leur racontant ce qu’ils ont envie d’entendre…oui des fois c’est des trucs sado maso…Je tends la main au pied du siège passager et je frôle ses chevilles nues. J’attrape le petit sac plastique dans lequel…j’ai acheté ça, mort de trouille et de honte pour la première fois dans un sex shop quelques heures plus tôt. Elle ouvre le sac et regarde…les menottes métalliques et un petit martinet (de merde…j’en ai eu tant d’autres de qualité plus tard….elle aura l’occasion de les tester bien des années plus tard…). Elle me regarde alors que je démarre…Tu veux que ? Oui….
    Deux heures plus tard, les poignets engainés dans les menottes accrochées au plafond, le corps nu et strié des marques du martinet de bas de gamme elle me regarde implorante….détache moi et viens me faire l’amour..je ne me suis pas fait prier beaucoup plus….
    Le lendemain sur un message minitel(ahhh la la quelle époque…) elle me dira…c’était dur…tu es gros…dans mon (encore jeune esprit, je pensais à une partie de mon anatomie et bien que surpris, j’en fus flatté!)…sa réponse fut…ben non je n’ai baisé qu’avec des mecs minces…j’ai des traces sur le ventre et les cuisses en miettes..
    Aucune référence aux coups de martinet….Elle aussi par les hasards de la vie, je l’ai recroisée au delà de la cinquantaine…cette fois elle n’avait vraiment plus du tout envie de fessée ni quoi d’autre, à part…mon sexe dont elle gardait un certain souvenir….une nouvelle fois…mais je l’avais tellement aimée celle là….ce fut grandiose…
    Dans mes habits de deuil (faudrait que je leur dise…je préférerais être enterré à poil…on ne sait jamais..), je les regarde…hum…elle ? La seule…que je réfléchisse quelques secondes…en fait je m’en fous j’ai l’éternité devant moi paraît il…ouaip la seule qui ait râlé…après…sur le programme de la soirée, je devais l’attacher, la fesser nue, la fouetter et la sodomiser…j’en étais aux trois quarts du programme…elle pleurait comme vache qui pisse tellement j’avais frappé fort…je l’avais détachée et consolée gentiment m’excusant d’avoir été si violent. Elle ne proféra aucun mot pendant que je la ramenais chez elle…Lorsque j’ouvris la portière et tentais de l’embrasser en lui demandant quand on pouvait se revoir, elle ne répondit que…t’es nul, même pas cap d’aller au bout du jeu et de m’enculer…ces vertes paroles restèrent ancrées dans mon esprit…plus jamais je ne suis resté en dessous du programme et bien souvent il n’y eut pas de programme..on ne me la refait pas deux fois…A ma grande surprise (mais je le redis, ce n’est qu’un rêve, cette si jolie Jennifer, elle était là devant ma tombe…), elle était là devant mon cercueil….mais non jolie Jennifer, je suis sûr que tu as obtenu ce que tu demandais il a si longtemps…ne m’en veux pas…je n’avais pas osé…

    Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

    #38568
    Lertier
    Participant


    tres beau texte ….. avec mise en abîme….

    Relever lentement a jupe d'une punie , lui baisser la petite culotte avant de l'envoyer , cul nu, au coin
    Puis ensuite , la mettre en position , tremblante , le coeur battant , pour lui délivrer une copieuse et cuisante fessée sur ses joiles fesses rondes bien exposées...
    Voila qui , à chaque fois , me ravit et me comble de joie !!

    #38837
    anatole
    Participant


    Le temps s’est écoulé….mais quand on est au fond de son cercueil, certes la cérémonie ne dure qu’un temps, mais il s’écoule si lentement….Comme disait ce cher Woody «  l’éternité, c’est long, surtout vers la fin… » .
    Alors là, même si je ne peux plus bouger, coincé entre mes planches, je me sens scotché….Au fond là bas, je l’aperçois…Cette chère Alexandra…Je me frotterais bien les yeux, mais c’est impossible…Oh ben oui, comme tout le monde, surtout moi, avec les ans, elle a pris cher…mais tout de même…Toujours aussi belle et élancée, cette grande blonde que j’ai fréquentée il y a…Houla….Oui, c’était quelques mois avant un triste 11 septembre….
    A l’époque, les mesures de sécurité étaient tellement infimes.
    J’avais croisé cette superbe jeune femme sur….oh ben oui, internet n’existait pas encore…c’est vous dire….le minitel faisait office de….et c’était déjà pas mal !
    Après quelques semaines de dialogue, je savais tout ou presque….Malgré son jeune âge, et peut être grâce à sa si belle …prestance (pour ne pas dire silhouette!) elle avait décroché un poste en or…Infirmière en chef (en fait elle était la seule, donc chef!) du ministère de…non je ne vous dirait pas lequel…Elle n’avait (à part elle même!) rien à branler de la journée, et elle ne s’en privait pas !
    Au cours de notre toute première rencontre dans un troquet situé à quelques mètres de son lieu de travail, elle me remit précieusement et discrètement un badge qui me permettrait prochainement de pénétrer….au moins pour commencer, dans le local sacré qui abritait son absence d’activité.
    La première fois où je vins la revoir, je n’avais que des préservatifs dans la poche de ma veste…Quand je vous disais que c’était une époque bénie…Pas de contrôle, ou si peu à l’entrée d’un ministère…même pas de fouille…
    Elle m’attendait au dernier étage de cet illustre bâtiment dont elle me fit visiter quelques pièces, dont celle du ministre, juste à côté du local où elle était censée travailler…facile…juste une porte mitoyenne….je n’osais lui demander si elle travaillait toujours dans cette non-tenue lorsque Monsieur le Ministre était là….Presque à loilpé sous sa blouse….et quel genre de service médical il lui demandait….Bon, bref, sa petite blouse fut rapidement balancée sous la table d’examen, et l’examen fut long et approfondi….Après cette première prise…de position, j’avais bien repéré quelques éléments dans la gestuelle des bras et des mains qui me firent suspecter que quelques claques voire plus ne lui aurait pas déplu….Nous en parlâmes un peu dans le câlin post coït…
    La seconde fois, je n’avais pas que des capotes dans ma veste mais un vieux martinet qu’elle fut ravie de découvrir lorsque je lui fis part de ma déconvenue de ne pas avoir été fouillé par le cerbère du rez de chaussée…et qu’elle me fouilla elle-même, de fond en comble ! Agenouillée devant moi, la blouse ouverte sur sa totale nudité, et dans l’incapacité de dire un mot, puisque sa bouche était occupée, elle me tendit l’arme dont je m’étais pourvu et qu’elle s’était octroyée, me signifiant que c’était le moment de s’en servir…ses fesses prirent cher à ce moment, mais ses lèvres restèrent langoureuses.
    Notre troisième rencontre fut la dernière….hélas, car j’appréciai beaucoup ces moments furtifs volés dans un endroit exceptionnel.
    Je lui avais proposé et demandé de se tenir prête. Elle ouvrirait la porte de son gigantesque bureau et irait se placer à l’endroit convenu. Je lui laisserais le temps derrière la porte entrebâillée de s’installer à plat ventre, sur son lit d’examen, dans la plus nue des tenues, en ayant disposé de part et d’autre de ses bras et de ses jambes le matériel médical de contention….(je me demandais bien s’il avait déjà servi et à quoi…Non…Monsieur le ministre aurait ?…tsss…).
    Elle était parfaite…dans ses courbes et rondeurs, offerte dans cette position, et il ne me fallut pas longtemps pour resserrer autour de ses poignets et de ses chevilles les liens calfeutrés de coton. Je pris le temps qu’il fallait pour la laisser ainsi… La lumière aveuglante de cette belle journée d’été ornait magnifiquement son corps dénudé. Après avoir débouché et goûté la belle bouteille de scotch cachée dans un tiroir et réservée semble t il à qui vous savez, je me mis dans la même tenue qu’elle et attaquait son postérieur comme il le méritait et surtout le valait bien. Ses ronronnements furent suivis au gré de mes claques de quelques cris, et empoignant ses courts cheveux blonds dans ma main, redressant sa tête je lui demandai si elle était sûre que nous ne serions pas dérangés par qui que ce soit….Sa réponse négative, voire implorante me permit de la fouetter longuement à coups de martinet, sous toutes les zones que son corps nu m’exposait, avant de me lancer dans une chevauchée purement sexuelle…la position était tout ce qu’il me fallait pour avoir quelques idées un peu plus lubriques…mes doigts testèrent le tout petit endroit que j’avais envie de fouiller d’une autre manière…Elle se tendit et gloussa d’aise, ses gloussements étant vite remplacés par quelques feulement de chienne soumise aux lanières du martinet. Mon sexe n’en pouvait plus et n’avait plus qu’un désir…m’enfoncer là où mes doigts avaient si facilement trouvé leur chemin, au fond de son cul….C’est alors qu’ à la première poussée, elle cria…J’eusse aimé que ce fut d’aise voire de plaisir, au pire de douleur, vu l’intensité de ma bandaison….Celle ci rendit l’âme bien vite….ma bandaison…
    « -Oh non….s’il te plaît non….ça je lui ai promis…c’est rien que pour lui…
    -Pour lui qui ?
    -Aïe…non…que pour lui…Monsieur le Min…. ».
    Je me retirai immédiatement….même pas vexé, mais tout de même….Une salve de coups de martinet s’ensuivit agrémentée de quelques jolis compliments, du style, merde, salope, tu fais chier…etc…
    Ma bite ne répondait plus…
    Un long moment plus tard, après l’avoir libérée de ses liens si professionnels, nous discutâmes longuement, allongés toujours aussi nus sur la douce moquette, liquidant le reste de la bouteille de scotch dévolue à Monsieur le Ministre de mes deux ! Bon elle avait des réserves, en terme de bouteilles…Pour le reste, elle avait la chance d’avoir une peau qui marquait très peu…et lorsque je me relevais, devant aller bosser, elle ne conservait plus que peu de traces de ma fureur…Heureusement, Monsieur….devait venir vers 18 heures….Elle accepta qu’on se retéléphone, un jour, plus tard, mais….je ne la revis jamais…mes appels furent sans réponse…les circonstances, font, que, tellement d’années plus tard, bien que…disons les mots…je n’ai pas pu la sodomiser tout en la fouettant, je lui suis gré d’être là….comme quoi, elle reste peut être aussi un de ses bons souvenirs…
    Tiens, mais qui voilà…non…Audrey ?…Audrey…Audrey…

    Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

    #38848
    anatole
    Participant


    Aussi étrange que cela puisse paraître, ce que je vous narre ici n’est que la plus réelle des réalités de ma vie….tout est exact…sauf….que, bien sûr, je ne suis pas au fond de mon cercueil…enfin pas encore….sinon, ça se saurait….!Ce serait chouette d’imaginer ça. Enfin quelqu’un qui nous en parle, de ce qu’on voit ou ressent là bas…Bon Face de bouc et autres conneries ont encore du grain à moudre!
    Hors donc, oui, en particulier, mon dernier souvenir relaté plus haut est totalement véridique. Comme quoi, comme on dit parfois, c’était mieux avant! Même si à l’époque internet n’existait pas.On pouvait se balader dans un ministère de la République (et aussi dans la raie publique concernant cette si charmante infirmière de l’époque!), y entrer et en ressortir un certain nombre de fois (du Ministère!) sans qu’on ne vous demande quoique ce soit. Cela étant posé, il me reste encore tant et tant de souvenirs à vous égrainer ici. Finalement pas sûr que je vous parle d’Audrey…si par hasard elle était encore en vie à ce jour et qu’elle traîne par ici, elle serai susceptible de venir me trucider avant la fin…mais j’ai encore plein de jolies personnes dont je vais vous narrer nos rencontres….Comme quoi, même si on adore ce site, avant internet (la plus grande partie de ma vie), on arrivait à faire de belles rencontres.

    Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

    #38924
    anatole
    Participant


    En cette journée de fin Juillet torride, je devrais avoir plutôt frais au fond de ma sépulture, même si je sais que logiquement, suite à mes demandes réitérées, je vais bientôt être incinéré. Me faites pas marrer avec cette minime canicule…vous verrez quand les feux de la rampe (Merci Monsieur Chaplin) viendront échauffer vos entrailles décédées…Enfin bref, au moment où j’écris, je n’en suis pas encore là, et j’ai un ventilo qui rafraîchit mon vieux corps, encore vivant pour l’heure. Pensant à ces si chaudes heures, je regarde les pénitentes vêtues plus ou moins de deuil, venues essorer leur possible chagrin devant ma dépouille. Puisqu’il fait si chaud, quel souvenir va me revenir ? Oh, des chaleurs intenses, elles et moi nous en avons ressenties…et pas seulement extérieures. Mes plus chauds souvenirs ? Il y en a tant. Mais peut être…Anabelle ?
    Oui, elle est bien là, blottie contre un arbre du cimetière, toujours aussi discrète…A cette époque, je ne savais quasiment rien d’elle. Sur un réseau téléphonique, nous avions discuté un long moment. Je recherchais une jeune femme à punir (est ce vraiment honteux?). Elle avait répondu et accepté notre dialogue en direct. Elle m’avait « accroché » car dès les premiers mots, elle m’avait dit qu’elle était professeur de musique. Comme nous étions au téléphone, elle entendait bien la musique que j’écoutais distraitement en arrière fond et à ma première question avait répondu comme il faut…Oui, une petite (mais y en a t il de petite?) fantaisie de Mozart. Le reste de la discussion avait été très enrichissant, et pas plus tard que trois jours après, elle était déjà nue et ligotée dans mon cabinet médical par une fraîche soirée hivernale. Elle ne m’avait quasiment rien expliqué d’elle, et surtout pas ses désirs les plus intimes. Je découvris vite que c’était probablement la femme la plus masochiste que j’aie rencontrée, faisant le tri de celles d’avant et de celles d’après…ça ne pouvait que ravir mes obsessions. Son corps assumait parfaitement sa quarantaine bien avancée, et il était parfait eu égard à mes envies. Dès le premier soir, entravée dans les bas fonds du trou à rats qui me servait de local professionnel, aux fin fonds d’une banlieue que l’on appelait alors défavorisée, mais qu’on dirait aujourd’hui pourrie, elle se laissa attacher debout dans la grande salle d’attente du sous sol après avoir gentiment accepté de se dévêtir totalement. J’avais depuis quelques années déjà placé dans le faux plafond de quoi entraver des poignets dociles. Je me demande encore aujourd’hui comment des femmes ont pu accepter mes jeux si pervers dès le premier soir (car ce ne fut pas la seule!). Avais je donc à cette époque et encore quelques années plus tard un tel charisme ? Enfin, tant pis ou heureusement pour elle, et pour moi…elles eurent toutes totalement raison !
    Ainsi en ce premier soir de notre rencontre, après quelques salves de claques sur ce cul que je découvrais, je compris vite que cela était insignifiant par rapport à ce qu’elle espérait. Après l’avoir abandonnée quelques minutes nue et entravée dans ses liens, le cul légèrement en feu, je revins de mon bureau armé d’un lourd martinet de cuir. J’en caressai doucement et longuement son corps, guettant du coin de l’oeil …mais surtout des doigts entre ses cuisses ouvertes la portée de ces caresses.La suinteur de son sexe m’expliqua muettement que je pouvais aller plus loin…bien plus loin…Beaucoup plus loin, cela vint au fil de la quinzaine de fois où nous nous rencontrâmes. Toujours le même scénario. Je l’appelais ou elle m’appelait, nous trouvions une soirée disponible pour elle et moi, nous dînions en papotant dans ma petite cuisine professionnelle tout en sirotant du champagne, puis nous passions à la phase punition, de plus en plus sévère au fil de nos rencontres…Elle acceptait tout, voire le pire, consciente qu’avant la fin de soirée avant que je ne la raccompagne vers sa voiture, nous aurions un moment câlinesque toujours aussi intense. Elle jouissait toujours de façon aussi profonde et réitérée (ça m’a toujours étonné cette capacité de certaines femmes à jouir encore et encore à quelques minutes d’intervalle…et non, pas que des simulatrices, j’avais des preuves…!) sous le joug de mes punitions de plus en plus sévères et sauvages. Non seulement, elle les acceptait mais les désirait de plus en plus….
    Je pris, et même nous prîmes, un immense plaisir à ce que je martyrise son corps toujours un peu plus que la fois précédente. Les fessées furent plus longues et percutantes, les fouettées plus amples et dispendieuses sur tout son corps, avec des instruments de plus en plus sévères. Ses magnifiques seins furent maltraités jusqu’au bout (oui, même ses mamelons justement!) du possible.
    A chaque rencontre, nous progressions dans ces jeux bien loin du « panpan cucul », qui n’intéressait ni elle ni moi. Nous discutions beaucoup, avant et après des sensations que nous éprouvions, à tel ou tel instant de la punition. Jamais elle ne proféra un « non ». Jamais il ne fut question d’un quelconque safeword. Elle avait une totale confiance en moi, et moi en sa capacité à accepter que j’aille toujours un peu plus loin et fort. Pourtant, elle resta toujours d’une discrétion absolue sur « le reste » de sa vie….
    Jusqu’à ce que…Lors de notre dernière soirée, après que, que et que re que, enfin bref, son corps nu et tellement martyrisé par tous les instruments dont je venais de me servir, affalée dans un grand fauteuil, les cuisses ouvertes et si rougeoyantes entre lesquelles mes doigts se baladaient pour en saisir toute l’humidité et amplifier son désir totalement sexuel avant qu’une autre partie de mon corps n’en prenne possession, tout en sirotant un mojito que je venais de lui concocter (oui, les fraîcheurs de l’hiver avaient laissé place aux chaleurs de l’été), elle m’avoua qu’elle venait de rencontrer « quelqu’un ». Ce Monsieur était un vrai pur et dur dominateur, et elle venait de donner sa démission de l’éducation nationale pour aller vivre sa vie de totale soumise avec lui dans le sud de la France. Je n’avais rien à redire à cette nouvelle…sa vie était la sienne, et malgré l’intensité de nos jeux, je n’avais aucun droit sur elle. Je lui exprimai juste ma reconnaissance d’avoir accepté avec tant d’enthousiasme la réalisation de nos fantasmes.
    Par téléphone, elle me demanda quelques temps plus tard si je pouvais adresser à ce Monsieur quelques images et vidéos de ce nous avions vécu ensemble, mais surtout de ne jamais faire référence au fait que nous ayons pu avoir des relations sexuelles !!! Des fois les dominateurs me débordent, comme on dit aujourd’hui… Je fis ce qu’elle me demandait, et lui fit parvenir un digest de nos aventures, ôtant toutes les images purement sexuelles de nos ébats. Le Maître de Madame m’en fit un retour joyeux, me remerciant d’avoir contribué au début de l’éducation de celle qui était maintenant son épouse. Au fil des mois suivants, il m’adressa quelques images et vidéos d’ Anabelle, dans sa longue progression vers une soumission totale et entière. Plusieurs pièces du moulin qu’il avait acheté en Provence qui y cacher leurs perversions étaient équipées par la main d’un vrai professionnel, avec un matériel qui aurait pu faire pâlir d’envie n’importe quel producteur de films sado-maso….Je goûtai de moins en moins ces envois qui dépassaient de plus en plus ce que j’aimais faire et vivre. Cela dût se ressentir dans mes réponses car les reportages de sa descente infernale finirent par cesser. Je ne me sentis cependant nullement coupable de quoique ce soit, ayant juste contribué à la pousser un peu plus vers ce qu’elle désirait profondément, et aujourd’hui, je suis même plutôt heureux qu’elle ait trouvé sa voie avec quelqu’un d’autre !
    Dans la fraîcheur humide de ce cimetière, je me demandai juste une seconde si tous les anneaux qui « ornaient ? » les parties les plus intimes de son corps et que j’avais pu découvrir au fil des envois de son sadique de mari ne risquaient pas de rouiller….
    Et ce n’est pas parce que je suis au fond de mon cercueil que je ne peux pas vous adresser cette superbe chanson….

    Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

    #38928
    Zatopek33
    Bloqué


    Un grand Merci, docteur Anatole , pour ce nouveau texte toujours aussi émouvant .

    Merci pour Maxime qui nous aura accompagnés toute notre vie depuis le lycée .
    Je vais aller le voir l’ hiver prochain sur scène . Il vient juste de sortir un nouveau cd …

    A ta santé : Pulque , mezcal y téquila d’ HF Thiéfaine , pour la guitare et la trompette mexicaine !
    Hubert- Félix, encore un très grand à voir sur scène , avant que la vie se retire pour lui aussi ( Bashung, Higelin …
    Requiescant in pace !

    #38940
    anatole
    Participant


    rhooo…reste calme Zato…Maxime a encore bon pied bon oeil et tous ses doigts sur sa gratte et toute sa voix….
    et oui, nos années de lycée….comme les siennes…
    qu’est donc devenue sa soeur?

    Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

    #38951
    Zatopek33
    Bloqué


    La jolie Catherine a vite arrêté sa carrière pour partir vivre au Maroc, où j’ai commencé la mienne .
    Elle a encore interprété des poèmes d’ Arthur Rimbaud et d’ Aimé Césaire .

    #39075
    anatole
    Participant


    Aux trois quarts assoupi, (mais peut on dire qu’on est assoupi dans son cercueil ? Je vous répondrais plus tard, un de ces jours, si sfr fonctionne à ce moment….), mon esprit divague quelque peu, après avoir adressé un clin d’oeil de courtoisie à ma si chère Anabelle…Je me laisse envahir par une douce mélodie, une polonaise de Chopin. Oh, non pas une de ces plus célèbres, Héroïque, ou Militaire…non la Polonaise fantaisie, bien plus douce et joyeuse…et forcément, je repense à « ma » Polonaise…Elle, bien évidemment, n’est pas présente devant ma dépouille (poil aux….euh..si quelqu’un a une idée, je suis preneur….!). Cela fait si longtemps…Je l’avais presque oubliée. Je ne lui en veux pas de son absence, ni dans ce sinistre cimetière (vous connaissez des cimetières joyeux, à part ceux face à la mer, et encore, faut pas que ce soit jour de tempête en Bretagne…), ni dans les tréfonds immédiats de mes neurones…Il a fallu que je me laisse prendre au déroulé des mélodies chopiniennes pour que j’y repense. Charmante Elsa (ah oui, y a eu une Charmante Elvire aussi, mais ce sujet, cette sujette…est tellement vaste…je serais sûrement vraiment crevé avant d’avoir le temps de vous le narrer!).
    J’avais fait mes « premières armes » de vilain despote dominateur depuis peu de mois. Nous nous étions fort longuement entretenu au téléphone, grâce à ce bien sympathique réseau qui ne doit plus exister aujourd’hui. Cette jeune étudiante polonaise donc, vivait dans un petit appartement aussi lugubre qu’accueillant en bordure de periph est. Lugubre, car…lugubre quoi, accueillant, car il était occupé par cette jolie étudiante, blonde comme les blés (forcément puisque polonaise) aux yeux bleus (idem), mais facilement pleurnichards (re idem), tant qu’elle n’avait pas ingurgité quelques gorgées du breuvage préféré des pollacks…Au fil des phrases que nous échangions au téléphone, je savais, pas seulement aux secondes d’interruption de sa voix lorsqu’elle déglutissait, mais à la teneur de ses propos, qu’elle avait atteint un certain degré de libération de ses pensées. Alors…Le dialogue dérivait vite vers des niveaux que même quelques uns et unes de mes collègues de salle de garde auraient eus du mal à assumer ! Il fallut bien qu’à un moment, on finisse par se rencontrer (oui, je sais, comme n’importe quel cuisinier, je lie la sauce, et mes propos se délayent dans l’inutile…).
    Il était l’heure déjà bien avancée de déjeuner lorsque je toquais à sa porte, après avoir difficilement gravi à pied les 5 étages de son gourbi. J’avais attendu un petit quart d’heure devant le boui-boui du bas de sa rue où nous devions grignoter quelque merde infâme borduro-syldave ou gréco-turque avant qu’elle ne m’appelle pour me dire qu’elle n’avait pas faim. Finalement, ce n’était pas que con….Peut être pas la peine de perdre du temps en discute oiseuse. Je vous parle d’un temps que les moins de XXXX ans ne peuvent pas connaître. A l’époque, nous n’échangions pas au premier contact 50 selfies…Je découvris une jolie et si frêle jeune femme, les yeux déjà pas mal embrumés par l’alcool, vêtue d’ une fine robe légère que son corps si menu avait du mal à remplir. Pieds nus, elle s’esquiva d’un pas pour me laisser pénétrer, puis alla s’affaler directement sur son vieux canapé, me laissant le soin de claquer la porte derrière moi. J’avançai doucement vers elle et déposai un petit baiser sur ses cheveux d’ange, avant de choper la bouteille de vodka qui trônait sur la palette en bois brut qui lui servait de table basse. Mon gosier commença à tenter de se mettre au diapason du sien. La brûlure de la vodka made in Polakie m’échauffa rapidement, et je me mis à genoux devant elle ( à l’époque, je rappelle, j’étais encore jeune et ce genre d’excentricité m’était encore permise!). Je caressai doucement ses cuisses, remontant par totale inadvertance le léger tissu de sa robe. Elle avait les yeux un peu plus loin que dans le vague, mais lorsque mes mains furent sur la peau dénudée du haut de ses cuisses, elle daigna enfin m’adresser la parole !
    « -Bonjour…désolé mais j’avais pas faim…. ».
    Vous allez être déçu, je le sens. Dans les longs moments qui suivirent, je vins m’asseoir à ses côtés, dû écouter, mais avec grand plaisir tout de même, ses jérémiades sur sa vie d’étudiante difficile, pour quelqu’un qui parlait pourtant si bien le français (aujourd’hui, je ne parle toujours pas un mot de polonais moi!), la littérature polonaise qu’elle tentait de vanter dans je ne sais plus quelle faculté afin de se faire un peu de pognon pour payer sa vodka, et que finalement, elle avait un peu faim, et que si je pouvais aller faire des œufs au plat sur le petit réchaud, ce serait sympa….
    Une heure plus tard, les œufs engloutis et la discussion s’enlisant quelque peu,jJ’allais la quitter, car l’heure avançait, et j’avais du boulot. A ma grande surprise, elle réussit à se mettre debout, et alors que j’étais devant sa porte, elle vint se coller à moi, violant littéralement ma bouche de ses lèvres brûlantes et de sa langue chercheuse. Malgré les 40 centimètres de hauteur qui nous séparaient, mes mains se posèrent naturellement sur ses fesses au travers de sa robe et plaquèrent son corps contre le mien.
    Son délicieux accent polonais me susurra des mots si doux….
    « -Désolée, je sais que tu voulais autre chose…reviens demain…. ».
    Je revins le lendemain…Après avoir patienté quelques instants après mon toc toc, j’ouvris sa porte qui n’était pas fermée à clé. Elle m’attendait totalement nue à genoux devant son canapé. Je n’avais pas imaginé que, et j’avais un peu l’air d’un con, ma bouteille de magnifique vodka et mes sandwiches à la main. Je déposai ce fardeau sur la palette de bois et caressai ses fesses doucement. Elle était si menue, si frêle, mais si jolie. A peine le temps de déplorer, ce que j’avais déjà pressenti, le faible volume de ses seins….Sa voix si mélodieuse…
    « -J’ai trop rêvé de toi cette nuit…vas y punis moi…. ! ».
    Elle était tellement attendrissante dans cette déclaration…
    J’avoue, je ne me souviens plus très bien…quand j’ai ôté mon pantalon et mon caleçon…avant, pendant, après ? Je me souviens plus vraiment, mais par contre encore très bien, si longtemps après, de ses mains griffant le haut du canapé. Sur sa peau si blanche, mes mains avaient et avaient encore et toujours laissé des traces si rouges…. mon sexe était en furie au plus profond d’elle….et je la fouettai à coups de ceinture tout en la chevauchant tel le cosaque de ses délires. Elle m’encourageait, enfin semble t il, avec des mots que je ne comprenais pas…probablement du polonais !!!
    Quelques minutes plus tard, je me revois encore, affalé au pied de son canapé, épuisé et heureux, la bite tellement souillée de nos liqueurs pendante entre mes cuisses, et sa main la caressant doucement, elle allongée sur le canapé quelques centimètres plus haut, me disant..
    « -Je sais que tu es musicien…Tu connais Szymanovski ? Attends je vais te faire écouter… ».
    Non mais oui, enfin oui, bien sûr que je le connaissais …mais bon, pas le moment, pas l’heure que sa main s’enlève de mon sexe…Déjà remise des si intenses émotions précédentes, alors que moi, pas encore vraiment, je la vis sauter par dessus le canapé et se diriger vers son électrophone (ben oui, à l’époque ça s’appelait comme ça) farfouiller dans ses 33 tours et mes faire écouter çà…Mon regard suivi ce si joli corps si nu et si meurtri par mes mains et ma ceinture…je fermai les yeux et senti son corps bouillant venir se coller à moi, sa main reprenant position sur mon sexe…
    « -C’est beau non…. ? Tu m’as venir de façon aussi intense tout à l’heure…. ! »

    Je ne goûtai guère les dernières mesures de cette si jolie pièce…sa bouche venait de remplacer ses doigts et mon corps et mon esprit dérivèrent ailleurs, vers d’autres plaisirs que ceux de la musique pure….
    Nous nous revîmes quelques fois….Une dizaine peut être…Elle essaya bien des fois de me convaincre de la somptuosité de la poésie polonaise, de déguster de telle ou telle manière la vodka, d’aller visiter Cracovie (ça j’aurais tellement aimé…avec elle ou pas, mais je ne l’ai encore jamais fait), elle me parlait sans arrêt (sauf lorsqu’elle avait la bouche pleine forcément!) de sa vie rude d’étudiante, qu’elle allait un jour retourner chez elle, que le caviar polonais était le plus subtil sur une vodka glacée (je lui en ai offert parfois du caviar, mais jamais le bon ….)
    Ses fesses si menues furent tellement battues par mes grandes mains de mauvais pianiste (je tente encore et toujours de jouer cette étude, de mois en mois…), mais nos câlins ultérieurs furent toujours grandioses. En fait, je ne sus jamais pourquoi, mais elle adorait être fessée, battue, se montrant toujours un peu plus offerte que la fois précédente, jamais sans aucun commentaire (à l’époque, je n’osais pas demander, me satisfaisant juste des actes que l’on autorisait à produire…cela dit, aujourd’hui tellement d’années plus tard, lorsque j’ai posé ces questions, je n’ai toujours pas eu de réponse cohérente!). Je finissais par m’habituer à nos petits rendez vous, à ces punitions que je lui infligeais sans qu’elle les demande, avant, voire pendant que nous ne soyons plus que deux corps liés par nos sexe. Je rêvai déjà d’aller un jour ou l’autre plus loin…de l’attacher avant qu’elle ne soit totalement nue devant moi, de déchirer les petits tissus dont elle revêtait parfois son corps avant mon arrivée, mais le plus souvent elle m’attendait nue, de l’emmener peut être enfin un soir dîner dans un restaurant…russe…juste pour la faire bisquer et la faire enfin sortir de ses gonds et de savoir ce qu’elle avait dans la tête…
    Et puis…une fois, deux fois, dix fois…son téléphone ne répondit plus….
    Qu’es tu devenue, ma si frêle et jolie Elsa ? Je n’ai jamais pensé à l’époque à te demander ton nom !!! peut être aurais je pu alors aujourd’hui savoir…
    Lorsque je rejoue parfois ce morceau de Szymanovski, je ne pense jamais à toi…sauf maintenant…que je suis presque mort et que je comprends pourquoi j’ai tant de mal….
    Ainsi donc, elle me revient en tête, d’aussi loin. En farfouillant dans mon cerveau, vais je retrouver encore d’aussi superbes rencontres enfouies ?

    Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

    #39168
    anatole
    Participant


    Le froid commence à me gagner….La fin serait elle si proche ? Vais je m’évanouir définitivement ? Peut être le dernier récit que je vais vous faire.
    Il me reste pourtant encore tant d’histoires dans les neurones.
    Pourtant n’allez pas croire que ce fut facile tous les jours et que je n’eus qu’à claquer dans les doigts pour assouvir mes fantasmes, ou dans l’autre sens offrir mes services à toutes ces si gentilles filles qui me firent don de leur corps pour quelques heures ou quelques mois !
    Me reviennent en tête les paroles de cette belle chanson.
    « Nous tamiserons les lumières, même quand la mort viendra sonner et nous dirons notre prière sur un chapelet de grains de beauté en attendant le jugement … ».
    Oui, bien sûr, très bientôt mais juste avant, dans la chanson :
    « Ce qu’il faut dire de fadaises pour voir enfin du fond de son lit un soutien gorge sur une chaise, une paire de bas sur un tapis …Le seul problème qu’on se pose c’est de séparer en deux portions cinquante-cinq kilos de chair rose de cinquante-cinq grammes de nylon… »

    Attention, je ne me suis jamais considéré comme un Don Juan….et ce furent parfois de longs mois voire années de disette !
    Combien d’heures passées en discussions inutiles, en bavardages innocents, combien de dialogues étalés sur des semaines sans aucun résultat, sans aucun contact, combien de rendez-vous « lapinesques », combien d’usurpateurs d’identité, ces mecs qui vous font croire avec parfois très grand talent que leur vrai sexe n’est pas celui qu’on croit, et qu’il n’attend que vous….
    Dans mes grands échecs, je me souviens d’une infirmière….travaillant pour une ONG à Ramallah….Oh celle là, elle m’a abusé pendant des mois. Des heures de discussions, de palabres comme on dit là bas, sur sa vie, son œuvre, sa solitude, la dureté et le stress permanent en ces lieux de guerre…. Je fus bientôt à son écoute au téléphone un soir sur trois pendant de longs moments. Elle aimait être soumise et punie que ce soit par un homme ou une femme et dans ce qu’elle vivait, elle n’avait qu’ une collègue qu’elle croisait parfois et avec qui elle s’éclatait pour oublier les bombes et la mort omni présente, et depuis peu moi…. La communication téléphonique n’était pas parfaite, mais sa voix un peu grave me plaisait, lorsqu’elle n’était pas couverte par les hurlements des sirènes…Je lui ordonnai de faire ceci ou cela, vous imaginez bien, et de se caresser ensuite, ou pendant…parfois d’aller se promener nue dans la nuit noire sur sa terrasse…elle me détaillai tout avec tant de précision. J’avais fini par obtenir qu’elle m’adresse des photos d’elle…je ne fus pas déçu….Une superbe jeune femme…Les poses qu’elle m’envoyait été plus que suggestive, et même dans ce que je lui demandai…Je commençai à adorer nos échanges, et elle me dit un soir que dans les deux mois à venir, elle allait rentrer sur Paris pour une petite pause…J’avais échafaudé des heures et des heures de jeux à venir. Jusqu’au jour où….Me promenant sur le net, je trouvai une photo d’une fille superbe, mais que je ne connaissais que trop bien… !!! Un modèle tchèque ….Je lui adressai immédiatement cette image en lui demandant des explications….En gros, « il-elle » me répondit…connard…je t’ai bien eu avec ma voix un peu efféminée…merci tu m’as bien fait jouir….bon…Ce fut la dernière fois que je n’exigeai pas une vidéo ou un vrai rendez vous !
    Et puis aussi combien de maris qui vous sonne dans le téléphone que vous avez malencontreusement laissé à celle dont vous convoitiez les fesses, et qui vous avait promis juré qu’elle était célibataire ou totalement « secure », et qui vous promettent dans les deux jours de venir vous casser la gueule ! (ceux là, je les attends au cimetière, vu qu’ils n’ont-heureusement- jamais eu les couilles de passer aux actes! Mais je n’ai jamais eu de retour de l’éventuelle rouste dont leur conjoint les a gratifié…aucun féminicide je l’espère, mais j’aurais été mis au courant par les keufs….cela dit, ça leur a appris à ne pas raconter de bobards, et peut être ouvert les yeux des dits conjoints sur leur désirs profonds et inassouvis !)
    Mais de façon plus légère, combien de rendez vous réussis, mais qui ne donnèrent jamais suite. Combien de kilomètres parcourus pour venir boire un soir un verre à la terrasse d’un café, avec tout le matériel nécessaire dans le coffre de la voiture, et qu’on a gentiment rangé deux heures plus tard dans le placard secret, embarrassé par la bite sous le bras !
    Combien de désillusions lors d’une première rencontre réelle, parce que ce n’était pas vraiment ce qu’on avait eu plaisir à lire auparavant….mais dans ce cas , je plaide aussi coupable….Certaines ont fui sans même finir leur verre ! Fallait le dire tout de suite que tu avais peur des barbus !!!!
    Mais, aussi, certains de ces échecs furent constructifs, par une simple discussion, un accord de… «  On n’ira pas plus loin, mais on peut continuer à discuter, j’aime bien ce que tu écris, ou à échanger des photos, oui, même de moi, du moment que tu ne les balances pas sur le net…. »
    Ces moments là permettent d’une part d’espérer des jours meilleurs, et d’approfondir sa connaissance de la gente féminine….requête incessante de ma part. Et puis voilà, le temps et les années passent…Heureusement, le résultat est probant…A force d’à force, et non, au contraire de la chanson citée précédemment, je n’ai jamais raconté de fadaises pour obtenir ce que je désirais, j’ai rencontré et joué avec tellement de femmes sympas et “honnêtes”….
    Le fin est là, qui me guette…Je vais trier dans ce qu’il me reste de neurones valides et vous trouver un dernier récit…

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    #39169
    anatole
    Participant


    Alors une dernière pour la route ? Mais laquelle choisir ? La blonde ? La brune ? La rousse ? L’eurasienne que je n’ai jamais eu le bonheur de croiser (mon plus profond regret à ce jour…!) ? La plus jeune ? La plus âgée ? Celle avec laquelle je vécus les moments les plus intenses ? Celle avec laquelle j’ai eu le plus honte mais aussi mon plus grand fou-rire ? Allez celle là oui…. !!!
    Pour une fois que je pouvais fesser, ligoter, fouetter, violenter et plus puisqu’ affinité…allez, fister (j’ai jamais été fan de ça, mais elle me le demanda de façon si implorante!) une enseignante !!!
    Elle était plutôt grassouillette, avec (moi qui déteste ça, mais parfois il faut savoir passer outre) un immense papillon tatoué sur le bas des reins, qui surmontait un cul un peu trop glorieux pour mon goût, mais tellement demandeur ! Mais surtout, on pouvait causer, avant, et après….rarement pendant. Comme une bonne partie des enseignants et enseignantes que j’ai fréquentés, elle en avait dans le citron ! J’aimais lui dire ça parfois, lorsque je me servais de quelque instrument un peu ovale et longiligne à mettre en place dans….Bref…Nos rencontres étaient toujours ludiques et joyeuses, ornementées de quelques cris et jérémiades lorsque je poussai…le bouchon un peu plus loin que ce qu’elle désirait..que ce qu’elle désirait avouer….mais acceptait avec tant d’engouement, de vivre ! Un soir, agenouillée devant moi, reprenant peu à peu ses esprits tout en sirotant au goulot le super scotch que j’avais en magasin ce soir là, après une sévère sanction que je venais de lui infliger, (sans aucune raison, mais juste parce que j’en avais envie, ben oui, c’est souvent comme ça que ça marchait avec moi!), elle me dit : « Toi, tu n’es pas un dominateur, tu es juste sadique, ce n’est pas ce que je recherchais ».
    Il est évident que de tels propos, quelle qu’en soit la vérité absolue, à notre xième rencontre, méritaient bien une trempe supplémentaire, quelle accepta sans rechigner après avoir, sur mon ordre déposé la bouteille du divin breuvage au sol….Mais ce n’est pas ce moment, pourtant si ludique dont je me souviens le plus la concernant…Ma plus grande honte et mon plus grand fou-rire….
    Lors d’une soire intime ultérieure, une nouvelle fois, elle était affalée par terre après avoir été corrigée comme il se doit. Je le répète….pour une fois que je pouvais faire montre de tout ce que j’avais comme rancoeur envers un membre du personnel enseignant !
    Après avoir joui en se caressant sous mon ordre face à moi, les cuisses totalement ouvertes et gracieusement offertes à ma vue, et pris le petit moment de repos que j’acceptai de lui donner, enfin, elle tendit ses poignets autour desquels j’avais gentiment déposé bien plus tôt une paire de menottes métalliques.
    « -Tu me détaches ?
    -Oui….bien sûr…. ».
    Petit moment d’affolement….Bordel de merde , où sont les clés ?
    Après dix bonnes minutes de farfouillage dans tous les recoins de l’endroit où nous avions batifolé, y compris dans le grand sac à malices dont j’avais sorti cette funeste paire de menottes, je dus bien lui avouer que je ne les avais pas !!!
    La suite de la soirée s’annonçait mal ! D’une part, je la voyais mal rentrer chez elle ainsi menottée…et déjà comment se rhabiller, avec les poignets entravés, vu qu’elle était totalement nue, et d’autre part qu’aurait dit son mari ? Ou alors, appeler SOS dépannage en urgence pour qu’un gentil technicien vienne à 2 heures du matin couper des menottes avec une grande pince ? J’étais comme on dit dans mes petits souliers, et couvert de honte ! Mais heureusement, mon excellente (j’adore les enseignantes!) copine de jeu était aussi, à ses heures un peu bricoleuse…Je la regardai un peu hébété farfouiller nue dans le bric à brac contenant quelques objets divers et variés du cabinet médical dans lequel je bossais à l’époque et en sortir une queue de rat ! Pour ceux qui ne savent pas, une queue de rat, ce n’est pas qu’une petite bite, mais « aussi » un truc de bricolage….Armée de cet instrument, toujours aussi nue, je crus bon (c’était la moindre des choses!) de lui offrir mon plus confortable fauteuil pour qu’elle y dépose ses miches tellement fouettées auparavant et l’alimentai en breuvage et nourriture pendant le quart d’heure qu’elle mit à se débarrasser de ces si jolies menottes…Oh, elles finirent à la poubelle, car inutilisables après le méchant traitement qu’elle leur fit subir…..mais le soulagement à la fin de ce drôle de rituel….un immense fou-rire….Je lui promis qu’elle aurait le droit de me faire subir tous les outrages qu’elle désirait lors de notre prochaine rencontre….Comme elle était droite dans ses bottes, et non ambidextre, notre rencontre suivante fut sur le même mode que les précédentes…elle reçut la raclée qu’elle désirait…Il n’était pas question pour elle qu’elle ose lever la main sur un dominateur, même si ce n’était qu’un vulgaire sadique…Juste, nous évoquâmes de nouveau cet épisode si étonnant…C’était vraiment un gentille copine….
    Allez il me reste encore quelques heures….peut être un tout dernier souvenir avant que je ne puisse plus…

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    #39191
    anatole
    Participant



    Cette fois la fin est proche, je le sens.
    Petit à petit, une à une, elles s’approchent de moi et me font un dernier coucou d’adieu.
    Dans la position où je me trouve, allongé sur le dos quelques centimètres en dessous de toutes ces femmes qui viennent me revoir une dernière fois, et que j’ai eu l’insigne honneur de punir et pour certaines d’aimer, j’ai une vue plongeante à l’envers sur les jambes et les cuisses de celles qui ont eu la délicatesse de se vêtir d’une jupe courte ! Pour mes derniers instants, je me paye enfin quelques jetons gratuits, et pour chacune je n’ai pas de mal à me souvenir de ce qu’il y a un peu au dessus…Le cul de chacune est resté gravé dans ma mémoire, et à chaque passage de ces femmes, je revis pendant quelques secondes la voltige de mes mains ou des lanières de tel martinet ou fouet qui les ont marquées, elles et leurs fesses ! Je devine même pour certaines la petite culotte qu’elles portent, et remercie, hélas silencieusement, les rares qui ont vraiment pensé à moi pour cette funeste occasion….je veux dire, celles qui n’ont pas perdu de temps à farfouiller dans le second tiroir de leur commode pour y chercher une culotte….Celles là me connaissaient donc vraiment…et ça réévalue aux derniers instants quelques uns de mes jugements ! En particulier cette garce d’Audrey….venir en jean à mon enterrement !! Quand je pense….à ce si délicat moment, où je venais de la sanctionner, qu’elle dégustait un champagne bien frappé (à peu près autant que ses fesses à ce moment d’ailleurs!) que je la croyais rassasiée, et qu’elle sortit de son grand sac un si long fouet de cuir avec un (si peu!) énigmatique sourire !!! La raclée qui s’en suivit la laissa sur le carreau…au sens propre….puisque je ne m’arrêtai de la fouetter avec ce joli instrument que lorsqu’elle m’en supplia ! S’ensuivit une petite querelle « d’amoureux » qui fit que ce fut la dernière trempe que je lui administrai…J’avais dit que je ne parlerai pas d’elle de crainte qu’elle ne vienne me trucider, mais au point où j’en suis !
    Voilà, le cérémonial se termine, et nous restons seuls, elle et moi dans ce cimetière.
    Elle…Comme disait Montand…Je pose tout, je retiens une…

    Elle est donc là….Cette femme sublime. Comme nous ne sommes plus qu’elle et moi, sans vergogne , elle se déshabille lentement quelques centimètres au dessus de mes yeux enfin heureux….

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    #39204
    anatole
    Participant


    Lentement, elle défit les boutons de son imper et le jeta nonchalamment à ses pieds. Je n’avais pas encore osé les regarder, ses pieds. Malgré la fraîcheur du climat, elle avait pensé à les revêtir de petites mules laissant ses si jolis orteils ornés de rouge bien visibles sous ce que je savais déjà être des bas très fins. J’ai tellement adoré ses pieds. Un jour, je me souviens, je les ai léchés, longuement, faisant doucement glisser ma langue dans chaque petit recoin entre chacun de ses orteils, levant régulièrement mon regard vers le reste de son corps nu, guettant la moindre réaction de ses sourcils, la moindre cambrure un peu accentuée de ses reins que j’avais meurtris quelques moments plus tôt. Depuis, c’est un détail, mais je vous convie à y réfléchir, à chaque fois que j’ai écossé des petits pois, j’ai repensé à ses orteils…vérifiez…vous verrez bien..l’alignement des petits pois, ça ne vous fait pas penser à de jolis petons ?
    Mon regard remonta lentement vers ses mains qui dégrafaient si élégamment les boutonnières de son chemisier blanc, qu’elle fit glisser sur son dos d’un léger mouvement d’épaule. Ses seins qu’elle avait pris soin de planquer sous un des soutien-gorge que je lui avais offert (merci Agent Provocateur, les rois de la lingerie classe et sexy.. .allez donc jeter un, voire deux yeux sur leur site!) m’apparurent dans leur éclatante hardiesse, tout comme le premier soir où elle fut attachée debout devant moi et que je crus bon (tellement bon!) d’ôter l’agrafe du soutien-gorge qu’elle portait en cette occasion. Les fines nervures noires de la dentelle sur le tissu transparent révélaient le galbe parfait et prometteur de ces deux joyaux.
    Le chemisier blanc alla s’affaler sur l’imper au sol. Elle hésita un instant. Forcément, elle me connaissait si bien ! Oh non ce n’était pas un strip à la Pretty Woman. Juste un déshabillage le plus sexy possible pour nos souvenirs. Elle plia un peu les genoux, et remonta lentement sa jupe noire jusqu’à ce que je puisse confirmer le port des bas de soie, maintenus par le porte-jarretelle assorti au soutien-gorge. J’allais bientôt revoir une dernière fois la culotte du même ensemble ! Ces ornements féminins m’avaient coûté une petite fortune, mais elle le valait bien, tellement elle les portait si joliment. Elle se redressa et en une seconde, elle avait défait le bouton de la ceinture de sa jupe et la fit glisser doucement le long de ses belles jambes, l’envoyant valser sur le sol. La coquine ! Elle prit une attitude que j’aimais tant chez elle, s’étirant voluptueusement telle la petite chatte qu’elle était, portant ses bras bien haut en croisant les poignets….tout comme je l’avais ligotée bien des fois….Je n’aurais pas été en train de crever, je suis sûr que j’aurais bandé rien qu’en la regardant faire. J’essayais en vain de contracter les muscles de mon bas ventre, mais aucun effet ne se produisit. Je n’avais plus qu’à observer la fin du spectacle. Je dois dire que parmi tous mes souvenirs, je ne l’avais vu que très rarement sous cet angle là, affalé par terre quelques centimètres en dessous de ses jambes qu’elle venait d’écarter posant ses chaussures de part et d’autre du trou dans lequel je…reposai…Voilà un bien grand mot ! Si mon corps ne répondait plus à aucune sollicitation, mon esprit restait encore assez clair pour apprécier le point de vue, que je vous laisse imaginer. J’avais une vue plongeante et inversée sur les lèvres de son sexe à peine voilé par le fin tissu de sa culotte…notre culotte ! Elle me savait friand de ce genre de geste, et sans aucune honte (mais pourquoi en aurait elle eu honte en cet instant?) elle glissa une main sous ce qui masquait si peu son point le plus sensible et commença à se caresser, comme je l’avais si souvent vu faire sous mes ordres, tout en murmurant :
    « -Tu m’as donné tellement de plaisir, et tu aimais tellement me regarder quand je prenais mon pied toute seule devant toi…. ».
    Elle avait déjà le souffle un peu court et jouit très vite, comme d’habitude… dans le passé. Ce que j’adorais tout particulièrement chez elle, outre son corps magnifique que mes mains pétrirent tant de fois, que mon sexe pénétra aussi souvent, par tous les endroits qu’elle accepta (ou pas!) de lui livrer, c’était cette capacité à jouir aussi vite et de pouvoir recommencer quelques secondes plus tard, en tirant toujours le même plaisir aussi intense.
    Elle reprit quelques secondes plus tard, s’étant reculé de quelques pas pour récupérer une position un peu plus stable.
    « -Je sais ce dont tu as envie…une dernière fois….cette fois, c’est moi qui vais le faire… ».
    Sa voix était si douce, si mélodieuse, si sexy.
    En quelques secondes, elle se défit du si beau soutien gorge Agent Provocateur et de la petit culotte assortie qu’elle fit doucement tomber à mes côtés.
    « -Tiens je te les donne…mais ne m’en veux pas si je garde le porte-jarretelles. Ne bouge pas je reviens tout de suite ! ».
    Comme si je pouvais bouger ! Sa lingerie atterrit près de mon visage et je pus humer une toute dernière fois la finesse de son parfum mêlé aux effluves de son corps. Je la vis s’éloigner de quelques mètres, avec cette démarche élégante qu’elle avait toujours eue, se promenant presque nue devant moi. Je ne manquai jamais de lui faire remarquer à quel point elle était bien foutue ! Elle s’approcha d’un arbre à quelques mètres de ma tombe et tâta quelques branches avant d’en détacher une assez longue, après en avoir apprécié la souplesse du bout des doigts. Revenant vers moi, elle arrachait tranquillement toutes les feuilles et les petits rameaux. J’adorai le balancement doux et souple de ses seins, au rythme de ses pas lorsqu’elle se promenait ainsi, nue, venant à ma rencontre. Il était bien rare que mes mains ne se saisissent pas très vite de ces objets de ma convoitise…quitte à triturer ses mamelons, ce qu’elle détestait particulièrement, ceux-ci étant si sensibles. Mais je ne nie pas à quel point j’avais pris tant de plaisir à l’agacer, voire bien plus et si souvent.
    « -Pour la dernière fois, on va jouer en plein air…C’était si bon…Je ne suis pas sûre que je le ferais aussi bien que toi, mais je sais que tu aimais tellement ça….Je vais faire de mon mieux…Je te dois bien ça ! ».
    Elle se retourna, posa ses genoux au sol, restant le buste bien droit. Je n’avais pas le choix de la position, et j’eus le regret de ne pouvoir me repaître de la vision de ses seins valsant sous les coups qu’elle allait se donner, mais la vue de son cul orné de part et d’autre par les petits lacets de dentelle du porte-jarretelle qui soutenaient ses bas si fins était suffisamment magique et excitante. Elle prit une longue inspiration et son bras armé de la longue branche se tendit en arrière pour venir cingler ses fesses nues en travers. J’avoue qu’elle fut un peu maladroite, et que j’aurais probablement obtenu un meilleur résultat en moins de temps, mais il m’était impossible de le lui faire remarquer, et c’eût été de plus fort peu aimable de ma part, devant les efforts qu’elle fit ! Elle frappa son cul encore et encore, jusqu’à trouver le bon angle pour zébrer ses fesses, changeant de bras de temps en temps, et s’arracha elle toute seule quelques gémissements qui se poursuivirent par quelques cris. Un instant j’imaginai, comme cela nous était déjà arrivé une fois, que quelque passant imprévu survienne…Je me demande ce qu’aurait été sa réaction devant ce spectacle inouï, d’une superbe femme quasi nue se flagellant à genoux devant une tombe encore ouverte !
    Jamais elle ne m’avait demandé d’arrêter lorsque je la punissais, sachant que je connaissais tellement les limites que je m’autorisai à franchir à chaque fois. C’est elle qui stoppa ce jeu si pervers, lorsque se fouettant le plus vertement et sévèrement qu’elle le pouvait dans cette position difficile, elle enfouit sa main libre entre ses cuisses et se plia en deux, posant son visage sur le gravier, jouissant bruyamment, hurlant presque mon prénom….
    Elle resta un long moment ainsi prosternée dans cette position si indécente, son cul si rouge et traversé de tant de zébrures, les cuisses assez ouvertes pour que je puisse apercevoir ses doigts profondément enfoncés dans son sexe.
    Il était temps pour moi, mais je n’avais pas vraiment le choix, de fermer définitivement les yeux…
    Une dernière sensation…le si doux parfum de son sexe qui avait imprégné la petite culotte posée près de mon visage….

    PS : Cette femme sublime pour laquelle je viens d’écrire ces dernières lignes n’existe pas, bien sûr…vous en doutiez ? C’est celle dont j’ai rêvé depuis ma plus jeune adolescence, sculptant pendant des années et des années son corps au gré de mes désirs et envies, la pliant à mes désirs et fantasmes les plus torrides, celle que j’inventai un jour dans mon cerveau si pervers et qui me permit de jouir tout seul bien des fois lorsque les rencontres se faisaient rares, celle qui m’a permis de rêver à des choses terribles, et de ne jamais les faire subir réellement…Non elle n’existe pas…Quoique….ne serait-ce pas un tout petit peu celle auprès de laquelle j’ai passé les cinq années les plus fabuleuses de ma vie ?

    Par ailleurs, je présente mes excuses à toutes celles dont je n’ai pas parlé ici…Non que nos relations furent insignifiantes ou sans intérêt. Jamais une femme qui m’offrit ne serait ce que quelques instants son corps ne me laissa indifférent, que je la punisse ou pas. Mais il m’aurait fallu plus que les quelques semaines restantes pour…..
    Ma vie fut…Appassionata…Je vous souhaite à tous et toutes les mêmes douleurs, les mêmes échecs, mais aussi les mêmes bonheurs….

    Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

    #39211
    Christal
    Maitre des clés &
    La femme de l'ombre


    Avez-vous prévu d’imprimer votre test amant et de demander à ce qu’il soit posé sur le dessus de votre cercueil ? Lorsque les femmes s’approcheront avec des larmes aux bords des yeux, c’est avec le sourire d’avoir fait partie un peu de votre vie qu’elles en repartiront, même si elles ont envie pour certaines de vous coller une gifle.
    Et puis au fil du temps, les feuillets vont s’envoler et atterriront dans les mains d’une jeune femme ou d’un jeune homme qui se dira qu’elle (qu’il) veut vivre ce genre de bonheur et d’émotions…

    Rien n'est jamais acquis. Tout est fragile.

    #39224
    anatole
    Participant


    Merci pour ce joli commentaire…Et non pas d’impression…vous êtes et serez les seuls à le lire ici…Mais je ne demande pas de droit d’auteur…Libre à toi de l’enregistrer et de le publier sous un faux nom en ayant le soin de modifier quelques prénoms! Puis de venir éparpiller les feuillets….

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