F E S S E E, six lettres qui font fantasmer. J’ai passé le temps des libertinages, à presque 60 ans j’aime quand il le faut mettre des claques sur les coussins d’amour de jeunes péronnelles. Mon but n’est pas de les faire souffrir mais de jouer avec les émotions, de les entendre pousser de petits gémissements. La fessée est cérébrale avant tout. Elle doit être acceptée, voir voulue. Bien qu’il existe des sentiments de honte, de gène , de pudeur elle est aussi un moyen de se mesurer
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