Mélange de douceur et de soumission

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  • Ce sujet contient 2 réponses, 3 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Badine79, le il y a 3 années.
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    Voici la 4ème  partie  de l’histoire, où l’on découvre l’avancée de la régression et  aussi comment la douceur peut aussi y mener. Je remercie encore Monsieur pour m’autoriser de la publier. Bonne lecture à tous.

    ________

    Je me suis réveillée le lendemain au son d’une sonnerie que je ne connaissais. J’étendis mon bras droit pour appuyer sur le réveil se trouvant sur la table de nuit près de mon lit. Mais ma main toucha des barreaux plutôt que le fouillis habituel. J’étendis les bras et sentis un panneau en bois derrière moi en lieu et place de ma tête de lit normalement recouverte d’un tissu de velours. J’allais ouvrir mes yeux quand je perçu brutalement de la lumière derrière mes paupières closes.

    Je finis par ouvrir mes yeux et fût surprise de voir un décor inhabituel : j’étais couchée à plat sur le dos dans un lit à barreaux, à moitié nue, recouverte d’une couette bien bordée. Tournant la tête, je vis un gigantesque lit rond sur lequel Madame était assise, portant la même nuisette que la veille. J’essayais de me mettre assise quand je l’entendis me dire :

    – Ma gamine a bien dormi et est réveillée à ce que je vois.

    – Bonjour Madame dis-je automatiquement, mais interloquée de me trouver là.

    Les évènements de la veille revinrent à ma mémoire, pendant que Madame venait près du lit, descendre la barrière : j’avais vécu ma deuxième punition et avait fini la soirée cajolée par Madame. Après m’être assoupie dans les bras de Madame, je me rappelais qu’elle m’avait délicatement réveillée et menée jusqu’à une pièce où elle me coucha sur un matelas sur le ventre, m’appliqua de la crème apaisante sur mes fesses brulantes et me les enveloppa. Je dû m’endormir rapidement car rien de plus ne vint à ma mémoire.

    Madame me découvrit et je réalisai que je portais une couche sur mes fesses, hier très exposées et rougies. Elle me demanda de me lever et d’aller me doucher dans la salle de bain attenante à sa chambre. J’y alla, ôta ma couche, honteuse et pris une douche brulante. Je revins enveloppée d’une serviette dans la chambre. Madame me l’enleva me couvrit du chemisier blanc, négligemment noué sur le bas et me tendis ma culotte blanche :

    – Maintenant va dans la cuisine préparer le petit déjeuner pour moi et toi : café, pain grillé, beurre et confiture. Ajoutes-y aussi la corbeille de fruit. Pendant ce temps je vais me préparer.

    Je quittais la chambre et alla dans la cuisine, que je connaissais déjà, y étant allé la première fois. Je trouvais sans peine tous les ingrédients demandés et attendus par Madame. Alors que le café coulait, je déposais sur l’îlot central deux bols, deux assiettes, le beurre et la confiture. Je mis le pain à griller.

    Madame arriva alors, toujours majestueuse dans un pantalon moulant noir, un pull lâche rouge et des chaussures à talon. Elle se jucha sur un haut tabouret installé devant, et m’invita à m’assoir à côté d’elle après que j’eu servi le café.

    – Ce service est parfait. J’apprécie tu sais.

    – Merci Madame.

    Elle commença à déjeuner dans le silence. Je bu quelques gouttes de mon café et commença à manger une tartine de beurre. Un silence serein s’installa entre nous. Sa main se posa sur ma cuisse et la caressa faisant monter en moi un frisson de plaisirs.

    – Je vois avec plaisirs que tu sais me satisfaire dans tes actes. C’est très bien Léa, me dit-elle sa main remontant vers ma poitrine offerte à sa vue, mon chemisier étant largement ouvert.

    Je suis surprise de l’entendre me nommer de mon prénom Léa. Je suis tellement habituée à ce qu’elle me nomme gamine, fillette, vilaine. Ce changement de nom dans sa bouche est-il la prémisse à un tournant dans ma relation avec elle ?

    – Merci de débarrasser la table et laver la vaisselle, me dit-elle avant de quitter la pièce.

    – Oui Madame

    Je débarrasse la table, dépose la vaisselle sale dans l’évier, range tous les ingrédients et nettoie la surface de l’îlot. Je me mets à la vaisselle, penchée sur l’évier laissant l’eau chaude couler et transformer le liquide vaisselle en une mousse légère. Je suis si concentrée sur ma tâche, que je n’entends pas Madame revenir et se poser derrière moi. Ses mains se posent sur mes deux seins et les malaxent délicatement. Je gémis malgré moi, le plaisir ressenti me surprenant totalement.

    – Si tu continues à te conduire ainsi Léa, les jours précédents l’arrivée de Monsieur seront assurément doux et voluptueux pour toi.

    Ses paroles me remémorent l’échange téléphonique de Madame avec son interlocuteur et l’échéance de vendredi, jour de son arrivée en gare. Cela me rappelle aussi que je suis un jouet entre les mains de Madame et que je le serais très certainement entre les mains de Monsieur. Une sourde appréhension monte en moi.

    – Monsieur saura te faire comprendre, quelle est ta place, me dit Madame se rendant compte de mon état d’esprit. Il se montrera juste envers toi, Léa, et se fiera aux éléments que je lui transmettrais.

    Me voici donc prévenue !!! Elle continue à parcourir mon corps avec ses mains alors que je dépose la dernière tasse sur la paillasse de l’évier. Elle me tourne alors vers elle plongeant ses yeux bleus dans les miens. Elle saisit mon visage et l’attire vers le sien, dépose un chaste baiser sur mes lèvres et force, sans trop de difficultés, dois-je dire, ma bouche. Sa langue s’y immisce et vient trouver la mienne. Elles se lient ensemble, unissant chacune de leurs cellules tactiles sensitives. Un plaisir infini empli mon corps, me trouble au plus profond de moi, découvrant dans la tendresse de Madame un bonheur indicible. Délicatement, elle se retire de ma bouche, parcours mon visage de légers bisous.

    – Tu es vraiment une petite coquine, Léa, mais il va falloir être raisonnable et aller te préparer afin que je te mène à ta boutique où tu dois faire ta compta avant l’ouverture. Va vite dans la chambre. Tu trouveras de quoi t’habiller sur le lit et rejoins moi ici pour un dernier café.

    Je me dépêche de me rendre dans la chambre et trouve, avec surprise, un pantalon et un pull identiques à ceux de Madame. Je m’en vêtis, vais me mettre un peu de rimmel et de crayon noir aux yeux et retourne dans la cuisine où elle m’attend, souriante, me versant du café dans ma tasse.

    – Tu es très jolie ainsi vêtue Léa, me dit-elle alors que je m’assois à ses côtés.

    Je bois mon café, sereine à ses côtés. Elle me caresse la main doucement, délicatement.

    – Il est déjà 8h Léa. Si tu continues à être aussi coquine tu vas finir par arriver juste au moment de l’ouverture de la boutique. Il va falloir y aller dit-elle en se levant.

    Je la suis dans l’entrée. Elle me tend mon sac et une large écharpe dont elle me drape les épaules. Nous sortons dans le jardin où les premiers rayons du soleil peinent à percer à travers le plafond de branchages et de feuilles. Après avoir fermée à clé la maison, elle me précède et me conduit ainsi jusqu’à sa voiture. Je m’installe à ses côtés. Elle démarre la voiture.

    Nous traversons sans difficultés majeures les rues de Paris. La circulation y est encore fluide avant le grand rush du retour des aoûtiens prévus pour ce week-end, précédant, traditionnellement la rentrée scolaire qui aura lieu en milieu de semaine prochaine.

    Elle se gare juste devant la porte arrière de la boutique et m’attire à elle pour m’entraîner dans un nouveau baiser profond et doux. Je suis comblée par cette douceur, ce bien-être que je sens grandir en moi.

    – Allez, coquine, vas travailler maintenant. Je te téléphone dans la journée et viendrais te chercher à la fermeture comme hier. Ne m’oublie pas Léa !!!

    – Je penserais à vous Madame, dis-je dans un souffle

    – Je n’en doute pas…

    Je descends de la voiture, fais un signe d’au revoir à Madame s’éloignant rapidement en voiture et j’ouvre la porte.

    Il est près de 9h00 lorsque je pénètre dans ma boutique dont le décor familier me tranquillise et apaise peu à peu le trouble ressentit dans la matinée. Je mets un peu d’ordre dans la cabine d’essayage où traînent encore mes vêtements de la veille. Je les range dans l’arrière-boutique et vais m’atteler à ma compta.

    Mes fesses sont encore douloureuses des coups reçus la veille, mais le bien-être ressentis avec Madame est tel, que je l’oubli, alors que l’assise dure de mon siège et le tissu de ma culotte appuient l’un comme l’autre cette partie sensible de mon corps.  La concentration que je mets dans ma compta me permets aussi de ne pas me focaliser sur quoi que ce soit d’autre.

    Un message de Madame m’arrive juste avant que je n’ouvre la boutique : Ta journée va bientôt commencée Léa, et je te souhaite le meilleur pour cette matinée. Sois sage petite coquine et je saurais me montrer douce envers toi !!! Je réponds dans la foulée oui Madame, trouvant malgré-tout mes propos loin de la complicité naissante dans notre relation.

    L’ouverture de la boutique et la venue de mes premières clientes me font penser à autre chose et l’heure du repas arrive tranquillement. Alors que je sors de la boutique pour prendre quelque chose à la brasserie, je vis Madame se diriger souriante vers moi.

    – Il me tardait de te revoir Léa, me dit-elle en m’accompagnant jusqu’à la terrasse où nous primes places à une table légèrement à l’écart. Il faut aussi que je veille à ce que tu ne manges pas trop. Monsieur aime beaucoup les femmes minces et je suis désolée de te dire que tu as quelques rondeurs.

    – Oui Madame, répondis-je tout bas, voyant le garçon de café arriver à notre table.

    Je surpris son regard amusé en remarquant que je portais la même tenue que la femme qui m’accompagnait. Il prit la commande qui se composa d’une salade composée végétarienne, sauce à part, pour moi et d’un croque-monsieur salade pour elle. Tout cela sera accompagné d’une carafe d’eau pour nous deux et d’un coca pour elle.

    Le garçon de café revint assez rapidement avec notre commande. Madame ne me permit pas de prendre de la sauce et je me mis à manger ma salade nature, regardant avec envie le croque-monsieur. Ses yeux se posent sur moi tandis qu’elle le déguste. Je ne dis rien sentant toute son autorité bienveillante dans le fait de faire attention à mon alimentation et finalement à ma silhouette. Au terme de ce repas frugal, j’eu droit à un café sans sucre. Nous payâmes chacune nos consommations et elle me raccompagnât jusqu’à la boutique.

    – Je vais te laisser Léa et reviendrais te chercher à la fermeture. Sois sage, me dit-elle en m’envoyant un délicat bisou du bout de ses doigts.

    – Au revoir Madame

    Je pénètre dans la boutique, remets en place quelques pièces mal rangées et l’ouvre. Quelques clientes viennent acheter ou bavarder tranquillement, accompagnées ou non par leurs enfants, le mercredi après-midi étant généralement le moment de la semaine durant lequel l’espace de vente est animé de cris, petites voix et désordre inhérent. Lorsqu’arrive l’heure de la fermeture, le chaos qui y règne me fait sourire, mais je sais que cela me prendra du temps pour tout ranger.

    Madame est rentrée dans la boutique avant que je ne fasse tomber le rideau de fer. Dès que l’ombre eu pris possession de l’espace, Madame s’approcha de moi, m’attira contre elle et me donna un nouveau baiser.

    – Dépêche-toi de tout fermer, coquine, je t’attends dans ma voiture garée juste derrière.

    Avant même que je réponde, elle était dans la réserve et en avait ouvert la porte. Je me hâte de tout fermer, sans ranger, sachant que j’en n’ai pas le temps, et me retrouve à ses côtés dans la voiture. Elle pose sa main sur ma cuisse alors qu’elle démarre tranquillement la voiture.

    – Tu es devenue très docile, Léa, et ta progression est remarquable. Je suis très fière de toi.

    – Merci Madame

    – Mais de rien !!! C’est bien normal, à moi, de t’encourager lorsque je note des progrès et efforts. Je regrette presque que tu te sois si mal conduite au début de toute cette histoire, mais je pense que tu sais maintenant où est ton intérêt.

    – Oui Madame

    – Je saurais te récompenser pour cette docilité et célébrer dignement ton entrée dans le monde de la soumission.

    – Oui Madame

    Le mot a été lâché, dit : soumission. Je suis soumise à elle, corps et âme, sans l’avoir voulu, sans l’avoir désirée. Mais cela est maintenant. Je suis donc bien un jouet dans les mains de Madame, ces mains qui m’ont données tant de plaisirs ce matin et qui ont su m’éveiller à ma réelle condition.

    Nous arrivons ainsi devant chez elle. Après s’être garée, elle m’invite à la suivre et c’est le cœur joyeux de la satisfaire que je pénètre dans le jardin. Elle m’enlace et m’entraîne à l’intérieur du pavillon. Nous ôtons nos chaussures et déposons nos sacs sur un banc. Elle me tire et me mène ainsi jusqu’à la salle de bain. Elle m’invite à ôter mon pantalon pendant qu’elle fait couler l’eau dans la douche. Elle revient vers moi et pose ses mains sous mon pull rouge. Elles remontent jusqu’à mes seins qui sont à disposition, dépourvus de soutien-gorge depuis le matin. Je lève les bras, presque malgré moi et me retrouve, uniquement habillée de ma culotte blanche devant elle. Ses yeux se posent sur les miens tandis qu’elle fait doucement glisser ma culotte, qui va tomber à mes pieds. Je jette d’un coup de pied, la culotte dans un angle de la salle de bain.

    Madame pose alors mes mains sur ma tête, écarte légèrement mes jambes laissant paraître mon intimité à ses yeux.

    Elle me laisse un instant ainsi, le temps qu’elle se dénude intégralement devant moi. J’admire son corps à la silhouette parfaitement dessinée. Ses formes sont harmonieuses et agréables à regarder. Je me sens brusquement bien ronde et laide en comparaison.

    Mais elle ne me laisse pas le temps de m’appesantir dans mes réflexions, et me pousse vers la douche. Le jet chaud du pommeau me surprend et je suis vite enveloppée par une buée chaude. Elle m’enlace contre elle et pose ses mains sur mon dos et mes fesses. Je gémis. Elle clôt ma bouche par un tendre bisou.

    Après avoir laissé l’eau couler sur mon corps, elle me plaque contre la paroi carrelée de la douche. Elle se frotte tout contre moi, écartant mon entre-jambe de sa fine jambe. Elle retient mes mains pendant que sa bouche se pose sur la mienne et que sa langue vient se lier à la mienne. Elle glisse une de ses mains jusqu’à ma fleur intime et l’écarte doucement d’un de ses doigts tout en me regardant souriante. Elle pénètre mon intimité, me faisant vibrer de plaisirs.  Sa main va et vient, réveillant en moi des sensations jusque insoupçonnées. Elle me regarde, percevant à n’en pas douter mon trouble qui grandit.

    Elle m’enlace mettant fin à ce doux frisson et s’adosse à son tour sur la paroi carrelée. Elle fixe son regard dans le mien et prenant ma main, elle la mène vers son intimité. Je la sens humide d’eau et d’excitation. Elle s’assoit sur la margelle qui borde l’un des coté me contraint à m’agenouiller à ses pieds. Elle maintien ma main sur son sexe, m’invitant à y faire pénétrer un puis deux doigts. Son visage trahi son émoi et son plaisir. Elle pousse ma bouche vers sa fleur intime, et là, sans un mot de sa part, mais percevant l’ordre muet de la situation, je me mets à lécher son intimité. L’eau continue à tomber sur mon dos et me mets dans un état second. Je l’entends gémir. J’intensifie les allers et venues de ma langue prenant du plaisir à lui en provoquer.

    Elle relève ma tête par mon menton, caresse ma bouche de sa main et me relève tout comme elle. Elle saisit un savon et le fait mousser contre mon corps, me le donne et je fais de même pour elle. Nous nous savonnons mutuellement avant de nous rincer sous le jet d’eau chaude. Nous sortons de la douche et nous enveloppons dans de grands et doux peignoirs qui pendaient sur des patères.

    Madame m’entraîne vers la chambre et je vois sur le dessus deux jolies nuisettes noires en satin. Elle m’en tend une ainsi qu’une culotte assortie. Je regarde, émerveillée ces pièces délicates et les passe avec plaisirs. Le contact du tissu contre ma peau et le reflet que je vois dans le miroir sur pied, font naître un sourire sur mon visage.

    – Merci Madame, c’est si joli

    – Ne me remercie pas coquine. Tu m’as donné énormément de plaisirs sous la douche, et la soirée n’est pas finie. Tu restes ma soumise et ton devoir est de me satisfaire en tout point, les directives liées à l’habillement font partie du lot. Continue ainsi et les deux prochains jours, précédents le retour de Monsieur, ne seront que douceur et volupté pour toi.

    – Oui Madame

    Elle quitte la chambre habillée de la même nuisette et culotte et se dirige vers la cuisine. Elle dégèle un plat picard et me demande de mettre la table à l’extérieur ce que je fais avec joie. J’installe ainsi deux assiettes, verres et couverts face à face sur la table métallique se trouvant sur la terrasse. Je dépose la carafe d’eau qu’elle a préparée et une corbeille de fruit. Elle me demande de l’attendre assise à la table.

    Elle arrive peu de temps après, avec une salade composée pour elle uniquement. Elle dépose dans mon assiette une grande grappe de raisin blanc.

    – Comme je te l’ai dit, tu dois absolument perdre quelques grammes par-ci par-là avant le retour de Monsieur vendredi. Aussi tu n’auras droit qu’aux fruits le soir.

    – Bien Madame

    – Ta docilité me plait beaucoup Léa. Comme nous sommes seules, en tête-à-tête, ici, je t’autorise à me nommer, pour l’instant, Lauralyn. Nos rapports devenant plus proche imposent ce changement de nomination.

    – Oui Lauralyn.

    – Allez bon appétit !!!

    Je picore mon raisin alors que je la vois manger sa salade composée, toujours plus nourrissante que ma grappe de raisins. Mais sachant que rien ne peut changer ce qui se passe, je respecte les directives de Lauralyn.

    Lorsque le repas est fini, elle me demande de débarrasser la table et de mettre la vaisselle sale dans la machine à laver. Elle me laisse, et prend un plateau avec des tasses pour une tisane et me demande de la rejoindre au salon dès que j’aurais fini. Je la rejoins. Elle a déposé le plateau sur la table et verre. Deux magnifiques bougies sont disposées de part et d’autre de la table basse. Sur le plateau, se trouve une joli petite boite rouge plate décorée d’un nœud doré sur le dessus.

    – Avant de finir cette journée, il me semble nécessaire que tu te rappelles quelle est ta condition. Comme je te l’ai dit tout à l’heure tu es une soumise, et la soumise doit obéissance et respect envers la personne qui lui donne le fait de vivre ainsi. Aussi je te demande de t’agenouiller à mes pieds Léa.

    – Oui Lauralyn

    – Je ne t’ai pas autorisé à parler Léa !!! Prend cette boite, dit-elle en me la tendant, et ouvre là !!

    J’ouvre la boite et vois à l’intérieur un joli bracelet d’esclave, fin, argenté, un petit anneau fixé sur un des côtés. Je regarde ce bijou, à la signification on ne peut plus claire. Lauralyn saisit le bracelet et le fixe à l’un de mes poignets.

    – Je t’ai offert ce bijou comme signe et preuve de ta soumission à mon encontre. Tu ne peux et ne pourras pas l’enlever car il est fermé, tel un cadenas, et la clé est cachée dans le coffre du bureau. J’espère que tu es honorée de le porter.

    – Oh oui Lauralyn.

    – Maintenant tu m’appelleras Dame Lauralyn et tu t’agenouilleras à mes pieds lorsque tu arrives dans une pièce où je suis et dès que je pénètre dans une pièce où tu es. Tu me prendras alors ma main et la baiseras respectueusement. Tu feras de même lorsque tu me verras pour la première fois le matin et la dernière fois le soir. Ces dernières directives prendront effet dès demain matin. Aucun manquement ne sera toléré. Est-ce clair ?

    – Oui Dame Lauralyn.

    – C’est gentil à toi de m’appeler ainsi dès maintenant. Tu es une bonne soumise, me dit-elle en m’aidant à me relever.

    Elle me sourit et nous bûmes notre tisane. Après avoir ramené le plateau dans la cuisine et mit les tasses dans le lave-vaisselle, elle éteignit la lumière et nous retournons dans la chambre. Elle m’enlace de nouveau et me couche doucement sur le lit. Elle m’embrasse, et caresse mon visage.

    – Tu es merveilleuse Léa et ta docilité est très agréable à voir. Je te félicite. Mais il est temps de dormir maintenant.

    – Oui Dame Lauralyn

    – Enlève ta nuisette Léa

    Je l’ôte docile. Ses mains caressent mon corps et s’arrêtent sur mes seins et les pincent légèrement.  Elle m’embrasse de nouveau, collant son corps contre le mien. Elle fait glisser ma culotte et je suis bientôt nue devant elle.

    – Comme soumise tu vas dormir dans le lit à barreaux, cette nuit, comme la plupart des nuits. Va t’y allonger, Léa.

    J’obéis, docile. Je m’allonge sur le matelas du petit lit. Elle m’y rejoint avec une couche qu’elle attache à mes fesses. Elle m’embrasse ma bouche avant d’y mettre une tétine.  Enfin elle saisit mon poignet sur lequel elle a mis le bracelet d’esclave et y attache une fine mais solide chaine qu’elle fixe sur un des barreaux du lit. Elle remonte le panneau, me souhaite une bonne nuit, va se coucher et éteint la lumière plongeant la chambre dans une obscurité opaque. Le sommeil arrive sans peine pour la nouvelle soumise que je suis officiellement devenue.

     

    #69689
    Anonyme
    Inactif


    la suite de cette histoire est très bien écrite. J’attendais quand même une petite séance de fessée déculottée pour Léa mais madame a décidé de nous faire attendre. Il nous faudra patienter, vivement la suite et des fesses rouges.

    #69711
    Badine79
    Participant


    Belle histoire

    Superbe écriture à très vite

3 sujets de 1 à 3 (sur un total de 3)
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