Mademoiselle J

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  • Ce sujet contient 4 réponses, 4 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Anonyme, le il y a 1 année et 11 mois.
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  • #85456
    Anonyme
    Inactif


    Il y a quelques temps de cela, je m’étais inscrit sur un site de rencontres. La description de ma recherche était simple: j’étais en quête d’une adepte de la fessée.
    Pendant des semaines, cette requête n’eut pas l’heur de plaire, ma boite aux lettres restant désespéramment vide.
    Une après-midi, alors que j’étais en plein ennui au travail, le tintement annonciateur d’un message retentit.  Je me précipitais sur mon portable pour découvrir qu’une certaine Miss J souhaitait échanger. Ne voulant surtout pas rater l’occasion de discuter avec elle, j’entamais le dialogue.
    Elle m’expliqua qu’elle avait repéré mon annonce depuis quelques temps, mais que, timide, bien que très intéressée, elle avait mis beaucoup de temps à répondre à l’annonce. Je découvris que cette jeune femme , célibataire qui venait juste d’atteindre la quarantaine, fantasmait depuis longtemps sur notre pratique favorite, qu’elle rêvait au cours de ses nuits de subir des fessées punitives et qu’au grand jamais elle n’avait osé en parler à ses amants.
    Ainsi que vous pouvez l’imaginer, je l’incitais à se livrer et lui suggérais que si l’idée de passer du rêve et du fantasme à la réalité germait dans son esprit et sa chair, je pouvais volontiers l’aider à franchir le pas. A la condition, bien sûr, qu’elle ne fût pas à une distance trop lointaine.
    Notre discussion s’arrêta là. Puis un silence de plusieurs semaines.
    Un soir, un message de Miss J arriva: “je viens de me donner une fessée”.
    Oh oh, me dis-je, voici Miss J pas loin de franchir le pas…
    Elle me raconta que notre discussion avait laissé des traces et que quelques minutes auparavant, sous sa douche, elle s’était abondamment claquée les fesses et qu’elle y avait pris grand plaisir.
    Je lui suggérai qu’elle pouvait, sous ma main, bien plus lâcher prise.
    Nous en restâmes là pour cette soirée.
    Quelques jours passèrent et,toujours par message, Miss J me fit savoir qu’elle était décidée, à la fois anxieuse et impatiente, de recevoir de ma part une bonne fessée.
    Nous échangeâmes nos numéros de téléphone, et après quelques conversations, nous convînmes d’une date de rendez-vous et d’un lieu.
    Chez-moi, me dit-elle, je m’y sentirai plus à l’aise.
    Elle m’avait alléché en précisant qu’elle était très cambrée. Inutile de dire que j’étais impatient, mais je n’en montrais rien.
    Lors du rendez-vous que nous avions fixé dans un bar de la ville où résidait Miss J, je découvrais une jeune femme brune, coiffée à la Louise Brooks, les cheveux courts, de belles courbes, une jupe découvrant ses jambes, d’une incroyable féminité.
    “Je vous ai réservé une surprise”, me dit-elle. J’étais donc, vous le devinez, de plus en plus impatient, même si, comme à chaque fois, je me demandais si je serais à la hauteur de ses attentes.
    Nous arrivâmes à son domicile, un joli appartement meublé avec goût et un salon dans lequel trônait un canapé en cuir.
    Nous y étions…
    Après m’être mis à l’aise sur son beau canapé, j’attirais rapidement Miss J en travers de mes genoux, ses fesses immédiatement à portée de ma main et abattit celle-ci sur l’une de ses fesses par dessus la jupe.
    La surprise était là, sous ma main. Miss J, qui avait, comme pour sa coiffure, le goût du vintage, avait décidé de sortir le grand jeu…et porte-jarretelles et bas!
    Tous mes sens, toute mon âme même, étaient fermement décidés à lui administrer la fessée de ses rêves et à rendre ses fesses aussi cuisantes qu’ELLE l’espérait et d’un rouge aussi magnifique que JE l’espérais.
    Après que sa jupe eût été retroussée et sa belle culotte roulée sur ses cuisses, je découvrais les fesses de Miss J, que le porte-jarretelles blanc mettait délicieusement en valeur.
    Je m’appliquais…Clac sur la fesse gauche, clac sur la fesse droite. La main ferme et souple pour imprimer ma marque sur ces rondeurs qui avaient tant attendu…
    Je pris un rythme , puis changeais la cadence alors que gémissements, puis cris se faisaient entendre tandis que de la main gauche, je la maintenais fermement.
    Quelques rafales de claques bien senties plus tard, je laissais un répit à Miss J pour admirer mon œuvre.
    Elle rêvait d’être punie? Elle allait l’être…
    Je l’envoyais au coin, le nez contre le mur, la jupe relevée. Elle passait ses mains sur ses fesses endolories. Elle était magnifique, ses fesses d’une rougeur déjà bien appréciable.
    Je lui ordonnais de mettre ses mains sur la tête et  jouissais intérieurement du spectacle de la cambrure de ses reins.
    Quelques minutes passées, je lui intimais l’ordre de revenir et l’installais à califourchon sur un genou. Le coquin que je suis était bien décidé à l’humilier d’avantage: elle ne pouvait ignorer que cette position découvrait son sexe…
    Ses fesses ainsi bien offertes au dessus des bas, je redoublais d’efforts et d’attention pour imprimer ma marque sur ce derrière sublime qui tressautait sous les claques de plus en plus fortes et de plus en plus appuyées.
    Elle couinait sous les coups qui claquaient, criait de plus en plus fort, me suppliait de cesser alors que son corps me disait l’inverse…
    Ma main, qui parcourait ses fesses cramoisies traversées du porte-jarretelles, les sentait brûlantes, palpitantes. J’entendais des sanglots et des pleurs.
    Miss J lâchait prise.
    J’en profitais pour lui asséner une grêle de claques, puis, changeant de technique, de frapper d’une main plus souple, des cuisses aux fesses.
    Je sentais Miss J au bord de la rupture. Elle en avait assez.
    Renvoyée au coin, son corps parcouru de sanglots, Miss J m’offrait un spectacle de choix.
    A dire vrai, elle m’avait en quelque sorte épuisé, tant j’avais mis de mon âme pour satisfaire son envie et son besoin.
    La consolation si bien méritée donnée, je quittais Miss J, son canapé et son domicile.
    Trois semaines, quatre peut être, plus tard, je reçus un appel de Miss J: “Louis, Quand revenez-vous me donner une fessée?”

    #85457
    Monsieurgigi
    Participant


    Vous avez dû vous montrer persuasif, car il est rare que ces dames vous invitent chez elles pour un premier rendez-vous !  🙂

    Monsieurgigi : l'essayer, c'est l'adopter !

    #85458
    Linette
    Participant


    Ah si tout pouvez être aussi simple, très belle histoire en tout cas,passer du rêve au fantasme a la réalité c’est excitant, merci pour le partage 🙂

    #85523
    Monsieuralex
    Participant


    Jai connu exactement un jour ce déroulement simple. Une envie brulante et cachée, une confiance donnée, un plaisir enfin atteint.

    bonheur

    Monsieuralex, fesseur nantais

    #85527
    Anonyme
    Inactif


    Une  belle expérience, oui

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