L’interview

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10 sujets de 1 à 10 (sur un total de 10)
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  • #90150
    Victor
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    L’interview 

    J’aime voir les citées s’éveiller. Alors nous avons commandé une voiture, un peu tôt, je l’avoue. Notre chauffeur nous promène dans toute la capitale pour mieux me détendre. L’aube laisse place à l’aurore. Les pères Noël les plus matinaux sont accoudés au comptoir de tous les cafés du coin. Et, alors que je me perds dans mes songes, notre taxi remonte l’avenue du président Kennedy et termine sa course devant cette mythique institution.

    Surcroit d’appréhension. 

    Heureusement, Daddy m’accompagne. Sans lui, je n’aurais osé venir. D’une main frêle, j’enveloppe la sienne posée sur le cuir de la Mercedes. J’avale mes lèvres. Je cligne. Je le regarde. Il capte mon inquiétude. Il me sourit. Il me glisse au creux de l’oreille « Ça va aller, ma petite puce ». Et il m’embrasse furtivement dans le cou. Son eau de toilette boisée me rassure. Il sort en premier, contourne la berline et m’ouvre la portière arrière, sur le trottoir, comme à une enfant. Je ferme les yeux une dernière fois. J’expire un bon coup. J’étends mes doigts. Je lève les yeux et prie le bon Dieu de m’accompagner. Je souffle encore et j’ose enfin me lever de la banquette.

    Une femme, un peu speed, avec des lunettes à montures noires, un kit mains libres littéralement scotché à l’oreille, et portant une tablette et tout un tas de papiers sous ses bras croisés, nous accueille joyeusement ici, à la maison de la radio. C’est surement l’assistante de Margaux, l’animatrice star, ouverte d’esprit, qui nous interrogera bientôt sur nos pratiques, notre mode de vie et notre intimité pour le plus grand bonheur des curieux auditeurs du podcast des sexualités. 

    Je ne suis pas des plus à l’aise pour dévoiler ma vie privée, en direct, à des milliers d’humains d’un seul coup. Mais j’ai confiance en mon homme, je l’aime et je veux lui faire ce plaisir de me mettre à nu pour partager notre quotidien un peu moins ordinaire que celui de certains. Il m’a avoué me trouver, depuis peu, suffisamment expérimentée pour parler à l’antenne. Et pour mieux m’amadouer, il m’a aussi confié me trouver de plus en plus mignonne et craquante lorsque j’apparais vulnérable, que je me dévoile timidement, que je prends petit à petit confiance et que je finis par parler à cœur ouvert, sans filtre, avec aplomb et de manière totalement décontractée de mes petits secrets. 

    Cette femme, qui se présente sous le nom d’Adèle, nous remet à chacun un collier porte-badge qui nous permet de passer tout un tas de portes et portiques. Malgré sa bonne humeur, elle semble prise par le temps. Nous déferlons dans les couloirs. Je n’ai plus le temps de stresser. Elle nous comte l’histoire des lieux et nous commente quelques affiches au fur et à mesure que nous laissons sur notre passage de prestigieux bureaux et studios. Je ne retiens pas la moitié de ce qu’elle raconte. Mon esprit est ailleurs.

    Et nous arrivons enfin au bon étage. Elle abandonne mon mari dans une loge et me conduis dans une autre. Je suis un peu déconcertée par cette intimidante séparation. Mais je fais la connaissance de Jess, une maquilleuse bavarde qui me prend en charge et occupe mes pensées. Je m’étonne toutefois de sa présence et lui coupe la parole :

    — Mais pourquoi vouloir me maquiller ?

    — On ne t’a pas expliqué, Inès ?

    Ce tutoiement me rassure. Elle a quasiment mon âge. J’en fais de même.

    — Non, mais tu vas me le dire ? Non ?

    — Depuis quelque temps, les émissions de radio sont filmées pour les diffusions en ligne. Du coup, les producteurs demandent un petit peu de préparation pour un meilleur rendu vidéo. Ne t’inquiète pas, ce sera rapide. Je t’offre quelque chose ? De l’eau ? Un jus ? Du lait ?

    — Euh… oui… je veux bien un jus de pomme, s’il te plait.

    Jess relaie ma commande à une autre assistante et m’installe devant un miroir. Je me laisse faire. Ses gestes sont précis. Elle a l’habitude. Par contre, je suis décontenancée lorsqu’arrive sur la tablette devant moi un biberon de jus de pomme avec une petite carte à la vue de tous : « Pour mon bébé d’amour. Daddy ».

    Je ne sais où me mettre. Il commence fort. Adèle, restée dans la loge, se veut bienveillante :

    — Tu sais, pour les émissions de Margaux, on a l’habitude. C’est toujours un peu surréaliste. Bois ton biberon sans te préoccuper de nous. 

    Son travail terminé et mon biberon quasiment asséché, j’admire mon visage. Effectivement, c’est léger. Elle assure. Je suis rassurée. Je ne ressemble pas à une poupée. 

    Adèle m’indique :

    — Inès, nous avons un peu de temps, lève toi que je vérifie l’état de ta couche.

    Soudainement, mes deux sentiments favoris se réveillent. Mes joues se parent de rubis. Honte et excitation s’entremêlent. J’aimerais qu’elle abuse de cette prise de pouvoir inattendue et j’aimerais fuir au pas de course. Mais j’ai une réputation à tenir. Je suis une gentille petite fille. J’obéis et je la laisse m’inspecter. Elle soulève le bas de ma robe et soupèse ma culotte. Elle s’assoit, colle son nez contre mes fesses et respire à plein poumon avant de déclarer :

    — Cette petite n’a fait qu’un gros pipi, mais il est temps de mettre une couche propre.

    Je suis en émoi. Je dois obéir aux adultes qui veulent me changer. Je la connais depuis moins de 30 minutes et je vais bientôt lui montrer mon minou tout doux. 

    Jess se joint à la partie et me guide jusque sur le canapé dans le fond de la loge. Elle m’accompagne, caresse mes cheveux et me dit des mots doux. Adèle entre mes cuisses soulève ma robe, découvre mon body coloré, défait les pressions et accède à mes « dessous ». Cette fois, je suis totalement exposée. Elle me rafraichit, elle me relève les jambes et ose même me prendre la température. Je suis autant gênée qu’agréablement surprise. 

    — Tout va bien. 37,2 Inès. Par contre, nous avons reçu un message de ton Daddy…

    (À suivre)

    #90167


    Tes récits sont toujours aussi beaux , tu as un magnifique plume et j’ai déjà hâte de lire la suite.

    Je ne recherche pas de fesseurs ,
    Merci d'en tenir compte.

    #90345
    Victor
    Participant


    Adèle repose mes pieds sur le canapé, essaye de me décrocher un regard et s’adresse à sa collègue, un brin malicieuse :

    — Jess, va voir dans son sac de change, elle doit avoir des couches propres. 

    J’ai en effet toujours avec moi, dans mon sac  à main cabas de quoi me changer : deux couches, un pot de talc, un petit tube de crème hydratante, un body de secours et ma fameuse petite trousse bleue à paillettes. Et, si je n’ai que mon petit sac à main bandoulière fétiche, comme aujourd’hui, j’emporte également un sac de change dédié. Dans ce cas, j’ai en supplément une grande serviette éponge colorée et à motifs enfantins, pour me servir de table à langer de campagne, d’épais inserts, une jupe de rechange, un goûter, des tétines et même mon doudou. 

    Jess tombe sur celui-ci, un magnifique lion à poils longs et doux et aux  pattes interminables. Elle le sort, le contemple, le carrosse et s’exclame :

    — Mais qu’il est chou ce doudou ! Je te l’amène. 

    Je rougis de honte. Je ne pensais pas que ça irait si vite, hors studio. Je suis de plus en plus souvent changée et infantilisée en public mais j’ai toujours un peu de mal avec mon doudou, ma tétine, et les repas donnés à la petite cuillère. Quand on me traite ainsi, je me sens extrêmement vulnérable mais paradoxalement je m’abandonne à mes tuteurs du moments — tutrices en l’occurence. 

    Elle trouve une couche et un insert qu’elle rapporte à Adèle. Jess me confie mon lion que je sers fort contre moi. Je dois avoir l’air adorable avec mon body grand ouvert sur ma petite chatte nue. Jess me relève les jambes. Adèle glisse la couche et l’insert sous mes fesses et me les masse en les couvrant de crème. Elle n’hésite pas et semble savoir s’y prendre. Elle approche de mon sillon et ne tremble pas. Une sensation de fraicheur m’envahit. Je câline de plus belle ma peluche. Jess relâche mes pieds, et mes fesses retombent sur l’épaisse protection. Adèle me fait plier les genoux, pose mes pieds sur le canapé, m’oblige à ouvrir les cuisses et se penche sur moi. Même si elle m’offre son joli décolleté surmonté d’un élégant collier de perles, je me cache sous les poils de mon lion. Elle l’écarte un peu et me dit tout bas :

    — Ton Daddy nous a demandé de te mettre quatre suppositoires dans les fesses…

    Je sais ce que cela veut dire. Il veut montrer à Margaux que je suis une gentille petite fille obéissante qui ne se préoccupe pas du monde qui l’entoure et qui vit sa vie comme un vrai bébé dépendant des adultes, même pour ses besoins les plus élémentaires à 30 ans passés. Je me mords les lèvres. Je voudrais replonger mon regard dans les yeux de mon doudou chéri. Et elle reprend :

    — Tu as cependant trois choix, Inès. Première possibilité, on ne met pas de suppositoire, on te remet en couche. Par contre, il n’y aura pas d’interview et nos auditeurs écouteront une rediffusion. Et ainsi, ton Daddy te punira. Deuxième et troisième choix : je te propose deux flacons. Soit on te met les quatre du flacon numéro 1, soit ceux du second. 

    Elle me présente les deux bocaux. Aucune différence visible. J’ai l’air étonnée. Elle m’explique :

    — Dans l’un des flacons et je ne sais pas lequel : il y a des suppositoires avec un enrobage inactif qui fondra pendant une heure dans tes petites fesses de bébé avant que son  coeur, lui aussi inactif  soit libéré. Dans le second par contre, une fois que le même enrobage aura disparu, le coeur actif te procureras de drôles de sensations… Tu n’auras rapidement pas d’autre choix que d’utiliser ta couche. Il se pourrait alors que tu ne fasses pas que pipi au micro de Margaux. 

    Quelle diablerie ! Je ne pensais pas que Daddy forcerait le destin pour ce moment de radio et de révélations. Cet usage de mes langes n’est pas une nouveauté. Je ne vais plus aux toilettes. Mais d’habitude, je n’ai pas le choix : ou il laisse faire la nature ou il ne me pose pas de question et me contraint en piochant dans ma pochette à paillettes une dragée clairement active. 

    J’aimerais faire la plus maline et demander à  Jess et Adèle de piocher dans mon sac de  change autre chose qu’un placebo mais je dois me conformer au plan de Daddy — c’est lui qui décide. Je choisis au hasard, résignée, le flacon numéro 2 puisque de toute façon je ne veux ni être punie ni priver Daddy de cette interview. Adèle propose à sa collègue :

    — Jess, tu veux lui mettre les suppos ?

    — Oh ! Bah oui tiens ! s’exclame-t-elle. 

    Adèle s’assoit près de moi et relève mes jambes. Jess toute contente m’enfonce les suppos un à un au fond de mon petit trou. Elle n’hésite pas à me pénétrer de tout son index. Et pour le quatrième, elle reste quelques secondes avec son majeur bien enfoncé, et son pouce posé juste sous mon minou à masser mon périnée. Je me relâche un peu.

    On me repose les jambes et l’on me rhabille. Jess fouille mon sac de change et en dégote une tétine rose qu’elle m’enfourne entre les lèvres sans rien me demander. Elle m’aide à me lever. Avec l’insert, j’ai un petit peu plus de mal à marcher, mais rien d’insurmontable. Elle vérifie mon maquillage et m’embrasse sur la joue en tapotant affectueusement mes fesses rembourrées. Adèle me récupère. Je tiens mon lion dans mon autre main, et nous partons par un couloir de service. Je suis un peu intimidée. C’est encore rare que j’emporte en balade mon lion — comme ça, en intérieur dans de petits couloirs ; en forêt oui, en ville au milieu de la foule qui ne fait attention à rien, oui aussi, mais là c’est différent. Je ne passe vraiment pas inaperçue avec ma tétine, et je ne sais pas ce qu’on m’a glissé entre les fesses. Les gens sont amusés de me voir ainsi. Ils sourient, mais restent pros et ne commentent pas. Certains me souhaitent une bonne interview ou me disent que je suis belle. Nous arrivons enfin au studio tant attendu. Je serre la main d’Adèle un peu plus fort. J’appréhende. Les techniciens me saluent brièvement. Derrière la vitre de régie, je voix Margaux déjà installée. Le studio semble immense. 

    Un technicien lui fait signe. Un autre m’ouvre la porte. Elle se défait de ma main, me souhaite « Bon courage ! » à l’oreille et me pousse dans un sas en m’appuyant sur les fesses. Daddy m’attend juste là et prend le relais. Je m’agrippe à lui et me blottis. Il m’enserre naturellement. J’écoute son cœur pour me donner du courage. Il m’embrasse sur le sommet du crâne. Je suis rassurée. Il soulève mon menton.

    — Tu as été sage, ma petite puce ?

    Tétine en bouche, j’incline la tête pour dire oui. Il me réchauffe le dos, porte ses mains sous ma jupe, m’embrasse sur le front, envoie une tape sur mon body et lance un « Zou ! ». 

    Il me prend par la main. La porte du sas s’ouvre sur le plateau. La musique d’ouverture est déjà lancée. Un technicien nous fait signe d’avancer tandis qu’un binôme de caméraman nous ouvre le chemin en nous filmant, en reculant avec une steadycam. 

    Daddy se penche à mon oreille, amusé : « Je suis fier de toi, ma grande… tous les suppositoires étaient actifs ». 

    Je lui broie la main alors que Margaux nous annonce :

    — Nous accueillons aujourd’hui une petite little, porteuse de couches, Inès et son Daddy. Bonjour à vous ! …

    (À suivre…)

    #90664
    Victor
    Participant


    Nous nous asseyons l’un à côté de l’autre. Je pose mon doudou à côté du micro. Nous ne sommes que trois autour de la table. Margaux, Daddy et moi. Dans ce studio de radio, la nouvelle équipe de tournage se veut discrète : les caméras sont disséminées ici et là, motorisées, et pilotées depuis la régie. La steadycam est repartie. Tapi dans l’ombre, j’entrevois un petit public derrière Margaux. Nous sommes au centre de l’attention. J’aperçois, à l’écart, un matelas à langer face à un objectif. On m’y installera surement bientôt. Je n’ose y penser plus longuement et je capte la voix de Margaux qui me sort de mes peurs :

    — J’ai donc en face de moi une charmante jeune femme, en tétine rose, Inès. Tu veux bien te présenter à nos auditeurs ?

    Je relève la tête vers Daddy qui m’enlève ma sucette. Je ne suis pas au top de la confiance et reste timide pour ce début d’émission :

    — Je m’appelle Inès, j’ai 32 ans, je viens de Bretagne et je suis une petite little.

    Daddy, joueur, mais très sérieux, me coupe en prenant un peu l’ascendant : 

    — Allons ! Inès ! Tu sais que tu ne dois pas mentir sur ton âge, non ? Dois-je te punir, ici, devant Margaux ?

    Mes joues se parent de pivoine et Margaux prend ses aises.

    — Elle n’a pas 32 ans, Jean ?

    — Bien sûr que non ! Alors, Inès ! Quel âge as-tu, mon bébé ? 

    La pression monte d’un cran, mais cela m’excite. J’enchaine, presque faussement timide :

    — J’ai… J’ai 2 ans et demi… et j’ai besoin de porter des couches tous les jours.

    Margaux n’ignore rien de ma vie de petite fille, puisque nous avons préparé l’émission ensemble, il y a quelque temps. Elle me sourit, continue et lance vraiment l’interview et les révélations.

    — Tu veux dire que tu portes une couche actuellement ?

    — Oui, j’en ai une épaisse avec un renfort absorbant.

    — Parce qu’un modèle plus discret n’est pas suffisant pour toi ? s’étonne-t-elle.

    — Cela dépend : des fois si, mais une couche peut fuir. Et si je ne n’ai pas la possibilité d’être changée pendant un long moment, mieux vaut porter quelque chose de sûr. Et d’autres fois, Daddy veut simplement que je ressente un important niveau de gêne.

    Et elle enchaine, faussement étonnée, largement narquoise : 

    — De la gêne ? Jean, tu serais donc un petit sadique ?

    Et il continue — tout sourire :

    — Moi, sadique ? À peine… Avec un insert en plus d’un change complet, cela lui écarte un peu plus les cuisses que d’habitude. Sa démarche s’en retrouve modifiée. Si je lui en mets deux, cela devient compliqué. Si elle en a trois, on reste à la maison et elle ne peut plus se déplacer qu’à quatre pattes : comme un vrai bébé !

    — Et tu ne lui en mets jamais plus de 3 ?

    — En fait, au-delà, elle ne peut vraiment plus se déplacer. Cela peut arriver si elle est punie. Je lui mets plutôt deux changes complets l’un sur l’autre et je la laisse dans son lit pendant de longues heures. Ainsi changée, elle ne risque rien, de toute façon.

    Les révélations vont bon train ! Il ne se gêne pas. Il laisse tomber les préliminaires. Et Margaux joue son jeu. Et je me réveille aussi : 

    — Et cela arrive souvent que tu sois punie, Inès ?

    — Non, pas trop, une à deux fois par mois je dirais, mais il n’y a pas que les grosses couches pour les punitions ! Des fois…

    — Je te trouve bien fière de tes punitions, ma petite puce…

    — Non, mais, il y aussi les…

    — On parlera des fessées ensuite, Inès, reprend Margaux…

    Elle me coupe l’herbe sous le pied. Je voulais prononcer le mot la première, mais cette intervention d’autorité me plait bien. Me voilà à ma place, obéissante et excitée.

    — Tu portes donc des couches et tu es langée comme un bébé ?

    — Oui ! C’est important pour moi. Avant je n’en portais qu’en cachette, pour moi uniquement, ou alors très très discrètement. Et puis un jour…

    — Je l’ai surprise, poursuit mon mari.

    — Ah oui ?

    — Elle était restée à la maison un après-midi et s’était assoupie. Je l’ai découverte, sur le canapé, sous un plaid. Elle était lovée contre une peluche et ses fesses dépassaient… enfin, non… pas ses fesses, sa couche ! Je me suis approchée d’elle et l’ai réveillée en douceur en lui disant qu’il était temps de la changer. 

    — J’ai sursauté. Je ne m’attendais vraiment pas à me faire surprendre ainsi. Je me suis confondu en excuses, pleine de honte tandis que, lui, sans détour, m’a demandé si j’avais fait pipi et si je voulais être changée.

    — Elle était penaude et abasourdie. J’ai pris les devants.

    — Il m’a demandé où étaient mes couches. J’ai plutôt tenté de fuir.

    — À l’époque, je lui donnais déjà la fessée en cas de protestation. Alors, j’ai haussé le ton et lui en ai promis une bonne si elle continuait ses simagrées.

    — Il faut dire qu’en bonne petite vilaine, je m’en étais pris une, la veille, pour une erreur… volontaire… d’assaisonnement de plat en sauce. J’avais donc les fesses déjà bien marquées de centaines de coups de cuillère en bois. Alors, j’ai cédé.

    — Elle est repartie dans sa chambre, un peu chafouine, et est revenue avec une couche propre que je lui ai mise sur le canapé.

    — Il m’a dit qu’il me trouvait chou et qu’il ne voulait plus que je lui fasse de cachoterie. Le soir, il me l’enleva et nous avons fait l’amour comme jamais. Toute honte s’était évanouie alors qu’il m’avait baisée, encore assise dans ma couche.

    (A suivre…)

    #90729
    Victor
    Participant


    — Quelque temps plus tard, trois semaines, je dirais, je suis revenu sur son amour pour ces « culottes » ouatées. Elle se promenait à présent, sans gêne, en couche, dans l’appartement et dormait parfois avec, sans problème. Je lui ai donc proposé d’en porter nuit et jour sans discontinuité. 

    — C’était un vrai soulagement. J’attendais cela depuis tellement longtemps alors que je n’aurais osé aborder le sujet la première.

    — Coup de chance ! Les vacances d’été démarraient le soir même et c’est ainsi que notre nouvelle vie commença. 

    — Daddy… Laisse-moi raconter… Il parait que je suis sexy quand je me livre ! dis-je, toute mielleuse.

    — C’est bien vrai, commenta Margaux. Tes petites joues rosissent déjà. Tu es à croquer !

    — Et bien… nous avions trois semaines de congés. Au début, je devais seulement faire pipi dans mes couches, jour et nuit. Les deux premiers jours, nous sommes globalement restés à la maison. J’avais encore le droit d’aller au p’tit coin, si besoin, et si je demandais la permission. Il m’enlevait alors ma couche, me laissait aller aux toilettes, cul nu, m’inspectait sans gêne et me remettait en couche. Les deux jours suivants, je pouvais être seule sur mon trône, mais pour en sortir, je devais l’appeler pour qu’il s’occupe de mes petites fesses. Les deux jours d’après encore, on alla m’acheter un pot que je devais sortir et mettre au milieu du salon pour être observée. 

    — Tu es donc sortie en couche sans problème ?

    — Oui, oui. Je l’ai même mouillé lors de nos achats. C’était si bon de se sentir en sécurité au milieu du magasin et de pouvoir me soulager sans avoir à attendre de rentrer à la maison. 

    — C’est cela qui t’a motivé, au départ, à porter des couches ?

    — Non, pas vraiment. J’en avais entendu parler il y a longtemps, j’avais fait un essai. Et un autre jour, de faiblesse dirons nous, un peu à bout professionnellement aussi, j’ai réessayé, seule, à la maison. Je me suis fait pipi dessus et j’ai vraiment apprécié la sensation de chaleur et de sécurité apportée par la protection. La situation au boulot ne s’est guère améliorée. Et j’ai continué de temps à autre à en porter jusqu’à ce que Daddy me trouve.

    — Et tu fais toujours le même travail, Inès ?

    — Non. J’ai changé ; il n’y a pas si longtemps que ça d’ailleurs, au cours de ma, entre guillemets, « régression ».

    — Peux-tu nous dire quel métier tu exerçais auparavant ?

    — J’étais cheffe de projet. J’avais une vie à 100 à l’heure, très peu de temps pour moi, pour nous, beaucoup de pression. Et dans les jours qui ont suivi la découverte de mes couches par Daddy, je lui ai aussi avoué que cela m’aidait à m’évader. Il m’a dit qu’il trouvait que je me posais beaucoup de questions par rapport à mon boulot et que le moment était peut-être venu d’en changer. J’ai réfléchi et j’ai fini par suivre son conseil, quelque temps après mon retour des vacances, d’ailleurs.

    — Tu disais donc que Jean t’avait acheté un pot…

    — Oui, mais il n’a pas servi bien longtemps.

    — Ah oui ? 

    — Oui, deux jours seulement, puisqu’à partir du dimanche, il me demanda si j’étais prête à me voir interdire pour de bon l’usage du pot et des toilettes. J’eus un moment de flottement, mais je le trouvai très dévoué et très généreux de se prêter au jeu avec une telle facilité. — Cela ne te faisait pas peur ?

    — Si, bien sûr que si. C’est un abandon total et une réelle régression, avec la peur de se faire surprendre en permanence… du moins, au début…

    Ma voix s’était mise à bredouiller.

    — Tu veux bien continuer, Inès ? demanda Margaux.

    — Oui, oui, on est là pour ça. Tu sais, je suis si heureuse de pouvoir me libérer de ce « secret » ! Si mon témoignage peut aider d’autres petites filles et d’autres petits garçons à aller mieux — dis-je en faisant de gros guillemets avec mes doigts sur les mots « petits » et « petites » — et bien tant mieux !

    Donc j’ai dit oui et Daddy m’a dit qu’il allait prendre un peu le contrôle de mon p’tit bidon pour que je puisse m’abandonner et expérimenter de nouvelles sensations à différents moments de la journée. C’est ainsi qu’une trousse à suppositoires est apparue dans ma vie… Daddy, tu continues ?

    — Je voulais qu’Inès ne se retienne jamais puisqu’à partir de ce moment ses nouvelles culottes la protègeraient en permanence. Je m’étais renseigné entre temps : j’avais lu que cette étape de lâcher-prise et d’abandon pouvait être longue et difficile à surmonter au quotidien. Et surtout, je ne voulais pas qu’elle se torde le ventre à se retenir ou pire qu’elle mette un coup de canif dans le contrat en enlevant sa couche pour contourner une difficulté passagère. Comme elle l’a dit, je l’ai équipée d’un sac de change à toujours avoir avec elle dans lequel je l’ai contrainte à avoir des suppos. 

    Je lui en avais acheté d’avance, je l’ai mise cul nu, je lui en ai mis deux dans les fesses et l’on a attendu quelques minutes. Elle m’a regardé presque au bord des larmes et m’a demandé la permission d’aller sur son pot…

    — Bien sûr, il m’a dit non. Il m’a dit que les petites filles étaient justement trop petites et que ma couche était faite pour ça et qu’il serait ravi de me changer si j’étais obéissante. 

    — Elle voulut fuir et aller se cacher. Mais je l’ai poursuivi en lui disant qu’elle n’avait pas à avoir honte et qu’il était tout à fait normal que Daddy ou que quiconque puisse la voir en pareille posture. 

    — Il m’a rappelé que les bébés ne font pas attention à cette confidentialité. J’étais à bout de force. Je n’avais plus aucune capacité de résistance. Je me suis accroupie et est arrivé ce que Daddy avait prévu. Il m’a rapidement changé après m’avoir félicité pour ma confiance et après m’avoir mis quelques tapes affectueuses sous les fesses — tapes que j’ai bizarrement beaucoup appréciées. 

    — Ainsi, nous sommes restés encore trois jours à la maison et un change sur deux, je lui mettais ces suppositoires pour qu’elle s’habitue aux sensations. J’ai aussi espacé le temps entre l’effet des dragées et le moment du change pour qu’elle s’habitue aussi à rester un peu dans cet état sans pouvoir être changée. Je lui ai bien dit qu’elle n’aurait jamais le droit de décider d’un moment de change, même au travail et que si elle essayait de demander elle serait sévèrement punie.

    — Ça n’a pas été trop dur, Inès ?

    — Au début, si, bien sûr. Mais au bout du troisième jour, je m’étais habitué et je n’avais plus honte devant Daddy. Il a alors décidé qu’il était temps qu’on profite des vacances en dehors de la maison. Je n’étais pas très vaillante, mais une bonne fessée de motivation et son autorité ont eu raison de mes hésitations. Et, en plus, pour me faire plaisir, il m’acheta des bodys enfantins, des tétines, et des biberons. Je lui avais confié que j’aurais beaucoup aimé qu’il me nourrisse parfois au biberon comme un bébé et que je puisse porter une tétine de temps en temps, à la maison. 

    — Donc, tu as ensuite dû utiliser pleinement tes couches, en dehors de la maison ?

    — Et oui ! En bon bébé, je n’ai pas vraiment eu le choix. Un matin, lors d’un change, il me mit des suppositoires à retardement, comme ceux reçus juste avant de venir en studio.

    — Tu vas donc nous montrer que tu es un vrai bébé, Inès ?

    — Je crois bien que oui, mais pour le moment, ce n’est pas encore l’heure ! revendiquai-je.

    — Continue alors. Continue ! Tu as l’air si à l’aise d’en parler…

    — J’avais la pression, car il m’avait dit que ça ne viendrait pas aussi vite que d’habitude. Cette composante hasardeuse m’intimidait. Nous avions une virée shopping en perspective pour m’acheter de nouveaux pulls. J’avais vraiment peur du gonflement de ma couche, d’autres éventuels désagréments, et surtout j’avais peur que cela me prenne face à un vendeur ou pire, face à une gentille vendeuse. Et ça n’a pas manqué ! On a marché dans les rues, on est rentré dans une de mes boutiques préférées et quand j’ai essayé un sweat, mon ventre a commencé à me torturer. J’ai résisté un peu. On est rentré dans une autre boutique, je serrais les fesses. J’ai trouvé un pull à ma taille. Daddy m’a obligé à le passer et à venir le lui montrer en dehors de la cabine. Et là, rouge de honte, j’ai craqué. J’avais trop envie et alors qu’une vendeuse arrivait, je me suis accroupie et en regardant mon visage elle n’a pas eu à deviner ce que je faisais. 

    — J’ai renvoyé gentiment la vendeuse en prétextant une maladie. Elle est repartie. Inès a pu rester tranquille devant moi. Nous étions seuls dans le magasin. La vendeuse a eu la délicatesse de fermer la boutique et d’attendre au comptoir.

    — J’ai eu la honte de ma vie. Je me suis relevée en larmes et me suis jetée dans les bras de Daddy dans la cabine d’essayage. J’étais complètement déboussolée. J’étais perturbée d’avoir « relevé » ce challenge, heureuse d’avoir fait plaisir à Daddy, rageuse qu’il m’ait mis cette honte, contente d’avoir été au bout de la démarche. Mais la suite me faisait peur, surtout l’après-vacance. Tout un tas de questions arriva dans ma petite tête. Daddy le vit bien, me pris dans ses bras et me dis que j’avais été très courageuse, une gentille petite fille et que j’avais bien mérité d’être changée. Il me fit garder mon nouveau pull pour éviter de prolonger mon, entre guillemets, « supplice » dans le magasin. La vendeuse ne fit pas de commentaire, me souhaita une bonne journée et nous ouvrit la porte. Sur le chemin du retour, à chaque pas, je me demandais si quelqu’un remarquerait quoi que ce soit en bas de mon dos. Daddy m’assura qu’on ne voyait rien en pétrissant mes fesses et l’on rentra.

    — Et, tu as bien voulu encore porter une couche après cela ?

    — Oui, je m’étais engagée et je ne voulais pas m’effondrer à la première difficulté. Que cette sortie m’ait perturbé, ce n’est pas si étrange. Je ne sais pas comment réagirait quelqu’un d’autre, non initié. Je savais que ce ne serait pas facile. Et puis, de toute façon, Daddy ne m’a pas proposé d’arrêter. Une fois à l’appartement, il m’a changé et m’a dit que je devais continuer d’apprendre à me libérer en toutes circonstances. Il m’a rhabillée et nous sommes sortis toute la journée. J’ai dû faire pipi plusieurs fois en ville. Je n’ai pas eu de fuite. Et, il m’a changée une fois dans la voiture, sur un parking. C’était très perturbant de me retrouver allongée dans le coffre, les fesses à l’air. Mais j’ai apprécié ce « défi ». Il a d’ailleurs vérifié mon excitation en me mettant un petit doigt. On a reparlé du matin. Je lui ai dit que j’avais vraiment eu honte. Il m’a répondu que ce serait ainsi désormais. Il m’a rappelé que les bébés comme moi ne devaient pas se préoccuper des gens qui les regardent. Il a insisté et a précisé que chaque jour, ce risque existerait et que si je voulais continuer à porter des couches, je devais accepter de les utiliser, quel que soit mon besoin. Je lui ai dit mon anxiété et je lui ai dit que j’aimerais qu’il renforce ses mots par des fessées d’avertissement. Mon envie de port de couche était vraiment présente, mais j’avais besoin d’un encouragement, d’un petit quelque chose en plus. Il a accepté. Ainsi un jour sur deux environ, je suis fessée. De cette manière, je garde à l’esprit que je suis un bébé. Je profite de ma condition sans me préoccuper du regard des autres. J’ai confiance en Daddy, je me repose sur lui. Il décide ou plutôt, il me guide. Je me décharge et lui délègue en fait ce qui me pèse et il l’accepte avec amour. Je ne suis plus tout à fait autonome, mais c’est bien le cadet de mes soucis.

    — Tu nous décris un abandon et une soumission quasi totale à ton mari, Inès. Tu as dit ressentir de l’excitation. À quel point ?

     

    (A suivre…)

    #90828
    Victor
    Participant


    — Tu nous décris un abandon et une soumission quasi totale à ton mari, Inès. Tu as dit ressentir de l’excitation. À quel point ?

    — Margaux, j’en mouille chaque jour. Je mouille quand il décide et qu’il me guide vers des choses qu’à la base je ne veux pas faire et qui au final s’inscrivent dans mon quotidien. J’ai souvent envie qu’il me touche, qu’on fasse l’amour ou même qu’il me sodomise… jusqu’à la garde, ajoutai-je toute souriante.

    — Et donc, un bébé fait-il plus l’amour qu’une jeune femme ?

    — Mais ! Je te trouve bien curieuse, dis-je en riant. En effet, tu as raison. J’ai moins de rapports sexuels qu’avant, mais ils sont plus intenses. Avec le temps, Daddy a sanctuarisé les pénétrations. Il le fait désormais avec d’autres, à l’appartement dans son lit à lui, pour me rendre jalouse et désireuse. J’entends ces femmes crier et gémir quand il les prend à ma place. Cela m’excite d’autant plus que je n’ai jamais accès à ma chatte — même quand on couche ensemble, je ne me touche pas. Je pense tout le temps à baiser, en fait. Mais au quotidien, tout au plus, il me caresse lors des changes ; il me met quelques doigts dans les fesses quand il m’enfonce les suppositoires et parfois par devant, mais sans me faire jouir. Il me frustre systématiquement et s’amuse de me voir grogner sur ma tétine.

    — Jean, elle a parlé de ton lit. Vous faites chambre à part ?

    — Oui, c’est venu rapidement. Je m’étais rendu compte qu’elle veillait beaucoup et qu’elle ne récupérait pas assez. Je voyais aussi que plus j’insistais sur sa soumission et sa régression, plus elle était heureuse même si parfois je devais lui expliquer les choses avec une bonne fessée. Alors, on a transformé l’appartement. Le dressing est devenu une chambre. Je lui ai acheté un lit à barreaux, version adulte et je lui ai dit qu’elle y dormirait toutes les nuits — à partir de 20h30 sauf dérogation — et pour toutes les siestes. On y est allé progressivement. D’abord un jour sur deux, pendant quatre jours, puis deux sur trois durant six jours, puis elle m’a indiqué spontanément qu’elle se sentait prête à dormir seule, comme un bébé, a-t-elle insisté. C’est à ce moment que je lui ai dit que ce qui était notre chambre devenait la mienne, celle de Daddy et que je pourrais voir d’autres femmes sans lui rendre de comptes. Et même que ces femmes pourraient s’occuper de changer ses couches, de lui donner le biberon, etc.

    — Tu ne t’es pas sentie trahie, Inès, en perdant ta place… sexuellement, je veux dire ?

    — J’ai perdu ma place dans le rythme des pénétrations, c’est sûr, mais pas dans le cœur de Daddy. Je suis bien plus heureuse qu’auparavant. Mon mari s’occupe bien plus de moi qu’avant. Ça n’a pas de prix ! Bien entendu que je suis jalouse quand je suis dans mon lit à barreau, que je l’entends faire l’amour à des femmes d’un soir, voire même à certaines de mes amies. Mais j’en retire un grand état d’excitation et lorsque parfois il m’autorise à passer un peu de temps au lit avec lui, c’est tout simplement magique. Je suis si excitée que j’explose !

    — Est-ce que parfois, Jean, tu obliges Inès à te regarder faire l’amour avec d’autres femmes ?

    — Ça arrive parfois, oui. Si je veux accentuer son désir, il m’arrive  même d’inviter deux amies en même temps et alors j’attache mon bébé face au lit pour mieux la torturer.

    Cela le fait rire.

    — Et si l’on en revient à la régression que tu as imposée, comment s’est passée la suite des vacances ?

    — J’ai alterné suppositoires et petits lavements pour lui imposer les choses. Je l’ai emmené dans des magasins et l’ai contrainte à se laisser aller en pleine discussion. Même aujourd’hui, elle n’est pas forcément à l’aise avec tout le monde quand cela arrive. Quand elle sent l’envie venir, elle doit y céder immédiatement. Il se peut qu’elle pleure un peu, mais cela fait partie de sa vie. 

    — Ensuite, on a invité mes meilleures amies à la maison pour des apéros ou des repas. La première fois, c’était lors d’un diner, l’envie est venue d’un coup. Je mangeais, je discutais et j’ai dû lever mes fesses du siège. Comme Daddy me l’avait demandé, j’ai regardé mon amie dans les yeux, je lui ai dit que j’étais désolé et je n’ai plus opposé aucune résistance. Il a avoué à mon amie que je n’étais plus capable de me retenir très longtemps et lui a demandé s’il pouvait me changer au salon ou si elle préférait qu’on aille dans ma chambre. Elle lui a proposé de me changer à sa place et il a accepté. Cet épisode m’a beaucoup troublée. D’ailleurs, ce jour-là, alors qu’on débarrassait, Daddy a demandé à mon amie si elle voulait me mettre au lit pour la sieste. Les épisodes de honte et d’humiliation se sont enchainés toute la journée. Après m’avoir couché et fait boire un biberon dans mon lit, Daddy a su la séduire et ils ont baisé pendant deux heures alors que je somnolais dans mon lit. J’étais folle de rage. D’ailleurs, quand ils sont venus me réveiller, je leur en ai fait part et ils n’ont pas à tarder à me donner une bonne fessée. Ils m’ont recouchée et pour le coup, elle a offert une nouvelle fellation à Daddy, juste sous mes yeux. J’ai compris ce jour que je devais céder ma place et trouver le moyen de m’épanouir sexuellement autrement et j’ai fini par prendre gout à ce pluralisme. 

    — Tu n’en as pas voulu à ton amie ?

    — Si, au début, mais on s’est réconciliées. Je lui ai fait la tête pendant une semaine et puis je lui ai demandé de me raconter ses ébats en détail. J’ai adoré l’écouter. Je voulais me toucher. Je le lui ai même dit. Elle a ajouté plein de détails croustillants. Elle a vu que cela me faisait de l’effet. Je lui ai fait les yeux doux pour qu’elle me change et qu’elle me fasse jouir. Mais elle m’a laissée sur ma faim et est allée répéter ma question à Daddy. J’ai récolté une sacrée bonne fessée pour avoir osé demander un change.

    — Dure réalité de la vie de petite soumise… le respect des règles, ma puce…

    — C’est vrai, je dois obéir si je ne veux pas être punie.

    — Petite balance, quand même, cette amie, non ? ajouta Margaux.

    — Oh ! Tu sais, je ne lui en veux pas. Je lui ai pardonné. Maintenant, elle vient souvent s’envoyer en l’air et me raconte toujours tout ensuite. Parfois, elle reste même toute la nuit et vient me réveiller avec un biberon. J’ai vraiment pris conscience de son pouvoir et du pouvoir d’excitation de ses récits ou de ceux des autres copines de Daddy. Je prends vraiment mon pied à les écouter. En général, dès qu’une femme témoigne de la séance d’ébats qu’elle a pu avoir avec lui, je mouille — je trépigne quand elles viennent me voir et je mouille dès qu’elles ouvrent les lèvres pour témoigner. Je crois que je suis un peu maso !

    — Donc au bout de trois semaines, tu es passée de porteuse de couche occasionnelle à bébé en couches 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, en chambre dédiée, avec des siestes à respecter, l’interdiction d’aller aux toilettes, de te toucher et l’entre guillemets « devoir » d’accepter que ton mari couche avec qui bon lui semble et beaucoup plus avec elles qu’avec toi. C’est ça ?

    — Oui, c’est bien ça ! 

    — Mais cela sommeillait en vous, non, Jean ?

    (A suivre…)

    #91045
    masterjean
    Participant


    un magnifique recit……….

    #91061
    Victor
    Participant


    Merci à tous pour les p’tits pouce en l’air et vos p’tis coeurs, les commentaires et les superbes discussions en aparté.

    Voici la suite de l’interview de cette soumission régressive…

    ***

    — Mais cela sommeillait en vous, non, Jean ?

    — Oui bien évidemment. Nous avions déjà des rapports avec d’autres filles, mais avant, Inès était de la partie. Et elle aussi voyait d’autres hommes. Notre pratique libertine a quelque peu évolué : « tout simplement » !

    — Moi j’aimais déjà bien regarder Daddy coucher avec d’autres filles. Cela m’excitait. Mais avant, elles partaient et je prenais leur place immédiatement. Maintenant que je suis une vraie little, que je vais me coucher tôt, que je fais des siestes, Daddy profite longuement de ces autres filles. Ses « écarts » hors mariage font monter mon désir de manière incroyable et nos retrouvailles n’en sont que chaque fois meilleures, surtout que maintenant, Daddy limite même mes temps de pénétration. Recevoir sa bite en moi est vraiment l’ultime « récompense » à laquelle je peux prétendre. Et surtout, j’aime ce contrôle qui peut paraitre un peu extrême. 

    Et Morgane changea de sujet. Quelle vilaine celle-là !

    — Le retour au travail n’a pas été trop difficile ? Comment avez-vous organisé ton retour ?

    — J’avais encore un certain quota de congés disponible. J’ai demandé à pouvoir en profiter pour ne revenir qu’à mi-temps dans un premier temps. Et mon chef a dit oui.

    — Je l’ai donc envoyée langée, mais sans suppositoires le premier jour. 

    — Tout s’est bien passé, j’ai fait pipi plusieurs fois, personne n’a rien remarqué, et je l’ai dit à Daddy.

    — Le lendemain, je lui ai fait sauter le pas. Je l’ai envoyée au travail avec des suppositoires à effet retardant dans les fesses et je le lui ai dit. Elle savait qu’en fin de matinée, elle n’y échapperait pas.

    — Et tu as réussi à rester au travail toute la matinée ?

    — Ça n’a pas été facile, je travaille dans un open-space. Vers 11 h 45, j’ai eu une envie terrible. Et puis, je voulais revenir fière auprès de Daddy. Je ne voulais pas me prendre une fessée pour avoir refusé la situation. Alors, je me suis laissé aller. Je me suis accroupie devant mon bureau. On m’a demandé si ça allait. J’ai répondu que je cherchais simplement quelque chose dans mes tiroirs. Mais j’ai dû m’arrêter de parler pour me concentrer. Mon silence a suscité la curiosité de mon interlocutrice : elle m’a proposé de me venir en aide. Je lui ai demandé de me laisser tranquille et elle est partie. Je suis restée en bas le temps nécessaire. Je me suis relevée, rouge et honteuse. J’ai rassemblé mes affaires et je suis partie à toute vitesse, quelque peu handicapée par le volume de ma couche et craignant que quelqu’un ne le remarque.

    — Jean, tu étais vraiment fier d’elle ?

    — Extrêmement fier ! L’après-midi, elle a eu le droit à plusieurs orgasmes d’ailleurs. Et puis le lendemain, je lui ai mis des suppositoires à effet différé moins lointain pour qu’elle puisse profiter de deux heures calmes et de deux heures d’une expérience nouvelle. 

    — Ça a été ?

    — Ça n’a pas été évident. Comme la veille, je n’ai su me retenir que quelques secondes. J’ai dû céder rapidement. C’était difficile, mais j’accumulais de l’expérience. J’étais dans le bureau d’un collègue. Je ne voulais pas m’accroupir. J’ai prétexté une crampe au ventre pour prendre appui sur un meuble. J’ai tout lâché. Heureusement pour ma discrétion, aucun bruit ne m’a trahie. Mais c’était très humiliant et… très excitant. 

    — Mais au bout d’un moment, tu as bien dû reprendre le travail à plein temps ?

    — Et oui, j’y pensais tout le temps. Je me demandais bien comment je pourrais passer toute une journée au travail si une envie me prenait le matin… au bout d’un certain temps, c’est quand même sympa d’être changée ! Cela a duré quelques semaines seulement. Pour les journées complètes, Daddy restait modéré. Il m’obligeait le matin un ou deux jours par semaine. Des fois, il faisait en sorte que l’envie me prenne tard dans la journée ou seulement de retour à la maison. D’autres jours, il était clément et je ne recevais pas de suppo. 

    — Et personne ne t’a jamais grillé ?

    — Si, l’une de mes amies et collègues m’a trouvé bizarre plusieurs fois. J’ai fini par lui avoué et elle a bien réagi. 

    — Elle t’a proposé de te changer ?

    — Non quand même pas, mais je lui aurais dit oui, sans hésitation !

    — Et cela n’a pas fini par te peser de ne pas pouvoir être changée au cours de tes journées de travail ?

    — Si, et c’est ce qui a accéléré les choses du côté pro. Je ne m’épanouissais plus au travail depuis longtemps, et ma nouvelle vie de bébé et de soumise me plaisait de plus en plus, et bien plus que ce fichu boulot. On en a parlé avec Daddy, nous avions quelques sous de côté et j’ai démissionné. Je voulais depuis longtemps monter ma boite…

    — Dans quel domaine du coup ?

    — On a bien réfléchi afin que mon nouveau boulot soit compatible avec ma dépendance aux adultes. 

    — Tu ne te considères vraiment plus adulte ?

    — Si, mais non… (A suivre…)

    #91263
    Victor
    Participant


    — Tu ne te considères vraiment plus adulte ?

    — Si, mais non… j’en suis tellement dépendante en fait. Je suis entre deux.

    — Si ça ne va vraiment pas, tu peux quand même arrêter, non ?

    — Oui bien sûr. C’est une soumission consentie entre adultes pour le coup. J’ai toujours ma liberté et si je veux tout arrêter, je peux.

    — Tu as un safeword ?

    — Oui, mais on n’en a jamais eu besoin. Nos échanges sont fluides et l’on se comprend d’un simple regard. 

    — Qu’est-ce que tu ne fais plus ? Qu’est-ce que tu fais encore ?

    — Quand on discute, si je n’ai pas ma tétine, je peux exprimer mon opinion. Je n’ai juste pas le droit de demander de change. J’écoute toujours les infos, on a des discussions sérieuses, mais j’ai besoin de Daddy dans les gestes du quotidien. Je ne prends plus de douches seule. Il me donne le bain tous les jours ou me lave au gant, sur ma table à langer. La plupart du temps, Daddy me donne à manger à la petite cuillère de tout petits morceaux si ce ne sont pas des bouillies. Au restaurant, il commande pour moi, j’adore. Et la plupart du temps, il me commande des menus enfant. Il me confisque mon couteau et ma fourchette. Il me coupe ma nourriture et je ne mange qu’avec une petite cuillère. C’est assez humiliant quand on est avec des copains, mais je m’y fais de plus en plus. Et si je grogne, il n’hésite pas à faire débarrasser mon assiette et il demande qu’on remplisse mon biberon avec un lait fraise. 

    — Du lait fraise ? Et sur les boissons, il y a-t-il des interdits ?

    — Tu veux parler d’alcool ? Ce n’est pas pour les enfants ! dis-je en riant.

    — Même pas du panaché ? 

    — Même pas ! Et tu sais quoi ? Ça ne me manque pas du tout ! 

    — Tu préfères tes biberons ?

    — Oui ! Avec du jus de pomme !

    — Tu en veux un, pour nous parler des choses que tu ne fais plus comme une grande ?

    — Ah oui !

    — Du coup qu’est-ce que tu ne fais plus ?

    — Je ne conduis plus. Je monte systématiquement à l’arrière. Je m’y sens mieux. Je ne regarde ni la route ni les panneaux. Je profite des paysages, comme dans le train. 

    — Ce n’est pas problématique pour ton boulot ?

    — Non. On se fait tout livrer et c’est à côté de l’appartement. J’y vais en vélo la plupart du temps ou Kelly, mon amie et collègue passe me chercher et l’on y va à pied. Je ne m’occupe plus des comptes à la maison, des papiers, et de ce genre de choses. Daddy le fait très bien. Je n’ai que ma petite entreprise à gérer. 

    — Tu as encore ta carte bleue, quand même ?

    — Non plus, comme ça pas d’écart ! Daddy me donne un peu d’argent chaque jour et si j’ai une envie particulière, j’économise dans ma tirelire.

    — C’est toi qui as demandé à ne plus gérer ça ?

    — C’est venu petit à petit, d’un commun accord.

    — Tu ne t’es jamais fait prendre à ton propre jeu ?

    — Oh si ! Une fois, je me suis aventurée dans une boutique. J’y ai essayé plein de choses ! Mais au moment de payer, je me suis aperçu que je n’avais que mon petit portefeuille avec mes papiers, un billet de cinq euros et mon porte-monnaie avec tout au plus quinze euros en pièces rouges.

    — Cela du être très humiliant…

    — Oh ça n’a pas été le pire ! reprit Daddy. Tu poursuis, Inès ?

    — Eh bien…

    — Un trou de mémoire, ma puce ? 

    — Eh bien, en fait, j’ai demandé à emprunter le téléphone du magasin et j’ai appelé Daddy.

    — Tu n’as plus de portable.

    — Non, ce n’est pas pour les bébés !

    — Et tu es venu, Jean ?

    — Bien entendu, une telle occasion n’allait pas se représenter de si tôt… Hein, Inès ?

    — Il est venu. Il a demandé ce qu’il fallait régler. Il n’a rien dit. Il a souri et il m’a même tout fait re-essayer. Il m’a trouvée superbe ! Et il a dit : « Inès, on laisse tout ! Je vais dédommager ces vendeuses pour le temps perdu et toi tu vas prendre une bonne fessée ! ».

    — Devant tout le monde ?

    — Oui, il a annoncé cela devant tout le monde ! Je me suis faite toute petite. Il a pris le billet de cinq dans mon portefeuille et il a vidé tout mon porte-monnaie sur le comptoir. La honte ! Il s’est excusé de la faiblesse du montant et a rajouté un joli billet.

    — Les vendeuses étaient super gênées, je leur ai présenté mes excuses et l’on est vite rentrés pour que je sois punie. 

    — Tu as eu mal aux fesses ?

    — Un peu oui… Il n’a pas été tendre et puis j’ai dû copier 500 fois, toute la journée du coup : « Je ne vais dans les magasins que si je peux m’offrir ce que je désire ».

    — Sacrée punition !

    — Ce n’est pas tout, j’ai eu 500 autres lignes : « Je n’appelle pas Daddy pour rattraper mes bêtises ». 

    — Tu y as passé tout un week-end du coup…

    — Oui, mais cela m’a servi de leçon. D’ailleurs quelque temps plus tard je suis retournée dans ce magasin pour m’offrir ce que j’avais essayé. 

    — Tu n’as pas eu trop honte ?

    — Un peu, mais les vendeuses étaient plus gênées que moi et j’ai détendue l’atmosphère en disant que c’était notre mode de jeu… de vie plutôt. Elles m’ont souri, c’était une fin de journée, on a discuté deux minutes et je les ai invitées à prendre un pot à la maison. Elles étaient curieuses de ce côté punitif. Daddy leur a montré des instruments. Et l’une d’entre elles a voulu essayer. (À suivre…)

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 9 mois et 4 semaines par Victor.
    #91630
    Victor
    Participant


    … Et l’une d’entre elles a voulu essayer. 

    — Sur elle ? Il lui a baissé sa culotte ?!

    — Oui !! C’était une soirée vraiment géniale. On se voit régulièrement maintenant. Elles ont fini par se mettre en couple. Elles couchent parfois avec Daddy, elles aussi. Il les coache en matière de fessée. Elles ont fini par apprendre mon petit secret, et s’occupent parfois de ma couche. Des fois quand je passe devant la boutique, elles m’interpellent, vérifient ma couche et si besoin, me changent dans l’arrière-boutique. 

    — Dément ! 

    — Carrément !

    — D’autre chose que tu ne fais plus ?

    — Je ne vais plus seule chez le médecin. Daddy m’accompagne et il gère mon body si je dois montrer mon thorax. Pour aller à la piscine, c’est lui qui m’enlève mon body pour me mettre un maillot spécifique bien étanche et flottant. 

    — Avec des brassards ?

    — Euh… oui… parfois.

    — Et tu aimes ?

    — Je suis souvent gênée, mais j’adore toutes ces attentions du quotidien. Je suis sur un petit nuage.

    — Et donc, quel métier te permet de rester sur ton nuage ?

    — J’ai monté un lieu de vie, pâtisserie, salon de thé, bibliothèque, librairie.

    — Mais tu ne risques pas trop d’être exposée en cas de besoin.

    — Si, mais la plupart du temps je travaille à l’arrière : à préparer des gâteaux, gérer les commandes, faire la vaisselle, choisir des livres, gérer le peu d’administratif que nous avons. Bien entendu, parfois je sors en salle pour servir les commandes, donner des conseils de lecture, ranger, faire la caisse. 

    — Et si je te suis, tu ne travailles pas seule. Des employées s’occupent de toi ?

    — Oui, j’ai fondé « Le paradis d’Inès » avec ma meilleure amie qui elle est spécialiste en café et thé. On torréfie nos cafés et elle parcourt le monde à la recherche de thés. 

    — C’est cette même amie qui a couché avec ton Daddy ?

    — Celle-là même ! Tu vois, je ne suis pas rancunière.

    — Tu lui as vraiment bien pardonné !

    — Oui, je l’aime trop ! On se connait depuis si longtemps, si tu savais. Et puis, elle est si douce avec moi. 

    — Et, elle te met des suppos ?

    — Ça arrive oui puisque ma trousse à paillettes est accessible aux gens qui me changent ! Et si c’est un premier change, j’informe la personne entre mes cuisses que si elle en a envie, elle peut me soumettre aux suppositoires.

    — C’est diabolique ! Tu es une petit peu maso, quand même…

    — Un peu… soumise surtout, mais ce n’est pas insurmontable… d’ailleurs, désolé, mais je crois que ça fait presque une heure qu’on m’en a mis et je dois…

    — Elle va…

    — Là, je crois que oui, regarde comme elle grimace, réponds Daddy.

    Margaux m’encourage et me regarde. Elle a l’air curieuse et circonspecte. Je ne peux plus parler. Je souffle. Je soulève les fesses de mon tabouret et prends appui sur mes coudes, sur la table. C’est vraiment… Je ne sais quel dosage j’ai reçu, mais ça ne plaisante pas. J’ai vraiment très envie. Daddy en profite pour m’exhiber : 

    — Tu serais mieux à quatre pattes, ma chérie. Viens devant ton public, dit-il en me tendant la main.

    Je n’ai pas vraiment envie d’obéir, surtout que le binôme de caméraman est revenu. Je lui tends la main, Margaux aussi m’aide à me lever. Ils m’aident à descendre. Je me retrouve face à tous ces inconnus. Un caméraman s’assied devant moi et fixe mon visage. Derrière, Daddy relève ma jupe, l’autre technicien fixe le body qui couvre mes fesses. Les larmes montent, je ne résiste pas à cette vague de honte. Je suis en train de céder, à 4 pattes, en direct à la radio et sur plusieurs dizaines de plateformes web à visage découvert. Je lâche tout. Je gémis. Ma couche gonfle à l’arrière, comme une baudruche. Je ne me maitrise rien et j’inonde l’avant de mes langes d’un interminable flot. Je souffle de soulagement. Ça va mieux. Margaux m’aide à me relever et me prends dans ses bras. Elle remet mes cheveux derrière mon oreille. « Bravo, Inès, tu l’as fait… »  Je suis en larmes sur son épaule, mais tellement fière. Elle laisse ma robe retomber et malaxe ma couche à pleines mains. J’aime beaucoup ce genre d’attention. Elle me ramène à mon siège et m’aide à m’assoir. Je prends garde à ne pas chuter trop violemment sur le tabouret. Je ne voudrais pas provoquer une fuite malheureuse.

    — Comment te sens-tu Inès ?

    — Ça va mieux… C’est plus facile à la maison, en balade ou même en boutique devant un client plutôt qu’ici sachant que des milliers de personnes m’ont vue sur le web.

    — Oui, mais pour le moment tu es habillée ; on ne t’a pas encore changée. Tu as déjà montré tes fesses à autant de personnes ? 

    Je panique légèrement et saisis mon doudou et le sers contre moi. 

    — Non…

    — Ce serait trop pour toi, Inès ?

    — … Non, je veux bien continuer. Je suis tellement contente de pouvoir partager mon quotidien et m’exposer ainsi même si je baigne entre deux sentiments contraires.

    — Tu disais qu’en boutique il t’arrive ce genre de mésaventure…

    — Oui, ça lui arrive. C’est la vie, pardi ! Enchaina Daddy, conscient de mon malaise. Elle n’a pas le droit de résister. Alors si ça vient, ainsi soit-il ! 

    Je repris la main :

    — Cela se voit de moins en moins quand même. Depuis le temps, je suis capable de me relâcher debout en discutant avec un minimum de gêne. Je ne suis pas obligée de m’accroupir ou de me mettre à quatre pattes comme aujourd’hui. Si ma collègue me l’ordonne, j’obéis, mais sinon je reste debout ou dans la position dans laquelle je me trouve. 

    — Elle vérifie souvent ta couche ?

    — Une fois par heure, je dirais. Des fois, elle le fait en pleine boutique quand nous avons peu de monde. Elle m’attire dans un coin lecture, elle soulève ma robe, écarte mon body, et ma couche. J’ai tellement honte quand elle fait ça et j’ai si peur d’être surprise. 

    — On vous a déjà surprises ?

    — C’est arrivé une fois, mais c’était ma sœur. 

    — Ta famille est au courant ?

    — Ma sœur sait tout… elle le savait avant… on était tombée toutes les deux sur un site AB, et l’on en avait parlé. On avait essayé chacune de notre côté et l’on en avait rediscuté. Elle a continué occasionnellement comme moi et s’occupe de moi de temps en temps maintenant.

    — Et hormis ta sœur ?

    — Je n’ai plus qu’elle. C’est plus facile à gérer du coup, dis-je en souriant, un peu gênée.

    Margaux capte mon malaise et prolonge tout naturellement la conversation en se levant et en me tendant la main :

    — Viens, Inès, prends ton lion. Je vais te changer.

    Jolie  touche d’affection que  de penser à  mon doudou. Je ne veux pas réfléchir et lui serres la main. Daddy se lève et nous accompagne…

    Les caméramans sont déjà là pour espionner la scène. Daddy disparait un instant. Je crois  qu’il s’assoit près  de l’extrémité du matelas. Margaux me fait face, elle n’aurait qu’à me pousser un peu pour me coucher sur le matelas. 

    Nous portons des micros sur oreille. L’interview peut continuer. 

    Margaux sent que je ne suis pas rassurée. Elle me chuchote en me prenant le poignet tout doucement :

    — Je vais te changer ton body aussi, Inès. 

    Mon cœur s’emballe. Je ferme les yeux. Je mouille un peu plus ma couche pour me détendre. Je suis soulagée. Margaux ouvre le col de ma robe, elle me demande de lever les bras et me déshabille. Elle prend l’élastique de mon collant en laine blanche, me regarde, s’accroupit et le descend. Elle déboucle mes chaussures babi vernies et j’en  descends. Elle me fait quitter définitivement mes collants. Il fait bon dans le studio. Elle se relève en soupesant ma lourde couche entre mes cuisses. Je suis intimidée. Margaux est sportive et musclée. Elle se colle à moi. Elle me dit :

    — Enlace-moi, je vais te porter. 

    Je l’enserre. Elle me prend par les cuisses. Je suis dans ses bras. Je pose ma tête sur son épaule. Je capte l’objectif d’une caméra et je suce mon pouce. Je me sens mieux. Elle me pose sur le matelas et m’allonge. Lorsque ma tête touche le matelas, le sourire de Daddy apparaît. Il me caresse le visage, amoureusement. Margaux, entre mes cuisses, défait les pressions de mon body. 

    Petite montée d’adrénaline. 

    Elle découvre ma couche à crocodiles colorés. Je me relève, assise.

    — Prête ?  me demande-t-elle.

    Je lève les bras sans rien dire et lui donne mon approbation d’un clin d’oeil. Elle trousse ma dernière armure et la remonte. Je me pince encore les lèvres. Je plonge mes yeux dans les siens. Elle découvre mes seins. Je sens une petite fraicheur. Je pointe. Je mouille… je suis nue… enfin… presque. Je me rallonge. 

    — Allez, Inès ! 

    Elle défait les quatre scratches de ma couche. La tension sur ma ceinture s’évanouit. Je sais que les caméras m’observent. Je capte le regard de l’une d’entre elles, robotisée, juste au-dessus de moi. Je vois son iris s’ouvrir et sa focale avancer. Je lui souris. Daddy me donne mon lion. Je me cache. Je me découvre. Je cache mes seins. Je quémande un baiser. Il me le donne tandis que Margaux ouvre la couche et constate les dégâts. 

    — Eh bien… tu ne t’es pas loupée, petite puce. 

    Je souris et réponds un peu bêtement :

    — C’est fait pour, non ?

    Margaux éclate de rire. 

    — Alors, Inès, ça va, les seins à l’air ? Tu joues avec la caméra ?

    — Mmmm… oui… ça va. 

    — Tu es prête à montrer tes fesses et ton p’tit minou ?

    — Mmmm… j’crois qu’oui !

    Margaux lave mon pubis et même un peu plus… Elle soulève mes jambes et me demande de les tenir. Je suis très exposée et puis… j’ai déjà été plus propre ! Je vois le caméraman se déplacer vers mes fesses. J’ai un peu honte quand même. Margaux le fait patienter. Elle tire ma couche vers elle et finit de m’éclaircir la peau. Le froid des lingettes m’excite. Elle jette la dernière et roule ma lourde culotte. La caméra prend place entre mes cuisses. Celle au plafond se déplace vers ma chatte. Je n’hésite pas à écarter les cuisses. Je suis si fière de moi. Je suis enfin toute nue comme un bébé sur son matelas à langer et je ne me préoccupe pas du regard des autres personnes. Je fais la star. Je joue avec mon lion. Margaux revient avec une bassine, des éponges et des petites serviettes. Elle me nettoie calmement de la tête aux pieds. J’apprécie. Elle me tourne sur le ventre et me nettoie le dos. Elle presse une éponge et de l’eau coule entre mes fesses jusqu’à mon sexe. Je profite de me faire dorloter. Elle me sèche. J’adore ! Elle me remet sur le dos, me talque, me crème les fesses et me remet une couche, avec un insert, encore une fois. Et elle me renfile quatre suppositoires. J’aime qu’elle garde son doigt en moi. 

    — Ça ne te fera pas de mal ! lance-t-elle.

    Je ris. Elle ferme la couche, bien serrée, me remet un body et me rhabille. Je suis totalement désinhibée. Je viens de montrer mes fesses, ma frimousse, mes seins et ma chatte, à la planète entière. J’ai mouillé et rempli ma couche à la radio. Je suis invincible !

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