L’institut Sainte Catherine

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  • #88306
    lunapower
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    Héloïse était pensionnaire d’un institut pour jeunes étudiantes catholiques, les règles y étaient strictes. Le port de l’uniforme dans le style des boarding-school anglaises était de rigueur : jupe plissée grise, chemisier et lingerie en coton blanc et babies vernies, des temps d’étude obligatoires, le couvre-feu était fixé à 22H30 et toute activité sexuelle y était bien sûr proscrite. Les étudiantes, future leader de demain, avaient toutes accepté les règles ou d’en subir les conséquences…

    Héloïse avait été surprise plusieurs fois par la surveillante en train de se masturber, des rapports avaient été envoyés à la Mère-supérieure et ce matin elle était convoquée dans son bureau…

    Elle attendait fébrilement, jouant frénétiquement avec ses doigts ne sachant que trop bien que ces visites étaient rarement sans conséquences… Elle se remémora sa voisine de chambre qui se retrouva langée pendant une semaine pour être rentrée ivre et s’être abandonnée devant la surveillante. Elle se rappela l’avoir vue nue en train de se faire talquer le derrière qui portait les stigmates d’une correction puis être mise en couche alors que la porte de sa chambre était grande ouverte. Elle n’avait jamais osé lui en parler mais cette image l’avait profondément troublée, augmentant son activité masturbatoire.

    La porte s’ouvrit sur un bureau austère, une reproduction du jugement dernier de Michel Ange ornait le mur du fond. Assis derrière une grande table en chêne se trouvaient la Mère-supérieure, la surveillante ainsi qu’un homme en blouse blanche, le médecin qu’elle avait rencontré lors de son arrivée. Les murs étaient couverts de bibliothèques et de porte dossiers. Un prie-Dieu trônait au centre de la salle. Elle fût invitée à s’y installer. Elle s’agenouilla et remarqua de part et d’autre deux portes ouvertes dans le renfoncement des rayonnages.

    La Mère-supérieure sorti ses lunettes et commença par la lecture ses bulletins de notes qu’elle constata en baisse significative puis rapports de la surveillante.

    Lundi 23 avril : après m’être occupée de changer Mlle de la Villardière, je suis entrée chez Mlle de Bonneville qui avait sa main sous sa jupe et l’air gêné.

    Jeudi 26 avril : j’ai entendu des bruits suspects venant de la chambre de Mlle de Bonneville, étant appelée d’urgence je n’ai donné suite.

    Au fur et à mesure de ces énumérations, Héloïse devenait de plus en plus rouge n’osant croiser les regards de ses accusateurs. Le paroxysme fût quand la surveillante sortit le vibromasseur rouge à lèvre trouvé dans sa chambre. Elle se félicita de ne pas avoir fait venir ses parents ni quelconque témoin tant sa gêne était grande.

    La Mère-supérieure lui demanda si elle avait quelque chose à ajouter ou dire pour sa défense. Incapable de prononcer un mot, elle remua simplement la tête.

    La surveillante lui demanda alors de se mettre en sous-vêtements et de reprendre sa place pour l’énoncé des sanctions. Elle s’exécuta honteuse de se retrouver à 22 ans en lingerie somme toute, enfantine, et blêmit à l’énoncé de sa condamnation. Elle allait d’abord subir un examen médical afin de s’assurer que tout allait bien sur le plan gynécologique et subirait ensuite une correction pour son manque de concentration, la possession d’objets interdits ainsi qu’un châtiment spécial pour lui passer l’envie de se caresser. La Mère-supérieure lui rappela que tout comme elle s’était rendue à cette convocation de son plein gré elle avait aussi le pouvoir de quitter l’institution si elle en avait envie, insistant qu’elle n’aurait aucun mal à réussir seule ses examens mais que cette correction l’aiderait à tirer le meilleur d’elle-même. Héloïse ne mit pas longtemps à accepter sa sentence, consciente du fait qu’elle avait encore besoin d’un cadre, voyant la difficulté qu’avaient quelques-unes de ses amies extérieures. Elle avait aussi longtemps enfoui cette attirance pour la discipline traditionnelle et la vue du derrière meurtri d’Angélique avait ravivé cet attrait. La boule au ventre elle se leva et alla signer le registre de punition.

    Les trois personnes se levèrent et la surveillante l’emmena dans la pièce située sur sa gauche, une infirmerie dans le style des années 50 aux murs en carrelage blanc éclairée au néon. Une table d’examen avec des étriers, un paravent séparait des toilettes et une douche, des colonnes en verres où étaient rangé des instruments médicaux : spéculums, boc à lavement… ainsi que des langes de différentes tailles.

    Ils entrèrent dans la pièce et l’on demanda à Héloïse de se dévêtir entièrement et d’aller uriner avant l’examen. Mortifiée, elle resta immobile. La surveillante prit alors les choses en mains, la plia sous son bras lui baissa sa culotte et se mit à lui claquer copieusement les fesses. Une sensation étrange envahit Héloïse au fur et à mesure de la fessée, elle n’avait pas été fessée depuis ses 12 ans et dans ses souvenirs elle ne se rappelait pas avoir trouvé cela aussi troublant et décida donc de se laisser guidée. Le bruit des claques étaient amplifié par les murs qui agissaient comme une caisse de résonnance, la cuisson des claques la faisait gesticuler et sa culotte tomba rapidement à ses pieds. La correction cessa et elle leva les pieds pour dégager sa culotte en signe de soumission. La surveillante lui dégrafa son soutien-gorge qui rejoignit sa culotte et relâcha son étreinte. Héloïse se précipita vers les toilettes, le contact de la faïence froide sur ses fesses bouillantes lui fit une drôle de sensation qu’elle ne trouva pas si désagréable. Le paravent lui préservait un semblant d’intimité mais elle ferma les yeux afin d’occulter la présence des autres personnes. Elle prit le bocal destiné à l’analyse et le remplit consciencieusement puis s’essuya et constata que la situation ne l’avait pas laissée indifférente. Elle ramena ensuite son échantillon au médecin de l’autre côté d’un paravent. Il le referma légèrement et l’invita à s’installer pour prendre sa température. Héloïse grimpa sur la table et se mit à quatre pattes dessus. Le médecin un peu surpris lui fit remarquer qu’il avait des appareils modernes mais qu’il ne voyait pas d’inconvénient aux anciennes méthodes, joignant le geste à la parole il déposa un peu de vaseline sur son anus et y enfonça un thermomètre. Consciente de sa bévue elle devint aussi rouge que ses fesses, elle tourna la tête et aperçut les deux femmes en ombre chinoise ce qui augmenta d’un cran son trouble. Le médecin lui retira l’instrument et passa un coup de lingette sur son petit trou. Il l’invita ensuite à se peser et mesurer puis plia le bout de la table afin de pouvoir l’examiner. Il lui prit ses constantes, testa ses réflexes. Un examen très classique, si ce n’est les circonstances, la présence des 2 femmes, sa future correction, cette armoire remplie de couches… Elle s’allongea ensuite et mit les pieds dans les étriers. Elle n’avait jamais vraiment aimé ce type d’examen qu’elle qualifiait de “corvée de fille” mais cette fois c’était différent. Il commença à lui palper doucement les seins, puis le ventre. Un frisson parcouru Héloïse lorsqu’il dégagea ses lèvres pour observer son clitoris, elle décida alors de se concentrer sur sa socquette afin de ne trop dévoiler son excitation naissante. Il sortit ensuite un spéculum et lui fit remarquer qu’elle ne devait pas avoir de problème de lubrification, elle lui répondit timidement que non puis senti le métal froid entrer dans son intimité et l’écarter doucement. Il fit son prélèvement et le retira. Il tendit des lingettes à Héloïse qui ne réagit pas, il l’essuya et lui signifia que pour lui tout était bon et qu’il lui communiquerait les résultats complémentaires. Elle se leva et ramassa sa culotte au sol, la surveillante la saisit par la main et lui indiqua que pour sa correction elle n’en aurait pas besoin et sans doute pour quelques temps encore après tout en désignant les couches.

    Elle fût donc emmenée uniquement vêtue de ses chaussettes dans la pièce opposée. L’ambiance contrastait avec l’atmosphère froide du cabinet médical. La pièce était ornée de belles boiseries, un grand miroir habillait tout le mur en face de l’entrée. Dans une armoire se trouvait divers instruments de punitions : tawse, strap, martinets, canes… Héloïse découvrit également une banquette en cuir capitonné vert avec des attaches en cuir, un chevalet en bois rembourré d’un coussin avec également des entraves. Son cœur battait la chamade, en cette instant elle se demanda si elle était folle d’avoir accepté ce châtiment d’un autre temps. La honte ressentie si ses amis l’apprenaient, elle qui donnait l’apparence d’être si sûre mais une voix dans sa tête l’attirait irrémédiablement vers sa correction. La surveillante déposa un cousin assorti sur la banquette et invita Héloïse à s’y installer. La Mère-supérieure sortit un strap qui avait visiblement fait ses gammes sur d’autres postérieurs et le déposa sur ses fesses. Elle fût solidement attachée et Sœur Martha la rassura en lui souriant. Elle constata qu’elle pouvait se voir en tournant légèrement la tête, la vision de son corps nu sur cette banquette est une image qui restera à jamais gravé dans sa mémoire. La Mère-supérieure lui expliqua le déroulé de la correction, la présence du médecin mais aussi que chaque punition était adaptée à chaque étudiante, chaque circonstance. Héloïse hocha la tête, le médecin et la surveillante s’assirent dans des fauteuils et la punition commença.

    La Mère-supérieure officiait avec dextérité, frappant avec mesure et couvrant toute la zone fessière de la pauvre Héloïse. La chaleur envahissait progressivement ses fesses et elle retrouvait à peu près les mêmes sensations que lors de sa fessée manuelle. Elle sentit une pointe d’excitation monter en elle lorsqu’elle se regarda dans le miroir. La douleur commençait à se faire plus présente, elle se trémoussait légèrement au gré des coups, sa respiration s’accélérait, entrecoupée de gémissements et elle se mit à transpirer abondamment faisant coller un peu son corps au cuir. Paradoxalement elle se sentait bien comme sur un nuage. La correction cessa, elle constata que ses fesses étaient d’un beau rouge. Le médecin s’assura qu’elle allait bien, alla regarder ses fesses et fit signe à la Mère-supérieure que la correction pouvait se poursuivre. Pour rendre la chose plus solennelle la Mère-supérieure lut un verset de la bible sur la luxure et demanda à Héloïse si elle était prête à expier ses fautes et s’abandonner à la correction. Elle hocha la tête et la correction reprit avec un strap similaire mais percé de trous. Les coups, beaucoup plus vifs que les précédents sur ses chaires déjà malmenées la firent rapidement crier. Chaque morsure de la lanière de cuir irradiait ses fesses et son bas ventre. La douleur devenait de plus en plus insupportable mais aucune échappatoire n’était possible, elle tenta alors de serrer les fesses, en tant que punisseuse expérimentée elle s’en rendit compte et lui appliqua deux coups sur les cuisses. Héloïse comprit alors qu’il ne servait à rien de lutter et accepta totalement son châtiment. Elle sentit des larmes couler sur son visage, larmes avec une étrange saveur, mélange de douleur, de honte et curieusement de relâchement et de bien-être. La douleur n’avait quasiment plus d’effet sur elle et elle éclata en sanglot comme une enfant. La correction cessa, la surveillante la détacha et le médecin s’assura de nouveau de son état puis quitta la pièce avec la Mère-supérieure qui la félicita pour son courage.

    Elle mit de longues minutes à retrouver ses esprits puis tenta de se lever les yeux encore embués de larmes, vidée et chancelante. Sœur Martha l’aida afin qu’elle ne tombe pas et lui sécha ses larmes. Héloïse constata l’état de ses fesses dans le miroir, elles étaient d’un rouge écarlate parsemé de traces violettes sur les flancs, elle avait aussi deux traces rouges sur les cuisses. Elle passa ses mains dessus et se mit à pleurer à l’idée qu’on puisse les voir. La surveillante la rassura en lui disant que l’on ne discernerait, sur ses cuisses, plus rien le lendemain et qu’elle serait autorisée à mettre des collants si elle sortait de l’institut. Elle la prit ensuite par la main et l’entraina vers l’infirmerie. Héloïse marchait avec difficulté encore envahie par les émotions et la douleur dans ses fesses. Elle la conduisit à la douche, l’aida à retirer ses chaussettes et lui demanda si elle avait besoin d’aide. Elle hésita mais avait besoin de retrouver ses esprits seule, l’eau fraiche sur son derrière tuméfié lui fit beaucoup de bien. Elle le savonna précautionneusement impressionnée par la chaleur qu’il dégageait et les boursouflures sous ses doigts, elle nettoya aussi méticuleusement son sexe. Elle se serait bien caressée mais il ne fallait pas trop tenter le diable. Elle s’essuya et retrouvant une certaine pudeur enroula la serviette autour d’elle.

    Elle rejoint Sœur Martha et trouva sur la table d’examen une couche ouverte. Héloïse s’y attendait mais le vivre en vrai était autre chose, un sentiment de honte l’envahit. Se retrouver langée comme une gamine à 22 ans… Elle marqua un temps d’arrêt. La surveillante lui expliqua qu’elle pourrait se concentrer pour ses études et que ça serait plus confortable pour s’asseoir. Elle lui donna une claque sur les fesses, Héloïse en laissa échapper sa serviette et vint s’asseoir résignée sur cet objet de déshonneur, malgré l’épaisseur de la protection la position assise n’était pas des plus confortable. Elle plaça ensuite ses pieds dans les étiers et visualisa la position dans laquelle elle se trouvait : nue, ouverte, les fesses écarlates et prête à être changée… Une larme coula sur son visage mais la douceur de Sœur Martha lui fit vite oublier cette humiliation. Elle lui appliqua une bonne couche de baume apaisant sur les fesses et continua sur son sexe tout en délicatesse. Il était désormais entièrement recouvert d’une pâte blanche qui dégageait une odeur lui rappelant l’enfance. Elle le regarda et sourit. La surveillante referma ensuite la couche, Héloïse se cacha les yeux. Elle l’aida ensuite à s’habiller et la conduisit dans sa chambre. Un plateau repas l’y attendait. La surveillante lui dit qu’elle passerait la voir pour la changer en fin de journée et qu’elle pouvait passer au bureau si elle avait besoin. Elle lui souleva la jupe et lui tapota sa couche. Héloïse piqua un fard, à la fois honteuse de la situation et curieusement d’apprécier cette situation… Elle s’assit doucement à son bureau pour déjeuner puis s’allongea pour repenser à tout ce qui c’était passé et s’endormit jusqu’au retour de Sœur Martha…

    • Ce sujet a été modifié le il y a 1 année et 8 mois par lunapower.

    https://lesaventurescuisantesdecamille.blogspot.com/

    #88307
    Linette
    Participant


    Très jolie récit comme toujours,une institut  stricte mais intéressante..on s identifie facilement au personnage,un texte pleins de vie, Merci pour ce partage..

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