Mademoiselle,
Vous serez attachée fermement sur le lit, allongée sur le ventre, en croix, nue, comme une vilaine qui s’apprête à recevoir une punition sévère et cinglante.
Vos poignets et vos chevilles seront solidaires de sangles qui vous écartèleront vers chaque coin du lit, vous immobilisant dans l’inconfort et une position indécente.
Votre sexe sera exposé sans concession et je ne veux pas le voir saliver !
Cette punition ne doit être en aucun cas une récompense et si jamais votre sexe se gorgeait d’une humeur sans équivoque, j’augmenterai la sévérité de ce que vous aurez à endurer.
Vous recevrez le martinet, la ceinture, le paddle et le strap !
Ce sera long, douloureux, intense, interminable.
Vous vous sentirez vulnérablement exposée à la pénitence.
Et, quand je jugerai que vous avez suffisamment enduré cette correction méritée, je vous demanderai de devenir silencieuse et qu’aucun gémissement ne jaillisse de votre gorge.
Alors seulement, si pendant les 20 coups secs et cinglants de badine que vous recevrez ensuite, vous maintenez le silence, la punition prendra fin !
Si en revanche, le moindre son sort de votre bouche pendant ce décompte, je le reprendrai à zero !
Le sel dans vos yeux ne me feront déroger à aucune des consignes que je vous aurais données, Mademoiselle.
Ce sera donc à vous de faire en sorte que cette correction prenne fin…
Faites de vos fesses le plus bel endroit de la terre...
Et le César de la punition la plus sévère est remis à (roulement de tambour)…: @monsieurmechant pour son interprétation parfaite du Méchant, sa vision juste de la punition parfaite pour une petite maso et son récit sans fausse note! 🙂 🙂
On veut lire encore !
C’est beau ! Sévère ! Un bon mix de plusieurs scénario. Les pauvre petites doivent trembler sous vos mains @monsieurmechant ! A leur place je serai mort de trouille…
C’est divin !
Continuez ! Mettons qu’a 19, oui 19 coup de badine, un petit cri parviennent à vos oreilles… à vous l’artiste !
Whou @monsieurmechant ! quel programme…! Aucun gémissement, ce n’est vraiment pas facile à tenir… On peut savoir ce qu’elle a fait pour mériter un tel châtiment ?
"Fi des femelles décharnées, vive les belles un tantinet rondelettes !"
Alors là, chapeau bas @monsieurmechant.
Je ne sais pas ce qu’à fait cette pauvre demoiselle mais personnellement j’en tremble à sa place.
«Cette punition ne doit être en aucun cas une récompense et si jamais votre sexe se gorgeait d’une humeur sans équivoque, j’augmenterai la sévérité de ce que vous aurez à endurer»….
Heu…là…comment voulez vous que …
Mais félicitations, vous venez de m’emoustiller…Je vais passer une délicieuse nuit.
Oui, il est vrai que cette convocation ne laisse que peu de place pour la fantaisie.
Pour vous répondre @victor, si le gémissement apparaissait au 19e coup, il faudrait recommencer.
Ces jeux qui n’en sont pas ne souffrent d’aucune entorse, ce qui est dit doit être fait, il en va de la valeur du lien précieux que l’on tisse…
Faites de vos fesses le plus bel endroit de la terre...
Oh… qu’il dot être agréable de vous regarder donner la correction aux imprudente qui se risquent à venir sous vos mains. Je suis sur que vous êtes bon professeur @monsieurmechant
Ouh la vache…
Le terme “interminable” provoquerait chez moi une peur réelle….
Se rendre à un lieu dit avec une telle convocation relève soit d un courage exceptionnel, soit d une inconscience absolue…
Je pense que j arriverais avec une contre indication du docteur…
“Mlle Am` possédant un cul allergique à toute forme de tapotage intempestif, nous lui conseillons moults caresses et douceurs voluptueuses.
Ceci pour valoir ce que de droit”
Frissonnez, Frissonnez !
Ceci dit, ce fil des punitions sévères ne doit pas rester orphelin d’autres exemples…
Donc le message est passé…oui il m’aura fallu au moins une quinzaine de jours mais en même temps je n’arrivais pas à me souvenir que l’on ai été vraiment sévère avec moi.
Et puis tout d’un coup un petit flash : J’étais chez un Monsieur charmant qui après m’avoir donné une fessée voulait que je lui dise “merci”…oui oui vous lisez bien! mais ma nature orgueilleuse ne l’entendait pas ainsi. Je suis donc restée obstinément silencieuse. Il a donc repris la fessée et entre chaque slave de nouveau cette question : qu’est ce qu’on dit? et j’avoue que j’ai un peu abusé (genre…hein? vous avez parlé? excusez moi…j’étais en train de m’endormir…) et ça a duré…duré…l’ennui c’est qu’il commençait a avoir un fou rire et qu’il sentait qu’il n’allait pas s’en sortir…et là brusquement il m’a reposé sur le lit et est sorti de la chambre. Son pas n’était pas habituel…l’ambiance avait changé du tout au tout. Je ne riais plus et j’étais à l’affût du moindre bruit.
Il est revenu…avec une brosse à la main.
J’ai dit “merci Monsieur” avant qu’il ne la lève.
Mais évidemment c’était trop tard.
Sévère…l’adjectif qui prenait tout son sens.
Je déteste les brosses…c’est même pas érotique en plus. (oui je boude).
Debout, appuyée à l’angle d’un mur, nue, la mine défaite, le maquillage gommé et les cheveux à demi collés aux joues je fuis sa colère le visage enfouit dans le pli de mon bras.
Il vient d’ébranler l’un après l’autre les piliers d’un échafaudage de rébellion érigé silencieusement autour de ma docile part soumise.
L’effondrement de cet édifice résonne avec fracas sur mon corps et je pleure à chaudes larmes contre ce mur de pénitence.
Punie par les coups, punie par les mots. Conscience me murmure: Tu t’es crue courageuse en étouffant tes cris quand il battait ton corps avec sa ceinture?
Tu t’es crue maline à lui rire au nez quand il a exigé de toi une position d’expiation?
Tu t’es crue vaillante en résistant quand il t’a tiré par les cheveux jusque sur ses genoux ?
Tu t’es crue forte en essayant de lui échapper lorsqu’il t’a fessée rigoureusement ?
Tu t’es crue audacieuse en envoyant valser un tas de feuilles qui traînait au sol pour lui montrer ton mécontentement ?
Tu t’es crue intrépide en le défiant du regard quand il a fondu sur toi promettant une nouvelle correction ?
Tu t’es crue indomptable en recevant les morsures sévères des lanières de cuir du martinet ?
Regarde! Regarde dans quel état tu t’es mise petite sotte. Il fallait réaliser sagement tes devoirs mais tu as préféré céder à tes caprices. Tu connaissais les sévères conséquences de tes actes mais tu préfères fantasmer qu’elles sont agréables!
Tout à l’heure quand il s’est fâché à la lecture de tes confidences écrites tu as trouvé son autorité illégitime sous prétexte qu’il n’avait pas pu s’occuper de toi ces derniers temps. Tu voulais lui faire payer cette absence? Tu es stupidement incontrôlable!
Il faut que tu arrêtes de croire que tu peux dominer et que tu apprennes à te soumettre.
Qui croyais tu tromper à ton arrivée, Hum ? Joliment habillée, tu cachais dans cette tenue sexy la pauvreté de ton obéissance. Un vrai papier froissé dans un bel emballage…
Tu as volontairement provoqué ce tête à tête animal cherchant cette escalade punitive et maintenant tu pleures.
Tu pleures parce que tu as mal.
Tu pleures parce que tu as peur qu’il ne t’aime plus.
Tu pleures parce que tu aimerais lui être agréable et docile pour te faire pardonner.
J’ai pleuré… jusqu’à ce qu’il me prenne tendrement dans ses bras et me berce doucement.
@aurea… Si j’avais le moindre courage, je parle de celui qu’il faut pour montrer ses faiblesses, si j’avais ton talent pour ecrire ce que je ressents… Ce texte est tellement juste, tellement beau.
Les pleurs qui arrive une fois seule, en penitence je n’aurais jamais su les exprimer aussi bien que tu viens de le faire.
Tres tres beau texte.
Et le César de la plus vilaine fille est attribué à @aurea ?
Je pense que tu vas le garder un moment ce trophée. On est pas prêtes de te détrôner ?
C’est magnifiquement écrit et c’est un bonheur à lire (d’autant que je peux le faire assise confortablement sans la moindre douleur ?)