Les punitions annexes

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11 sujets de 16 à 26 (sur un total de 26)
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  • #103654
    L. Minx
    Maitre des clés &
    garagiste du site


    Et bien j’aime beaucoup ce petit sujet ! Merci Fraise.
    Je vais m’appliquer à vous rédiger une réponse mais en attendant j’ai une suggestion…

    Il faudrait faire un sujet “les aventures des Déculottées.eurs au restaurant” car j’en connais quelques uns qui ont des anecdotes croustillantes à partager ! 😁😇

    Hâte de découvrir l’histoire du serveur @christal !

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 1 semaine par L. Minx.
    #103699
    Linette
    Participant


    Ah, les punitions annexes ! Ce petit avant-goût de l’enfer, ce hors-d’œuvre de la contrariété… On dirait presque un menu gastronomique de la désapprobation !

    Imaginez un peu : “Mademoiselle, vous êtes privée de dessert…” C’est comme si on vous annonçait que le dessert, c’est la cerise sur le gâteau de la désolation. Et que, bien sûr, le gâteau lui-même est une sorte de génoise de l’amertume.

    Mais soyons honnêtes, n’y a-t-il pas une certaine jouissance sadique à infliger ces petites tortures ? Un peu comme un chat qui joue avec sa proie, on savoure l’instant où l’autre se dit : “Oh non, pas le dessert ! Tout mais pas ça !”

    Et puis, il y a ces punitions annexes qui sont presque des œuvres d’art de la mesquinerie. Le regard qui en dit long, le soupir dramatique, le silence qui pèse plus lourd qu’un parpaing… On dirait presque une performance théâtrale !

    Alors, oui, les punitions annexes, c’est un peu comme les chaussettes de Noël : on sait qu’on va avoir droit à des trucs pas toujours très fun, mais on ne peut s’empêcher de se demander ce qu’il y aura dedans.Mais on adore ça, il faut bien l’avouer.😏

     

    #103704
    Monsieur No
    Modérateur &
    Gestionnaire de contenus


    On dirait presque un menu gastronomique de la désapprobation ! Imaginez un peu : “Mademoiselle, vous êtes privée de dessert…” C’est comme si on vous annonçait que le dessert, c’est la cerise sur le gâteau de la désolation. Et que, bien sûr, le gâteau lui-même est une sorte de génoise de l’amertume.

    J’ai la vague impression qu’un certain groupe de demoiselles prend un malin plaisir à tourner en dérision le châtiment exemplaire que j’ai été contraint d’administrer à une jeune insolente en châtiment de son comportement inqualifiable. 🤔

    Bon, j’admets avoir pouffé sur la “génoise de l’amertume”, mais tout de même !

    #103705
    L. Minx
    Maitre des clés &
    garagiste du site


    L’histoire de mes vacances à Déculottées-sur-Mer…
    Un roman fleuve aux Éditions “J’avais juste deux mots à dire et voilà le résultat.”

    Vu la discussion, on a déjà bien tourné autour du sujet. Mais comme ça me parle beaucoup, je vais ajouter ma pierre à l’édifice.
    Je vais surtout parler des punitions qui plongent dans un univers régressif… Parce qu’après tout, être traitée comme une vilaine gamine, c’est déjà une punition en soi…

    Les punitions annexes sont parfois plus subtiles… et parfois pires. Et je leur vois un double intérêt :
    À distance ? Elles maintiennent la tension et rappellent qui commande, en attendant de se (re)voir.
    En face à face ? Tout est question de dynamique, d’inspiration… et du degré d’impertinence (volontaire ou non).

    Certaines suffisent à remettre dans le droit chemin.

    Bref, les punitions annexes, ça frappe autrement !

    Quand il y a de la distance… et qu’on ne peut pas toujours punir sur le moment, il faut bien trouver d’autres moyens pour garder une vilaine à sa place…

    – Des petites phrases anodines
    “On en reparlera plus tard.”
    Une phrase toute simple… et pourtant un vrai cauchemar.
    Parce qu’elle laisse le doute, l’incertitude… et une vilaine qui cogite toute seule.

    – Les privations
    “Tu n’auras pas ton câlin tant que tu n’auras pas fait ce que je te demande.”
    Même pas un vrai câlin en plus ! Mais c’est suffisant et ça calme instantanément.

    – L’écriture punitive
    Pas de fessée immédiate ? Pas grave, on fait chauffer le stylo !
    Les lignes imposées… vous en avez déjà parlé. Elles ne font pas l’unanimité, mais moi je trouve que suivant le caractère de celle à qui elles sont imposées, elles peuvent être redoutables ! Surtout à distance… pour rappeler qui décide.

    Ce n’est pas la punition la plus spectaculaire, ça ne claque pas, ça ne fait pas de bruit, ça ne laisse pas de marques… mais ça marque quand même.

    D’abord, il y a une vraie satisfaction à imposer ce type de punition. Voir une vilaine calmée, occupée, appliquée sur sa tâche, c’est un plaisir en soi. Elle ne parle plus, elle ne bouge plus, elle obéit. Parce que c’est une punition qui s’étire dans le temps, qui oblige à s’appliquer, à répéter encore et encore. C’est une sanction qui paraît anodine, mais qui travaille le mental bien plus qu’on ne le croit. Une façon douce, mais ferme, d’imposer son autorité.

    Et puis il y a le côté régressif. C’est long, c’est pénible… et ce n’est pas censé être amusant. C’est justement ça, une punition.

    Si on veut vraiment pousser le côté infantilisant… j’ai d’autres idées. Mais je vais peut-être éviter de tout balancer ici. 😇

    Mais vous l’avez dit aussi, il y a les punitions écrites plus constructives :

    Un texte argumenté sur “Pourquoi je mérite ma punition.”
    Ou pire : proposer soi-même sa sanction… avec détails et justification.

    Et si en plus elle doit être lue à voix haute… c’est encore pire. 😳😬

    Et puis… quand on est face à face… il suffit parfois de presque rien.
    Ici, ce n’est plus une question d’attente. C’est immédiat, et parfois bien plus percutant qu’une sanction classique.

    – Le regard (oui ça peut être vécu comme une punition !)
    Celui qui coupe net une phrase en plein vol.
    Celui qui fait comprendre que la limite est franchie.
    Celui qui fait baisser les yeux avant même qu’un mot soit prononcé.

    – La tape sur la main.
    Un petit rien, mais bien placé, il a son effet.
    Frustrant, légèrement humiliant, et surtout… ça fait redescendre l’insolence en un éclair.

    – L’ordre tout simple qui change tout
    “Pose tes mains à plat sur la table et ne bouge plus.”
    Trois mots, et l’ambiance change instantanément.

    – Le temps suspendu
    Tu t’attends à une sanction immédiate… et puis rien.
    L’attente devient pire que la punition elle-même.

    – Les menaces infantilisantes
    “Continue comme ça et je t’envoie au lit.”
    “Si tu n’es pas sage, je te fais boire une tisane calmante.” C’est ridicule ? Tout dépend de la façon dont c’est dit… et surtout de la capacité à le faire respecter.

    – La menace de la douche froide.
    “Une bonne douche bien fraîche pour rafraîchir les idées, ça te dit ?”
    Rien que l’idée de l’eau glacée peut suffire à calmer une insolence instantanément.

    – “Enlève tes lunettes.”
    À ce moment précis, tu sais exactement ce qui va arriver.
    Tu le sais, il le sait… et pourtant, tu obéis.
    Le simple fait de retirer cet écran entre toi et lui fait monter la tension d’un cran.
    C’est presque pire que la claque elle-même.

    – Se faire tirer les oreilles
    Pas de douleur insurmontable, mais cette sensation d’être traitée comme une gamine têtue… c’est presque pire.
    Et puis, c’est généralement accompagné d’un “Tu veux répéter ce que tu viens de dire ?” qui ne laisse aucune bonne option pour répondre. 😬

    Et puis, il y a ces moments où… Il n’y a plus rien à dire.

    Juste un silence.
    Une respiration plus lente.
    Et une vilaine qui comprend que c’est foutu pour elle.

    Parce que parfois … Il y a des punitions qui piquent bien plus qu’une claque !

    P.S.
    Toute ressemblance avec des situations réelles ou des personnes existantes ne serait que pure coïncidence. 😇
    Ce ne sont bien sûr que des hypothèses théoriques, inspirées de grandes recherches sociologiques (ou d’un peu trop d’imagination).
    Bref, rien de personnel ! Absolument rien. 🙃

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 6 jours et 4 heures par L. Minx.
    #103709
    Linette
    Participant


    J’ai la vague impression qu’un certain groupe de demoiselles prend un malin plaisir à tourner en dérision le châtiment exemplaire que j’ai été contraint d’administrer à une jeune insolente en châtiment de son comportement inqualifiable. 🤔 Bon, j’admets avoir pouffé sur la “génoise de l’amertume”, mais tout de même !

    Après, je suis la dernière à me plaindre de “punition annexe”. Par contre, je peux très bien relever les noms des petites vilaines qui tournent en dérision vos châtiments exemplaires. Juste au cas où, les vilaines qui se moquent des punitions exemplaires s’exposent à des sanctions supplémentaires, non ? Si, si, je peux le faire. 😅

    #103724
    Monsieur No
    Modérateur &
    Gestionnaire de contenus


    Si on veut vraiment pousser le côté infantilisant… j’ai d’autres idées. Mais je vais peut-être éviter de tout balancer ici. 😇

    Tu en as dit soit trop, soit pas assez. Il va falloir tout nous raconter à présent… À moins que cela ne mérite un sujet à part ? 🙂

    – L’ordre tout simple qui change tout “Pose tes mains à plat sur la table et ne bouge plus.” Trois mots, et l’ambiance change instantanément.

    Je n’ai jamais utilisé cette méthode mais j’adore cette idée ! Ça me rappelle la fin du film Secretary (film dont vous trouverez un extrait dans la rubrique La fessée au cinéma 🙂). Ça doit faire son effet…

    – Se faire tirer les oreilles Pas de douleur insurmontable, mais cette sensation d’être traitée comme une gamine têtue… c’est presque pire.

    Ça c’est une méthode que j’utilise fréquemment, soit pour conduire la demoiselle au coin soit pour l’en extraire. C’est indéniablement infantilisant, donc parfait pour placer la jeune femme dans un état d’esprit approprié avant une bonne fessée déculottée.

    Après, je suis la dernière à me plaindre de “punition annexe”. Par contre, je peux très bien relever les noms des petites vilaines qui tournent en dérision vos châtiments exemplaires. Juste au cas où, les vilaines qui se moquent des punitions exemplaires s’exposent à des sanctions supplémentaires, non ? Si, si, je peux le faire. 😅

    Enfin une attitude constructive ! Un bon point pour mademoiselle @linette.

    Vous passerez dans mon bureau, m’apporter la liste des fauteuses de trouble en question.

    #103735
    L. Minx
    Maitre des clés &
    garagiste du site


    Trop ou pas assez… c’est tout mon problème ! 😇
    Mais j’en ai déjà révélé pas mal, même si niveau punitions annexes, il y aurait de quoi remplir un catalogue entier. 😋
    Je vais éviter d’en dire plus…certains pourraient être beaucoup trop tentés de réclamer une démonstration en conditions réelles. 🤭

    Et sinon… j’ai manifestement un énorme retard en culture cinématographique fessée. Va falloir que je règle ça au plus vite !

    Quant à @linette… je suis outrée ! Faire la fayotte, c’est une attitude constructive maintenant ?
    Et pousser à la délation, c’est pas très joli-joli…😲

    J’espère bien que dans ce fameux bureau, elle recevra un coup de ceinture pour chaque nom, et qu’en plus, elle devra dire à chaque fois :
    “Je suis une vilaine collabo et je mérite d’être punie. Merci de me remettre dans le droit chemin avec toute la rigueur et sévérité que je mérite.” Sans se tromper, évidemment !
    Avant d’aller au coin, bien droite, mains sur la tête, où elle devra tenir sa liste contre le mur avec son nez…
    Sans qu’elle tombe, sinon…

    Non mais ho ! 😁😎

    (On dirait que je suis en pleine forme aujourd’hui ! 😬)

    #103763
    007
    Participant


    Je me permets d’intervenir car je m’estime plutôt expérimenté en matière de privations.

    La privation de dessert, c’est une menace particulièrement efficace j’en conviens.

    Cependant, je ne l’emploie que rarement. En effet, j’ai la faiblesse d’aimer la voir manger et prendre du plaisir à avaler les gourmandises que je lui ai commandées.

    Ses yeux pétillent et le large sourire qui se dessine entre ses deux oreilles ne se déforme que pour engloutir la cuillère que je glisse dans sa bouche parce qu’elle a les mains posées à plat sur la table du restaurant.

    En revanche, quand ses mains sont sur la table, je tiens à ce qu’elles ne bougent pas d’un millimètre sinon elle sera vraiment privée du dessert qui clôture le menu que j’ai commandé pour elle.

    Car c’est moi qui commande son repas au serveur un peu déconcerté par le fait que je choisisse pour la demoiselle silencieuse qui m’observe parcourir le menu comme une carte au trésor.

    Si j’estime que le serveur est en état d’encaisser le choc, il est possible que je lui explique, au cours de la soirée, que la demoiselle est punie et qu’elle a mérité une fessée à venir, mais ce n’est pas le sujet.

    Alors bien entendu, je sélectionne un repas équilibré et sans alcool. Un ice-tea ou une orangeade en apéritif, de l’eau ensuite et un menu approprié quand ce n’est pas le menu enfant. Le dessert forcément a une place importante.

    Ensuite, parce que ses mains sont immobilisées, c’est moi qui la nourris, je découpe les aliments et assure la logistique des fourchette ou cuillère qui vont de son assiette à sa bouche.

    Mais je peux aussi lui permettre de se conduire comme une grande en l’autorisant à manger toute seule dans certaines circonstances.

    Quand?

    Comme je suis un homme assez organisé et prévoyant, je fais toujours en sorte de garnir au préalable l’entrecuisse de la demoiselle avec un petit joujou vibrant (le MI6 a des prix sur les LUSH dernière génération, je conseille).

    Les consignes sont : « Ça vibre » : elle garde les mains posées sur la table, « ça ne vibre plus » : elle peut bouger les mains : Simple / Basique

    Voilà, pour ma contribution en ce qui concerne les repas. Peut-être que je partagerai plus tard d’autres privations, ici…

    /// Pour votre santé, évitez de manger trop gras, trop sucré, trop salé ou pratiquez la fessée d’une manière régulière ///

    #103774
    Christal
    Maitre des clés &
    La femme de l'ombre


    Ma petite anecdote mignonne.

    Nous sommes au restaurant, j’ai un objet vibrant en moi, mais celui-ci ne fait que des siennes. Il n’obéit plus à la commande Bluetooth et s’active et s’arrête, comme bon lui semble.

    Le repas est donc épique et je ne sais pas l’autorisation de le retirer.

    Cet objet de malheur souffle le chaud et le froid et mon regard lance des flammes à mon mari qui se délecte de me voir me débattre avec mes sensations.

    Au moment où le serveur vient pour prendre la commande des desserts, l’objet se remet à vibrer. Je suis en train de perdre tous mes moyens. Ça se voit tellement dans mon regard et dans ma posture. Le sourire du serveur me fait douter encore plus, je suis sûre qu’il se doute de ma lutte intérieure pour ne pas jouir là, maintenant, tout de suite. Il prend la commande part et l’objet s’arrête à nouveau. Je vais finir dingue. Mon mari lui se délecte du spectacle.

    Le restaurant étant plein à craquer, l’attente pour les desserts est longue. Mon homme finit par me demander :

    – T’as commandé quoi déjà ?

    Et là, je réponds le plus naturellement du monde mais un peu fort : Un orgasme, et toi ?

    Et c’est évidemment à ce moment-là que le serveur a amené nos desserts 😳

    Rien n'est jamais acquis. Tout est fragile.

    #103780
    Alrika
    Participant


    La privation de dessert… On touche là à un sujet hautement sensible. Personnellement, je trouve ça d’une cruauté sans nom – surtout si c’est moi qui cuisine. La nourriture, c’est sacré ! Privé de chocolat, c’est privé de bonheur, et ça, c’est une ligne rouge que je ne franchis pas

    Mais si on veut vraiment parler d’impact psychologique, j’ai quelques suggestions. Par exemple, la privation de chargeur de téléphone. Rien de tel que voir une demoiselle observer l’agonie de sa batterie, supplier du regard alors que le pourcentage fond comme neige au soleil… et réaliser qu’elle va devoir rationner son usage comme une ressource vitale en milieu hostile. L’instant où elle comprend qu’Instagram vient de lui voler 20 % pour des vidéos de chat. Un spectacle fascinant
    Ou alors, plus vicieux encore, la privation de miroir : “Tu sortiras sans vérifier ta tête.” L’angoisse. 😈

    J’aime aussi beaucoup l’idée de la corde sous les vêtements. Invisible aux yeux du monde, mais omniprésente dans l’esprit de celle qui la porte… Voilà une punition qui prolonge le trouble bien au-delà du moment où elle est infligée

    Enfin, pour celles qui boudent après une sanction, rien ne vaut une bonne série de squats. Après une fessée, c’est une alternative diabolique à la fameuse “dose de rappel” (mais non exclusive 😈). Chaque flexion est un rappel bien senti des décisions qui ont mené à cette situation. “Allez, encore 10 !” Et chaque squat est un rappel que l’impertinence a un coût…

    Bref, on peut priver, on peut contraindre, mais il faut viser juste. Parce qu’une punition bien choisie, c’est avant tout une leçon qui marque… sans forcément laisser de traces visibles 😏

    Faire rougir les joues des femmes 😊

    #103783
    Linette
    Participant


    La privation de dessert… On touche là à un sujet hautement sensible. Personnellement, je trouve ça d’une cruauté sans nom – surtout si c’est moi qui cuisine. La nourriture, c’est sacré ! Privé de chocolat, c’est privé de bonheur, et ça, c’est une ligne rouge que je ne franchis pas Mais si on veut vraiment parler d’impact psychologique, j’ai quelques suggestions. Par exemple, la privation de chargeur de téléphone. Rien de tel que voir une demoiselle observer l’agonie de sa batterie, supplier du regard alors que le pourcentage fond comme neige au soleil… et réaliser qu’elle va devoir rationner son usage comme une ressource vitale en milieu hostile. L’instant où elle comprend qu’Instagram vient de lui voler 20 % pour des vidéos de chat. Un spectacle fascinant Ou alors, plus vicieux encore, la privation de miroir : “Tu sortiras sans vérifier ta tête.” L’angoisse. 😈 J’aime aussi beaucoup l’idée de la corde sous les vêtements. Invisible aux yeux du monde, mais omniprésente dans l’esprit de celle qui la porte… Voilà une punition qui prolonge le trouble bien au-delà du moment où elle est infligée Enfin, pour celles qui boudent après une sanction, rien ne vaut une bonne série de squats. Après une fessée, c’est une alternative diabolique à la fameuse “dose de rappel” (mais non exclusive 😈). Chaque flexion est un rappel bien senti des décisions qui ont mené à cette situation. “Allez, encore 10 !” Et chaque squat est un rappel que l’impertinence a un coût… Bref, on peut priver, on peut contraindre, mais il faut viser juste. Parce qu’une punition bien choisie, c’est avant tout une leçon qui marque… sans forcément laisser de traces visibles 😏

    Ah, le dilemme cornélien ! Choisir entre un téléphone chargé et une gaufre à la chantilly, c’est un peu comme choisir entre la raison et la passion. Ça reste cruel, ça !👿

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