Les punitions annexes
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Étiqueté : punitions
- Ce sujet contient 25 réponses, 11 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
Linette, le il y a 2 jours et 6 heures.
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- 10 mars 2025 à 13:59 #103554
Fraise Des Bois
ParticipantMonsieur No a évoqué, dans un autre fil, la privation de dessert énoncée comme un préambule à la suite d’évènements plus cinglants. Cela a entrainé nombre de réactions (y compris en mon for intérieur), réactions qui paradoxalement ont laissé le Monsieur No en question perplexe (“quand tu veux bonhomme”, non mais j’aurais tout lu de vous ! @monsieurno)
Je vous propose ce sujet pour évoquer les punitions annexes qui vous font de l’effet de subir ou d’infliger, car on peut bien s’imaginer que le No en question n’a pas prononcé cette phrase “Mademoiselle est privée de dessert” sans en retirer une quelconque satisfaction.
Alors, quelles sont ces punitions annexes ? Ont-elles l’effet de vous frustrer ou de vous faire patienter ? Les aimez-vous, ou les détestez-vous ?
A vous lire 😉
"Fi des femelles décharnées, vive les belles un tantinet rondelettes !"
10 mars 2025 à 15:40 #103558Paulparis
ParticipantLorsque je donne une punition, il faut bien que j’en ressente aussi une satisfaction. Si je met la demoiselle cul nu au coin, je peux admirer le spectacle. Si je la fait s’assoir cul nu sur une chaise empaillée je vais voir les marques de la chaise sur ses jolies fesses… Mais si je la prive de dessert, quel plaisir vais-j en tirer…. Si je lui ordonne de faire des lignes… Ou est le plaisir. Donc… bof
10 mars 2025 à 16:04 #103562Fraise Des Bois
ParticipantPlaisir d’offrir, joie de recevoir ?
"Fi des femelles décharnées, vive les belles un tantinet rondelettes !"
10 mars 2025 à 18:27 #103565Monsieur No
Modérateur &
Gestionnaire de contenusEt @fraise qui s’y met maintenant ! Non mais vous voulez vraiment me coller une réputation sur le dos ? « Monsieur No ? Niveau discipline je sais pas mais apparemment ses privations de dessert sont top ! ». Mettons fin à cette folie !
Bon… Revenons à nos moutons.
Je vous propose ce sujet pour évoquer les punitions annexes qui vous font de l’effet de subir ou d’infliger, car on peut bien s’imaginer que le No en question n’a pas prononcé cette phrase “Mademoiselle est privée de dessert” sans en retirer une quelconque satisfaction.
Évidemment que je prends plaisir à sanctionner une demoiselle, même lorsqu’il ne s’agit pas d’orner de rougeurs son charmant fessier. 🙂
À mes yeux, la dimension psychologique de ces jeux est au moins aussi essentielle que leur aspect purement physique – sinon, ce ne serait qu’un pan-pan cul-cul, sans grand intérêt. J’aime les subtils jeux de pouvoir, les yeux baissés, les lèvres nerveusement mordillées sous l’effet de l’embarras ou de l’excitation. J’ose dire que voir le rouge s’emparer des joues d’une demoiselle m’est aussi délectable que le voir s’étendre sur son fessier.
Mais si je la prive de dessert, quel plaisir vais-j en tirer…. Si je lui ordonne de faire des lignes… Ou est le plaisir. Donc… bof
Les lignes à copier m’intéressent peu, mais il existe des exercices d’écriture bien plus stimulants à imposer à la demoiselle. Pourquoi ne pas exiger d’elle qu’elle rédige une lettre dans laquelle elle détaillera avec précision les raisons pour lesquelles elle mérite d’être corrigée, plaidant elle-même en faveur d’une sanction exemplaire ? Qu’elle formule, avec humilité et déférence, sa demande de châtiment, argumentant sur la sévérité requise. Mieux encore, qu’elle suggère elle-même la punition qu’elle juge appropriée à ses fautes… Effet garanti.
Dans un tout autre registre, comme je le confiais récemment à une demoiselle (qui se reconnaîtra), il m’est déjà arrivé, en plein dîner au restaurant, d’annoncer à ma compagne de jeu qu’elle était privée de culotte jusqu’à nouvel ordre. La sentence étant sans appel, je lui ai ordonné de s’exécuter immédiatement et de me rapporter l’objet du délit. Obéissante, elle s’est levée, le rouge aux joues, et a disparu quelques instants. À son retour, elle m’a tendu un carré de coton soigneusement plié. Sans même lever les yeux de la carte, j’ai laissé tomber, presque distraitement : « Posez-la sur la table. » Elle m’a fixé, incrédule, a hésité, puis s’est exécutée. Je n’ai laissé cette culotte sur la table que quelques secondes (allez… une minute tout au plus…) mais je peux vous assurer qu’elles ont paru des heures à la demoiselle…
(Et je sens déjà que je vais regretter d’avoir partagé cette anecdote… Je vous vois venir avec vos commentaires sur les repas en ma compagnie. 😬)
J’ai bien d’autres idées en tête, mais elles relèvent davantage des jeux de Domination / Soumission que du cadre purement punitif. Je les garderai donc pour d’autres discussions, et suis très curieux de lire les prochaines réponses. 🙂
10 mars 2025 à 19:14 #103566Fraise Des Bois
ParticipantHa mais détrompez vous, @monsieurno, pour moi les punitions annexes font entièrement partie de la discipline. Qui sait discipliner sait punir, de toutes les façons utiles, y compris par une privation de dessert, de chocolat, d’orgasme… par des contraintes, des lignes, des rédactions, du repentir public, du sport forcé (le piiiire truc !!) et que sais-je. Et en matière de discipline, il m’est de souvenir lointain, mais bien présent à mon esprit, qu’on peut compter sur vous, pas seulement pour les repas. Votre réputation est sauve 😉
"Fi des femelles décharnées, vive les belles un tantinet rondelettes !"
10 mars 2025 à 20:56 #103569Fraise Des Bois
ParticipantJ’ai bien d’autres idées en tête, mais elles relèvent davantage des jeux de Domination / Soumission que du cadre purement punitif. Je les garderai donc pour d’autres discussions, et suis très curieux de lire les prochaines réponses. 🙂
Vos autres idées m’intéressent au premier chef… Vous voulez bien nous dire ?
"Fi des femelles décharnées, vive les belles un tantinet rondelettes !"
10 mars 2025 à 22:13 #103573lunapower
ParticipantD’une manière générale j’essaye d’adapter la sanction à la faute, au lieu, aux circonstances et la personnalité de ma partenaire. Le but étant soit augmenter son trouble soit son bien être il convient donc de bien la comprendre et ne pas dérouler bêtement un manuel…
Ainsi une demoiselle qui se serait couchée trop tard pourrait se retrouver forcée de faire une sieste (une vraie en pyjama) ou envoyée au lit plus tôt
Si elle adopte une attitude frondeuse, impertinente un petit séjour au coin ou dans sa chambre (sans téléphone) est idéal pour la faire réfléchir avant de se retrouver la petite culotte aux chevilles
Une petite rédaction, un commentaire d’image peuvent aussi l’amener à avoir une réflexion sur son comportement
Si elle est de nature trop désinvolte, fuyant ses responsabilités d’adulte : la priver de quelques privilèges de grande fille pouvant aller de la confiscation de son précieux téléphone à la langer.
Ce genre de punitions régressives s’appliquent également bien aux demoiselles un peu trop crâneuses, bêcheuses
En extérieur elle pourrait se sentir parfois un peu trop à l’abri, une menace émise à son oreille ou à haute voix la ramènera vite à la raison, au restaurant la priver de dessert peu être une bonne option, en course lui faire acheter un instrument qui servira à la punir au retour
Si elle a le mauvais goût de porter un string, il sera confisqué, elle recevra une bonne fessée et l’on ira vite lui acheter des sous-vêtements appropriés.
Je ne trouve généralement pas grand intérêt à donner des lignes mais lui faire faire cul nu sous surveillance peut avoir un certain charme, la regarder s’appliquer. De plus certaines y trouvent un appaisement
Quelques exemples parmi un large éventail!
Il y a aussi tout un pan de punitions plus adultes : attaches, plugs (vibrants ou non)
Lui demander aussi comment elle devrait être punie peut être instructif
https://lesaventurescuisantesdecamille.blogspot.com/
11 mars 2025 à 12:36 #103591Chelonia
Partcipant &
Ambiance ChatNon mais pourquoi toujours vouloir punir d innocentes victimes ?
C est fou ça! Et l éducation positive alors…. Non?
Selon les relations il est plus ou moins possible de rentrer dans une dynamique de punition annexe.
Copier des lignes est effectivement sans intérêt sauf si la demoiselle est assise cul nu sur un tapis de massage à picots ou truc du style…
La dynamique du jeu psychologique est pour ma part différent selon les personnes et les associations de partenaires… S il faut être une vilaine petite fille pour recevoir une bonne fessée je m adapte…
Parcontre être privé de dessert ça c est pas du jeu non mais!!! Si j en veux un j en commande un… Ou pas…
Après effectivement tout dépend de la relation D/s il faut qu elle soit suffisamment forte et reconnue pour arriver à ce stade de possession…
11 mars 2025 à 14:47 #103598Monsieur No
Modérateur &
Gestionnaire de contenusParcontre être privé de dessert ça c est pas du jeu non mais!!! Si j en veux un j en commande un… Ou pas… Après effectivement tout dépend de la relation D/s il faut qu elle soit suffisamment forte et reconnue pour arriver à ce stade de possession…
Je viens d’ajouter cette définition au volume 1 de l’A.B.C.Déculottées :
Dessert (Privation de dessert)
Châtiment ultime pour la demoiselle, arme de dissuasion massive pour le fesseur. L’équivalent de la bombe atomique dans les relations internationales. Une correction finit toujours par s’oublier… mais un fondant au chocolat sacrifié, jamais.Vos autres idées m’intéressent au premier chef… Vous voulez bien nous dire ?
Vous ne voudriez pas que je révèle tous mes trucs tout de même… Il faut bien que je garde quelques surprises dans mon arsenal. 😉
J’aimerais plutôt que vous développiez vos propres idées. Que voulez-vous dire exactement par « contraintes » ? Et qu’entendez-vous précisément par « repentir public » ? Si vous faites référence à ces récits que certaines demoiselles sont tenues de rédiger après une punition, j’ai toujours eu l’impression que leurs autrices s’en vantaient plus qu’elles n’exprimaient un réel remords… 🤔
D’une manière générale j’essaye d’adapter la sanction à la faute, au lieu, aux circonstances et la personnalité de ma partenaire.
Absolument. Chaque relation est unique.
Je confirme que les punitions régressives peuvent convenir à certaines, pour sanctionner un comportement excessivement infantile. Être mise en couche et envoyée au coin après une fessée a le don de remettre à sa place la plus insolente des demoiselles…
11 mars 2025 à 21:33 #103624Fraise Des Bois
ParticipantHé bien, pour vous répondre @monsieurno , en termes de contraintes, à distance en particulier, la privation de culotte pendant un temps donné est un exemple. C’est assez innocent, mais sentir le vent léger sous la jupe rafraichir un peu la peau cramoisie d’après fessée, cela peut contribuer à faire durer le plaisir et évoquer une certaine promesse, ou un récent souvenir.
Autre type de contraintes : j’ai une fois été “condamnée” en punition accessoire, à porter des menottes pendant toute une journée. Nous étions restés à la maison, évidemment, mais j’ai dû tout faire les mains cerclées de ces bracelets métalliques inconfortables. Et quand je dis tout, je veux dire tout, servir l‘apéritif (tchin tchnin menottée, c’est agréable), déjeuner, et vaisselle incluse. Ce n’était pas aisé, j’ai brisé un verre à vin… très joli d’ailleurs. Cela n’a pas été sans conséquence.
La contrainte peut aussi être matérialisée par une corde savamment nouée autour des hanches et des cuisses, en enserrant délicatement les parties les plus intimes. La corde est invisible sous les vêtements, elle ne fait pas obstacle à une vie normale en parallèle ; mais elle rappelle à chaque mouvement l’état de punition.il y a aussi des obligations qui peuvent être imposées : obligation de s’asseoir dans une certaine posture par exemple.
Quant au repentir public, bien sûr qu’il s’agit pour nous, autrices, de transformer une humiliation vécue et planifiée, en instant de gloire ! Mais d’être obligée de le faire apporte son lot de sensations, et permet de revivre le moment, de le partager, et d’obtenir au gré des réactions, du soutien ou au contraire des remontrances supplémentaires.
A titre personnel, les punitions annexes me font patienter entre deux rencontres, et produisent un effet assez proches de ceux d’une retentissante fessée. Et quand elles durent (privée de quelque chose pendant un certain temps par exemple), elle me permettent de me remémorer ce qui m’a valu d’être punie, les instants qui ont précédé l’annonce de la punition, et ceux qui l’ont suivie, si la sanction principale est déjà tombée. Et bien sûr, elles me permettent d’anticiper les événements plus cinglants, si les annexes n’en sont que le préambule. Bref, pour moi, oui bien sûr qu’il y a la fessée, le fouet, le coin, les réprimandes. Mais les punitions annexes m’apportent beaucoup.
"Fi des femelles décharnées, vive les belles un tantinet rondelettes !"
12 mars 2025 à 09:27 #103628Monsieur No
Modérateur &
Gestionnaire de contenusEh bien j’ai bien fait de poser la question. 🙂 J’aime beaucoup toutes ces idées.
J’utilise régulièrement la privation de culotte. C’est effectivement un moyen simple de rappeler (s’il en était besoin) à la demoiselle la punition qu’elle vient de recevoir et qu’elle pourrait bien recevoir à nouveau dans un proche avenir si elle ne se tenait pas à carreau.
En mode D/s, j’adore cette idée de posture imposée pour s’asseoir !
Quant au repentir public, bien sûr qu’il s’agit pour nous, autrices, de transformer une humiliation vécue et planifiée, en instant de gloire !
C’est bien ce qu’il me semblait. 😆 Dans ce cas on exigera pour le moins que la demoiselle expose clairement, précisément et publiquement les fautes qui lui ont valu cette correction, en insistant sur le caractère pleinement mérité de sa sanction. Elle devra également témoigner, avec humilité et sincérité, toute sa gratitude envers celui qui a eu la bonté de la lui administrer. Quitte à se livrer à un exercice d’humilité, autant qu’il soit exemplaire…
12 mars 2025 à 10:18 #103629Paulparis
ParticipantLa privation de culotte a pour moi plusieurs sens symbolique. Convoquer une jeune femme qui devra se présenter sans culotte c’est la mettre en condition, lui rappeler que ses fesses doivent être facilement accessibles pour la punition. Ne pas l’autoriser à remettre une culotte, une foi la sanction administrée, est un moyen de prolonger l’instant dans la tête de la punie, et qu’elle sache que, nonobstant la fessée déjà donnée, elle reste disponible pour revenir sur nos genoux…
12 mars 2025 à 11:36 #103642Groovy Birdie
ParticipantIntéressant tout ce débat ! Personnellement, je n’ai jamais trop eu de punitions annexes de type privation de dessert (ENCORE HEUREUX 😱) ou lignes. J’aime tellement écrire que pour moi, il en faudrait un nombre invraisemblable avant que je ne le considère comme une punition 😅 Auquel cas, ce serait vraiment plutôt la perte de temps qui m’embêterait.
Mais ceci dit c’est vrai que le côté allusion en publique à une dynamique de discipline a beaucoup de charme. Une petite question bien placée lors d’un voyage en train, un ton bien particulier après une petite provocation au restaurant.. Il suffit de vraiment pas grand chose pour me plonger dans cette ambiance vibrante. Après, ce genre d’allusions est à double tranchant : soit je vais arrêter de faire la maline direct… Soit je vais voir jusqu’où je peux continuer à pousser tant que je suis intouchable 😁12 mars 2025 à 13:09 #103651Christal
Maitre des clés &
La femme de l'ombreLes punitions annexes dès que j’ai vu le sujet, je me suis dit, c’est pour moi et puis je me suis vite rendu compte que finalement, je ne vivais aucune de ses privations comme des punitions. Tout au plus, un sentiment de frustration furtif ou une pointe de déception si je sens que j’ai déçu ou agacé fortement.
La privation de culotte, est une chose que j’affectionne. En fonction des tissus portés, du vent ou du froid, les sensations sont différentes et amènent chez moi du plaisir cérébral.
Les lignes, ça arrive extrêmement rarement et là encore, je fais parler mon imaginaire et ma créativité pour rendre ça fun.
Les allusions en public me plongent dans une honte délectable si elles sont évidemment distillées correctement.
Les punitions qui me mettent en difficulté :
Devoir boire beaucoup d’eau. Demander l’autorisation pour aller aux toilettes. Être sous son regard constant.
Devoir tout demander et ne prendre aucune initiative sous peine de reprendre une fessée.
Mais le seul truc qui me rend dingue, c’est la privation d’orgasme prolongée (l’orgasme en différé par contre, j’adore 😁).
Et pour la privation de dessert au resto, je ne connais pas encore. J’ai juste une fois, en quelque sorte commandé un orgasme au serveur 😅 (spolier, mon dessert est arrivé, mais pas l’orgasme).
Rien n'est jamais acquis. Tout est fragile.
12 mars 2025 à 13:18 #103653Monsieur No
Modérateur &
Gestionnaire de contenusEt pour la privation de dessert au resto, je ne connais pas encore. J’ai juste une fois, en quelque sorte commander un orgasme au serveur 😅 (spolier, mon dessert est arrivé, mais pas l’orgasme).
Je pense parler au nom de tous les membres de ce site en vous disant qu’il est absolument indispensable que vous nous racontiez cette anecdote.
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