Les “pense vilaine ” colorés
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, le il y a 3 années.
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Je suis habillée d’un pull col roulé noir et d’une jupe courte noire. Je porte des collants fins et des bottes. J’aime cette tenue, dans laquelle je suis particulièrement à l’aise et qui met mes charmes en valeur. J’ai relevé mes cheveux en chignon. Je suis légèrement maquillée, juste du mascara pour parer mes yeux de chatte et une pointe de rouge à lèvres qui dessine nets les contours de ma bouche.
Je l’attends.
Non pas Il…mais Elle. Je jette un coup d’œil à ma montre. Sera t-elle en retard?Je soupire…c’est possible. Elle a un petit problème avec les horaires. Je souris.Je vais être sa chatte alors. Viens,viens, petite souris…
Je guette la porte. J’attends.
J’entends des pas furtifs dans l’escalier, c’est Elle.Je le sais, je la sens. Je compte 5…4…3…2…1 et alors qu’elle s’aprete à sonner j’ouvre la porte. Je la surprends donc doigt levé et bouche ouverte.
Avec un sourire je l’invite à entrer.
-Bonjour petite, je suis contente de te voir…lui dis je en faisant ce que j’ai terriblement envie de faire depuis quelques temps(passer ma main dans ses cheveux, lui caresser la joue, le cou et passer mes doigts sur sa nuque).
Elle reste silencieuse, profitant de cette surprenante caresse.
Je serre un peu plus fort et ça la fait tressaillir et réagir, enfin elle se réveille!
-Bonjour Madame dit-elle pivoine.
Elle porte un joli manteau de couleur bleue marine, en laine feutrée. Je défais un à un les boutons. Elle se laisse faire, bras ballants, un peu gênée.
Une fois le manteau ôté, je la saisis par les hanches et la fait pivoter devant moi. Je l’observe. Elle a mis un pull de laine en maille tressée de couleur beige, et une petite jupe sage. Alors que je suis dans son dos, je passe mes deux mains sous son pull. Sa peau est chaude et douce. Mes mains passent sur ses seins dans une sorte de “fouille au corps”, sous ses bras, caressent son ventre, repassent sur la jupe et la soulève. Je glisse une botte entre ses pieds et lui intime d’écarter les jambes. Je poursuis donc, en passant mes mains sur le galbe de ses cuisses, puis en allant vers son entre jambe que je découvre nue.
Je saisis alors ses cheveux à pleine main et tire.
Je place mes lèvres contre son oreille et lui murmure: petite aguicheuse! On avait dit une tenue sage!
Je l’entraîne par les cheveux jusqu’au salon, me saisis d’une chaise au passage et ni une ni deux la bascule en travers de mes genoux. Je la claque fort. Je n’épargne aucune zone de ces fesses tant désirées. Je la sermonne en même temps, en lui rappelant ma définition d’une tenue sage. Ses fesses chauffent sous mes mains, ses jambes battent la cadence et moi je suis en transe.
Je la relève, la place face à moi, lui ordonne d’ôter son pull et de mettre les mains sur la tête. Et je continue à lui faire la leçon. Paraît que je suis bonne prof…là elle a réussi à me chauffer des le départ la petite.
Son regard fuit mon courroux. Je sais pertinemment qu’elle ne voulait pas me provoquer mais elle a réussi. Elle se mord la lèvre. Fixe le sol.
-Mets toi à genoux!
Toujours les mains sur la tête, elle baisse un genou, puis l’autre. Je lui tourne autour et ajuste sa jupe dans la ceinture pour denuder ses fesses et la plante là.
Je vais à mon bureau, saisis le bloc de post it et commence à griffonner dessus.
Je note toutes ses petites bêtises, ses petites sautes d’humeur, ses incartades, avec mention de la sanction dessous.
Cela fait 10 “pense vilaine” bien remplis.
Je ne détache pas les feuilles du bloc, j’écris sur ces petites feuilles de couleur tout ce dont je me souviens et j’ai très bonne mémoire. Faisant cela, je la surveille du coin de l’œil et me relève deux fois pour lui mettre une claque sur le cul de rappel quand je vois ses épaules s’abaisser ou ses bras bouger légèrement de la position imposée.Je reviens vers elle quelques minutes plus tard.
Je m’assied devant elle, le bloc à la main. Je lui montre une à une les petites feuilles de couleur. Pointant du doigt les mots, appuyant sur les sanctions qui avaient été édictées. Durant cet ennoncé, elle se mord la lèvre, fixe mes doigts et les petites feuilles qui indiquent clairement toutes ses petites défaillances. Elle rougit, baisse les yeux quand la sanction qui avait été définie pour chaque incartade est ennoncée. A la fin de la liste, je la sens totalement déstabilisée, elle en a cumulé en fait! Sans s’en apercevoir mais …la liste paraît longue.
Je vais alors poser le bloc sur le canapé, et récupère au passage mon martinet, et ma cravache.
Je pose les instruments sur la table à côté de moi et lui annonce:
Maintenant petite, tu vas te mettre à quatre pattes. Tu vas aller chercher une à une avec tes dents ces petites feuilles de couleur. Tu les poseras là où je te dirais et tu appuieras dessus avec ton nez pour qu’elles ne bougent plus. Si tu mouilles la feuille ou que tu la laisses tomber, je te corrige en supplément.
Je laisse le silence s’installer. Je la sens perdue, un peu en attente.
J’ordonne alors :
-A quatre pattes!et vas chercher la feuille numéro 1.
Alors elle pose ses mains au sol, baisse la tête, et se met en mouvement vers le canapé.
Arrivée devant, elle saisit le premier “pense vilaine” avec ses dents, tire un peu, tire plus fort, secoue un peu la tête pour détacher la petite feuille de couleur et y parvient enfin. Le bloc a bougé de 10 cm. Et se rapproche du bord du canapé.
La feuille entre les dents elle me regarde et attend.
-vas la poser sur l’accoudoir du fauteuil.
Elle se remet en marche, fait quelques pas sur la droite, repose la feuille du bout des dents, appuie dessus avec son bout du nez. Et se retourne vers moi, assez fière.
-Lis maintenant.
Je la vois deglutir puis sa voix douce s’élève :
-pour mes sautes d’humeur de telle date: 5 coups de martinet.
-bien maintenant tu vas me demander d’appliquer la sanction.
Elle inspire, hésite, puis se lance:
– Madame, punissez moi svp de 5 coups de martinet pour mes sautes d’humeur.
Je me saisis alors de mon instrument fétiche, me lève, lui ordonne de se pencher sur l’accoudoir et lève haut le bras.
Aïe. Ça va faire mal…il y en a 10 des comme ça.Se révèle être "comme une boule de flipper,qui roule qui roule...".
Tout d’abord, merci à tous pour vos commentaires.
@Christal : je te fais un post it?quémande avec insistance le 17/09…;)
@sylvie:Madame me va très bien surtout quand il est prononcé par Elle.;)
@Lunapower: tu sais bien que j’adore faire monter la température ^^Se révèle être "comme une boule de flipper,qui roule qui roule...".
@christal, Pour cette question saugrenue…je repondrais: non, à la nage! Du coup ton épreuve serait dans une grande piscine, et attention à ne pas mouiller le “pense vilaine”! Tu risquerais de marcher les bras le long du corps quelques jours^^
Se révèle être "comme une boule de flipper,qui roule qui roule...".
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