Les moments forts de la fessée

[Anonyme]

Bonjour !

Je suis Francine, qui avais reçu la fessé dans un restaurant. Vous vous souvenez ?

La fessée ce n’est pas juste être couchée en travers des genoux d’un fessee (ou d’une fesseuse), mais aussi tout ce qui précède … et même un peu aussi ce qui suit. Je précise que la fessée m’excite jusqu’à en jouir, mais dans toute son horreur, avec la honte et la douleur.

Je ressens la fessée infiniment plus fortement si elle est annoncée, et je dirais même, annoncée en présence de ceux qui assisteront à la fessée.  Comme ça je peux voir le regard des futurs spectateurs et spectatrices s’écarquiller, s’allumer d’une lueur de désir d’assister à ce spectacle, voire de réjouissance de savoir qu’ils et elles vont y assister. Le nec plus ultra, si on a le temps, c’est que l’annonce soit répétée plusieurs fois avec gradation dans la menace. “Si tu continues tu vas recevoir la fessée …”, puis ” la prochaine fois c’est la fessée …”  et enfin “cette fois c’est la fessée …”. J’aime aussi que l’annonce soit plus explicite, par exemple “tu veux que je te baisse les culottes devant tout le monde ?…” et “cette fois je te baisse les culottes !!!…”. Le côté exhibition honteuse est essentiel lui aussi. Quelque soit la tenue que je porterai, je dois pourvoir sentir, longtemps avant la fessée, que mon sexe, encore bien pudiquement caché aux regards étrangers, sera très honteusement exhibé devant tout le monde. Je dois aussi pouvoir lire dans les regards le désir lubrique de tout voir. Et puis il y aura ce moment où la fessée sera sur le point d’être donnée. La phrase fatidique aura été prononcée, et tout le monde l’aura entendue, à commencer par moi-même. Tous les regards seront rivés sur moi, je suis l’héroïne involontaire du  spectacle. Et quel spectacle ! Encore debout, face à tous les spectateurs, mon legging est baissé, puis ma culotte. Le rêve absolu c’est si, à partir de ce moment, des pouffements de rire et des gloussements commencent à se faire entendre. J’imagine aussi des regards équarquillés rivés sur mon sexe obscènement exhibé aux yeux de tous. Et je verrai les expressions diverses que ce spectacle provoquera : des visages sidérés, d’autres souriant largement, et enfin quelques uns déjà hilares.

Et puis il y a la mise en position, cette position si honteuse. Et enfin la fessée !!! Ces claques, qui se succèdent a un rythme effréné, chacune d’elles brûlant un peu plus que la précédente, et rappelant encore plus que la précédente la honte de ma position ! J’entends le bruit de chaque claque et j’en sens la brûlure sur les fesses.  Et les rires retentissent tout autour. Je sais qu’ils voient tout et je ne peux pas les en empêcher. Pire : je perds rapidement toute pudeur et me mets a hurler, me tortiller dans tois les sens, ruer des jambes, essayer désespérément d’interposer ridiculement ma petite main tremblottante, sous les rires qui deviennent hystériques !!!

Et les quolibets fusent :

Haaaa ha ha ha ha !!!… On lui voit tout !!! Oh ouiii c’est trop drôle !… On voit sa foufoune !!!!!….. Haaa ha ha ha ha ha !!!….. Vous voyez bien ?… Venez par ici les potes !!! … Quelle fessée, ah mais quelle fessée !!!… Ouiiii Haaaa ha ha ha ha ha ha !!!….. Oooohh j’ai jamais cru que je verrai ça un jour !!!….. Quelle honte, quelle honte !!!… Je vois tout je vois tout !!! Hiiiii !!!!!… Aaah la la c’est trop beau Haaaa ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha !!!!!!! 

En même temps je sens ma vulve qui s’ouvre … qui s’ouvre … je suis sur le point de jouir … et je sais que ça se voit aussi !!! Surtout depuis derrière, quand j’écarte bien les jambes … Mais le pire arrive : je craque. Je me mets a pleurer comme une petite fille, sans plus pouvoir me retenir, à hoqueter, à m’étrangler dans mes pleurs. Et c’est alors que l’orgasme se produit. Et enfin, à la fin, il y a encore le moment où je dois me redresser et me retourner pour faire face aux spectateurs et m’excuser, en recroisant leur regards tellement moqueurs, la culotte toujours baissée, le sexe très obscènement exhibé, et, pire encore, la vulve encore toute ouverte et mouillée de l’orgasme hallucinant qui a éclaté en moi quelques secondes avant la fin de cette fessée.

Je vous les regards qui vont alternativement de mes yeux a mon sexe et vice versa. Je dois avoir le visage bouffi de larmes. Mon corps est encore tout agité de soubresauts, je m’étrangle dans mes sanglots qui n’en finissent plus de me secouer, les larmes coulent encore sans retenue. En même temps je suis toute tremblante sur mes jambes qui me tiennent à peine, tant la jouissance a été intense dans cette douleur et cette honte dévastatrice. Et, cerise sur le gâteau, sous un tonnerre d’applaudissement, je dois remonter mes culottes devant eux et reprendre place, au milieu des rires et des commentaires qui continuent de retentir tout autour de moi.

[Dundee]

Quel beau texte, nous le vivons en même temps que vous !

Épicurien, grand voyageur, adepte de la fessée OTK

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