Les fesses au vent perdues

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    Anonyme
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    Une demoiselle , la fesse vive , le sein léger

    partit matin ,au joli pré , se promener

    Juste une robe sur la peau

    Aucun dessous ,aucun chapeau …

    L’air était frais , le vent ludique

    Qui leva son étoffe à des fins impudiques

    La belle demoiselle ne put se préserver

    La robe s’envola, nul ne l’a retrouvée …

    Mais où donc ?

    Mais où donc ?

    Sur ce tableau joli, l’histoire pourrait sourire

    Mais la belle aventure ne s’en tint au zéphyr

    Le vent souflla soufla et de plus en plus fort

    Si bien que ses deux fesses s’envolèrent en accord

    je vois en vos regards quelque peu interdits

    Que cet instant étrange vous semble fantaisie…

    Que nenni !

    Que nenni !

    Le cas fût le premier connu dans les « anales »

    mais une vraie pandémie rendit le fait banal

    S’ envolèrent quatre ou cinq la 1ere semaine

    Qui parvinrent 100 000 en moins d’un mois à peine

    Ce fût le grand congrès ,l’immense réunion

    L’olympiade 1ere des fesses en communions

    le grand Jour !

    Le grand soir !

    Oui! Le grand jour… Oui  ! Le grand soir…

    Le gospel de la croupe, le cri du grand espoir …

    Il se dit qu’à la foire, ont vit cent nouveautés

    Que les fesses envoûtées courraient de tous côtés

    Au  stand des dentelles ce fut la bousculade

    Et il fallut  sévir pour calmer l’empoignade …

    Et alors ?

    Et alors ?

    Et bien ma belle Dame , doit -on vous confesser

    Qu’il y eu ce jour là un record de fessées ?…

    En effet ,

    En effet ,

    Quoique l’on puisse dire de la fesse polie

    Qui en perdrait la tête devant dessous jolis…

    Ce fût un grand reflux vers tous les punisseurs

    Débordés toutes part par la demande en cœur

    Accessoires ou mains nues , rien ne put y suffire

    Il a fallu 100 jours pour qu’enfin on respire

    Mais oui !

    Mais oui !

    Au jour du grand calme cent unième matin,

    On vit un nouvel air relever le destin

    Un vent aux couleurs vives tournoyant rougeoyant

    Renvoya les prodigues à leurs pays d’Antan

    L’histoire s’est effacée au fil des ans connus

    Mais un rouge dans l’air parfois entraperçu…

     

    Rappelle aux inconnues

    Les fesses au vent perdues, Les fesses au vent perdues…

     

     

     

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