Une demoiselle , la fesse vive , le sein léger
Partit matin ,au joli pré , se promener
Juste une robe sur la peau
Aucun dessous ,aucun chapeau …
L’air était frais , le vent ludique
Qui leva son étoffe à des fins impudiques
La belle demoiselle ne put se préserver
La robe s’envola, nul ne l’a retrouvée …
Mais où donc ?
Mais où donc ?
Sur ce tableau joli, l’histoire pourrait sourire
Mais la belle aventure ne s’en tint au zéphyr
Le vent souffla souffla et de plus en plus fort
Si bien que ses deux fesses s’envolèrent en accord
je vois en vos regards quelque peu interdits
Que cet instant étrange vous semble fantaisie…
Que nenni !
Que nenni !
Le cas fût le premier connu dans les « anales »
Mais une vraie pandémie rendit le fait banal
S’ envolèrent quatre ou cinq la 1ere semaine
Qui parvinrent 100 000 en moins d’un mois à peine
Ce fût le grand congrès ,l’immense réunion
L’olympiade 1ere des fesses en communions
Le grand Jour !
Le grand soir !
Oui! Le grand jour… Oui ! Le grand soir…
Le gospel de la croupe, le cri du grand espoir …
Il se dit qu’à la foire, ont vit cent nouveautés
Que les fesses envoûtées courraient de tous côtés
Qu’au stand des dentelles ce fut la bousculade
Qu’Il fallu bien sévir pour calmer l’empoignade …
Et alors ?
Et alors ?
Et bien ma belle Dame , doit -on vous confesser
Qu’il y eu ce jour là un record de fessées ?…
En effet ,
En effet ,
Quoique l’on puisse dire de la fesse polie
Qui en perdrait la tête devant dessous jolis…
Ce fût un grand reflux vers tous les punisseurs
Débordés toutes part par la demande en cœur
Accessoires ou mains nues , rien ne put y suffire
Il a fallu 100 jours pour qu’enfin on respire
Mais oui !
Mais oui !
Au jour du grand calme cent unième matin,
On vit un nouvel air relever le destin
Un vent aux couleurs vives tournoyant rougeoyant
Renvoya les prodigues à leurs pays d’Antan
L’histoire s’est effacée au fil des ans connus
Mais un rouge dans l’air parfois entraperçue…
Rappelle aux inconnues
Les fesses au vent perdues… Les fesses au vent Perdues