Les aventure de l’agent K
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salamboflaubert75, le il y a 3 années et 3 mois.
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7 mai 2020 à 12:39 #47354
Karima
Participant
Bonjour génial public,
Ainsi débute le fameux feuilleton hebdomadaire, voire bi-hebdomadaire quand la sève créatrice transcende votre auteure préférée.
Mais génial public, parmi toi certains n’ont pas accès au chat ou n’ont pas le temps de traîner sur le chat durant la longue heure de mon récit (la vie est ailleurs parait-il). Aussi je te publie ici l’un des épisode de cette sage trépidante.
Pour les ignares qui ne seraient pas encore accroc à ce phénomène, les aventure de l’agent K relate la vie de la jeune officier du KGB, Karima Karimova plus connue sous le code agent K et de sa sbire l’agent A une ancienne nazie dont la cruauté n’a d’égale que son masochisme. Elles pourchassent l’ignoble agent trotsko-titiste et la cohorte d’ennemis du Peuple qui l’entoure, sous les ordres du cruel, sadique et pervers MM.
Si ce feuilleton a le style d’un mauvais roman d’espionnage de hall de gare, je t’ai isolé, génial public, un épisode où la fessée est au centre du sujet et où je vous épargne les description du Moscou stalinien et autre délire sur le génie de Staline et insultes envers les divers ennemis du peuple qui parsèment la pensée de l’agent K
Ici l’héroïne de l’histoire est l’agent A plus mesurée dans ces propos.
Merci à ma muse qui souhaite gardé l’anonymat
A Monsieur Méchant pour m’avoir ouvert un salon spécialement (et qui sert aussi à d’autres auteures en mal de reconnaissance qui nous publient d’autres agréables récit), m’avoir inspiré une partie de l’histoire et m’avoir servi de co-auteur sur quelques épisodes.
Et surtout merci au génial Staline pour tout les bienfait qu’il a offert à l’Humanité !
Bonne lecture génial public et à bientôt pour de nouvelles aventures7 mai 2020 à 12:39 #47355Karima
Participant
L’agent A, attendait ce moment depuis longtemps, elle savait son chef, le commissaire du Peuple à l’intérieur, chef suprême du KGB, cruel et raffiné dans ses jeux. Elle s’apprêta, choisi une jolie robe noire confisquée à une ennemis du Peuple, des porte-jarretelles et même fait exceptionnel pour elle, une culotte ! Après avoir jugé l’effet dans son miroir, elle se mit en route et rejoins sa Zill.
Elle traversa la nuit glacée de Moscou direction un quartier périphérique où l’agent MM surnommé Baba Yaga par tous les enfants d’URSS, avait installé son antre. Celle-ci était installée dans un ancien monastère confisqué à ces agents de l’impérialisme et de l’opium du peuple. En tant que commissaire du Peuple à l’intérieur, MM pouvait s’approprier tous les biens confisqués aux ennemis du Peuple tant que le génial Staline n’y trouvait rien à redire.
Le monastère se situait à proximité d’un petit bois, alors que La marche des défenseurs de Moscou retentissait dans sa Zill, l’agent A aperçu les bulbes qui scintillaient sous l’éclat de la lune. Elle se gara donc devant le splendide bâtiment bleuté transformé en sordide lupanar par MM. Des gardes étaient parqués devant les portes, malgré le froid intense, renforçant l’aspect solennel du lieu. L’agent A les contourna et s’engouffra dans le monastère.
A l’intérieur des cierges jetaient une lumière blafarde. L’église avait conservé ses somptueuses icônes. Mais MM l’avait réaménagé : des croix de saint André et des bancs à fessée étaient réparti dans l’immense salle. Au centre de l’autel subsistait, mais des menottes y avaient été apposées permettant à MM d’entraver ses victimes lors de ses cérémonies démoniaques.
Ce dernier était installé à une petite table où était disposés caviar et champagne. Il savait recevoir le bougre ! Mais tous ces produits étaient confisqués par ses services aux résidus de la bourgeoisie. Il accueilli l’agent A avec un sourire pervers. « Bienvenue dans mon antre, il parait que vous êtes une dure à cuire, nous le vérifierons bientôt, mais partageons une coupe d’abord.
L’agent A qui s’était habituée à la demi-obscurité, distinguait maintenant plus en détail la pièce. Des instruments divers étaient répartis, certains très ouvragés, d’autres semblaient avoir servis à tanner d’innombrables culs. Les icones, somptueuses mais morbides, illustraient d’ignobles supplices vécus par diverses martyres. Elle comprenait mieux le choix de MM. Au fond tapis dans l’ombre un mystérieux fil rouge …
MM demanda à l’agent A ses badines fraichement taillées. Il les examina et les disposa sur une petite table de travail, tout en sirotant sa coupe. L’agent A laissait la force du lieu l’imprégner et observait son criminel de chef apprécier la qualité de ses branches effilées. Le regard dur, un léger sourire aux lèvres, elle attendait le bon vouloir de son maître pour débuter l’expérience.
Une fois l’apéritif pris, MM frappa dans ses mains et des chants retentirent. Dans son sadisme, il avait sortir du goulag les moines encore vivants, qui occupaient cet édifice avant la Révolution, pour créer l’ambiance sonore. Bien sûr si le thème musical restait le même, les psaumes étaient devenus des hymnes au Grand Staline.
Il invita l’agent A à le rejoindre dans un coin près d’un banc en bois massif et commença à soulever sa robe en la palpant de ses doigts libidineux. Oh s’étonna-t-il, vous m’avez fait le grand honneur de mettre une culotte !
Il fit descendre celle-ci révélant l’auguste fessier de l’agent A. Il contempla cette vision sublime avec délectation. Puis saisissant une première badine, il la fit vibrer dans l’air embaumé d’encens et caressa doucement les fesses et les cuisses qu’il allait châtier.
L’agent A impassible attendais avec impatience la morsure de ses cruelles badines, penchées, les bras appuyés sur le banc, offerte.MM s’approcha doucement avec un sourire sadique et lui infligea un premier coup qui résonna dans l’église vide malgré le puissant chant polyphonique des moines. La fulgurance du coup fit pousser un humm de surprise à l’agent A qui sentait la brûlure de la baguette irradier une fine bande de son fessier. L’agent MM était un fesseur hors pair, elle ne s’était pas déplacée pour rien.
Une fois lancé, il enchaina les coups avec une grande précision et une vigueur impressionnante. L’agent A encaissait les coups sans broncher, les dents serrées une fièvre enflammant ses yeux. Le mix entre les chants, le décor et l’intensité de la correction la faisait partir totalement, offerte à la flagellation de son bourreau.
Après avoir labouré ses fesses et ses cuisses avec les différentes badines. Il fit une pause caressant langoureusement l’agent A. Puis lui ordonna de de se mettre nue. Chose faite il l’amena vers une croix disposées sous l’illustration sadique de l’icône d’une jeune martyre vierge flagellée à mort par ordre d’un roi païen. Puis il la lia à l’instrument de torture.
MM sorti le fouet de l’agent K. « Vous connaissez cet instrument je présume ? » Avec un sourire gourmand, elle lui expliqua que oui, il arrivait qu’en mission extérieure, ne pouvant trouver de fesseur, sa collègue K l’utilise pour son plaisir. Mais ajouta-t-elle, je ne doute pas que vous l’utilisiez plus cruellement que ma petite camarade.
Dans un rire MM lui assura qu’elle ne serait pas déçue. Il prit le recul nécessaire pour manipuler cet instrument cruel, fit tournoyer le fouet dans l’air puis cingla son dos avec vigueur. Au fond, les chants redoublaient d’intensité faisant vibrer les vitraux.
MM fit claquer le cruel instrument de l’agent K tantôt sur ses fesses, tantôt sur son dos, tantôt sur ses cuisses. L’agent A encaissait les coups avec des cris rauques. Transportée par les sensations du fouet et de l’ambiance (chant, décor, encens), elle était dans une forme d’extase proche de celle de la jeune fille torturée sur l’icône devant elle. Mais ce n’était pas l’image de Dieu, ni même celle du génial Staline qui la transcendait, c’était la jouissance du moment, la violence et la douleur qui l’assaillaient de toute part.
Au bout d’un long moment, MM laissa retomber le fouet et contempla l’œuvre d’art rougeâtre que la lanière cloutée avait créé sur l’ensemble du revers de l’agent A. Lui aussi était en proie à l’exaltation, une force intérieure le galvanisait. Son travail de bourreau lui permettait d’assouvir ses plaisirs sadiques. Mais là, la petite avait du répondant, elle aimait ça, il devait se surpasser. Et c’est ça qu’aimait réellement le camarade MM. Il approcha de la jeune fille et laissa le fouet glisser langoureusement le long de son corps.
Celle-ci profita du répit offert par son maître en reprenant son souffle. Elle goutait désormais ses caresses sentant sa respiration lourdes. Les caresses la stimulaient dans de nombreuses zones, mais s’arrêtaient toujours avant que la jouissance arrive. LE plaisir de MM était palpable et se transférait en elle de façon magnétique. Après ce court et puissant intermède, MM la détacha et lui dit, maintenant dirige toi vers le fil rouge, les choses sérieuses vont commencer !Sur ce suspense insoutenable, génial public, je te laisse frémir devant la perversité sadique du sordide commissaire du Peuple aux affaires intérieures.
Partie 2
Dans le monastère, transformé en lieu de débauche pour le commissaire du Peuple MM, le jeu se poursuivait. Alors que la séance de fouet venait de prendre fin, et que MM détachait l’agent A de sa croix, les chants polyphoniques grégoriens prirent fin.
Un silence pesant s’installa. Comme l’adrénaline baissait, l’agent A ressenti soudain le froid prégnant et un frisson la parcourue tandis que MM lui désignait le fameux fil rouge au fond de l’église.
Elle le suivit nue, les yeux au sol, soumise à sa volonté. Ses hommes installèrent des torches dans la chapelle où était disposé le fil. Celui-ci assez épais était situé à mis hauteur tendu et équipé de clochettes ornées du marteau et la faucille de la grande URSS ou du bouclier et l’épée du KGB.
MM demanda à l’agent de s’installer, le fil entre les jambes, mains sur la tête le temps de sa pénitence. Il lui annonça que le fil était électrifié et qu’elle devait rester en cette posture pour ne point le frôler … sinon outre la décharge électrique elle devrait tâter de sa féroce cravache cosaque. Puis recommencer l’exercice.
Pour tenir en cette position, l’agent A devait se maintenir sur la pointe des pieds. Le sinistre commissaire du Peuple s’assit sur une chaise dans l’axe du fil pour observer la scène sous le meilleur angle.
En sirotant du champagne ses yeux brillaient rivés sur l’entre jambe de sa subordonnée. L’agent A elle restait là impassible soumise à la perversité de son maître. L’effet de sa bastonnade s’étant estompé, si ce n’est la brûlure qui parcourait son dos, ses fesses et ses cuisses, la descente fit surgir la fatigue mais elle tenait bon malgré ses crampes.
MM s’approcha cravache en main sans dévier son regard gourmand et une fois presque collé à elle la titilla avec son engin cosaque dans le silence religieux qui planait dans la chapelle.
Il entraîna vers le petit autel situé au fond de la chapelle lui ordonna de se pencher les jambes écartée, l’enchaina aux menottes prévues à cet effet. Puis alterna coups vifs et précis et caresses douce jusqu’à ce que l’agent A fut à nouveau transportée dans quelque chose d’extatique.
Mais là encore il s’arrêta avant le terme. Libera A de ses entraves puis lui dit de rejoindre le fil.
Il s’ouvrit une nouvelle bouteille et observa le spectacle de la jeune fille soumise à son jeu cruel. Après avoir bu tout son saoul, il détendit le fil et lui dit qu’elle avait cette fois ci réussi. Il lui mit un manteau de fourrure sur ses épaules endolories, en lui susurrant des félicitations pour son endurance et sa soumission.
Ils passèrent le restant de la nuit à boire dans cette église fascinante.7 mai 2020 à 13:12 #47356Anonyme
Inactif
Un grand merci pour avoir donné corps à ce fantasme enfoui, qui m’est cher, d’une si brillante façon.
Je suis profondément convaincue que ta muse secrète, qui a inspiré l’agent A serait entièrement d’accord avec moi.Encore merci ??
8 mai 2020 à 02:11 #47378Anonyme
Inactif
Merci d’avoir repris une partie de ton récit ici @lucrezia
8 mai 2020 à 08:02 #47382Miss Betty
Participant
Merci @lucrezia de nous avoir mis l’histoire sur le forum ?
On a deux vies. La deuxième commence quand on se rend compte qu'on n'en a qu'une !
10 mai 2020 à 00:35 #47499Karima
Participant
7h30, place Loubianka, l’agent K comme à son habitude, prend son café à sa table habituelle au Bouclier et l’Epée, en lisant la Pravda du jour. Ce matin, elle doit aller récupérer son ordre de mission auprès du commissaire du Peuple aux affaires intérieures MM, avant de rejoindre l’agent A place Komsomlskaia où se situe la gare de Leningrad, d’où elles pourront s’embarquer à bord de la flèche rouge, pour traquer l’ignoble S dans la ville de la Révolution.
Une fois son café fini, elle affronte le froid intense du matin moscovite. Elle gravit les étages du sinistre bâtiment, et se rend dans le bureau du général MM. Elle y découvre Christal, la secrétaire personnelle de MM, à demi nue, à 4 pattes, en train de faire le « ménage » à l’aide d’un pinceau ; tandis que MM penché sur elle, la palpait lubriquement. Jetant un œil à ce spectacle navrant, l’agent K dit d’un ton sec : « désolée de vous déranger en plein travail ! ». MM lève les yeux : « Oh mon insolente petite Karima, j’avais oublié votre venue ». Puis d’un ton sec il ordonne à Christal de poursuivre sa besogne. Il fournit les billets à l’agent K ainsi que quelques recommandations pour le voyage. Puis lui annonce qu’un nouveau message de S a été intercepté. Il lui tend ce dernier et l’agent K découvre :
Kikou les zamis
J’ai été très vilaine mais je leur ai échappé Nomého ?
Bawi je suis une vilaine gentille?
Elles c’est des vilaines méchantes?
Signé S
Devant ce message pathétique, l’agent K enrage : « Et son écriture pailletée minable ! » Hurle-t-elle. Christal croit subtil de préciser qu’elle aussi a des stylos à paillettes. Ne tenant plus, l’agent K lui rétorque : « tu sais où tu peux te les mettre tes stylos ! »
A ces mots, MM s’énerve et attrape K par l’oreille, je vais t’apprendre la politesse ma petite, lui dit-il. Puis il l’entraine vers son bureau, puis lui ordonne de baisser sa culotte. Outrée d’être châtiée devant cette Christal, l’agent K hésite et MM se charge donc lui-même de défaire sa ceinture, de baisser son pantalon et sa culotte, puis l’installe sur ses genoux. Les mains de MM dures et expertes s’abattent sur les petites fesses de K à un rythme soutenu, sous le regard narquois de Christal. L’agent K malgré la cuisson qui brûle son derrière essaye de garder sa contenance, refusant de s’abaisser à s’humilier dans ces conditions. Après un long moment, ayant jugé que ses fesses avaient atteint la couleur carmin requise, MM relâche sa proie tremblante de rage. « Tu as de la chance d’avoir un train à prendre sinon je t’aurai envoyée au coin orner mon bureau avec tes jolies fesses rouges. »
Sans demander son reste, l’agent K se rhabille et file rejoindre sa partenaire A. Elle plonge dans le métro pour emprunter les 2 stations qui séparent la Loubianka de la Komsomlskaia. Accoudée nonchalamment dans sa rame, elle admire les mosaïques qui ornent le plus beau métro du monde, illustrant les grands faits du génial Staline. Elle émerge place des 3 gares, et repère l’agent A sous l’immense buste du Grand Lénine qui orne le hall de la gare d’Octobre rebaptisée, gare de Leningrad. Les 2 commères se saluent chaleureusement, K prenant des nouvelles de la soirée de sa camarade. Puis elles prennent place dans la flèche rouge, le train le plus rapide d’URSS symbole du génie du Prolétariat.
Dans le luxueux compartiment où elles s’installent, deux individus sont déjà présent. Lui l’air suffisant et content de lui dans un uniforme bolchevik, mais semblant sortir de chez un grand couturier les toise d’un air méprisant. Elle une petite rousse, qui garde un regard amoureux rivé sur son acolyte.
Tu aimerais savoir qui sont ces deux individus, génial public ? Il faudra attendre le prochain épisode.-
Cette réponse a été modifiée le il y a 3 années et 4 mois par
Karima.
10 mai 2020 à 00:59 #47503Karima
Participant
10 mai 2020 à 01:08 #47504Karima
Participant
Dans la nuit, au milieu de la steppe glacée, la flèche rouge poursuit sa route à toute vapeur ! L’agent K dort gentiment avec ses oursons rouges le camarade Lénine et le camarade Staline. Mais dans un autre compartiment …. L’heure est à la débauche ! L’agent A et le sympathique tchékiste Vladimir continue de faire monter l’adrénaline de leur cession de tortures à la vodka sur un air entraînant de Stostakovitch. La violence qui émane de Vladimir a tout de suite plu à l’agent A elle qu’elle pourra compter sur lui pour atteindre le plaisir. Mais pour l’heure elle boit. Vladimir taciturne suit son rythme Et dieu (pardon le génial Staline) sait que c’est déjà exploit même pour un tchékiste entraîné. Une fois que leur température intérieure a augmentée dans les portions attendues, Vladimir pose son verre avec rudesse range la tablette séparant les banquettes, puis ordonne à l’agent A de le rejoindre.
Il entreprend de la dénuder et découvre qu’elle n’a pas de culotte. Cela le fait pousser un grognement de satisfaction, il aime que l’on soit brute et sans fioriture quand il doit faire des heures supplémentaires dans un train ! Une fois la belle et cruelle agent A entièrement nue, il l’installe avec une étrange délicatesse pour cette brute sur la confortable banquette du compartiment de luxe. Et s’empare d’un martinet de cuir épais. Il laisse les lanières parcourir le corps enfiévrée de la fameuse ancienne criminelle nazie puis lui ordonne de tendre ses fesses et entreprend de la fustiger avec vigueur ! L’agent A les reçoit avec gourmandise mais fini par lui demandé de passer aux choses sérieuses, « on passera aux caresses en fin de soirée ! » pour l’heure elle veut vraiment sentir ses fesses ! Vladimir s’exécute et s’empare d’un épais Tawse, laissé par les infâmes trotsko-titistes partisan de l’ignoble S. Il reprend son œuvre avec fermeté embrasant le joli derrière de l’agent A. Celle-ci sait apprécier la rude morsure du vieux cuir et se tortille pour mieux la goûter.Une fois ses fesses et ses cuisses à point, Vladimir la fait mettre à genoux et s’empare de la cruelle badine de l’agent A dont elle ne se sépare jamais et lui administre striant lentement les fesses déjà rougies. Les cris de l’agent A lui échappe désormais mais le tortionnaire du KGB ne s’en émeut pas il en a connu d’autre et sait que chez cela signifie qu’elle apprécie la correction à sa juste valeur. Quand il sent qu’elle atteint la rupture. Il cesse le manège de la fine baguette, la repose et défait l’épais ceinturon clouté de son uniforme. L’agent A reprenant son souffle lui jette un regard désireux, en observant le colosse plier la ceinture entre ses mains. Ce dernier lui ordonne de reprendre sa position en laissant glisser la ceinture le long de son échine. Il entreprend de la fouetter des épaules aux fesses. Cette fois l’agent A exulte, face à l’assaut de cette terrible ceinture ses sens se bousculent, l’alcool semble s’évanouir de son sang et seule la douleur la brûle à intervalle régulier. Alors qu’elle manque de défaillir, Vladimir repose sa lourde ceinture et entreprend de la ligoter sur la banquette. Fermement entravées l’agent A lui ait désormais offerte. Vladimir lui dit épissons ça et sort un morceau de gingembre, il parait que vous apprécier cela tovarovna ! Moi aussi j’en ai toujours du fraîchement cueilli sur moi ! Vladimir laisse apprécier le doigt de gingembre qu’il extirpe de sa poche puis le laisse glisser sur son corps avant de l’introduire en elle. En même temps ses épaisses mains caresses le corps de l’agent A cambrée par la présence du Zinzibier au vertus brûlante. Ses rudes pattes de moujiks sont ferme incisives, mais étrangement douces, une fois l’agent habituée à la présence du gingembre Vladimir la rejoint sur la couchette. Puis il prend l’agent A avec vigueur en caressant ses seins avec des doigts avides et parfois cruels, celle-ci liée et offerte au KGBiste apprécie ses assauts, leurs râles se mêlent et ils atteignent la plénitude. Une fois fait, Vladimir délie tendrement l’agent A la prend dans ses bras et la transporte dans la couchette pour une fin de nuit douce entre ses bras vigoureux.-
Cette réponse a été modifiée le il y a 3 années et 4 mois par
Karima.
10 mai 2020 à 08:54 #47514Miss Betty
Participant
C’est un plaisir de relir avec délectation les histoires de l’agent A et l’agent K.
Merci Karima et merci à ta muse ?.On a deux vies. La deuxième commence quand on se rend compte qu'on n'en a qu'une !
10 mai 2020 à 09:01 #47515Monsieur Jones
Maître des clés
Qu’est-ce qu’il est romantique ce Vladimir !
Faites de vos fesses le plus bel endroit de la terre...
10 mai 2020 à 09:17 #47516salamboflaubert75
Participant
C’est qui le deviendrait tendre… Merci
Sal
10 mai 2020 à 11:30 #47533Anonyme
Inactif
Merci pour ce récit. On en redemande
10 mai 2020 à 11:37 #47534Anonyme
Inactif
Hmmm…. Ça me rappelle des souvenirs intenses… Et ce Vladimir…. Si ressemblant à mon Maître sur certains points….
Mais attends…..
Ça en devient suspect….
C’est presque trop ressemblant…
Tu le connais, c’est ça ? Avoue!(attends toi à des représailles de A, Vilaine! ?)
10 mai 2020 à 11:39 #47535Karima
Participant
Au KGB, nous savons tout, chère Masami, tu devrais le savoir.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 3 années et 4 mois par
Karima.
10 mai 2020 à 11:43 #47538Anonyme
Inactif
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Cette réponse a été modifiée le il y a 3 années et 4 mois par
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