Les années prépa
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Étiqueté : exhibitionnisme, Fessée, masturbation, pervers, Public
- Ce sujet contient 19 réponses, 9 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Victor, le il y a 8 mois et 1 semaine.
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18 juillet 2021 à 12:48 #67352VictorParticipant
Les années prépa
Anaïs avait choisi le Lycée du Rotin, pour son parcours original en matière de classes préparatoires.
C’était un lycée, privé, consacré uniquement aux classes préparatoires aux grandes écoles. Sa vocation n’était pas de préparer les élèves aux concours d’une branche économique, scientifique ou littéraire en deux ans et d’admettre des redoublants en deuxième année. Non ! Ici, on avait fait le choix de préparer calmement les élèves en trois ans. Les programmes des deux années étaient confortablement étalés et les vacances réduites pour assurer une sereine progression et des temps d’entrainement convenables. La politique de l’établissement n’était pas de faire dans l’élitisme en saquant les élèves au fur et à mesure des années mais de les emmener tous, chacun à leur rythme au niveau « élite ».
« Le Rotin » était situé au milieu d’un immense parc, en ville, à Lyon, au beau milieu d’une zone piétonne. La parcelle était cerclé d’un énorme mur d’enceinte, complètement lisse et glissant, haut de six mètres et incliné vers l’intérieur. Toute escalade aurait été vaine. A partir de cette première enceinte, par la rue piétonne, commençait un chemin d’accès étroit et caillouteux de trois kilomètres, accessible seulement aux piétons. Même les bicyclettes y étaient refusées. Cet accès était toujours gardé. Des gardes se relevait toutes les quatre heures, jour et nuit pour contrôler l’accès. Malgré sa localisation en zone piétonne, à l’opposé de cet accès piéton, « Le Rotin » disposait d’un accès plus large, goudronné, pour les autos du personnel, les professeurs et les livraisons. Cet accès était lui aussi gardé vingt quatre heures sur vingt quatre. En revanche, pour le bien du centre ville, l’accès ne pouvait se faire qu’avant 7h45 et qu’après 18h45,.
L’accès goudronné et le chemin caillouteux serpentaient sur la parcelle sans jamais se croiser. Ils s’étalaient sur plusieurs kilomètres et traversaient successivement plusieurs autres murs d’enceinte tous infranchissables. Chaque traversée était interrompue par un poste de garde. Pour les autos, il y avait un portail ; pour les piétons une porte étroite.
Ainsi seuls du personnel et des élèves très motivés trouvaient le courage de travailler et d’étudier au « Rotin » vu l’accessibilité restreinte. Aucun élève, malgré sa majorité et son permis de conduire, ne pouvait se garer simplement devant l’établissement et entrer à la dernière minute avant la sonnerie du premier cours. Chaque jour, pour celles et ceux qui avait fait le choix de l’externat, il fallait s’acquitter d’une heure de marche : un quart d’heure à serpenter dans la zone piétonne du centre ville, trois autres, à passer les murs d’enceinte. L’internat n’était accessible qu’à partir du quatrième semestre. Les internes, bien que passant les nuits à proximité des salles de classes, s’acquittaient d’une bonne demi-heure d’activité physique chaque matin : course à pied, marche rapide, bicyclette. Tous les élèves étaient forcément en bonne condition physique avec de jolies jambes « d’athlètes ».
A l’abri des regards extérieurs, Anaïs allait bientôt faire sa rentrée en première année et découvrir enfin ce lycée particulier – le seul du pays à pratiquer cette pédagogie douce en trois ans.
Au Rotin, la rentrée des classes avait toujours lieu le mercredi.
Anaïs se présenta comme indiqué sur son papier aux environs de 6h45 au mur d’enceinte au premier gardien. Elle présenta timidement sa carte d’identité ainsi que son courrier d’admission que le gardien tamponna. Il la fit rentrer par la petite porte métallique et l’invita à se rendre au prochain check-point. A sa grande surprise, Anaïs découvrit un panneau : « prochain contrôle – 1500m ». Elle comprit alors pourquoi on lui avait demandé de se présenter si tôt à l’entrée du lycée. Devant elle, à quelques pas, elle aperçu d’autres élèves marcher comme elle de poste de garde en poste de garde. Les jardins entre ces murs d’enceintes étaient très beaux mais séparés du chemin caillouteux par de hautes parois en Plexiglas. Cela ressemblait à un passage sous-marin, comme dans un aquarium. Les jardins étaient très bien entretenus, très fleuris. Anaïs franchit tour à tour chaque mur d’enceinte et arriva enfin au dernier après 35 minutes de marches. Une fois le dernier poste de garde passé, elle vit un dernier panneau : « Le Rotin – 500m ». Le lycée prenait place dans un luxueux hôtel particulier planté au beau milieu d’un immense parc. Il y avait des jardins, un préau, un complexe sportif avec piscine, piste d’athlétisme, terrain de football/rugby/volley/basket. Elle vit même, un panonceau « Ecuries ». Anaïs se réjouit, de la qualité des équipements et de la beauté des lieux.
Des surveillants, éparpillés sur le cheminement, guidaient les élèves vers le préau, accolé au bâtiment principal. Là, Madame Jones attendaient les élèves. Ils se massaient petit à petit sous l’abri.
Madame Jones, proviseur de l’établissement avait moins de quarante ans, brune, cheveux arrangés en chignon, tiré comme celui d’une danseuse mais arrangé avec une baguette comme celui d’une top modèle. Elle avait la peau lisse, blanche, un maquillage discret mais un rouge à lèvres assumé, le regard pétillant, les yeux verts. Elle portait une robe longue, noire, fluide, avec un joli décolleté, et des sandales à petit talon compensé. Elle avait les mains croisées dans le dos. De derrière sa jambe, dépassait une baguette – comme celle qu’ont les militaires pour montrer sur une carte leur stratégie de conquête.
Derrière elle, bien à droite, debout, devant un banc, se tenaient deux personnes, un homme et une femme : Marc et Claire. Encore à droite, on pouvait voir une installation cachée sous un épais voile blanc. Impossible de distinguer de quoi il s’agissait. Mystère…
Derrière Madame Jones, fixé au mur, un grand panneau, trois mètres de long et deux de haut, couvert d’un velours rouge. Enfin, entre ce panneau et le banc de Claire et Marc : une porte surmontée d’un écriteau « Entorses au règlement ».
Anaïs se dit alors qu’il devait s’agir de la salle où se donnaient les punitions relatées sur le site web de l’institution. Pour valider son inscription, elle avait du renvoyer un formulaire stipulant expressément les termes suivants :
« Les candidats à l’inscription au Lycée du Rotin seront majeurs lors de leur première rentrée au plus tard le 1er septembre ».
« Les candidats justifient de leur identité dès la candidature et lors de la première journée, au premier poste de garde ».
« Les candidats à l’inscription s’ils sont retenus pour devenir élèves au Lycée du Rotin suivront le règlement intérieur sinon, ils seront punis ».
« Le Lycée du Rotin, applique des punitions tels que châtiments corporels dans l’intimité d’un bureau de direction ou devant d’autres élèves ».
« Les élèves du Lycée du Rotin reconnaissent une liberté sexuelle certaine à la direction chargé du respect du règlement ».
Le Lycée offrait un taux de réussite au concours de l’Ecole Normale Supérieur de la rue d’Ulm de 100% depuis 50 ans, de même à l’Ecole Polytechnique, et à HEC. La pédagogie sur trois ans permettait de lever une grosse pression. Le cadre de vie superbe mis en avant sur le site web donnait très envie. La réputation de l’établissement et celles de ses professeurs n’étaient plus à faire.
Anaïs n’avait pas vraiment de problème avec la discipline. C’était une élève sérieuse, assidue, avec un excellent bulletin, de jolies appréciations et un bac en poche distingué des Félicitations du jury. Elle pensaient bien qu’elle ne recevrait que peu, voire jamais, de punition et que s’il fallait un jour en recevoir une, elle s’acquitterai de sa dette une fois dans sa vie.
Par contre, le dernier alinéa à accepter était bien étrange. Que pouvait bien faire ensemble sexualité et respect du règlement ? Elle s’était renseignée sur internet et avait fait plusieurs recherches avec les mots-clés : règlement, punition, adulte, châtiment. Elle avait dérivé sur discipline, discipline domestique, soumission, fessée, domination. Cela l’avait mené à divers forum, blogs, jusqu’à la découverte de l’univers bdsm, des histoires toutes plus excitantes les unes que les autres. Elle avait fini par trouver pourquoi il pouvait y avoir un lien entre sexualité et punition. Elle avait longuement parcouru le web, désir croissant. Finalement, n’étant plus vierge, ayant fait quelques expériences avec plusieurs garçons et même avec une bonne copine, elle s’était accommodée au rapprochement possible de punition, sexualité, respect, règlement, discipline.
Réflexion faite, hésitations oubliées et vu les avantages académiques offerts par ce lycée, Anaïs s’était laissée convaincre et avait renvoyé son dossier dument complété.
A 8h00 précises, les 75 garçons et 75 filles nouvellement admis.e.s au Rotin se tenaient devant Madame Jones sous le préau. Elle demanda le silence…
- Ce sujet a été modifié il y a 3 années et 2 mois par Victor. Raison : orthographe syntaxe
18 juillet 2021 à 13:40 #67354Ame.masculineParticipant
BEau récit …
Un peu utopique.. car même l excellente Ginette pour rester dans l évocation du privé ne parvient pas à ce résultat …
Et on ne peut pas comparer Ulm… l’X… Avec l épicerie… Sourire ..
Et prétendre avoir 100 pour cent de réussite sans élitisme… Voyons …
La suite ?…
Sourire ..
18 juillet 2021 à 15:08 #67356DyonisosParticipant
j’ai hâte de connaître la suite. Mais avec un nom pareil, je suis prêt à parier que cet établissement fait un usage immodéré de la cane anglaise en rotin sur les fesses des élèves indisciplinés ou paresseux o:)
J’habite Lyon et je ne connaissais pas cet établissement .
Dommage car je m’y serai volontiers inscrit pour découvrir la méthode pédagogique de l’intérieur !Dans la vie, mieux vaut avoir des remords que des regrets !
18 juillet 2021 à 15:27 #67358Ame.masculineParticipant
Il reste alors le lycée du Parc ?…
Sourire…
18 juillet 2021 à 16:12 #67364Monsieur JonesMaître des clés
Il faut se méfier des Jones ! sévère, intransigeant, exigeant, tatillon et implacable !
On se demande comment vont se passer les colles….
Faites de vos fesses le plus bel endroit de la terre...
18 juillet 2021 à 17:21 #67369Ame.masculineParticipant
Déjà qu en temps normal ce n est pas forcément joyeux. Lol…
18 juillet 2021 à 21:20 #67391VictorParticipant
Il faut se méfier des Jones ! sévère, intransigeant, exigeant, tatillon et implacable ! On se demande comment vont se passer les colles….
une allusion au grand Dr Indiana Jones ? Archéologue et habile au fouet à ses heures 😁
18 juillet 2021 à 22:57 #67396DyonisosParticipant
Me and Mrs Jones, que de souvenirs avec ce slow langoureux o:)
Dans la vie, mieux vaut avoir des remords que des regrets !
20 juillet 2021 à 14:17 #67488AnonymeInactif
Très joli récit et vivement la suite merci
20 juillet 2021 à 20:29 #67509VictorParticipant
Madame Jones
L’assemblée sans voix, Madame Jones ouvrit largement les bras, brandissant non pas une baguette militaire mais une cane de rotin au manche gainé de cuir. « Bienvenue au Lycée du Rotin » dit elle souriante, avant de recroiser les mains dans le dos puis de poursuivre son discours inaugural :
- Je suis Madame Elisabeth Jones. Vous m’appellerez simplement Madame Jones en toute circonstance. J’insiste. Ce sera : Madame Jones. En deux mots. Pas de Madame. Pas de Madame la directrice. Pas de Madame le proviseur. Pas de Madame la proviseure. Madame Jones. Sinon, je saurai vous le rappeler » dit-elle en prenant la canne face à elle, à deux mains et la fléchissant devant les élèves.
- Vous garderez les Madame et les Monsieur seulement pour mes collègues ici présents : Claire et Marc. Ils se chargeront de votre cas si vous veniez à enfreindre les règles du Lycée. Et, pour le reste du personnel et pour vos professeurs, il en sera de même que pour moi. Vous vous adresserez à eux en les appelant Monsieur ou Madame suivi de leur nom de famille. Aucun écart ne sera admis. J’ai bien dit Aucun. Ai-je été claire ?
L’assemblée répondit un « Oui Madame Jones » d’une seule voix.
- Mettez vous en files : 15 élèves face à moi, distants d’un mètre, et 10 rangées les uns derrières les autres. Alternez garçons et filles, en quinconce. Sacs au sol derrière vous. Mains sur les cuisses. Pieds serrés. Le dos droit. Le regard au panneau rouge. Soyez fiers. Dépêchons !
L’assemblée ne se fit pas prier. En moins d’une minute, les élèves se rangèrent comme de bons petits soldats. Madame Jones passa dans les rangs. Elle corrigea la position de ses nouveaux élèves, les mettant tous au garde à vous ou presque.
- À présent regardez le visage des personnes à vos côtés. C’est peut être la dernière fois que vous les voyez. Je vais énoncer clairement les principales règles de notre Maison. Si vous ne vous sentez pas capable de les respecter ou si vous ne vous sentez pas capable d’assumer vos erreurs face à la discipline que nous mettons un point d’honneur à respecter ici, sortez des rangs immédiatement. Votre démission sera acceptée sans problème. Vous aurez tout loisir de rejoindre la faculté ou une place vous est réservée en licence : mathématiques, économie ou lettres classiques. Nous vous souhaiterons bonne chance pour intégrer par vous même les mêmes écoles que vos camarades ici présents.
- Reprenons. Regard au panneau !
Tout le monde s’exécuta. La pression venait de monter d’un cran. Le choix d’Anais était le bon. Elle se jurait de tenir bon pendant le discours et de rester dans le peloton.
- Vous serez bientôt repartis en 5 classes : 2 scientifiques, 2 commerces, 1 littéraire. 15 filles et 15 garçons par classe. Mais d’abord laissez moi vous énoncer quelques éléments importants pour votre scolarité :
- Les cours commencent à 8:30. Votre présence est requise a 8:00 dans l’enceinte du dernier mur pour assister chaque matin au rappel disciplinaire matinal. Tout retard sera sanctionné.
- Le seul déplacement autorisé entre les murs d’enceinte depuis la rue jusqu’à la cour de récréation est la marche à pied. La course à pied n’est pas autorisée. Le cheminement caillouteux est surveillé. Des caméras vous guettent. Songez à décoller les deux pieds du sol et les surveillants tâcheront de vous rappeler à l’ordre fermement.
- La marche matinale et de fin de journée vous fera grand bien à tous. Vous ferez ainsi votre sport minimal et aurez de belles jambes et de jolis fessiers comme ceux des stars que vous voyez se pavaner sur les couvertures de vos magazines préférés. Qu’il pleuve, qu’il neige, qu’il grêle, qu’il vente, qu’il règne un soleil de plomb, la marche est obligatoire. La porte du mur d’enceinte en ville ouvre à partir de 6:00 pour les plus matinaux d’entre vous.
Claire et Marc vont passer dans les rangs pour vous remettre votre carnet de suivi disciplinaire. Vous l’aurez toujours sur vous dans l’une de vos poches.
Le personnel y consignera une observation chaque fois que vous enfreindrez le règlement ou que vous vous ferez remarquer.
Pour chaque observation, nous consignerons sa date, son motif, le visa de la personne qui aura relevé l’observation, la punition associée, sa date et le visa de la personne qui vous aura puni. Après chaque série de cinq punitions, vous serez convoqués par votre professeur principal qui décidera d’une punition supplémentaire pour marquer l’occasion.
- 5 observations : entretien avec votre professeur principal et deux heures de retenues
- 10 observations : entretien avec votre professeur principal et le surveillant général, ainsi que quatre heures de retenue
- 15 : je me joindrais à vous pour annoncer douze heures consécutive de retenue
- 20 : vous passerez 24h au lycée pour votre punition
- 25 : vous passerez un week end entier à être puni au lycée
- 30 : vous passerez un week end sur deux parmi nous
- 35 : vous passerez tous vos week-end avec nous
- 40 : vous passerez une semaine sur deux de vacances avec nous
- 45 : vous passerez toutes vos vacances avec nous
- Au delà, nous corserons les punitions pour vous dissuader d’enfreindre plus le règlement. Cela arrive. Croyez moi nous savons mater les rebellions.
Le rythme est particulier au Rotin. Il n’y aura pas de grandes vacances. Vous aurez cours le mercredi matin et le samedi matin. Vous aurez une semaine de vacances après 5 semaines de cours. Vous n’aurez jamais deux semaines de vacances consécutives.
Une particularité : l’uniforme est obligatoire. Il vous sera remis dans la matinée. Les sous vêtements sont fournis aussi : en coton, simple, très couvrant et blanc. Nous mettons un point d’honneur à avoir des élèves parfaitement apprêtés. L’ensemble du personnel pourra à tout moment contrôler la netteté du fond de vos slips. Refusez de vous soumettre au contrôle et vous vous acquitterez d’une observation. Si le contrôle révèle autre chose qu’un tissu blanc immaculé vous vous acquitterez d’une observation.
Pour les filles, l’utilisation de serviette hygiénique est interdit. Seuls des tampons ou des coupes sont autorisés. Veillez à vous en servir habilement.
Les filles auront les cheveux à hauteur d’épaules. Le port du serre tête est obligatoire. Un oubli et une coupe de garçon vous sera accordée sur le champ jusque’à ce que le serre tête soit à nouveau nécessaire pour dégager vos yeux.
Les garçons auront les cheveux courts de longueur uniforme, sans gel. vous vous ferez tondre toutes les 3 semaines à 9mm.
Au Rotin, tous les cours et tous les lieux sont mixtes. Les vestiaires, les douches du gymnase et de l’internat, les dortoirs pour les internes, les salles de classes, les toilettes aussi. Toutes les pièces et tous les jardins du lycée sont sous vidéo surveillance. Lorsqu’un endroit est accessible aux élèves, il est forcément surveillé par un membre du personnel pour la tranquillité de toutes et tous.
Les autres règles au lycée sont basiques :
- Pas de bavardage
- Pas de moqueries
- Pas de cigarette
- Pas de drogue
- Pas de mensonge
- Pas de prise de paroles intempestive
- Pas d’oubli de matériel
- Pas d’oubli de devoir
- Pas de zéro
- Pas de notes inférieure à 15/20
- Pas de leçon non apprise
- Pas de faute d’orthographe, de grammaire, de syntaxe, de niveau de langage
- Pas de tenue négligée
- Pas d’attouchement entres élèves non consentants
- Pas de violences
- Pas de retard
- Pas d’insolence
- Pas d’effronterie
- Pas de désobéissance
- Pas de téléphone, ni d’ordinateur portable
- Pas d’appareil photo ou de caméscope
- Pas de slip taché
- Pas de refus pour la mixité
- Pas de coupe de cheveux non règlementaire
- Rien d’autres que les uniformes mis à part ce matin
- Pas d’interpellation du personnel sans Monsieur ou Madame suivi de leur nom
- Pas d’autre interpellation que Monsieur ou Madame pour Marc et Claire
- Pas de maquillage ni vernis
Je ne vous ai pas encore parlé des punitions. Avant les punitions, je vais vous rappeler un célèbre proverbe. « Mieux vaut prévenir que guérir ».
Afin que le règlement soit gravé dans vos petites têtes et que vous ne l’oubliez jamais, chaque jour à 8h00, nous ferons l’appel par classe dans la cour. On tirera au sort par année d’étude : une fille ou un garçon qui sera désigné pour recevoir le châtiment corporel préventif quotidien. Vous y passerez toutes et tous. Claire ou Marc administreront un déshabillage complet, une inspection des sous vêtements, une observation et une punition supplémentaire le cas échéant, une fessée à la main sous le préau, puis une mise au pilori et l’administration de 25 coups de canne énergiques. Selon l’humeur, la température sera prise. Entre les fesses bien sur. L’élève restera attaché toute la journée et reprendra 10 coups à la récréation, 25 coups à 13h, 10 coups à la récréation, 25 coups le soir jusqu’au départ du dernier externe avant d’être détaché et autorisé à se rhabiller. Ses fesses et sa face seront prises en photo pour affichage sous le préau le lendemain.
Le préau se vida alors de 6 filles et 4 garçons visiblement pas assez motivés. Ils furent congédier par Marc et Claire tandis que Madame Jones poursuivait son discours.
Une autorisation d’inscription à la faculté leur fut remise avant qu’ils ne soient chassés de l’établissement.
Madame Jones demanda à l’élève devant un chiffre entre 0 et 15, puis à l’élève d’a côté un chiffre entre 0 et 10, puis encore entre 0 et 15 puis encore entre 0 et 10. Sans le savoir, les élèves désignèrent 2 camarades pour recevoir le châtiment préventif…
7 août 2021 à 22:46 #68333VictorParticipant
Et voilà la suite
merci à @monsieurmechant @salamboflaubert75 @dyoni @rouge94 pour vos messages et pouces de soutien
Madame Jones passa dans le second rang et s’arrêta au 10eme élève.
- Nom ?
- Olleh Madame Jones
- Prénom ?
- Anaïs Madame Jones
- Bien, sors des rangs et va te mettre face à tes camarades devant le tableau rouge, dit elle en inscrivant « Anaïs » dans son petit calepin.
- Oui Madame Jones.
Madame Jones avança ensuite de 3 élèves puis rentra de 5 rangs dans l’assemblée.
- Parfait ! Un bel homme. Nom ?
- Lodi
- Pardon ?
- Lodi Madame Jones
- Prénom ?
- Tom Madame Jones
- Bien Monsieur Lodi, dit elle en reportant à la suite du nom d’Anais, le sien. Vous faites l’objet d’une première observation pour non respect de la première règle que je vous ai énoncée. Rejoignez mademoiselle Olleh devant vos camarades. Et vite !! Dit elle sèchement.
Madame Jones sortit des rangs passa derrière Anaïs et Tom, se mit à côté de Tom et posa sa baguette sur les épaules et corrigea la position des deux élèves.
- Allons ! Jeunes gens ! Tenez vous convenablement. Regardez droit devant vos camarades. Ils vous ont choisi pour recevoir le châtiment préventif. Soyez en fiers ! Il n’y aura pas de cours pour vous aujourd’hui. Juste l’exemplarité dont vous allez faire preuve. Marc, Claire, les bassines s’il vous plaît.
Marc et Claire vinrent se placer de part et d’autre de Tom et Anaïs.
- Déshabillez vous ! Vos affaires dans les panières ! Chaussures et chaussettes aussi !
Un instant passa. Madame Jones impatiente abattit sa canne sur les fesses couvertes d’Anais puis de Tom.
- Qu’attendez-vous ?! Dit elle sévèrement.
Intimidés, les deux jeunes adultes entreprirent l’exécution de cet ordre humiliant devant l’ensemble de la nouvelle promotion guère rassurée. Mais il en était ainsi au Rotin et toutes et tous avaient accepté juste avant les conditions d’enseignement. Anaïs porta ses mains à sa taille pour retirer timidement son débardeur. Tom descendit son pantalon et défit ses chaussures en restant debout. Anaïs se débrouilla d’ôter ensuite son pantalon, se retrouvant en culotte et soutien gorge. Tom ôta sa chemise. Il regarda Anaïs. Une légère bosse s’installa sous son boxer. Madame Jones ne manqua rien de ce comportement réflexe.
- Allez Tom ! Montrez nous ce sexe raide que vous ne savez contrôler ? La fessée vous ramènera à la raison.
Tom, très gêné porta ses mains devant son boxer pour cacher l’excitation qui l’envahissait.
- Marc s’il vous plaît, dit Madame Jones.
Marc se positionna derrière Anaïs et lui mit une claque aux fesses.
- Madame Jones a demandé que vous soyez nue mademoiselle. Je vous aide ?
- Non, non, je me déshabille répondît Anais en défaisant son soutien gorge.
- Par contre vous Monsieur vous êtes bien lent, déclara Marc en baissant sèchement le caleçon de Tom et lui mettant les mains sur la tête. Voilà qui est mieux. Regardez vos camarades. Soyez fier de donner l’exemple jeune homme.
Anaïs, peu rassurée, mais peu désireuse de se faire déculotter, descendit sa culotte, mis toutes ses affaires dans la panière et prit la même position que Tom sans qu’on lui demande, exhibant ainsi toute son anatomie.
Madame Jones se réjouit de l’élan pris par la demoiselle. Elle passa devant les deux jeunes gens, s’accroupît, se releva et se retourna vers le reste des élèves.
- Au Rotin, la pilosité sexuelle n’est pas admise. Vous aurez toutes à minima un maillot très échancré, les grandes lèvres nues, le périnée et le sillon inter fessier aussi. Pour les garçons : verges et bourses nues, maillot très échancré aussi, sillon nu impératif comme le périnée. N’importe lequel des personnels de l’établissement pourra vérifier à tout moment. Tout entretien non conforme vous vaudra bien évidemment une observation et une punition. Je vous laisse jusqu’à lundi pour vous mettre en règle. Pour l’heure Claire, emmenez Anaïs avec vous pour la mettre en conformité avant son châtiment. Marc occupez vous de Tom.
Claire emmena Anaïs. Elle mit sa main dans son dos et la dirigea toujours main sur la tête en direction de la porte du fond. Marc resta à côté de Tom en lui mettant de petites claques sur les fesses. « On va attendre qu’Anais revienne pour s’occuper de toi ».
Malgré sa peur de la fessée approchant Tom n’arrivait pas à se calmer. Son érection grossissait et se maintenait. Ses camarades étaient tous stupéfaits par la scène. Leurs yeux passaient de la bouche pulpeuse de Madame Jones, sévère comme pas deux, déblatérant son discours de fermeté, au sexe de Tom raide comme une baguette de tambour, aux fesses rebondies d’Anais s’éloignant vers l’institut de beauté local. Personne ne dit un mot. Tom peinait à regarder l’assistance et cherchait plutôt à faire décroître l’engin qui omnibulait ses camarades. Heureusement, Marc le claquait pour lui redresser le regard bien en direction du reste de la nouvelle promo.
De l’autre côté de la porte, Claire fit attendre Anaïs devant une seconde porte et l’autorisa à quitter les mains de la tête à condition de ne cacher ni ses seins ni ses fesses ni son sexe. Anaïs trop peu sûre d’elle resta mains sur la tête, trop effrayée à l’idée de désobéir et prendre une première observation.
Claire était aussi une jolie brune, la trentaine tout juste, les cheveux raides, lâchés, un joli gloss aux lèvres, vêtues d’un débardeur blanc, un jean taille haute brut de teinture serré aux cuisses légèrement évasé aux chevilles, une paire de sandales laissant voir ses jolis ongles vernis, une montre et des joncs au poignet gauche, la main droite nue de tout accessoire. Autour du cou, elle portait un petit collier en or jaune avec pendentif représentant un trèfle à quatre feuilles. Son visage était parsemé de quelques discrètes tâches qui n’enlevaient rien à son charme. Elle n’était pas très grande : 1m70 tout au plus. Elle était aussi belle de face que de dos. Son jean la rendait élégante et désirable. Son haut laissant deviner le haut de sa poitrine aurait perturbé n’importe quelle élève en quête d’aventure lesbienne ou n’importe quel garçon en quête d’une nuit de plaisir. Tout aussi élégante qu’elle pu être, il n’en restait pas moins qu’elle était en charge des fessées et autres châtiments édictés par le règlement.
Elle revint voir Anaïs et l’équipa de liens. Elle les lui passa aux poignets et aux chevilles. Il s’agissait de bracelets de cuir marrons clairs, matelassés, elle ne les serra pas trop, tout en disant à Anaïs que c’était la première fessée de l’année et qu’en ce jour le personnel était indulgent avec les nouveaux et les nouvelles. Elle lui glissa à l’oreille que par contre à partir de demain, l’intransigeance serait bien de mise pour tout le monde. Elle relia ensuite les liens de poignets au dessus de la tête d’Anais mais lui laissa les chevilles indépendantes. Les bracelets portaient une sorte de broderie « Le Rotin » en lettres blanches. Ils étaient tous munis d’un anneau en argent. Les liens étaient assez imposants : 5cm de hauteur environ. Enfin, Claire passa autour du cou d’Anaïs un collier portant lui l’inscription « Pour L’Exemple ». Il était aussi marron clair brodé de blanc avec un gros anneau d’argent à l’avant et deux plus petits sur les côtés. Claire ajusta le serrage sur la nuque et cadenassa enfin chaque fermoir de ce bel ensemble de maroquinerie.
- Lors de la fessée au pilori tu seras immobilisée au niveau de chacune de ces pièces de cuir.
Anaïs ne faisait pas la maline. Claire ouvrit la seconde porte et invita Anaïs à avancer en lui imprimant une pression sur les omoplates. Elle avança sur un sol couvert d’un carrelage froid. Il ne faisait pas bien chaud non plus dans cette pièce. Elle découvrit tout un ensemble de mobilier qu’elle n’avait pas coutume d’employer : une croix au mur, une croix horizontale comme un banc, une table de massage, un banc, un lit métallique comme ceux des casernes militaires d’autrefois, des prie Dieu, des chaises gynécologiques, des meubles en forme de U inversés, un cheval d’arçon sans poignées. Chaque meuble était équipé de divers crochets et anneaux certainement en vue d’immobiliser les victimes des châtiments. Elle vit aussi aux murs toutes sortes d’instruments : des cannes comme celle de Madame Jones, des fouets, des martinets, de grands paddles de bois percés, des plateaux d’instruments médicaux tous en acier inoxydables, des cravaches plus ou moins longues.
Anaïs fut interloquée par l’abondance de matériel et resta figée sur place voyant tout cela. Elle se dit que cela coûtait bien cher de pouvoir étudier au Rotin et qu’il lui faudrait rester sage le plus longtemps possible pour ne pas finir dans cette salle torturée par Marc ou Claire.
- Cela te plaît ? demanda Claire moqueuse, le sourire jusqu’aux oreilles.
Anaïs n’osa pas répondre.
- Tu sais… tôt ou tard vous finirez toutes et tous par venir ici pour recevoir une correction. Ton tour viendra dit-elle en ouvrant un grand tiroir. Regarde: nous avons ici toutes sortes de godes et plug pour vous faire regretter vos fautes. Un passage de ces outils entre les fesses n’a jamais fait de mal à personne. Allez avances un peu ! fit elle, maintenant la pression dans son dos.
Claire avait employé le terme « outil ». C’est ce qui surpris le plus Anaïs. Elle en avait à la maison de ces outils mais elle appelait ça des sextoys. Les siens étaient de taille plus raisonnable. Elle se jura d’essayer de ne pas faire l’objet de sévices nécessitant ces « outils » de taille démesurée m, de forme é ce troque et de texture aussi agréable que celle d’un bon vieux paillasson.
Elle firent quelques pas. Anaïs découvrit de drôles de machines sur lesquelles étaient montés des godemichets. Certaines semblait permettre de simples va et viens. D’autres semblait pouvoir avoir des mouvements plus originaux. Certaines machines étaient libres et mobile à volonté dans la pièce. D’autres étaient montées sur du mobilier. Ici sur une chaise, la sur un prie Dieu excentrique.
Claire prit Anaïs par l’arrière de la tête et là tourna de force en direction du mur de droite vers un petit couloir.
- Regarde bien par ici jeune fille.
Anaïs découvrit 8 cages à barreaux noirs. 4 en partie haute et 4 en partie basse. Il n’était pas possible de tenir debout dedans. Elles ne faisaient pas toutes la même taille. Et, surprise, l’une d’elle était occupée par une élève nue et menottée.
- Si tu ne veux pas finir comme Sandra ici, je te conseille de respecter le règlement à la lettre. Entendu Anaïs ?
- Oui Madame. Répondît-elle anxieuse.
- Allez, suis moi que je m’occupe de ton épilation.
Elles retournèrent à proximité d’une table gynécologique. Claire l’installa. Anaïs s’allongea et mis les pieds dans les étriers. Claire attacha ensuite les petits anneaux latéraux du collier à la table puis les poignets en haut de la table, les liens de chevilles aux étriers. Elle passa une sangle au niveau du nombril puis une autour de chaque cuisse. Elle ajusta l’ouverture des étriers.
- As-tu déjà été épilée sur cette zone ?
- Je n’ai jamais été épilée du tout Madame. Ça va faire mal ?
- Bien, je vais y aller doucement alors. Le but n’est pas de te faire mal mais de bien te dégager.
- Ok, merci madame.
Claire ajusta la hauteur de son tabouret entre les cuisses de la petite nouvelle. Elle avait le maillot recouvert d’une épaisse toison ni brune ni blonde, jamais vraiment entretenue. On ne put distinguer clairement la vulve cachée sous ce tapis naturel. Alors, Claire se saisit d’abord d’une tondeuse et éclaircit le tout.
En posant une pièce de cuir sur le pubis d’Anais, elle dit : « C’est un gabarit pour ton épilation. Ici toutes les filles ont le même format de dessin. Il s’agissait d’un simple trapèze. Claire changea le sabot de la tondeuse pour en prendre un plus petit, accentua la pression sur la pièce de cuir et fit 4 petites tontes un peu plus marquées pour délimiter le dessin.
- Prête pour les choses sérieuses ?
- Oui madame.
- Dis moi si c’est trop chaud.
Claire maîtrisait parfaitement la chose. Elle épila Anaïs calmement, avec methode et minutieusement à la cire chaude. Anaïs ne broncha pas, ne pleura pas. Elle eu quelques moments de crispation lorsque les premières bandes furent arrachées – surtout sur les lèvres et entre les fesses. Claire finit de degager le sexe et l’anus d’Anais à la pince et à la loupe. Enfin, elle passa un dernier coup de tondeuse à la hauteur finale réglementaire sur le pubis.
Anaïs arborait un petit orifice arrière accessible et complètement dégagé, un périnée glabre, des lèvres dépourvues de tout poil, et un joli trapèze pointé vers le bas sur le pubis. La ligne basse du dessin s’arrêtait à au moins 3 cm du haut de sa fente. Le motif se détachait bien du ventre et des cuisses.
Claire passa de l’huile apaisante sur l’aine, les lèvres, les fesses et l’œillet d’Anais. Elle se permit même d’ouvrir un peu la peau fendue de la jeune fille. Cela la fit tressaillir. , ce qui fit tressaillir.
- Te voilà prête pour la fessée et l’année au Rotin. Prends soin de cette épilation. Arrache chaque repousse. Si c’est à nous de le faire en cas de contrôle inopiné, tu seras punie. Si tu nous demande de le faire parce que tu ne t’en sens pas capable, nous te donneront une fessée à la main pour te donner de l’entrain pour la fois suivante. Tout rasage est interdit. La tonte du motif se fait au sabot de 9mm maximum. Des questions ?
Le discours était limpide.
- Non Madame.
Elle la détacha, lui mit une laisse très courte au collier et la releva en la tenant par cette laisse de cuir assortie aux liens déjà en place.
Claire ouvrit la marche et revint sous le préau suivie à la trace par Anaïs qui avait remis ses mains sur sa tête. Elle avait les yeux bas. On aurait su distinguer si elle était simplement anxieuse de son sort ou si malgré l’anxiété elle se calmait en reluquant les hanches et les fesses rondes de la dominatrice qui la précédait. Il faut dire que Claire travaillait son postérieur quotidiennement. Elle s’entretenait avec Marc chaque jour. Ils passaient au moins deux heures par jour à courir et faire de l’exercice dont au moins 45 minutes de renforcement des fessiers. Ce couple fesseur et fesseuse s’entraînait ainsi et achevait en général la journée par une séance de sodomie chacun leur tour. Claire s’accroupissait sur le phallus de Marc et lui s’accroupissait ensuit sur le gode ceinture de Claire. Ils pouvaient ainsi se donner du plaisir tout en améliorant leur souplesse et leur musculature fessière.
Les autres élèves furent surpris en voyant Anaïs ressortir ainsi arnachée et ainsi tenue en laisse. Claire remit Anaïs à côté de Tom, laisse pendante.
Madame Jones reprit la parole.
- Marc, à Tom maintenant.
Depuis le temps, l’érection de Tom était retombée. Non sans mal. Il avait fallut que Madame Jones le menace de l’usage de glaçons.
Au retour de Tom, Marc le remit aussi en place à côté d’Anais laisse pendante.
- Au Rotin, il n’y a pas de traitement de faveur pour les jeunes mâles. Les traitements seront les mêmes pour eux que pour les demoiselles continua Madame Jones. Vous avez devant vous le parfait exemple de corps que vous devez maintenir. Claire et Marc vous distribueront avec votre uniforme un gabarit pour que vous puissiez vous épiler correctement et afficher ce joli triangle pubien. Vous êtes autorisés également à ne rien avoir du tout. Les tickets de métro sont proscrits sous peine d’observation et de punition. Nous vous donnons jusqu’à vendredi pour vous mettre en règle. C’est à dire 48 heures. Vous avez la possibilité de vous faire épiler ici par Claire et Marc à condition de recevoir une fessée manuelle. Ces séances de beauté sont accessible de 17h00 à 21h. Nous pouvons prendre 16 élèves sur ces deux journées. Les rendez vous seront pris parmi les volontaires au hasard et après le châtiment préventif. Les autres il faudra vous débrouiller en ville ou entre vous. Dès vendredi matin, nous vous contrôlerons. Pour l’entretien, rasage interdit et tonte obligatoire du motif pileux. Pas plus de 9mm de toison jeunes gens ! Claire, Marc, je pense qu’il est l’heure de la fessée pour nos jeunes élèves.
Claire et Marc installèrent devant Anaïs et Tom deux chaises. Ils leur firent serrer les chevilles et le leur attachèrent. Ils prirent chacun par leur laisse leurs élèves, s’assirent faces aux élèves et guidèrent Anaïs et Tom sur leur genoux en tirant sur leur laisse. Ils prirent leur mains et leur attachèrent dans le dos. Enfin, ils attachèrent les laisses au sol sur des anneaux que personnes s’avaient remarquer jusque là.
Les chaises avaient été mises de côté de sorte que les fesses de Tom et Anaïs soient bien visibles de tous. Claire palpa les fesses d’Anais, lui écarta, passa sa main entre ses fesses et jusqu’à son sexe. Marc fit de même avec Tom, lui chatouillant même les bourses et effleurant la verge.
Un silence de plomb régnait. Anaïs et Tom échangèrent des regards d’inquiétude, de gêne, de timidité. Claire et Marc se faisaient face et sourierent. Anaïs allait être frappée de la main droite de Claire et Tom de la gauche de Marc.
Marc était grand, très grand, 1m95 au moins, musclé, imposant vêtu d’un teeshirt ras de cou noir. Ses lignes pectorales traversaient son habit. Il avait de grandes mains musclées. De véritables battoirs. Il portait lui aussi un jeans brut boot cut, une large ceinture de cuir marrons et une paire de Santiag. Aucun enfant n’aurait voulu être menacé de prendre un coup de pied au cul de sa part. Il devait faire un bon 46 ou 47. Ses souliers étaient pointus et le cuir paraissait très solide. Lui par contre portait à sa main gauche une large bague au majeur et une alliance à l’auriculaire. Tom allait sûrement déguster un peu plus que Claire. Marc était à peu près du même âge que Claire, brun lui aussi, une coupe militaire, une barbe d’une semaine bien entretenue, rien autour du cou, juste un tatouage vertical sur le côté droit du cou.
Madame Jones se mit entre les têtes d’Anais et Tom, s’accroupît pour leur caresser les joues couverte d’humidité de leurs yeux, positionna à un petit miroir devant leurs faces afin que les autres élèves puissent voir leurs faces comme leurs fesses.
Claire posa sa main sur la cuisse d’Anais, Marc sur celle de Tom.
Madame Jones se releva.
- Allez ! 150 claques pour des fesses bien chaudes avant la canne et pour éviter bien des observations, demanda-t-elle en levant le voile sur les piloris. Top !
Alors les mains de Marc et Claire se levèrent pour asséner le traitement préventif…
8 août 2021 à 17:04 #68355DyonisosParticipant
Quelle belle suite ! Je n’en attendais pas moins de Madame Jones et du règlement du Rotin qui s’inspire en droite ligne de l’éducation anglaise dans sa plus stricte application des châtiments corporels et des règles liées d’hygiène et d’entretien du sexe des élèves. Voilà une bonne école ou il fait bon apprendre o:)
Dans la vie, mieux vaut avoir des remords que des regrets !
9 août 2021 à 10:13 #68388YvesParticipant
A quand la suite ? Viiiite !
Mesdames, mesdemoiselles, mon propre plaisir passe par le vôtre
Blog : histoires-jr33.blogspot.com
9 août 2021 à 16:19 #68395VictorParticipant
Merci bien @sevy-ryjackan et @dyoni
continuons encore un peu
Madame Jones repartit dans les rangs entre les petits nouveaux et les petites nouvelles.
- Regardez bien les jolis p’tits culs de vos camarades. Un jour vous serez à leur place. Ici. Comme eux. Pour l’exemple. Regardez leurs visages dans les miroirs. Observez leurs mouvements bloqués par les liens de cuir. Regardez leur laisse immobilisant les mouvements de tête vers l’arrière. Voyez leurs membres frémir. Regardez ces fesses rougir.
Madame Jones passait dans les rangs, redressait le menton de celles et ceux qui n’osait pas regarder. Elle palpait les fesses des élèves ça et la, approchait ses lèvres de leurs oreilles et leur chuchotait : « il va falloir se mettre au sport jeunesse ! » , « jolies fesses », « quelle fermeté ! », « je sais que vous avez hâte de prendre leur place », « regardez jeune fille… regardez vos camarades nus où je vous deculotte ici dans les rangs ». Toujours dans la même position scotchée derrière les élèves elle passait ses mains au niveau de leur pubis, et perverse, elle continuait ses palabres à voix basses « excitant n’est ce pas ? » en plaquant sa main sur les monts de Venus des filles, « bientôt le grand chapiteau mon garçon » chuchotait elle aux garçons tout en cherchant leur sexe au travers de leur pantalon.
Madame Jones tenait silencieusement le compte des claques que donnaient ses deux employés. Ils n’y allait pas de mains morte.
- Claire, Marc, même si c’est le premier jour, frappez normalement. Nous ne faisons pas une préchauffe de confort. Nous mettons une fessée ! Ils n’en ont pas envie. Ils sont là pour l’exemple et non pour une récompense. Cela doit être piquant ! Frappez !
Isabelle, une étudiante, n’arrivait pas à garder les yeux en direction des fesses de Tom ou de celles d’Anaïs. Madame Jones le remarqua. Elle se plaça derrière elle, prit ses mains, les lui monta sur la tête et lui dit à l’oreille : « je vous ai prévenu, si vous n’êtes pas capable de tenir, vous tiendrez sûrement mieux cul nu mon enfant ». Isabelle portait un jogging. Madame Jones glissa ses mains dans l’élastique du pantalon d’Isabelle, attrapa au passage celui de la culotte et descendit tout jusqu’aux chevilles.
- Voilà ce qui arrive quand on désobéit jeune fille. Vous allez continuer de regardez maintenant ?
- Oui Madame… oui Madame Jones dit elle après s’être reprise.
- Vous serez la dernière à quitter le préau, nous conviendrons d’une punition. Tenez cette position tant que je ne vous dis rien. Compris ?
- Oui Madame Jones ! Dit elle sans hésiter, tremblante comme une feuille.
En face, les deux acolytes fesseur et fesseuse se souriaient toujours et s’appliquaient.
Leurs mains agiles, et fermes battaient les fesses et les cuisses des étudiants du Rotin depuis déjà cinq ans. Ils avaient été eux mêmes élèves ici. La discipline leur avait plu. Ils abandonnèrent leur projet d’école normale supérieure. Ils avaient demandé à Madame Jones de les former à la pratique des châtiments, ce qui l’avait enchantée. Elle les avait alors pris sous son aile pendant deux ans en apprentissage, officiellement en master de gestion universitaire, et leur avait transmis tout son savoir. Ils avaient fait leurs armes sur les promotions précédentes et étaient autonomes donc depuis cinq ans.
Sous les battoirs de Claire, Anaïs se mordait les lèvres pour ne pas crier de douleur. Tom ne parvenait pas à se contrôler. Madame Jones revint à leurs pieds et attacha leurs chevilles à un anneau au sol qui n’avait lui non plus suscité la curiosité d’aucun élèves. Ainsi les deux jeunes ne purent plus battre des pieds.
Ces deux camarades d’infortune eurent bientôt les fesses rouges. Claire imprimait la marque de sa main à chaque claque. Ses gestes étaient précis et assurés. Marc, lui, pétrissait les fesses de Tom à chaque impact. Sa main s’enfonçait dans la peau et il serrait la fesse presque à chaque claque.
Anaïs ne pu retenir de cri l’orque Claire commença à lui frapper les cuisses. Tom, pour sa part, ne pouvait contenir ses larmes. Ses yeux apparaissent emplis de larmes dans le miroir posé au sol. Les claques couvraient toutes les fesses. Aucune surface n’était laissée orphelinement blanche. Les rougeurs s’étendaient du bas du dos aux hanches jusqu’au premier tiers des cuisses. Bientôt, vers 100 claques, la peau vira au pourpre. Tom et Anaïs étaient à présent comme vêtus d’un petit short bordeaux. Ils avaient la peau si claire initialement que ce short ressortait parfaitement.
Pour les 50 dernières claques Claire et Marc augmentèrent le rythme et claquèrent les étudiants à vive allure. Anaïs n’avait pas le temps de reprendre son souffle qu’à chaque fois une salve retombait et les larmes coulaient de plus belle. Tom avait abdiqué depuis belle lurette. Anaïs avait tenter de dire « Stop ». Essai vain ! Claire lui avait alors mît une violente claque à mi cuisses.
Les dix dernières claques furent mises très fortement les unes après les autres. Tom ne supportait guère les impacts et pleurait de douleur et de honte d’être ainsi exhibé alors qu’il n’avait rien fait. Anaïs elle, pleurait surtout de peur. Elle savait que ce n’était pas fini et qu’il fallait encore passer sous les coups de canne. Elle voyait devant elle le pilori sur lequel le elle serait bientôt attachée. Cela la préoccupait beaucoup.
- 150 ! Déclara Madame Jones. Cela fait deux jolis culs rouge. Laissez moi prendre quelques photos avant que nous passions aux choses sérieuses.
Le reportage photographique terminé, elle détacha les chevilles du sol ainsi que les laisses. Claire et Marc firent relever Anaïs et Tom tremblants et les mirent de dos de sorte que les élèves voient bien leurs fesses rouges. Ils leur détachèrent les chevilles puis l’après avoir degager les chaises du chemin, ils les emmenèrent chacun à leur pilori. Madame Jones prit une chaise et s’assit entre les deux de sorte a pouvoir observer les victimes et visualiser leur visage.
Claire fit monter Anaïs sur l’estrade et lui fit ouvrir les cuisses largement. Elle relia les anneaux de chevilles aux montants du pilori, puis sangla les cuisses. Elle ajusta la hauteur d’une barre pour que celle ci vienne se caler juste sous les abdominaux de l’élève. Puis elle lui détacha les mains et les passa dans les trous à l’avant du pilori. Elle rattacha les anneaux de poignets à la face avant de ce mobilier d’exhibition et fit descendre un peu le montant pour bien tendre la peau des fesses. Elle relia la laisse à un autre anneau puis arrangea les cheveux d’Anaïs en queue de cheval. Elle ferma ensuite le pilori sur la nuque et sur les poignets d’Anais et verrouilla le tout. Enfin, à l’aide d’un savant jeu de cordelettes, elle lui attacha la queue de cheval au montant du pilori de sorte à ce que Madame Jones puisse regarder sa victime dans les yeux sans effort.
Anaïs avait donc les fesses tendues et écartées à la vue de tous. Sa petite chatte blanche ressortait au milieu du short de peau pourpre. Sa vulve était parfaitement visible. Les autres élèves avait une vue imprenable sur son intimité dégagée de toute pilosité. Madame Jones elle avait vue sur le visage larmoyant et inquiet de cette jeune fille d’à peine dix huit ans.
Il en fut de même pour Tom.
Marc et Claire prirent chacun une canne de rotin et les brandirent à plus ou moins grande vitesse dans les airs à côté des corps des élèves. Le sifflement leur fit peur. Anaïs et Tom se tendirent un peu plus. On vit leur fesses se contracter. Un « ooooooh » de stupeur raisonna sous le préau lorsque Claire fit mine d’abattre à canne sur les cuisses de Claire en s’arrêtant à la limite d’impact.
Les deux chargés de punition prirent chacun un pulvérisateur d’huile et arrosèrent les fesses et les cuisses à disposition. De leur mains, il étalèrent ce liquide sur toute la peau colorée et il ne se gênèrent pas pour passer leurs doigts entre les fesses. Cela fit sursauter les élèves. Ils levèrent brusquement la tête mais leurs mouvements furent contrariés par la courte laisse et le fermoir qu’ils avaient au dessus de la nuque. Ils étaient à la disposition de Madame Jones et de son service répressif.
Claire puis Marc se positionnèrent à bonne distance et brandirent de nouveaux les bâtons pour tester la distance.
- À vos ordres Madame Jones, déclara Marc.
- A vos ordres Madame Jones, déclara Claire.
Madame Jone posa sa main sur la joue d’Anais et l’autre sur celle de Tom.
– Et bien allez y ! 25 coups de canne pour chaque élève, sans hésitation. Qu’ils s’en souviennent.
10 août 2021 à 16:51 #68415VictorParticipant
Recevoir le châtiment préventif au Rotin n’était absolument pas une promenade de santé. Il devait être exemplaire chaque matin. Il devait faire mal. Les élèves qui y passaient devait s’en souvenir. Les élèves devaient en conséquence craindre Madame Jones et son équipe pédagogique. L’objectif était que les élèves respectent au maximum et à la lettre le règlement intérieur.
Quiconque était passé au pilori préventif, ne commettait en général pas d’impair avant au moins deux semaines. Il y avait bien sûr des exceptions. Celles ci étaient matées sans une once d’hésitation ou de compassion par le personnel du lycée. Une observation prise moins de 14 jours après un tel avertissement donnait automatiquement une sévère fessée suivi de 48 heures de retenue pour mieux comprendre et retenir les règles de l’établissement.
Claire leva puis posa la baguette sur le dos d’Anaïs. Marc fit de même avec Tom. Claire leva la baguette et l’abattit sèchement juste sous les fesses de la jeune fille, au pli fesses-cuisses. La canne avait fendu l’air et tout le monde avait entendu le sifflement du rotin. Au moment de l’impact Tom avait été surpris par le bruit du claquement et la grimace proposée par sa camarade.
Claire annonça : « un ! » et Marc abattit sèchement et sans trembler deux coups sur Tom. Un premier tout en haut des fesses et l’autre juste en dessous. Deux lignes apparurent après quelques secondes sur le short de peau pourpre du jeune adulte. Sa tête se baissa et un grognement lui échappa alors que Madame Jones lui tenait fermement le visage.
Marc dit « et de deux ! ». Claire releva son bâton d’à peine 30cm et l’abattit trois fois de suite sur le haut des cuisses d’Anais qui se secoua dans l’étreinte du meuble qui la retenait. Elle aurait voulu tout arracher et s’enfuir mais le bois l’en empêchait. Le pourpre de sa peau se para de plein de petites taches entre les lignes des impacts de canne. Madame Jones vit dans les yeux d’Anais une hésitation. L’étudiante se demandait si elle ne ferait pas mieux de démissionner mais son projet scolaire lui tenait à cœur.
Dans l’assemblée, tout le monde regardait la scène avec stupéfaction. Isabelle n’avait plus quitté les fesses d’Anais des yeux depuis que Madame Jones l’avait publiquement déculottée. Les autres camarades tenant à leurs culottes et boxers regardaient attentivement la scène, tous impatients que cela se finisse. Le spectacle était un peu dur pour un premier jour.
« Quatre par ici » lança Claire le sourire aux lèvres. Marc releva la canne en l’air et mit sur le cul de Tom quatre impacts de plus. Quatre coups à intervalle de temps égales, et largement espacés mais d’une puissance supérieure.
« Six ici pour le garçon du jour, vas y doucement pour cette fillette quand même » nargua Marc.
« Oh notre petite Anaïs semble avoir la peau dure.. » renchérit Claire moqueuse en palpant les fesses de la jeune fille.
Elle, ne voulait qu’une chose : prendre sa fessée et se reposer ; et surtout qu’ils arrêtent leur petit jeu moqueur de celui qui tape le plus fort. A chaque salve l’intensité croissait. Même si à présent, elle avait encore les fesses pourpre et chaudes, elles n’étaient pas pour autant anesthésiées. Et, n’étant masochiste Anaïs continuait de ressentir sans plaisir la douleur de cette fessée a l’ancienne. Par contre, parmi ce beau petit monde, quelques un semblaient prendre leur pied. Madame Jones bien sûr qui allait de moquerie en sarcasme. Claire et Marc, dans leur élément. Et au dernier rang de la nouvelle promotion une jeune fille et un garçon semblait regarder la scène avec envie. Madame Jones les avait repérés du coin de l’œil alors qu’ils avait cru pouvoir commencer à se toucher discrètement.
La canne de Claire se leva haut au dessus du petit cul rond de la belle Anaïs. Cinq coups, francs et durs vinrent pétrir les chairs de la demoiselle tirée au sort. Claire faisait en sorte d’appuyer fermement chaque coup. Le rotin s’enfonçait dans la peau. Chaque coup laissait une marque de souvenir. Les larmes ne cessaient plus. Les pauses permises par l’alternance entre les coups pris par Tom et ceux pris par Anaïs ne suffisaient pas à éteindre le chagrin des élèves. Plus le châtiment avançait, plus les coups étaient forts.
« Neuf ! Elle en a encore sous le coude notre petite »déclara Claire en voyant les fesses se couvrir d’auréoles violettes.
Marc, sans sourciller, repris son ouvrage et recommença à battre le cuir de Tom ». Une pluie de 6 mouvements tomba dessus. Les pleurs et demande de libération n’étaient plus étouffés mais restaient toujours vains.
« 11 ! »
« J’aime les comptes ronds moi » annonça Claire.
A ce moment Anaïs se crispa. Elle ne savait pas jusqu’où irait Claire et implora sa pitié. Mais rien y fit. Claire changea de côté, ajusta sa position et reprit la frappe. Elle mit a Anaïs non pas 7 coups de suite pour continuer le petit jeu mais 11 pour fermer le compte provisoire à 20 coups.
Marc reprit aussitôt sans que Claire eu le temps de finir de prononcer « 20 ! »
Puis ils enchaînèrent ensuite coup par coup. 21,21, 22, 22, 23, 23, 24,24.
Madame Jone se leva, dévissa le pommeau de sa canne et en sortit une plus fine encore.
Les élèves sous le préau comprirent que le vingt cinquième coup ne serait pas semblable aux précédant.
Elle s’approcha d’Anais et lui empoigna les fesses, plantant ses ongles dans ses fesses pour sentir à pleine main la chaleur s’en dégager. Tom eu le droit au même traitement.
Marc se mit accroupi devant Tom et lui prit le visage entre les mains. De même, à côté pour Anaïs et Claire. Ils les regardèrent, séchant leur larmes d’un mouvement de pouce.
Madame Jones reprit la parole : « Voilà ce qu’est un châtiment préventif jeune gens ! J’espère que vous aurez pris bonne note de la progressivité appliquée ce jour. Il n’en sera pas de même pour vos punitions ».
Elle se positionna, n’eut pas besoin d’ajuster et assena le dernier coup de cette série matinale. Le rotin fendit l’air, siffla et une fine marque fut gravée sur le cul d’Anais puis de Tom.
Ils ne purent se retenir de s’exprimer. Leur peau était à présent rouge constellée d’impacts et prochainement de bleus.
Madame Jones prit un malin plaisir à prendre en photo les visages humides d’Anais et Tom, puis leur fesses et chargea Claire de développer les photos pour affichage.
Claire défit toutes les liaisons entre Anaïs et le pilori. Tom fut aussi détaché. Tremblants, il furent conduit au coin mains sur la tête et jambes écartées. Un petit chevalet fut disposé à leurs pieds : « pour l’exemple ».
Les professeurs principaux des cinq classes arrivèrent sous le préau.
Madame Jones les présenta et leur demanda de faire l’appel et de récupérer leurs élèves à l’exception d’Isabelle, Anaïs, Tom.
Elle dit aussi en les prenant au dépourvu : « Sandra Willor ! Magnus Gallo ! Restez avec moi, nous avons à parler ». Il s’agissait des deux jeunes qui avaient commencé à se masturber en regardant le châtiment préventif.
– Les autres, en classe, vos professeurs vont vous distribuer vos uniformes.
Les professeurs emmenèrent leurs classes.
Madame Jones resta sous le préau avec Anaïs et Tom silencieux, au coin, se calmant, Isabelle, cul nu, mains sur la tête, culotte au sol, le regard figée sur les fesses d’Anais, et Magnus et Sandra au garde à vous qui avaient depuis ranger leurs petits doigts sur la couture de leurs pantalon…
A suivre…
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