Le Roman de Virginie Chapitre 7

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  • #97280
    A. Thibaud
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    Chapitre 8

    Marie et Françoise

    Le regard de Monique quand elle la fit entrer avait cet éclat dur et cruel qui donnait l’impression à Virginie d’être examinée au plus profond d’elle-même. et annonçait les fessées les plus dures ou les positions les plus humiliantes. Mais il n’en fut rien et Virginie attendit seule dans le salon qu’Anne vint la chercher.

    Marie la jeune femme blonde que Virginie avait déjà rencontrée se tenait dans le bureau avec une autre assistante de la faculté. Autant Marie était blonde et pâle, l’air réservé voire un peu triste, autant l’autre jeune femme était brune, l’air décidé,  et même peut-être dur, en femme qui se sait intelligente, jolie désirée et n’a pas de temps à perdre avec qui n’est pas à sa hauteur. Virginie se sentit angoissée à la perspective de se déshabiller sous le regard sans aménité dont elle la gratifiait à son entrée mais les choses ne devaient pas se passer ainsi.

    – Anne ! Tu ne vas pas nous faire mettre à poil devant cette gamine.

    – Non Françoise, tu ne va pas te mettre à poil, tu vas te mettre nue. On était à poil dans la savane, on se met à poil pour prendre sa douche quand on est seule mais là tu va te dépouiller de tes vêtements pour offrir ta nudité sans défense à nos regards. Tu es encore libre de refuser, c’est à toi de choisir.

    Le regard de Françoise devint encore plus noir elle sembla hésiter avant de prendre sa décision

    – D’accord dit-elle, qui commence?

    – Déshabillez-vous toute les deux je fouetterai d’abord Marie, ça te permettra de voir comment cela se passe. Mais attendez que je fasse apporter le pouf par Monique. 

    Au coup de sonnette d’Anne Monique apporta un pouf recouvert de velours vert foncé qu’elle disposa au milieu de la pièce et posa en son milieu le martinet. Le visage fermé, les deux jeunes femmes assistaient à l’installation, Virginie sentait toute la fureur rentrée de Monique frustrée de ne pas assister au spectacle. Marie quand Monique fut sortie commença à se dévêtir, Françoise la regarda et attendit qu’elle fut nue pour commencer, puis s’avançant vers le pouf, elle déboutonna son chemisier, en soutien gorge elle ôta sa jupe révélant de longues jambes minces et musclées gainées de bas noirs qui tenaient sans jarretelles. Son corps était sans défaut et sa peau semblait soyeuse et poudrée tant le grain en était fin et régulier. Elle hésita puis fit glisser son penty de dentelle noire  révélant des fesses aux rondeurs bien dessinées, un pubis dont la toison avait été traitée avec autant de soin que le reste du corps mais dont on devinait qu’elle était déjà discrète et  peu étendue avant que le rasoir et les ciseaux ne l’eussent taillée. Avant de continuer, Françoise se retourna vers Virginie comme pour vérifier l’impression qu’elle pouvait faire, les yeux dans les yeux elle semblait prendre acte que la jeune fille la regardait nue sans discrétion possible. Elle enleva ses bas réalisant avec élégance la gymnastique nécessaire qui révélait la fente de son ventre et défaisant en dernier son soutien gorge elle révéla une poitrine petite mais ronde et ferme aux mamelons bruns . Une jambe pliée sous elle, elle s’assit sur le divan, accomplissant avec la même distinction le difficile exercice d’être assise nue. L’impassibilité de son visage ne réussissait pas à cacher la fièvre de son regard qui ne quittait pas Marie pendant que Anne lui donnait le martinet. Si elle attendit que Anne l’y invita, ce fut aussitôt, sans une protestation, qu’elle alla remplacer Marie sur le pouf offrant ses fesses au martinet qu’elle subit sans protester et ne commença à se plaindre que peu de temps avant la fin de la correction. Virginie put voir que ses yeux étaient embués de larmes quand sur la demande de Anne, et ainsi que Marie l’avait fait, elle se retourna et livra l’intérieur des ses cuisses aux lanières qui la fouettèrent sans brutalité livrant au regard le plus intime d’elle-même. 

    Elle sourit quand Anne lui dit  en passant le doigt à la limite de sa toison “tu vois bien, Françoise,  que tu n’as de poil que ce qui est nécessaire à parer ta nudité.                    

    #97294
    Paulparis
    Participant


    J’adore cette série vraiment bien…troussée !!

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