Tes joues brûlent sous mon regard glacial. Tu as franchi une limite claire, et mon silence initial est plus effrayant que n’importe quel cri. Lorsque je me saisis de ton bras, ma poigne est ferme, sans la moindre douceur. C’est un ordre muet auquel tu te soumets sans hésitation.
Je te guide vers mes genoux, et la manière dont je te place est directive, ne laissant aucune place à l’improvisation. “Mets-toi là,” dis-je, ma voix basse et rauque, dépourvue de toute chaleur.
Mes gestes sont précis et rapides pour abaisser ton pyjama et ta culotte. Il n’y a aucune hésitation, aucune gêne apparente de ma part. Tes fesses offertes sur mes genoux sont une simple conséquence de tes actes.
La première claque s’abat avec une force sèche et claquante. Tu laisses échapper un petit cri que j’ignore ostensiblement. “C’est pour ton manque de discipline,” assénai-je, chaque mot aussi dur que la claque.
La suivante suit immédiatement, plus intense, te rappelant brutalement le prix de ta désobéissance. Tes mains agrippent mes cuisses, tes ongles laissant de légères marques. “Tu dois apprendre à obéir,” grondai-je.
Le rythme se maintient, implacable. Chaque impact est une leçon douloureuse. Je ne dis que l’essentiel, des remarques froides qui soulignent ta faute et ma désapprobation. “Insubordonnée.” “Têtue.”
Je sens tes larmes couler silencieusement sur tes joues, mais cela ne fléchit pas ma main. La sévérité est de mise, la punition doit marquer.
Finalement, le rythme ralentit, mais la force des claques reste significative. La dernière résonne particulièrement, laissant une sensation brûlante.
Je penche ma tête près de ton oreille et, d’une voix basse et menaçante, je chuchote : “Tu l’as mérité. Et si tu oses me désobéir à nouveau, cela recommencera. Pire encore.” Le souffle chaud de mes paroles caresse ton oreille, et je sens un léger tremblement parcourir ton corps.
Je remonte tes vêtements lentement, mes doigts effleurant brièvement la peau encore sensible de tes fesses. Ce contact est un rappel de ma possession, de mon droit de te punir.
“Relève-toi,” dis-je, ma voix toujours dure, mes yeux fixés sur les tiens. Je vois une lueur de crainte mêlée à une étrange soumission dans ton regard.
Tes yeux fixent les miens avec une intensité nouvelle. Il n’y a pas de larmes, mais une étrange forme de soumission sereine. Lorsque je remonte tes vêtements, tes mains se posent brièvement sur les miennes, un contact léger mais significatif. Ce n’est pas un rejet, mais une forme d’abandon.
En te relevant, je croise ton regard. Il y a dans tes yeux une vulnérabilité qui ne demande pas d’explication. Je perçois un besoin de limites claires, un désir d’être guidée, et une forme de réconfort paradoxal dans la punition qui suit la transgression. Je vois dans ton attitude une acceptation silencieuse de mon autorité, non pas par peur, mais par une forme de confiance.
Un léger sourire timide effleure tes lèvres, un sourire qui n’est pas de la douleur, mais une forme d’apaisement. C’est comme si, après la “tempête” de la punition, un calme s’installait, une assurance que les choses sont à leur place.
Je n’ai pas besoin de mots pour comprendre. Ton langage corporel, ton regard, cette étrange sérénité après la fessée… tout parle d’un besoin d’être protégée, d’être cadrée, et d’une acceptation de la punition comme une conséquence naturelle du non-respect des règles.
Un nouveau respect, une nouvelle compréhension s’installent entre nous. Je réalise que ma fermeté n’est pas perçue comme de la cruauté, mais comme une forme d’attention, une manière de prendre soin de toi en te montrant les limites à ne pas dépasser.
Un léger sourire répond au tien. “Je comprends,” dis-je simplement, et tu sais que ces mots vont au-delà de la simple constatation. Ils signifient que j’ai perçu ce besoin profond en toi. La tension dans la pièce s’est dissipée, remplacée par une forme d’intimité nouvelle, basée sur cette compréhension tacite. La prochaine fois que tu franchiras une limite, la punition ne sera pas seulement une correction, mais aussi une réponse à ce besoin d’être guidée et protégée.
, le il y a 3 semaines et 4 jours.
