Le plus pratique pour trouver des articles originaux c’est je crois ebay tout simplement .
On peut y dénicher toutes sortes d’accessoires du genre martinets , canes , cravaches , tenues originales , banc de fessée etc.. pas de limites à l’imagination dans ce domaine !
Quelquefois intéressant de sélectionner uniquement les articles d’occasion pour des découvertes inédites .
Pour les accessoires je privilégie la qualité à l’originalité, et dans ce domaine je ne saurais trop recommander The London Tanners.
Je leur ai acheté ce ceinturon il y a bien des années, et je n’ai jamais regretté mon achat.
Il a un peu vieilli, naturellement : je le porte au quotidien et il a bien souvent servi à corriger une demoiselle désobéissante. Il a plus d’une fois prouvé son efficacité.
Plus récemment une demoiselle m’a offert ce martinet, que j’adore.
Ladite jeune fille s’est ensuite plainte qu’il faisait bien trop mal, avec ses lanières de cuir carrées. Ces demoiselles ne savent décidément pas ce qu’elles veulent… 😉
Par ailleurs il fut un temps où l’ami @waldo réalisait à la demande de superbes martinets, que quelques priVilégié(e)s ont pu essayer. J’ignore cependant s’il trouve encore le temps de se livrer à ce genre de travaux pratiques…
J’ai accumulé beaucoup d’accessoires au fil des années !J’ai eu l’occasion de placer une enchères de 10€ sur ebay pour un lot de 5 ceinturons militaires de couleur fauve entre autres (dimensions et qualité comparable à la photo) . Comme je vois pas comment ajouter une photo je vais la poser sur ma page de profil . Sinon le bricolage dans l’atelier c’est pas mal non plus pour fabriquer des instruments personnalisés .
Au hasard de mes déambulations sur le web, je viens de retomber de tomber sur cet article posté par Stan sur son blog. Il y propose un essai du paddle DD de chez London Tanners, qui semble l’avoir plutôt séduit.
@monsieurno : très beau martinet que vous avez là! Vous savez, l’essentiel dans un cadeau est qu’il plaise à celui qui le reçoit…
En tout cas, esthétiquement il me plaît aussi… ^^
@liberty De ce point de vue, c’est une incontestable réussite : il me plaît énormément.
C’est l’instrument idéal pour ramener à la raison une demoiselle désobéissante ou insolente. Quelques coups bien appliqués de ce martinet et la jeune fille la plus indocile redevient le petit ange qu’elle a toujours été au fond d’elle. 😉
Pour les accessoires je privilégie la qualité à l’originalité, et dans ce domaine je ne saurais trop recommander The London Tanners.
Je leur ai acheté ce ceinturon il y a bien des années, et je n’ai jamais regretté mon achat.
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Il a un peu vieilli, naturellement : je le porte au quotidien et il a bien souvent servi à corriger une demoiselle désobéissante. Il a plus d’une fois prouvé son efficacité.
tiens, je la connais celle-ci… elle va toujours bien ?
Ouhla, vous faites de l’archéologie numérique, vous ! 🙂
Mon ceinturon se porte à merveille, merci pour lui. Je lui ai offert une cure de jouvence il y a quelques temps de cela, et il a retrouvé tout son lustre, toute sa souplesse.
J’ai cependant peur qu’il sombre dans la mélancolie. Depuis des mois, il ne fait plus que serrer ma taille, réduit à un rôle bien fade pour celui qui, jadis, échauffait des fessiers féminins. Une régression humiliante, à n’en point douter.
Quoi qu’il en soit, je lui transmettrai vos salutations. Elles raviveront en lui un délicieux souvenir.
Alors voilà, je rentrais d’Ecosse où j’avais fait une overdose sévère de cornemuses.
Après avoir arpenté l’ile de Skye en long, en large et en travers et… en kilt, l’étape d’Édimbourg fût une heureuse surprise !
Oui parce que “si tu vas à Edimbourd, n’oublie pas de monter chez MacKenzie !”
Ils font des trucs devant toi avec du cuir, ça te fait le même effet qu’une boulangerie Bretonne quand tu zieutes les Kouign Amman allongés dans la vitrine !
Ben-là, j’ai craqué, la chair est faible, surtout la mienne, j’ai pas résisté.
Je le savais bien qu’il faut pas rentrer dans une boutique d’artisan tanneur ! C’est comme pour le salon nautique, faut pas y aller, tu reviens toujours avec un bateau que tu sais pas où mettre !
Et hop, j’ai fait l’acquisition de ce joujou ! mon préciiiiiieux…
Je le porte très régulièrement, je le sens qui cintre ma taille assez largement ! Une façon de me rappeler que le bestiau aime qu’on se sente “tenu” quand il est utilisé !
Je vous garantis que c’est le cas quand il mord une chair désobéissante et méritante…
Pièces jointes:
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Faites de vos fesses le plus bel endroit de la terre...
Des fiches pratiques ? Un espèce de tuto ! Ça, ça me plaît bien !
Sinon je vous laisse avec une petite histoire… 😁
( Et parce qu’aujourd’hui c’est une magnifique journée ! 🙄💖🧸🎂)
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Retour en France, Jones s’avance d’un pas assuré dans la boutique en bas de chez lui.
– Regarde, Simone, c’est le monsieur du 7e ! Oh là là, il va encore passer une heure au rayon ceintures…
Il arrive devant l’étalage et s’arrête, tel un sommelier devant une cave à vin.
“Ah, celle-ci… une belle épaisseur, robuste, un classicisme intemporel.” (Alors que ça fait à peine 3 mm, mais bon, les hommes et les mesures…)
“Et là ! Quelle largeur ! Une vraie promesse d’embrasser chaque courbe avec la délicatesse d’un fouet de velours. Hmm… souplesse parfaite, une élasticité qui chantera à chaque mouvement.”
Il passe les doigts sur le cuir, l’air absorbé.
“Je pourrais presque écrire une poésie rien qu’en la regardant…”
Simone l’observe en coin.
– Il parle vraiment à une ceinture ?
– Chut, c’est comme s’il choisissait un bijou ou… un truc sacré.
Avec une révérence presque solennelle, il tend son choix à Germaine. La vendeuse, rouge comme une pivoine, l’encaisse en tremblant.
– Bonne… bonne journée, monsieur.
Quand il part, les murmures reprennent de plus belle.
– Comment ça, il attache des filles dans son salon ?
– Quoi, elles crient ?
– Plaisir et douleur… Mais comment ça fonctionne ?!
– En gros, c’est un Barbe-Bleue moderne…?
Simone fronce les sourcils.
– Non, pas exactement ? Elles ressortent… avec un sourire niais et en se tenant les fesses ? Mais… mais…
Pendant ce temps, chez lui, Jones admire son achat avec un sourire carnassier.
“Hmm… quand elle entendra le clic de la boucle, puis que je retirerai cette ceinture… Elle va frissonner. Se raidir. Sentir ces papillons dans le ventre. Ce moment va être… légendaire.”
Puis, dans un élan théâtral, il claque la ceinture dans l’air pour la tester.
Clac !
“Oh, ce son. Parfait.”
Mais alors qu’il s’apprête à la ranger avec soin…
zipppp !
Son pantalon glisse lentement sur ses chevilles.
“QUOI ?! MAIS C’EST PAS VRAI !”
Simone, depuis la fenêtre de l’immeuble :
– Tu vois, Germaine ? Finalement, elle aurait été plus utile pour tenir son pantalon.