Le manque

9 sujets de 1 à 9 (sur un total de 9)
  • Auteur
    Messages
  • #81593
    Anonyme
    Inactif


    Bonjour vous est il arrivé de ressentir le manque de fessées ?

    Pour ma part, c’est ce que je suis en train de vivre.

    Je pars dans trois semaines en voyage et depuis longtemps, plus un fesseur à l’horizon.

    Comment faire face, rester avec ses bêtises et son mauvais caractère non punie ni pardonnée ?

    Spankees, je voudrai avoir vos avis et je vous en remercie.

    #81594
    Christal
    Maître des clés


    Déjà, il faut définir ce que tu mets derrière “longtemps”, parce qu’un manque de quelques jours, d’une semaine est sans commis de mesure avec un manque de plusieurs mois ( à mes yeux).

    Le “petit” manque se gère par les attentions de l’Autre (le fait de le sentir là quand même). Par l’écriture de tes envies. La mise en images. La prise de distance pour se dire : ” Cela va passer plus vite qu’on ne le croit “. Cocher les cases dans le calendrier 🙂

    Le manque qui fait mal et peut rendre réellement triste, lui, se gère différemment. Par la compensation, parfois à outrance, dans un autre domaine (les arts, la nourriture ^^, le sport, le boulot).

    Par le rejet temporaire de nos fantasmes. Les loger dans un coin du cerveau et les endormir pour “moins souffrir”.

    Par le repli sur soi, quand c’est vraiment trop dur et parce qu’à un moment on aussi le droit d’assumer de ne pas être bien avec ce manque…

    Par la recherche d’un ou d’autres partenaires, si on se sent trop livrée à soi-même ou abandonnée.

    Tout dépend de notre manière de vivre nos fantasmes. De notre exclusivité ou non. Il est sûrement plus facile de gérer le manque d’un être quand on en a plusieurs sous la main ^^. Du lien entre les partenaires et notre manière de le faire vivre…

    Et puis parfois selon les histoires, il suffit de dire : Viens s’il te plaît, je suis en manque de toi… Ou d’utiliser Monsieur Spinoza, et donc remplacer le manque par l’envie (plus positive) : Monsieur, je suis en envie de vous. Rejoignez-moi, s’il vous plaît.

    Ps : il y a eu de nombreux posts sur ce sujet. En farfouillant un peu sur le Forum, tu devrais trouver de nombreuses réponses.

    Rien n'est jamais acquis. Tout est fragile.

    #81597
    louviere
    Participant


    Bonsoir

    Oui le manque est terrible, mais il se canalise en s occupant l esprit ,par autre chose ,autre activité, il y en a plein très intéressantes qui sont autour de nous …

    Louviere

    #81598
    laurentfrou-ge1
    Participant


    N’étant pas spankee, je fais court. C’est exactement comme le sexe. La fessée c’est du sexe, le manque est probablement le même.  Une pratique vous manque est tout est dépeuplé.

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 7 mois par laurentfrou-ge1.
    #81600
    Chelonia
    Participant


    Le manque…

    Telle une Junky je cherche de la fessée… Une bonne… Une qui te satellite dans un autre monde… Une celle qui te fait planner… Et dont l effet dure…

    Oui je suis accro aux endorphines! Au plaisir intense… À l orgasme…

    Mais pour me la procurer il me faut mon dealer : le fesseur ! C est mieux quand il est régulier car un lien de confiance s établi et il me donne le meilleur de ce qu il y a sur le marché. Mais ils se font rare… C est souvent des fesseurs à la sauvette… Certains fournissent de bonnes fessées mais c est éphémère à peine le dos tourné ils ont disparu avec une autre junky ou pour de nouveau horizon… et la c est la double peine il y a ke manque et l abandon…

    Par moment j ai essayé de l en sortir… En mettant en suspens cette envie…Mais c est irrésistible alors avec des auto fessée je me faisais un petit shot… C est d ailleurs comme ça que j ai commencée… L envie, le fantasme, on y goûte comme on peut, jusqu’au jour de la réalisation : la première vrai fessée déculottée! Celle qui fait qu on ne décrochera jamais et qui nous rend accros pour toujours !

    De toutes les junky de la fessée que j ai connue certaines ont fait des bad trip avec des fesseurs indélicats de bas étages mais au final aucune n a décroché…

    Heureusement qu on trouve des groupes de travail et d entre aide sur déculottée :

    « bonjour moi c est Chelonia »

    « bonjour Chelonia… »

    «  j ai pas été fessée depuis 2 mois… »

    « ho non ma pauvre… on compatis… tiens le coup… tu vas retrouver un fesseur… »

    😘😘😘😘

     

    #81601
    laurentfrou-ge1
    Participant


    Exactement la même conclusion que la tienne.

    Note: J’avais exprimé ici ma fascination pour l’auto fessée chez des femmes, seules. (les fesseurs seuls ne peuvent rien faire). Se caresser en l’attente de partenaires ou de pratiques, nous l’avons tous et toutes fait. Trouver la personne … Pas fastoche.

    Et encore, tu peux librement le formuler aujourd’hui, avant et sous Freud ce manque féminin était classé hystérie féminine. Hôpital, médicament, Laudanum.     A lire : “Les patients de Freud” de Mikkel Borch-Jacobsen. Atroce. Pour les femmes. = découvert beaucoup, compris personne, soigné personne, internées toutes …  Je dévoile un peu le bouquin.

     

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 7 mois par laurentfrou-ge1.
    • Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 7 mois par laurentfrou-ge1.
    #81605
    Paulparis
    Participant


    « j ai pas été fessée depuis 2 mois… » « ho non ma pauvre… on compatis… tiens le coup… tu vas retrouver un fesseur… »

    😘
    😘
    😘
    😘

    Ben… si c’est pour rendre service …. :):):)

    #81612
    laurentfrou-ge1
    Participant


    A 100% avec la Paul méthode : une bonne camomille + deux tsp de miel. Radical.

    #81629
    Nush
    Maître des clés


    Le manque de punitions, que ce soit une fessée ou un autre type de châtiments, ne m’est pas si vital.

    Je n’ai pas à négocier de manque physique qui me perturberait au point que cela modifie ma nature.

    En revanche, ce qui m’est absolument nécessaire et qui, lorsque c’est absent, me rend moins présente à la vie c’est le « lien ».

    Ce lien unique et indescriptible entre « lui » et moi.

    C’est ce lien qui fonde le projet qu’on a ensemble, qui nous imprègne et nous rend viscéralement dépendants l’un de l’autre.
    Ça c’est ma came, ma drogue douce, mon graal.  

     

    Car le feu qui me brûle est celui qui m'éclaire .

9 sujets de 1 à 9 (sur un total de 9)
  • Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.
PHP Code Snippets Powered By : XYZScripts.com