La neige tombée copieuse au début d’avril. Le chalet disposait d’un petit poêle à bois. Pour Gabie c’était un délice de se déshabiller et de s’allonger devant, sentir sa chaleur compléter celle entre ses jambes, regarder les gros flocons de neige pelucheux tomber silencieusement sur le sol.
Alors que elle se penchait dans la neige avec ses fesses encore brûlantes à cause des glissades approfondies de son ami de jeu. Max l’avait habillé avec ses chaussures et son manteau pour son “coin de temps”, mais rien d’autre, puis l’avait conduit dehors pour la tenir debout dans la neige. Le sien n’était pas un long manteau, il finissait juste au-dessus de ses pauvres joues roses, et Gabie était nu dessous. Donc, dès que Gabie été sorti du chalet chaleureux, ses fesses roses exposées ont piqué et piqué dans l’air glacial.
Max lui avait demandé de se pencher au milieu d’une rafale de flocons duveteux tombant avec ses fesses nues exposées. Il ne fallut pas longtemps pour que la chaleur résiduelle de ses coups soit engourdie par le froid de l’air encore froid et les doux baisers de la neige qui tombait. Max ne portait rien non plus sous son propre manteau. Gabie pouvait donc regarder entre ses cuisses pour lui voir durcir en l’admirent
Gabie laissai ses propres mains s’égarer vers son entrejambe, réchauffant ses doigts gelés avec la chaleur de sa propre fente nue. Elle avait poussé un couple différent de doigts froids à chaque fois, chaque intrusion glacée la faisant haleter un nuage de brume gonflé devant ses yeux.
Gabie avait alterné chaque main, l’une entre ses jambes, l’autre pressée contre son ventre pour le garder au chaud, jusqu’à ce que elle puisse recommencer à sentir le bout de ses doigts. Bientôt, elle avait pu insérer ses 3 plus gros doigts à l’intérieur, avec son pouce caché sous sa petite capuche délicate, et son petit doigt raide dégelant à l’intérieur de son trou inférieur.
Gabie se demandais si Max avait repéré ses intrusions illicites, quand – tout à coup – au croisement de son regard avec le sien, elle se voit frissonner de façon extravagante et se pencher en avant, avant de se laisser culbuter face contre terre dans un banc de neige d’un blanc profond. Elle s’est creusée dans un sillon alors que son apogée l’a submergée. Un bel ange des neiges se tordant d’extase orgasmique.
Contre son pouce chaud et humide, elle pouvait sentir battre son propre clitoris. Et elle pouvait aussi sentir ses lèvres engourdies sourire.
Il est été temps de rentrer dans leur chaleureux havre de paix.