LE FOUET
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19 septembre 2021 à 14:39 #70270BaccardiParticipant
Ca faisait un bon moment qu’on discutait ensemble. De nos jeux surtout, mais aussi de la vie. Des problèmes. Des soucis. Car si le fantasme de la fessée a une grande importance, je ne concois pas une complicité ludique sans une sincère amitié.
Question fantasme tout colle. On est exactement dans le même trip. On s’est même attribué le qualificatif de « frère et soeur de vice ». On a des échanges téléphonique torrides.
Bien sûr, il y a la différence d’âge. Mais dans ce type de jeu c’est presque un plus. Restent ses envies. Elles sont loin des petits jeux panpancucul. Mademoiselle a des envies de vraie maso. Elle a besoin d’émotions fortes et se pose la question de savoir si un doux au coeur tendre est capable d’être à la hauteur de ses fantasmes. Quand je lui ai dit que je pouvais l’accueillir dans l’authentique cave d’un château de l’Ordre des Templiers, et qu’il faut toujours se méfier de l’eau qui dort, elle s’est décidée à tenter l’aventure.
On a beau ne pas en être à son coup d’essai, c’est toujours un moment intense avec des décharges d’adrénaline quand une rencontre se fait. Avant de commencer les festivités on s’est donné rendez vous dans le jardin d’un hotel provençal du village. Elle était à l’heure. Précision Suisse certainement. On est resté un moment figés. Elle portait une jolie robe d’été qui
découvrait des jambes au galbe parfait légèrement hâlées. Elle avait eu le bon goût de natter ses cheveux bruns en une longue tresse qui ajoutait une touche juvénile à l’ensemble. Une vraie femme-enfant!
Elle me jaugeait moi aussi avec un petit sourire amusé sur les lèvres. Elle m’a tendu la main. Elle n’est pas très bisous.
Il faut laisser du temps pour s’aprivoiser. Nous avons pris un verre dans le parc de l’hotel. Des enfants jouaient bruyamment dans la piscine. On nous a servi des jus de fruits sous la fraicheur d’une tonnelle un peu à l’écart. Au moment de s’asseoir, elle a eu le geste furtif de repousser sa robe pour ne pas la froisser en s’asseyant dessus. J’imaginais la sensation d’avoir les fesses directement posées sur le fauteuil en rotin, avec juste la protection d’une petite culotte diaphane. D’ailleurs en portait t-elle une? Plusieurs fois, nous avions évoqué lors de nos échanges qu’elle en soit privée. Par punition. Pour que tu te sentes vulnérable. Que tu saches qu’à tout moment tu es accessible. Qu’il suffit d’un geste pour retrousser ta robe et te flanquer une bonne fessée! Que tu es à ma disposition!!
Pour nous exciter au téléphone, je lui commandais un certain nombre de positions cul nu sous sa robe: accroupies fesses
ouvertes, chatte écarquillée. Mine de rien. Juste pour recueillir des sensations.
Pendant qu’elle sirottait son verre en faisant bruyamment des bulles avec sa paille, je ne la quittait pas des yeux. Et si la petite perverse était venue cul nu sous sa robe d’été? J’ai voulu en avoir le coeur net. Avec mes deux mains en éventail j’ai formé un V qui s’est élargi. Message éloquent qui signifie dans la langue des signes : on écarte les cuisses. Elle a fait tinter les glaçons dans son verre et l’a reposé sur la table. Regardé furtivement a droite et à gauche. Mais ses genoux ronds sont restés désespérément collés l’un à l’autre. Elle a baissé les yeux, avec une expression butée. Il a fallu un claquement de doigts et la répétition du grand V pour qu’elle obéisse enfin. Les jambes se sont disjointes et la jolie robe blanche à petits pois est remontée comme une caresse jusqu’en haut des cuisses. La soie faisait comme un rideau de théatre. Mais on était loin du grand écart exigé. Un petit bruit agacé avec ma langue et la belle a fini par céder. Les yeux dans le vague, elle a écarté les cuisses tout en se reculant dans le fauteuil en rotin. Dans l’ombre des cuisses j’ai vu le petit triangle blanc d’une enfanine culotte de coton.La belle est plutôt du genre dentelle noire, mais c’était une exigence. Une première mortification qui la fasse se sentir gamine et non femme pour cette première rencontre. A sa respiration oppressée, je savais qu’elle était troublée. Après un moment j’ai lâché:
– Retire-la.
– Ici?
– Oui ici.
– Tu n’y penses pas.
La gifle n’était pas préméditée. On va dire qu’elle nous asurpris tous les deux. Elle a regardé autour de nous. Dans ce petit coin discret personne n’y a prêté attention.
Elle a frotté sa joue où mes doigts avaient laissé des traces roses. Je me suis penché pour parler à voix basse:
– Quand tu seras giflée, fessée ou fouettée, il te sera toujours interdit de frotter ta peau. Tu dois garder les marques, en sentir les picotements, la chaleur et la honte distiller ton épiderme un bon moment.
Sa main s’est posée sur la table. Brutalement j’ai empoigné sa queue de cheval pour lui faire relever la tête en arrière. Capter son regard fuyant:
– Tu as compris?
Après une hésitation, elle a fait oui avec sa tête. La deuxième baffe a fait valser sa tête sur le coté.
– Tu as perdu ta langue? – Non.
– Non qui?Elle a rentré la tête dans les épaules, fixant craintivement ma main redevenue menaçante.
– Non…. Monsieur.
– C’est mieux tête à claques. C’est regrettable que tu ne saches pas obéir au doigt et à l’oeil. Mais j’ai de bomnes méthodes pour te dresser.
Je me suis reculé. En attente. Le rose au joues et les yeux larmoyants, elle a glissé les mains sous la table. A fouillé dans les plis de sa robe à petits pois. Puis regardant a droite et à gauche a commencé à se déculotter.
– Tu ne regardes que moi, ai-je commandé sèchement.
La petite culotte, arrivée aux genoux, elle s’est penchée pour la faire glisser jusqu’aux chevilles.
– Donne.
Cramoisie, elle a levé un pied, puis l’autre et l’a roulée furtivement en boule dans sa main.
– Donne, ai-je insisté.
Elle me l’a remise, visiblement morte de honte. Je l’ai dépliée sur la table. Une culotte Petit Bateau taille 18 ans. Elle a rabattu sa robe pour recouvrir ses genoux. La serveuse arrivait. J’ai pris la culotte. Roulée en boule et je l’ai reniflée comme on le ferait avec un mouchoir parfumé.
– Tout va bien? Vous avez besoin d’autre chose?
– Non merci. Juste l’addition s’il vous plait.
La serveuse est repartie, sans se douter de rien j’imagine.Moi je respirais ce morceau de coton imprégné des parfums de la demoiselle, visiblement morte de honte que je m’empare aussi vite de son intimité.
– On y va?
– Oui Monsieur.
Cette fois la leçon est bien apprise. On a dévalé les ruellesescarpées du village médiéval.
C’est une cave voûtée. Pour l’occasion je l’ai aménagéeen fonction de nos jeux. Au plafond pendent deux chaines. Deux anneaux sont scellés au mur. Une sorte d’estrade dans un coin, ainsi qu’un fauteuil renaissance. Un tréteau. Et surtout au mur toute une panoplie d’instruments: la canne, deux martinets dont un avec des noeuds à chaque lanière, une cravache, des ceintures de cuir, un fouet enroulé comme un
serpent de cuir. Quelques palettes à fesser ( paddle) complètent la collection.
Dès l’entrée, son regard se pose sur les instruments exposés.
– Tu vas tous les essayer.
Elle n’ose rien dire. Comme tétanisée. Je m’installe dans le fauteuil. Je claque des doigts:
– Ici.
Elle regarde mon index pointé vers le sol.
– A genoux à mes pieds.
Elle s’approche. Ses genoux font un bruit mat sur lecarrelage.
– Les bras croisés dans le dos.
Elle s’exécute. Reste bien droite sur ses genoux pliés. Dela pointe de la cravache, je lui relève le menton.
– Tête droite. Regarde-moi.
Elle affronte mon regard. Dans le sien je lis une pointe dedéfi.
– Sors ta langue.Son regard devient noir. Elle à un rictus de provocation. Butée. Reste figée. La gifle claque. Sonore. Faisant valser sa tête à gauche. La seconde, immédiate, lui redresse la nuque.
Instinctivement ses mains quittent son dos. Geste reflexe, vite réprimé par une troisième baffe. Ses lèvres se crispent en une moue boudeuse.
– Je dois continuer tête à claques?
Pour toute réponse, elle pousse un bruyant soupir affligé. Rentre la tête danq les épaules pour parer une autre gifle. Puis elle entrouvre ses lèvres et fait sortir un bout rose de langue.
– Mieux que çà, ordonnè-je en levant la main. Comme une chienne.
Langue pendante, animale, elle halète. Je présente la pointe de la cravache:
– Lèche! Le cuir mouillé de salive en sera plus mordant.
En bonne chienne soumise, elle s’applique à lécher la pointe de la cravache. Je tapote la pointe de la langue. Un peu de salive file sur son menton. Elle ne s’essuie pas. Ses bras restent docilement croisés dans son dos. La posture fait pointer sa poitrine.
– Tu mériterais que je te corrige la langue pour te punir de toutes les provocations que tu as prononcées à mon égard.
Je lui ordonne de se remettre debout. Elle reste langue sortie jusqu’à ce que je l’autorise de refermer la bouche. Une fois debout je lui fais mettre les mains sur la tête. Je la
contourne pour défaire les boutons de la robe. Elle glisse sur les épaules dévoilant un joli soutien-gorge noir en dentelle. La robe glisse jusqu’aux pieds. En corrole.
Malgré la chaleur de la pièce, elle frissonne. Ses fesses nues sont bien pommelées. Des hanches larges, bien dessinées. Des cuisses musclées. Sa peau est pâle, mais cependant une marque de bronzage témoigne du fait qu’elle s’est exposée au soleil.
– Ne bouge pas.
Je la contourne et m’installe dans mon fauteuil. J’ai juste devant le visage son sexe nu. Elle pratique l’épilation intégrale. Plus nue que nue. Bien qu’elle serre pudiquement les cuisses, elle ne cache rien du renflement fendu de sa vulve. Je promène la pointe de la cravache sur le renflement bombé du mont de Vénus. Ses cuisses se couvrent de chair de poule. La cravache se fraie un passage entre les cuisses accolées pour la contraindre à s’ouvrir. Elle résiste mollement. Je menace:
– Tu veux une gifle?
Elle fait non avec la tête. Une moue honteuse se dessine sur ses lèvres quand elle s’ouvre docilement.
La pointe de la cravache s’insinue entre les cuisses écartées. Elle sursaute quand la pointe de cuir glisse dans le sillon entreles lèvres charnues. Elle ne peut réprimer un sanglot excité. Je fais aller et venir le cuir tressé pour la faire gémir malgré elle. Je repose la cravache sur la table basse et me relève. C’est un bien joli soutien-gorge. Elle aime la lingerie fine. Les bonnets épousent étroitement les seins. Entre les deux globes d’une pâleur de porcelaine, un profond sillon se dessine scintillant de quelques gouttes de sueur. . Je fais glisser les bretelles le long de ses bras.
Elle fait non avec sa tête, mais reste sagement les mains au dos. La pression des bonnets du soutien gorge se relachent. Je glisse mes doigts pour sortir les seins. L’un après l’autre. Les globes d’une pâleur obscène se retrouvent à nu. Les pointes dardent aussitôt au contact de mes doits et la caresse de l’air frais. J’y promène la pulpe de mes pouces pour les faire durcir. Elle se mord la bouche pour réprimer un sanglot excité.
– Tes pointes bandent. J’adore tes seins. Tes mamelles, ajoutèje-pour me rendre humiliant. Tu mériterais que je te les gifle aussi. Tu vas morfler aujourd’hui. Crois-moi parce que tu m’as tellement provoqué par ecrit et oralement lors de nos échanges.
Je remonte les bretelles du soutien-gorge sur les épaules, laissant les seins dehors, réhaussés par les bonnets, comme sur un obscène présentoir. Elle titube.
– Maintenant tu vas aller chercher la ceinture. Tu choisiras celle en cuir très épais.
Comme gênée par ses seins affreusement exposés sur leurs baconnets, elle se dirige vers la panoplie. Elle trouve tout de suite la large ceinture fendue que les anglais appellent la tawse. Elle s’en empare et se tourne vers moi.– Donne.
Sans hésiter, elle s’agenouille à mes pieds et me présente la tawse humblement tendue en travers de ses mains en un geste d’offrande.
Je la prend et immédiatement elle croise les bras dans son dos:– A quatre pattes sur le divan.
Pendant qu’elle se dirige vers le lieu de son supplice, je fais claquer le cuir. Dans le vide. Elle sursaute.
Elle s’installe. La position fait pointer sa poitrine qui bougent pendant qu’elle s’installe. Je tapote ses reins pour la contraindre à une cambrure exagérée. Je la force à écarter les cuisses. Je me recule pour jouir du spectacle impudique de son derrière soumis, tendu et ouvert. Sa vulve s’est ouverte et entre
les bourrelets charnus je vois maintenant pendre les petites lèvres. Ell est excitée car les languettes sont toute luisantes de mouille. Mais pas question de la caresser. Elle est là pour expier ses insolences et provocations. Sans compter les marques de mépris quand elle refusait de répondre à mes messages sur le chat alor qu’elle papillonnait avec ses copines sur le forum. Les caresses, le plaisir, c’est la récompence, quand elle aura expié et quémandé le pardon.
– Oui tu vas morfler. Je ne vais pas te faire de cadeau. Tu vas être fouettée. Corrigée très sévèrement. Je n’arrêterai que quand je t’estimerai suffisamment marquée. Fouettée du creux des genoux jusqu’aux épaules. Tu vas encaisser sans bouger, sinon ça risque d’être pire. Tu vas dérouiller à la mesure de tes provocations et tu garderas longtemps les marques. Les marques de ta soumission comme une esclave marquée au fer rouge. Tour ça ce n’est qu’une entrée en matière. La suite sera plus douloureuse encore pour ton corps et ton amour-propre .
Alors pour étouffer les cris qu’elle ne manquera pas de pousser pendant son supplice, je roule sa culotte en boule et la lui met dans la bouche. Odorant baîllon qui va la rendre silencieuse pendant qu’elle sera fouettée.
19 septembre 2021 à 15:22 #70271salamboflaubert75Participant
J’adore cher monsieur @baccardi !
Il y a certains des éléments qui me font moins vibrer mais le tout m’a titiller et donner chaud!C’est honteux!
Cependant : “ Qu’avez-vous tous ( ou presque ) avec les culottes dans la bouche ?
Une mode ou une fantaisie excitante ?Enfin tout évolue , même moi!😋
Pièces jointes:
Vous devez être connecté pour voir les fichiers attachésSal
19 septembre 2021 à 16:01 #70275Mains de velours (Rhône)Participant
C’est vrai que la culotte dans la bouche semble être à la mode 😉
19 septembre 2021 à 16:33 #70277Ô.CéaneParticipant
Joli récit.
Hormis les gifles, qui ne m’occasionnent aucun trouble (sauf celui d’avoir envie de les rendre…), j’ai beaucoup aimé le contexte et la situation.
"Et mes fesses, tu les aimes mes fesses"
Mes récits ne sont pas forcément le reflet de ce que je recherche...juste une inspiration...19 septembre 2021 à 17:41 #70279BaccardiParticipant
Merci Salambo pour cette belle photo de fouet. C’est un instrument redoutable, tout chargé en émotions fortes. Pas d’utilisation prolongée sans avis compétent. La culotte dans la bouche? disons que cette petite fantaisie érotique m’a interpelé comme d’autres d’ailleurs. C’est plus excitant qu’un ballon-boule qui déforme la bouche et enlaidit. Et puis quand elle est dans la bouche ça envoie le message qu’elle n’est plus là où elle devrait être.
19 septembre 2021 à 17:47 #70281BaccardiParticipant
Joli récit. Hormis les gifles, qui ne m’occasionnent aucun trouble (sauf celui d’avoir envie de les rendre…), j’ai beaucoup aimé le contexte et la situation.
Sandrine, merci pour votre commentaire. C’est vrai que les gifles ça peut être ambigu et malsain. Les jeux de soumission-domination ne doivent pas exister en dehors d’un consentement mutuel, entre “adultes consentants”. Dans ce contexte tout est permis et le jeu n’a plus rien à voir avec de la maltraitance. Mais ça on le sait tous.
19 septembre 2021 à 17:50 #70282BaccardiParticipant
C’est vrai que la culotte dans la bouche semble être à la mode
A réserver aux culottes bien couvrantes car dans le feu de l’action on peu avaler un string
19 septembre 2021 à 18:19 #70288VictorParticipant
Que c’est torride Monsieur Baccardi. Comme d’habitude.
Pour moi, c’est le mot « chienne » avec lequel j’ai un peu de mal. Entr deux partenaires qui le veulent bien : Why not ?!😁
Sinon tout est bien sympa. Vivement le prochain récit !
22 septembre 2021 à 11:45 #70370Coquine06Participant
J’ai eu le même ressenti pour le mot chienne
Je vis mes fantasmes et je les assume.
23 septembre 2021 à 07:06 #70398SpankettegirlParticipant
J’Ai eu un peu de mal avec le mot chienne …
Mais si le consentement pour les deux parties est là va savoir pourquoi pas
27 septembre 2021 à 09:04 #70558Tendre SpankeurParticipant
Joli récit
J’ai également un peu de mal avec le mot chienne, les gifles, la culotte dans la bouche c’est pas ma tasse de thé non plus, surtout dans un lieu isolé ou Madame peut “s’exprimer” à sa guise.
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