Le cours parti-CUL-ier

[Ô.Céane]

Depuis un an, une heure de sa semaine est consacrée à apprendre à monter à cheval. Le dernier confinement a eu raison de sa routine et lui a fait franchir les portes d’un centre équestre. Seulement, à presque 45 ans, l’apprentissage n’est pas forcément aisé, d’autant qu’on a ses appréhensions et son petit caractère, il faut bien l’admettre.

L’équitation est un sport exigeant ou la discipline est bien présente. Enfin, plus que Céline ne l’imaginait. Pierre, le coach, est un homme sensiblement du même âge, cavalier émérite, compétiteur et professeur d’équitation expérimenté.

Les premiers cours se déroulent bien et elle prend plaisir à apprendre. Le prof est attentionné, pédagogue, patient, mais exigeant. Puis, la technicité augmente et les premières difficultés apparaissent. Le coach se fait plus exigeant et n’hésites pas à la réprimander, d’autant qu’un peu de mauvaise volonté s’immisce de temps à autre dans le comportement de la demoiselle.

Les réprimandes s’enchainent et, pire, laissent parfois place au silence de Pierre. Les yeux clairs, il a un regard perçant, cavalier, il a une posture toujours droite et prof expérimenté, il ne rate rien. Céline n’est évidemment pas insensible à ce charisme autoritaire.

Il lui a expliqué des dizaines de fois, qu’elle devait avoir les rênes ajustées et donner des indications claires à son cheval, sans quoi, le dit cheval, fait ce qu’il veut… Ce qui se traduit généralement par un arrêt pur et simple de l’animal qui comprend que sa cavalière ne fait pas forcément ce qu’il faut.

Céline est sur le dos de sa monture, qui ne veut plus faire de trot. Elle s’agite, donne des coups de cravache insignifiants, mais rien n’y fait… Ponpon a dit « stop ».

« – tu fais quoi ? » lui demande-t-il sèchement

« – ben… j’essaie de faire du trot … »

« – ah non, tu n’essaie rien du tout, là… »

« – ben si… » minaude-t-elle…

« – descend. »

Pensant, qu’il voulait lui faire une démonstration de ce qu’il fallait faire, elle descend, sans se poser de question et sans discuter.

Le cours a lieu dans un manège couvert et, bien souvent, il n’y a personne au centre équestre, aux heures de ses cours.

Il lui prend la cravache des mains.

« Veux-tu que je te montre comment mettre de la conviction dans tes actions ? »

« ah oui, bien sûr ! » répond-elle presque innocemment.

Il lui prend par le bras et la guide vers le pare bottes contre lequel il lui fait poser les deux mains. Céline est surprise, mais aime ce genre de prise en main. Elle a parfois imaginé que Pierre sévisse davantage.

« Bien. » Il donne un premier coup léger sur le pantalon.

« As-tu eu mal ? » « oh bah non ! » répond-elle en ricanant.

Très bien. Tu m’indiqueras lorsque tu commenceras à avoir mal.

Les idées commencent à tourner dans son esprit. Comment ça quand je commencerai à avoir mal ?

Il commence à donner des coups, très espacés mais plus appuyés. Au bout d’une petite série, il s’arrête.

« ça va ?, pas trop mal » « ça commence un peu, coach » « très bien, baisse ton pantalon. »

Elle tente de ricaner pour désamorcer ce petit malaise annoncé et reçoit un coup sur la cuisse. « Je ne plaisante pas. Tu n’écoutes pas suffisamment, je vais t’aider à être attentive.

Elle tente « oui mais ce ne sont pas trop des trucs qui se font, si ? » « Habituellement non, mais avec toi, si. »

Ah.

Fébrile, elle défait son bouton, lentement, et commence à baisser le plus doucement possible son pantalon… qui lui échappe des mains, tracté d’un coup sec vers le sol, par une autre paire de mains.

« comme baisser ton pantalon a été compliqué, on va tout de suite baisser ta culotte, pour gagner du temps » et la culotte descend illico. Elle se retrouve cul nu, dans le manège, pantalon et culotte aux chevilles.

« Reprend ta position »

« mais… ça va faire mal… »

« ah, je ne sais pas ! Tu me diras… » répond-il très sérieusement.

Elle repose timidement ses mais sur le pare bottes et le premier coup s’abat. Bref, cinglant, la douleur laissant place à une chaleur ponctiforme. Le second puis les autres coups s’abattent sur ses fesses. Elle commence à gigoter et Pierre s’applique et comprend que la douleur est là.

« alors ? »

« alors j’ai mal ! »

« très bien ! que préfères-tu ? écouter, être attentive et monter à cheval ou recevoir des coups de cravaches ? »

Elle hausse les épaules… « ben être écouter et attentive, hein… »

« Parfait, le cheval, c’est pareil. Il préfère obéir que recevoir des coups de cravaches. Par contre, il faut y mettre de la bonne volonté ! Comme j’imagines que le message est enfin passé, je te préviens que la prochaine fois tu recevras une vraie fessée, cul nu et à la main. C’est noté ? »

Elle acquiesce timidement. Un délicieux mélange de honte et d’envies la submerge. Elle remonte à cheval et compte tenu d’un séant sensible, elle s’applique au trot enlevé jusqu’à la fin de la séance.

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"Et mes fesses, tu les aimes mes fesses"
Mes récits ne sont pas forcément le reflet de ce que je recherche...juste une inspiration...

[PlaisirDeServir]

Quel bonheur un tel cours avec mise en pratique rapide

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