_Nan mais t’es sûre que tu veux pas un coup de main ?
_ Mais non, t’inquiètes, je gère.
Renaud regardait Adeline se pencher sur son escabeau, en un équilibre instable, pour atteindre les rayons supérieurs de la vaste bibliothèque.
En ce début de soirée du vendredi précédant les vacances de Noël, ils étaient absolument seuls dans le centre de ressources scolaires du collège. Les élèves et les profs avaient tous dégarpi depuis belle lurette.
Mais pas Adeline, la bibliothécaire en chef, qui se faisait fort de ne rien laisser en plan avant de prendre des vacances bien méritées. La quarantaine, deux enfants, divorcée, c’était une femme qui ne s’en laissait pas compter.
Et qui avait un très joli derrière, songeait Renaud, alors qu’il tentait vainement de stabiliser l’escabeau sur lequel était juchée son amie .
Ils se connaissaient depuis la fac, ils s’étaient tourné un peu autour et avaient flirté durant leur folle jeunesse mais avaient décidé d’un commun accord d’en rester au stade de l’amitié. Une amitié avec des hauts et des bas, parfois de long silences, mais au final ils renouaient toujours les liens et savaient qu’ils pouvaient compter l’un sur l’autre en cas de coup dur. Et les coups durs ne manquaient pas.
Ce soir ils allaient ensemble à une soirée chez de vieux potes. Renaud avait proposé de passer la prendre après le boulot, en tout bien tout honneur, pour découvrir son nouveau lieu de travail.
En attendant, il ne pouvait s’empêcher de profiter du spectacle que lui offrait la jeune femme qui, dans ses efforts pour hisser une pile de livres de poche au sommet de la bibliothèque, devait se cambrer très fort, et ce faisant, mettait en valeur son ample fessier moulé dans une paire de jeans un poil trop serrés. Renaud avait du mal à rester de marbre, faut admettre.
_ Attention !
Ce qui devait arriver arriva, et la cargaison de bouquins dégringola au sol. Au bas mot une dizaine de petits ouvrages neufs fraîchement commandés et réceptionnés pas le CDI. Qui gisaient maintenant en vrac au sol.
_ Oh merde, j’espère qu’ils sont pas défoncés ! S’écria Adeline en descendant de l’escabeau, un peu emmerdée
_ Pas de panique, j’ai ralenti leur chute avec mon crâne, déclara Renaud en se frottant le cuir chevelu
_ Si j’en juge par ton niveau d’humour, tu as peut-être une commotion cérébrale.
Adeline le fixait droit dans les yeux, avec ce petit sourire en coin qui participait tant de son charme. Elle était jolie, et elle le savait.
_ « Comme d’hab tu n’en fais qu’à ta tête et tu te montres insolente. Tu mériterais une bonne correction, tiens ! » Répliqua Renaud sur un ton amusé.
_ « Des promesses, toujours des promesses. »
Adeline connaissait la passion de son ami pour la fessée érotique, il n’en avait jamais fait mystère, et c’était un sujet de blagues entre eux depuis des années. Pour sa part, Adeline n’avait jamais été tentée par l’expérience. Non pas qu’elle trouve ça choquant ou malsain (elle avait une grande tolérance en ce domaine), mais c’est juste que ça ne l’émoustillait pas. Du moins jusque là.
Les deux quarantenaires se faisaient maintenant face, silencieux. Le vent glacé du dehors venait cogner aux fenêtres de la bibliothèque, les quelques ordinateurs du CDI bourdonnaient.
Adeline brisa le silence
_ « Mais tu as peut-être raison, je l’ai sans doute mérité, la fessée »
_ « Heu, hein ? »
_ « Tu vois quelqu’un en ce moment, Renaud ? »
_ « Non, personne. Ça fait un petit moment que je suis célib… »
Interrompant son laïus, elle le prit par la main et le guida à sa suite le long des rayonnages jusqu’à une chaise d’écolier.
Une chaise toute simple en métal et en bois.
_ »J’ai envie d’essayer » déclara la jolie rousse
_ « Essayer quoi ? »
_ » La fessée, pardi »
_ »Hein ?! Tu me fais marcher, là, non ? »
_ « T’es toujours aussi dégourdi, à ce que je vois »
_ »Nan mais c’est pas ça , c’est juste que c’est très… inattendu. T’as lu 5o shades of grey, dernièrement, ou quoi ? »
_ « Ahah, banane ! Je me dis juste que depuis le temps que tu m’en parles tu devrais être content. J’ai envie d’essayer. Essayer avec toi !»
Elle marqua une pause, et lança avec un grand sourire :
_ »Prends ça comme un cadeau de Noël en avance… »”
Renaud fixait son amie, interdit.
A Suivre
J'ai la faiblesse de croire que tout cul tendu mérite son dû.
Adeline était réputée pour son humour très grinçant et son côté parfois très brut de décoffrage. Avec elle, mieux valait savoir comprendre l’ironie.
Renaud se demandait donc légitimement s’il s’agissait d’une mise en boîte de plus et décida de tâter le terrain.
_ »Très bien. Avant toute chose tu es sûre qu’on est seuls et que personne ne peut nous surprendre ? »
_ « Garanti. On a le collège pour nous tous seuls . »
Renaud s’accorda quelques secondes de réflexion, il ne voulait pas mettre en danger leur amitié. Mais l’occasion était vraiment trop belle et ça fait longtemps que l’idée de « corriger » Adeline lui trottait dans la tête. Il demanda :
_ « T’es sûre ? »
_ « Oui »
_« Ok, alors c’est parti, mademoiselle »
Sur ces mots il saisit la chaise, enlève et pluie sa veste sur le dossier, s’assied. Adeline le regarde faire, les yeux brillants, un peu en retrait.
_ « Tu as des sortes de rituel, quand tu punis tes multiples maîtresses ? » demanda la bibliothécaire, sur un petit ton moqueur.
_ « Pas de rituel particulier, non. Et ça n’est pas forcément une punition,je te l’ai déjà dit. Ne le prends pas mal mais je m’étonne qu’avec tous les amants que tu as eu, aucun ne t’ait jamais donné la fessée. C’est dur à croire. C’est presque un crime avec un cul pareil» répliqua Renaud.
_ « Je sais pas, il y en a qui auraient sans doute bien essayé. Ils ont fait plein de choses avec mon cul, quelques claques pendant une levrette. Mais pas de « vraie » fessée. Je devais les impressionner, qui sait ? »
Elle disait ça sur un ton léger, mais c’est vrai que sa forte personnalité, son indépendance, sa franchise, pouvaient calmer bien des ardeurs masculines.
_ « En fait je devrais pas être étonné, c’est plutôt tes amants qui devaient avoir peur de se prendre une raclée » ironisa Renaud.
Il continua son interrogatoire :
_ « Et gamine, jamais de fessée ? »
_ »Non, jamais. De toutes façons il aurait fallu que mes parents en aient quelque chose à foutre de moi. »
Evitant de continuer sur un terrain visiblement glissant, Renaud reprit sur un ton tendre :
_ « Allez, approche «
_ « Tu… Tu veux que je fasse quoi ? » demanda Adeline
_ « Déboutonne ton jean et viens sur mes genoux »
La jolie rousse, le teint de peau clair et les cheveux très courts, était une femme menue et dotée de courbes opulentes. Les deux maternités avaient contribué à la rendre plus sensuelle et rebondie encore, mais elle assumait sa maturité et son âge. Et ça la rendait plus belle encore.
Adeline obéit et défit le bouton de son pantalon puis approcha lentement de son ami.
Une fois à ses côtés elle se courba et s’installa tant bien que mal sur les genoux de Renaud, cherchant à trouver une position confortable.
Renaud se régalait de la vue de ce cul ample et rebondi, moulé par le tissu du jean. Il laissa la femme prendre ses marques.
Il apprécia la vue quelques instants encore puis leva haut la main droite et la fessée commença.
Les premières claques résonnaient sèchement dans le silence de la bibliothèque.
Il s’agissait d’échauffer le cul de la belle débutante très progressivement. Renaud y allait donc en douceur, couvrant l’ensemble du postérieur sans insister sur une zone particulière ni faire montre d’une sévérité malvenue. Il fallait faire de cette première fois une réussite. Il en faisait une sorte de question d’honneur. Adeline, soumise, se laissait faire.
Quand il estima que le joli derrière avait été suffisamment échauffé, il glissa sa main dans l’élastique du jean et le baissa d’un geste expert.
Il ne put réprimer un rire à la vue de la petite culotte de sa « victime ». Une pièce de lingerie de forme très classique mais faite d’un tissu orange fluo.
_ »Ouah, ça flashe, dis-donc »
Elle s’esclaffa en retour
_ « Oui, bon ben excuse moi de ne m’être pas déguisé en petite étudiante à culotte de coton blanche. Je sais que tu aurais préféré ». Car oui, elle connaissait aussi son penchant pour les scénarios scolaires et l’éducation dite anglaise.
_ « La prochaine fois, peut-être. Le décor s’y prête, faut admettre » répliqua Renaud en assénant une nouvelle claque sur le cul à sa merci.
A SUIVRE
J'ai la faiblesse de croire que tout cul tendu mérite son dû.
Si jusqu’ici Adeline avait fait la fière, cette nouvelle phase de la punition promettait d’être plus mordante. Le jean épais offrait une bonne protection et jusqu’ici la fessée avait ressemblé à un massage un peu (vraiment beaucoup) appuyé. Mais dorénavant, seule une mince bande de tissu protégeait son séant. Et ça commençait à chauffer.
Adeline serra les dents, agrippa les pieds de la chaise, se concentrant sur ses sensations inconnues (et ma foi pas vraiment désagréables). Les claques tombaient dru, elle ne pouvait s’empêcher de gigoter sur les genoux de son ami. A force de mouvements, sa culotte lui remontait maintenant un peu dans la raie et laissait une bonne partie de son beau cul à nu.
Renaud se régalait. Comme prévu, le fessier d’Adeline était un derrière de rêve, qui semblait fait pour la fessée. Rond, ample, rebondi, ferme comme il faut et avec une tendance à rougir très vite. Une merveille.
Il était maintenant temps de le révéler dans toute sa splendeur.
Il la déculotta trèèèès lentement, profitant longuement de l’instant.
Adeline, rougissante, avait senti sa dernière barrière de pudeur disparaître.
Renaud admirait la splendeur de ce beau derrière mature uniformément écarlate.
Il souffla, un peu hypnotisé par les rondeurs offertes :
« Adeline, t’as vraiment un cul magnifique, hors catégorie… »
« Tu trouves ? Moi je me trouve trop grosse… Ou trop vieille » murmura-t-elle
« Tu déconnes, t’es ravissante. Et tu prends ta fessée comme une grande, je dois dire. Alors on va essayer de finir en beauté » continua Renaud.
Il plaqua sa main gauche au creux des reins d’Adeline pour la maintenir fermement en travers de ses genoux et leva très haut la main droite pour continuer la correction.
Et cette fois-ci, il y allait franchement, l’échauffement était terminé. Chaque claque tombait verticalement, avec une grande force, et selon un rythme assez lent. Chaque coup résonnait longuement dans la pièce, ponctué maintenant par les cris (les premiers) de la punie. Adeline tenta bien de protéger son derrière endolori avec ses mains, mais Renaud les lui saisit au vol pour la maintenir à sa merci.
Petit-à-petit il accélérait le rythme, les fesses devenaient cramoisies. Adeline battait des jambes, se tordait en tous sens. Ce faisant, elle offrait des visions fugitives de sa chatte et de son petit trou du cul à un Renaud qui n’en perdait pas une miette. A chaque gifle sur son derrière tendu, la punie poussait un cri rauque. La grande salle du CDI était devenue une énorme caisse de résonance pour un concerto en claques majeures.
CLACK
AIE !
CLACK
OUAIE !
CLACK
AIEUUH !
Enfin, Renaud entreprit de s’engager sur la dernière ligne droite. Une série de vingt claques données à toute volée et quasi sans répit. Il devait lutter pour maintenir la punie dans une position propice à ce bouquet final.
Sous l’avalanche de fessées, Adeline hurlait à pleins poumons et continua même de le faire quelques secondes après que la correction eut cessé.
Et enfin, le silence se fit dans la pièce.
Renaud brisa ce moment de calme après la tempête.
« Voilà, Miss, c’est fini. Ta première vraie fessée »
« La vache, t’y a pas été de main morte » répliqua-t-elle, vaguement boudeuse
Renaud avait commencé à lui caresser doucement les fesses, dans un geste de soulagement. Il pouvait apprécier la douce sensation de chaleur qui émanait des globes rougis. Adeline, matée, se laissait faire. Il prenait bien soin de ne pas s’aventurer entre les cuisses de la demoiselle, même s’il aurait bien aimé savoir si la fessée l’avait faite mouiller.
« Je voudrais que tu te concentres sur tes sensations. Comment tu te sens ? »
« Ben j’ai mal aux fesses, pardi » asséna la jeune femme
« Ahah ! Ouais, autre chose ? »
« J’ai très chaud, je me sens vidée. Mais assez relaxée, je dois dire »
« Oui, ça arrive souvent » remarqua Renaud
Adeline avait doucement glissé des genoux de son fesseur, jean et culotte en corolle autour d’elle. Le carrelage glacé offrait un répit bienvenu aux fesses endolories.
Après un silence, elle reprit
« Sur le coup ça n’était pas très agréable, mais je dois admettre que le contrecoup est plutôt sympa. Mais t’emballe pas, hein, je n’ai pas pris mon pied. Je sais même pas si ça m’a excité. Par contre, toi… » A ces mots la bibliothécaire avait plaqué sa paume sur l’entrejambe de Renaud qui bandait très fort.
« Mon pauvre biquet, je vais pas te laisser comme ça, ce serait cruel, »
« Attends Adeline, rien ne t’oblige à… »
« T’inquiètes, je gère » lança-t-elle en souriant avant de prendre en bouche la bite bien dure de son ami.
Au final ils arrivèrent pas mal en retard au dîner de leurs amis. Et pendant une bonne partie de la soirée, Adeline se tortilla sur sa chaise sous le regard amusé et complice ce Renaud.
Ce fût une bonne soirée.
J'ai la faiblesse de croire que tout cul tendu mérite son dû.
Je crois que je vais créer un post où je regrouperai toutes mes petites histoires.
Certaines sont inspirées de moments vécus, d’autres sont de purs fantasmes.
J'ai la faiblesse de croire que tout cul tendu mérite son dû.
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