Lashpriz
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- Ce sujet contient 2 réponses, 3 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Anonyme, le il y a 3 années et 3 mois.
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14 juin 2021 à 08:10 #65561AnonymeInactif
J’étais en vacances dans le Montaillou, en région Occitanie.
Seule, comme un bateau à la dérive, arpentant les chemins et les routes.
Je m’assis sur un banc dans le jardin public avec mon livre, mon chapeau, de l’eau et la crème solaire.
Je fus distraite par un homme, grand, brun avec des yeux noirs et des paluches.
Il m’observait et me demanda pourquoi je lisais l’attendrisseur.
Mon côté vilaine et impulsive me fit répondre que “c’était pas ses affaires, non mais”.
Il émit un petit rire avant de reprendre un peu plus sévèrement “Mademoiselle c’était juste une question !”
Je pris mes affaires et partit un peu plus loin mais il me suivit.
“Vous êtes originaire d’Occitanie ? ”
” Oui pour les vacances, je dois me concentrer”
“Vous concentrez sur quoi ? ”
” Un diplôme dans le service à la personne”
Ses yeux étincelèrent lors des trois derniers mots.
J’étais non loin de la maison et je n’avais pas vu le temps à force de discuter.
” Je dois rentrer, salut ”
Il me demanda pourquoi j’étais si pressée et je lui dis que j’étais en retard pour réviser mon diplome.
Dans la précipitation, je rentrais sans faire attention à la porte restée ouverte.
Il était derrière, rentra et me dit “Vous êtes étourdie, vous, non ? ”
Je ris et lui proposa un verre.
Il posa sa veste sur le canapé, remonta ses manches de chemises et s’assit pour boire.
“Vous savez que ce n’est pas anodin de lire un roman de fessées dans un parc public ? ”
“Avec la pandémie et la situation désastreuse du pays, que voulez vous faire d’autres ? ”
“Vous ne répondez pas à ma question !”
” J’ai pas envie peut être puis on ne se connaît pas !”
” C’est vrai mais les femmes qui n’ont pas envie de répondre aux questions, je les punis”
” Vraiment ? Et comment ça ? ”
Il se leva, me prenant le bras et me laissant au coin.
Je tapais du pied contre le mur, comme une enfant capricieuse.
Je ne l’entendis pas revenir et fus d’autant plus surprise par la force de deux claques sur les fesses
à travers ma jupe.
“Je vais vous calmer et je crois que vous en avez grand besoin !”
“Venez ici !” Il s’était assis sur le fauteuil, les jambes serrés et une fois à côté de lui,
me bascula sur ses genoux.
Les claques fusaient sur mes pauvres petites fesses et les rosissant.
Il me fit me surelever un peu puis descendit jupe et culotte dans le même mouvement.
J’avais honte et je tentais de cacher mon intimité mais il était plus fort que moi.
Les claques reprirent crescendo sur mes fesses nues, me réchauffant puis me brulant.
Il fit une pause et me remit au coin debout, mains sur la tête.
Après une dizaine de minutes à me reluquer les fesses, je dus revenir sur ses genoux.
La dernière salve me fit bouger les jambes, crier à pleins poumons et enfin pleurer.
Il ne s’arrêta que lorsqu’il entendit mes sanglots et jugea que j’étais assez punie.
Il me prit ensuite contre lui, le temps que je calme les sanglots et m’ordonna de m’excuser.
Je le remercia, à genoux et lui baisant la main.
Cette fessée ne fut que la première car tout les ans, je retournais à Montaillou.
14 juin 2021 à 09:14 #65562GabrielleParticipant
Très joli texte merci.
Sympa à lire pendant ma pause cafe.je préfère masquée
14 juin 2021 à 11:11 #65563AnonymeInactif
très joli récit et si bien raconter bravo et merci
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