L’artilleuse
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Étiqueté : Fessée, insolentes, vilaines
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Sombrelle, le il y a 1 semaine et 6 jours.
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- 7 avril 2025 à 19:31 #104010
Victor
Participant
L’artilleuseChloé arbore un large sourire. Elle est en embuscade, planquée derrière une rangée de buis. Sa camarade Mizuki face à elle, scrute le parc avec ses jumelles. Elle guette l’arrivée de Léon, le meilleur ami du copain de Chloé, Mathieu. Sans lâcher ses jumelles, elle fait signe à son amie en refermant progressivement ses doigts. 5. Chloé prend une boulette de peinture. 4. Elle la place dans son lance-pierre. 3. Elle tend les élastiques. 2. Elle se redresse. 1. Elle se retourne en direction des deux bonhommes et lâche l’élastique sur sa cible. Mizuki éclate de rire lorsqu’une tache rouge éclabousse la chemise de Mathieu. Elles s’accroupissent immédiatement.
- Il m’a vue ?
Mizuki, fais un signe de tête pour dire non. Chloé serre le poing, descend le coude et se fend d’un « Yes ! Je recommence ». Mizuki s’allonge, prend ses jumelles et regarde un couple de perroquets dans la serre non loin de là. Chloé lui rouspète après :
- Mais c’est pas par là ! Tu fais quoi ?
- T’occupes, ils ont pas bougé. Vas-y ! T’es une pro de l’artillerie. Il devinera jamais que c’est toi.
- Sûre ?
- Sûre, padawan ! Il est à 6h de toi, 10m, pas de vent, pas de pluie. Tout droit sans réfléchir ! Fais moi confiance ! Feu à volonté !!
Chloé reprend une boulette, tend son arme, bondit, fougeuse, se retourne et… tombe nez à nez avec Mathieu alors qu’elle vient de lâcher l’élastique… à bout portant du coup.
- Oups… fait-t-elle avec un sourire jusqu’aux oreilles.
- Tu n’as pas fait exprès, c’est ça ? lui dit-il moqueur alors qu’une nouvelle tâche éclaire de bleu son torse. Et toi, Mizuki, tu te fous de moi ?
- Ah Mathieu ! Tu veux mes jumelles ? Il y a un beau perroquet là-bas.
Mizuki se retourne pour les lui tendre et s’esclaffe lorsqu’elle découvre sa chemise.
- Bah alors ! T’en a fais de belle tâches sur ta chemise ! T’as croisé des pigeons malades ?
Mizuki, trop occupée à charrier Mathieu, n’a pas vu arriver Léon. Il l’attrape par une oreille et la relève prestement.
- Mais quoi ? ose-t-elle demander.
- Elle a rien fait ! s’exclame Chloé.
- Ah oui ? demande Mathieu l’attrapant aussi par une oreille.
- Non, pas l’oreille ! proteste-t-elle.
Il ne la lâche plus. Il marche le long du buis en la tenant fermement jusqu’au bout de la haie jusqu’à se retrouver du même côté qu’elle.
- Alors, Chloé ? Une explication, avant de prendre une bonne fessée ?
- Mais on pourrait au moins avoir droit à un avocat, rétorque Mizuki.
- Et puis quoi encore ? s’insurge Léon.
- 100 balles ! envoie Chloé.
- Et un mars !! rebondit Mizuki.
Sur ses mots, Mathieu claque sa main sur la cuisse nue de Chloé.
- Mais aieeuh… pas les cuisses ! Ça fait trop de bruit ! Tu vas faire peur aux perroquets, avec tout ce boucan ! bougonne Chloé.
- Mais bien sûr ! pouffe Léon. Avec la serre, tu crois vraiment qu’ils t’entendent ?
- T’inquiètes pas, pour les oiseaux, Chloé. On rentre à l’appart’ ! répond Mathieu.
- Et tu vas me lâcher l’oreille ou tu vas continuer à me les allonger ? ose-t-elle.
Mizuki ne peut s’empêcher de rire et claironne encore un peu plus, bien maline :
- Ha Ha Ha ! Dumbo va se prendre une fessée ! Dumbo va se prendre une fessée !
- Toi, tu ferais mieux de pas trop la ramener, rétorque Léon.
- Mais quoi ! J’ai rien fait ! C’est même Chloé qui l’a dit. Je regardais les oiseaux ! Je suis ornithologue, moi !
- Allez, ça suffit ! Vous nous donner la main, maintenant ! On rentre sagement à l’appart’ et vous aurez votre procès en bonne et due forme ! annonce Mathieu.
- Avec avocat ? insiste Mizuki.
- Avocat, Mars et tout s’exaspère Mathieu. En route !
Chloé, tout de même morte de rire, se fend d’un baiser sur la joue de son amoureux et lui prend la main. Mizuki, tout sourire, prend Léon par l’épaule et notre petite bande s’en va dans le calme retrouver l’intimité du chaleureux studio parisien de Chloé.
Arrivées, les filles ne font plus guère les malines, chacune prise par le bras. Mathieu et Léon tirent chacun une chaise, s’assoient en les installant debout devant eux.
- Mains dans le dos ! ordonne Léon.
Elles obéissent.
- Qui a eu l’idée ? demande Mathieu
Silence.
- Qui a eu l’idée ? insiste-t-il.
- C’est elle ! répondent-elles en coeur en se regardant et en se pointant du doigt.
- Ah bon ? Oeuvre collective ! soupire Léon.
- Et bien, s’il y a 2 cerveaux, ce sera la brosse pour les deux, et un peu de cuir si vous êtes sages, annonce Mathieu.
Mizuki, imperturbable trouve le moyen d’en rajouter :
- Hep, Hep, Hep, Papillon ! Il est où l’avocat ?
Chloé, moins fière à baissé les yeux et commence à sentir quelques papillons. Léon, exaspéré, claque vivement la fesse de Mizuki, l’attrape et la couche sur ses genoux.
- Oh mais c’est pas confortable les genoux, Léon !
Il relève sa robe et découvre une légère culotte tandis que Mathieu tend son bras vers le visage de Chloé, lui relève le menton et lui intime d’aller chercher 2 brosses à cheveux. Chloé obtempère. Mathieu se réjouit de voir la marque rouge de sa propre main sur la cuisse de sa chérie. Elle revient convenablement équipée. Mathieu donne la plus grande brosse à son ami, et pose l’autre près de lui. Soudain, Mizuki cesse de rire et serre les dents. Les coups de bois sur sa peau à peine couverte sont maintenant bien plus piquants que les claques données à la main par son ami.
- Mains sur la tête, Chloé ! demande Mathieu.
Elle se laisse faire. Elle plane. Lui, toujours assis, déboutonne les hanches de sa salopette-short. Elle ne bronche pas. Il se lève, attrape et défait une à une les bretelles. L’habit chute. Il se rassoit, attrape sa culotte à fleurs et l’abaisse à mi-cuisses. Il lui montre ses genoux. Chloé se couche sans faire d’histoire et se retrouve nez à nez… avec Mizuki ce coup-ci. Naturellement, celle-ci attrape les mains de sa copine lorsque le premier coup de brosse tombe sur les fesses de Chloé. Elle se crispe. Un « Aie ! » lui échappe mais elle trouve quand même l’énergie d’envoyer à Mizuki :
- Va falloir qu’on gagne en furtivité, l’Artilleuse !
Ce à quoi les gars s’empressent de répondre en augmentant la cadence de leurs salves pour rougir les fesses de nos joyeuses camarades.
- Eh canonnier ! T’as pas abusé du rhum chez L’captain Barberousse ?
- Pardon ?!!!
- Oh il s’excuse, commenta Mizuki avant de se voir colorer le bas de la cuisse tout en serrant les dents.
- Je veux dire… poursuivis Chloé : « Tu crois pas que t’es 15 degrés trop au sud ? ».
- 15 ?! Tu veux dire 30, camarade ! rétorqua Mizuki.
Léon, à bout, repris Mizuki par une oreille et lui fit faire un demi-tour.
- Mais, il y a assez d’une Dumbo dans la pièce, grogna-t-elle.
Léon se pencha à son oreille et lui annonça :
- Encore une preuve de ton insolence et c’est ta poitrine qui trinque !
Chloé sourit. Cela lui donne des idées alors que Mathieu calme le jeu tout en remontant sur ses fesses. Et de continuer : « Compris, Mizuki ? »
- Oh, oui chef ! Oui mon capit…
Elle n’eut pas le temps de poursuivre qu’un énorme coup de brosse tomba au milieu de sa cuisse.
- Ma cuisse ! Aie !
- Oh ! Peau de vache !! On avait dit pas les cuisses ! s’exclama Chloé.
- Des revendications, Chloé ? s’interrogea Mathieu. Tu souhaites défendre ton amie ? C’est toi l’avocate ? la fameuse…
Et Mathieu, abattit sournoisement la brosse juste sous la fesse de Chloé, non pas simplement mais plutôt à 120 battements par minute.
- Mais !!!!! Tu parles d’un canonnier ! On dirait une mitrailleuse !
- Tu m’as dit de remonter de quelques degrés, Chloé… faudrait savoir, ma puce…
- Mais on t’as jamais appris à pas dépasser du coloriage ? protesta Chloé.
Ni une ni deux, Mathieu chercha le sein de Chloé, l’empoigna et la releva prestement.
- Mais Aie ! grogna-t-elle.
Mizuki, en total manque de contrôle… pouffa un « pauvre puce, tiens… », et Léon l’attrapa aussi par un téton, tandis que Mathieu, debout, pris Chloé à deux mains et serra sa poitrine. Lorsque Léon fut également prêt, ils fixèrent les filles. Les yeux pleins de défi, elles osèrent les provoquer d’un hochement de tête et d’un haussement d’épaules. Ils n’eurent aucun complexe à maintenant pincer leurs aréoles au travers de leurs vêtement et les torturer, leurs arrachant leur plus bel a capela :
- Aie Aie Aie !!!!
- On avait dit cuir si vous étiez sages, mais je crois qu’on ne vous fera pas ce plaisir.
- Tu as raison Mathieu. En diaper !
- Sur le lit ! enchaina Mathieu.
- Pour quelques coups … de canne, Darlings ! renchérit Léon.
Chloé jeta un regard sombre à Mathieu. Il souleva son menton :
- Qui décide ici ?
- Mais ça va ! C’était de la peinture à l’eau, embraya Mizuki.
Léon lui décocha une gifle.
- Mauvais réponse, Mizuki.
Les demoiselles baissèrent enfin les yeux.
- Tu les surveilles Léon s’il te plait. Je vais chercher ce qu’il faut.
Chloé resta stoïque. Mizuki, se laissa enfin complètement déculotter du string qu’avait arrangé Léon. Lui leur tournait autour. Mathieu revint avec 2 cannes et le doudou de Chloé. Il le brandit sous son nez et lui demanda :
- Alors Chloé, tu crois que Nounours est fier de toi ?
- … Non… répondit-elle en secouant la tête.
- Allongez-vous cote à cote au bord du lit.
Dans ce studio, elle n’eurent que quelques pas à faire pour obéir. Au passage, Mathieu claqua les fesses de Mizuki. Elle n’osa pas répondre. Il posa Nounours sur la table de nuit et demanda à Chloé de le regarder :
- Tu l’auras dans 15 coups de canne.
- Levez les jambes, ordonna Léon.
Les filles se prirent l’une l’autre par la main, et se cramponnèrent aux draps. Les garçons se mirent de part et d’autres, tinrent leurs mollets bien en l’air et posèrent leur bout de rotin sur les fesses des petites imprudentes. Chloé fixa Nounours. Mizuki ferma les yeux.
- Et on compte, les filles ! Une faute et on recommence à zéro pour les deux, compris ?
Elles hochèrent la tête sans plus un mot. Bon princes, Léon et Mathieu adjugèrent la fessée promise :
- Un !
- Un !
- Deux !
- Deux !
- Tu as vu Léon, on se croirait dans la savane.
- La savane ? s’étonna-t-il.
- Tu as déjà vu des zèbres à Paris, toi ? questionna-t-il en pointant les deux premières rayures qu’il venait de faire.
- Ha ha ha, tu as raison, mais ça manque de panthères !
- On les déguisera ensuite, Chloé à tout ce qu’il faut sous son lit…
Les filles se mordaient les lèvres pour ne pas rétorquer une ânerie. Le troisième coup les en dissuada totalement. Chloé, vit un voile couvrir ses yeux. Mizuki eut le souffle coupé.
- Trois…
- Je n’ai pas entendu, Mizuki…
- … Trois
- Ah, c’est mieux ! Encore un retard et on recommence à zéro.
Mizuki, respira fort puis se calma.
- Quatre, cinq, six… Sept !!! soufflèrent-elles en coeur.
Ils firent une pause, et s’amusèrent à battre les fesses des deux « petites » à très faible amplitude pour les garder attentives. Et soudain :
- Huiiiiit, annoncèrent-elles tout en serrant les dents.
- Je crois tu vas pouvoir passer la nuit avec Nounours, petite Chloé.
Ses quelques mots eurent raison d’elle. Une petite larme s’échappa. Elle serra la main de Mizuki, plus fort encore. Elle, l’insolente aux jumelles, sortit de ses songes et regarda son amie. Elle osa lui glisser à l’oreille :
- C’est les risques du métier, Padawan !
Chloé sourit et les garçons en finirent sans leur tenir rigueur du décompte des coups.
- Quatorze, non ? demanda Mathieu à Léon.
- Exact, très cher !
Il se regardèrent, caressèrent les fesses et les cuisses des filles du bout de leur baguette. Et après d’interminables secondes pour elles, au quinzième coup, Chloé, réussit enfin à souffler un : « pardon, Mathieu ».
Elle serra la main de Mizuki, qui elle gémit un « han ! » entre plaisir et soulagement. Ils baissèrent leur jambes, s’assirent à leur côté. Les prirent dans leur bras. Mathieu donna Nounours à Chloé et fit un clin d’oeil à Mizuki, qui sans perdre le nord demanda :
- Bon ! On peut avoir une glace maintenant que vous nous avez réchauffées ?
11 avril 2025 à 20:22 #104045Sombrelle
ParticipantMerci pour ce petit récit bien sympathique.
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