Pâles rondeurs, timides hanches,
Je sais l’endroit où tu médites,
Le fauteuil où ton front se penche,
Pour éduquer tes courbes contrites.
C’est dans un sillon qui se cache,
Sous ces deux bouts de noisetiers,
Où pleut sur le séant qu’elle marque,
La complainte du martinet.
L’ombre dévoile, absoutes,
Les perles des larmes libérées,
Ta toison les bois, goutte à goutte,
Sur ton visage apaisé.
Une croupe cuisante s’agite,
Où s’abreuve mon regard,
Elle y chante avec mérite,
Souvent de l’aube jusqu’au soir
Ô moeurs, que vous diriez de choses,
À mon sourire, quand je dépeins,
Ce que je lis sur ses lèvres closes,
Quand mes mains resserrent ses liens
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