La teutone avait de jolis tétons…

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    anatole
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    …que je tétais plus ou moins à tâtons…En fait, non….disons que je les léchai plutôt goulûment alors que mes mains les empaumaient fermement pour en tendre encore plus que possible les mamelons joufflus autour desquels les pinces marquaient sauvagement leurs empreintes. A cet instant précis, la teutone chevauchait gaillardement le membre médian dont m’avait gentiment pourvu la nature, et qui en temps ordinaire pendouille bêtement entre mes cuisses, mais qui là était au meilleur de sa forme, raide comme une saillie (le terme est fort bien choisi!) comme disait ce bon Brel dans une célèbre chanson….

    Hors donc, un très long moment plus tôt, je devisai gentiment avec la cerbère fort courtoise de l’accueil de cet hôtel 5 étoiles dans lequel je devais résider quelques nuitées, bégayant les quelques rares mots d’allemand qu’il me restait de mes études en seconde puis première d’un grand lycée parisien , c’est à dire fort peu à part ich liebe dich , banal et totalement hors de propos en la circonstances, quoique, ses nibards méritaient bien ces trois mots, et ich bin ein schweiner kakadu, ce qui n’avait vraiment rien à faire en la matière (si j’ose dire…).

    Bref, lorsque je tentai de lui expliquer que je devais rester une nuit de plus dans cet établissement pour des raisons qui ne regardaient que moi, et que si, pendant les quelques heures en attente qu’une nouvelle piaule me soit dévolue, elle pouvait conserver mon bagage, elle m’ouvrit un sourire tellement désarmant malgré son masque ffp2 que, lui tendant ma valoche déjà l’esprit un peu ailleurs, voire déjà niché entre ses cuisses, par une malheureuse maladresse, le dessus de ma valise se désolidérisa du fond et que quelques emplêtes que j’avais effectuées la veille au soir dans un de ces charmants petits magasins de San Pauli se déversèrent à ses pieds…Alors quoi…il n’y avait, encore totalement emballés que quelques joujoux du genre menottes de cuir, pinces à sein, joli martinet de cuir noir et tutti frutti…certes on trouve les mêmes à Paris chez Demonia, mais je trouvais exotique de faire mes courses dans cet énorme marché du sexe, me disant qu’un jour ou l’autre, je trouverais bien l’occasion de m’en servir….si j’avais su….

    Elle plongea ses yeux aussi bleus que possible sur ces petits cadeaux qui tombaient sur ses pieds menus et revêtus de jolis escarpins noirs à hauts talons, puis après quelques secondes d’observation leva les dits yeux vers moi et proféra un « Schön »…..

    Mes joues devinrent probablement aussi rouges que les fesses d’un babouin, mais elle me désarçonna. Ayant compris que la langue teutonique n’était pas mon fort, elle reprit sans sourciller…

    « -Very good choice….I like all that….It’s for me ? ».

    Je bredouillai, tentant maladroitement du bout du pied de remballer les objets vers ma valise sentant que les clients suivant derrière moi devaient commencer à se poser des questions….

    « -A priori, not for you…i am désolé….but if you want…why not…but it is not the moment…and je suis désolé…. ».

    En deux temps trois mouvements, elle avait trouvé le moyen se mettant à genoux devant moi de remballer tout le bazar et de refermer ma valoche…

    « -It’s funny….Be cool…I give you a nice room….for this night….I finish at nine…Is it good for you ? » .

    Tu parles Charles…. !

    « You’re welcome….so…you will be welcome….et ton cul avec….

    • Pas de problèèèèmmee Monsieur….. ! ».

    Putain, la garce elle parlait aussi français…. !!!

    Les gens derrière moi commençaient à s’impatienter et je tournai vite les talons, mais elle me héla…

    « -Oh sir, your ticket, for the lugagge…ce serait dommage que tou n’ai pas ton lugagge pour ce soâr…. ».

    J’arrachai le ticket qu’elle venait de me tendre, non sans prendre le temps d’une légère lichette sur la paume de sa main….

    Putain….étais-je en train de rêver ?

    Il était 22 h 30 et elle chevauchait ma bite comme une folle agenouillée sur moi. Je lapai ses seins, tentant de me frayer un passage avec la langue vers ses mamelons enserrés depuis si longtemps dans ces si jolies pinces à seins. Une de mes mains abandonna presque à regret un de ses seins et se tendit pour récupérer le martinet déjà bien utilisé…..

    « -Ja…ja…. ».

    usw..;comme ils ou elles disent là bas….

    Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

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