La soirée d’anniversaire.

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  • Ce sujet contient 11 réponses, 10 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Anonyme, le il y a 3 années et 6 mois.
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  • #44679
    Anonyme
    Inactif


    Ce soir, Vilaine est invitée avec son conjoint à un anniversaire.
    La fête est grande : il y a une soixantaine d’invités. C’est une grande salle, qui donne sur une immense terrasse.
    La soirée se passe bien. Des rires, des conversations diverses. Vilaine ne tient pas en place. Elle va de groupes en groupes d’amis, discute avec tout le monde (elle est très sociable : ce qui plaît à son conjoint en général.)

    Son conjoint lui, discute quant à lui de son côté avec un couple d’amis, depuis une heure environ.

    Vilaine passe près de lui avec un verre de cocktail à la main. Un bisous sur la joue et fuse en quête de nouvelles discussions. Son conjoint, s’adresse au couple avec qui il discute :
    – Vous m’excusez mes amis, je reviens.
    Monsieur décide de suivre sa belle, d’un pas décidé et la saisi par le bras.
    – Ma chérie, fais attention un petit peu. Tu bois beaucoup et tu es déjà à ta cinquième cigarettes depuis une heure et demi.
    – OH ça va ! C’est une soirée…
    – Je sais. Mais je te dis juste que tu bois, et que tu dois faire attention, demain tu sera pas bien sinon. Je te connais.

    Vilaine l’observe et part sans rien dire. La tête commence à tourner. Deuxième verre de cocktail…
    Au fil de la soirée Vilaine continu ses allez retour entre l’extérieur et l’intérieur de la salle. Enchaîne les cigarettes, rigole, parle à bon nombre de personnes. Glisse des gestes tendres à son conjoint lorsqu’elle passe près de lui et continue dans sa lancée.
    Sixième verre. Monsieur la surveille d’un coin, toujours à discuter avec ses amis.

    Il est au fond de la pièce, debout, contre le mur, tout en discutant il observe Vilaine bras croisés.

    Vilaine se dirige après sa cigarette, vers un groupe de personnes. Un homme lui adresse la parole. Ils discutent de tout et de rien. C’est la soirée, c’est les amis, c’est la fête aucun mal à cela.

    Monsieur l’observe de loin : fidèle à son poste. Vilaine ricane avec l’inconnu. Elle décide de rompre la conversation avec ce dernier avant de s’abreuver encore une fois.

    Monsieur coupe la pièce immense, zigzag dans les groupes de personnes et l’attrape une nouvelle fois par le bras. La dirige avec fermeté et discrétion dans une petite pièce de la cuisine.

    – À quoi tu joues ? Tu as pas fini de boire ? As-tu écouté un seul mot de ce que je t’ai tout à l’heure ?

    Vilaine rigole.

    – Qu’est ce qu’il te fais rire ?!

    Monsieur serre un peu plus son bras. Ce qui force vilaine à le retirer d’une traite.
    – Je sais c’est pour mon bien. Mais mon bien c’est aussi de m’amuser.

    – Je comprend, mais tu es dans l’abus. Je m’inquiète pour toi. Arrêtes-toi s’il te plaît.

    Vilaine se rapproche de Monsieur, colle sa bouche à son oreille et lui chochotte.

    – Et sinon quoi ? Hein ?!

    Abasourdi par sa réponse, Monsieur ne répond pas un mot.
    Vilaine se recoiffe, réajuste sa robe. Et s’en va.

    Plus tard dans la soirée, Vilaine se place à une vingtaine de mètres de son conjoint, l’observe avec un regard provoquant. Elle décide de se servir un autre verre et le boit. Toujours en regardant son conjoint.

    Monsieur garde un calme absolu. Fait mine de n’avoir rien vu, et poursuit sa conversation avec son amis.

    Vilaine démunie, décide d’abandonner son verre. Et continue sa soirée.

    Il est 3h30 du matin. Les invités partent un à un. C’est ainsi que la salle se vide, et que le couple décide de partir, eux aussi.
    Sur le parking, Vilaine s’apprête à se rallumer une cigarette.

    – C’était une bonne soirée. N’est ce pas chéri ?

    Monsieur, ne dit rien et continu d’avancer jusqu’à la voiture.

    – Tu m’as entendu ? Chéri… ?!

    Monsieur attends d’arriver à la portière de la voiture où Vilaine se dirige, prends sa cigarette et l’écrase calmement au sol.

    – Je t’avais dis que tu avais trop fumé. C’est pour ton bien. Tu ne te rends même compte de ce que tu fais.

    Vilaine fronce les sourcils, et souffle.

    Monsieur lui ouvre la portière et la guide afin de s’installer dans le véhicule.

    – Tu es fâché, pourquoi ?

    Demande Vilaine à son conjoint.

    Monsieur entre dans le véhicule au même moment. Et lui rétorque d’une voix ferme et clair.

    – Nous en parlerons à la maison. Attaches-toi, je suis trop en colère pour en discuté avec toi maintenant.

    Le couple arrive à leur domicile. Monsieur éteint le contact, pendant ces 10 minutes de trajet : il n’a dit aucun mot et réfléchissait à la punition que Vilaine méritait.

    Vilaine claque la portière, et entre dans la maison et fermant la porte au nez de Monsieur.
    Monsieur ferme le portail, ferme la voiture à clef et se dirige vers la porte d’entrée.
    Pousse la porte, et entre dans la maison à son tours.

    – Tu es où ?!

    La maison est silencieuse. Monsieur reste statique dans le salon, et tente une seconde fois.

    – Viens ici s’il te plaît. Je t’attend. Qu’est ce que tu fais ?

    Vilaine sort de la chambre, en petite culotte avec son tee-shirt de nuit.

    – Je mettais mon pyjama.

    Elle reste dans le couloir, à quelques mètres de son conjoint. Elle ne bouge pas, timidement : baisse la tête.

    – Bien. Viens ici maintenant, nous allons discuter.

    Vilaine s’approche doucement et reste à deux mètres de son conjoint, la tête baissée.

    – Discuter de quoi ?
    Monsieur s’approche, la saisie calmement par le poigné et la fait avancer. Tout en la maintenant, il tire la chaise de la table à manger et s’y assoit. Vilaine est debout, en face de lui.

    – Je t’écoute, dis moi ce qui aurait pu me mettre en colère ce soir ?

    Vilaine redresse la tête, et prend un ton de défense.

    – Je n’ai rien fait de mal !

    Monsieur reste sérieux, croise les bras.

    – Tu es sûre de toi ?!

    Vilaine ne répond pas.

    – Je te parle, ais au moins le respect de me répondre.

    Vilaine joue avec son pied sur le sol comme une enfant.

    – Écoutes moi bien, je te laisse quelques secondes pour t’expliquer, sinon c’est moi qui te donne la liste.

    Vilaine prend un air d’effrontée en souriant.

    – La liste de courses ?

    Monsieur ne fait paraître aucun sourire.

    – Va devant la table !

    Vilaine ne comprend pas, et recule d’un pas.

    – Je te dis d’aller devant la table, dos à moi.

    Vilaine n’a pas d’autre choix, et prend un air enjouée à la situation.

    – Mets tes bras à plat sur la table, le ventre sur la table. Allonges toi.

    Monsieur la guide et la réinstalle. Donne des petits coups de pieds afin d’écarter ses pieds et les espacer un peu plus… Vilaine se laisse faire. Et rétorque fièrement.

    – Qu’est ce que tu vas faire hein ?

    Monsieur se place derrière elle.

    – Puisque tu ne te souviens de rien, je vais te rafraîchir la mémoire. Et tu répétera après moi, tu enregistrera comme ça. Je vais te punir pour ta conduite de ce soir.

    Un silence ambiance la pièce. Vilaine respire fort : difficilement contrôlable.

    Monsieur articule calmement.

    – Je n’ai pas su me tenir correctement. J’ai bu plus que ce qui fallait pour passer une bonne soirée. Répètes !

    Vilaine s’exécute.

    Un premier coup sur ses fesses résonne dans le salon.

    – Je n’ai pas écouté les conseils de mon conjoint, je m’en suis foutu.

    Vilaine répète.

    Deuxièmement coup, plus fort cette fois.
    – Je parle à des inconnus, seule.

    Vilaine se redresse, et exclame son innocence.

    – C’est pas si grave !

    Monsieur la plaque fermement sur la table et prend une voix ferme.

    – Répètes et tout de suite !

    – J’ai parlé à un inconnu.

    Troisième coup, froid et lourd. La main de Monsieur est ferme.

    – Aaaaïe !

    – J’ai fumée abusivement. Ce n’est pas bon pour ma santé !

    Vilaine répète une nouvelle fois…

    Monsieur frappe plus fort, et une série de trois coup cette fois. Il baisse sa culotte rose à mi cuisses et prend du recul.

    – Je prend mon chéri pour un imbécile.

    Vilaine se redresse.

    – Mais pas du tout chéri ! Je suis désolée !

    Monsieur la plaque une nouvelle fois sur la table.

    – Tu répètes je t’ai dis. Tu vas t’en souvenir !

    Vilaine serre les dents… Et répète avec hésitation.

    – Je… Je prend….

    – Oui ? Vas-y continues…

    Vilaine sanglote.

    – Maintenant ça suffit. Tu me provoques… Restes ici. Ne bouges pas.

    Vilaine n’ose pas broncher, reste à sa place.

    Monsieur déboucle sa ceinture et la retire de son pantalon.

    – Je vais te dire moi ! Ce soir tu m’as provoquer. Tu veux une fessée depuis quelques jours ? Je vais te la donner. Tu sera rassasiée pour plusieurs semaines, crois-moi.

    Vilaine entend la ceinture. La boucle sonne comme un souvenir. Elle a le cœur qui bat à vive allure. Elle est prise d’un sentiment entre la crainte et l’envie. Une douce et incroyable sensation.

    – Je vais te donner 20 coups, sans m’arrêter. Tu ne bouges pas. C’est pour le nombre de cigarettes fumées ce soir.

    Monsieur prends de l’élan et frappe les petites fesses de vilaines. Au bout du quatrième coup, Vilaine est prise de sanglots, puissants et incontrôlables.
    Huitième coup, la ceinture fait apparaître sur sa peau ses morsures.
    Dixième, onzième, douzièmes toujours aussi régulier, toujours aussi mordants.

    Avant dernier coups, le dix neuvième, Vilaine ne tient plus sur ses jambes. Monsieur la laisse ainsi… et la laisse attendre le coup final avec souffrance.

    Vilaine sanglote, tremble.

    Monsieur tape une dernière fois, les fesses de Vilaine sont marquées et rouges, rouges écarlates à tendance violacées…

    La fessée est terminée. Vilaine reprend son souffle. Elle a acceptée sa punition, du début à la fin. Et enfin adresse un mot à son conjoint.

    – Merci.

    Monsieur la regarde, la prend dans ses bras réconfortants.

    – J’avais besoin de ça.

    Le couple part ensuite se coucher, s’endorme bras dans les bras avec apaisement.

    #44684
    Ame.masculine
    Participant


    Comme quoi… il convient de ne point ainsi boire…

    😉

    #44685
    Ame.masculine
    Participant


    .. et de mieux se tenir…

    #44686
    Ô.Céane
    Participant


    Récit très inspirant! Et, en effet, criant de vécut!
    Bravo et merci!

    "Et mes fesses, tu les aimes mes fesses"
    Mes récits ne sont pas forcément le reflet de ce que je recherche...juste une inspiration...

    #44687
    Anonyme
    Inactif


    j’ai adorè ah franchement tes récit sont bien

    #44688
    maindejustice
    Participant


    Et on ne parles pas a des inconnus; Meme dans une soiree festive ! Ton chéri ne te l’as jamais dit vilaine ?

    #44689
    Anonyme
    Inactif


    Les represailles furent à la hauteur de la provocation d’une tres Vilaine….excellent recit

    #44698
    Anonyme
    Inactif


    Très bon récit avec une punition à sa hauteur bravo

    #44699
    Jérôme
    Participant


    Bravo pour ton récit Vilaine, et merci de nous l’avoir fait partager

    #44715
    Anonyme
    Inactif


    récit criant de vérité! Bravo

    #44718
    lunapower
    Participant


    très sympa comme récit 🙂

    https://lesaventurescuisantesdecamille.blogspot.com/

    #44747
    Anonyme
    Inactif


    Merci à tous. ?

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