LA REVANCHE DE CORALIE

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    Olivier34
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    Je m’appelle Coralie. J’ai 20 ans et je travaille comme vendeuse au rayon parfumerie des Grandes Galeries du Midi. L’autre jour, j’aperçois une cliente qui, après avoir jeté quelques regards furtifs autour d’elle, s’empare d’un flacon de chez Dior, l’extrait de son carton, et le glisse sous ses vêtements. Ce n’est pas la première fois que cela arrive et je sais ce que je dois faire dans ces cas-là. Je ne dois pas intervenir moi-même, mais appeler aussitôt Marco. Marco, c’est le vigile. C’est un colosse de 1,92 m et 110 kilos. Autant dire qu’avec lui, ça ne rigole pas. Je veux dire pour les voleurs parce qu’avec moi, il est très sympa, on rigole bien ensemble au contraire. Donc je préviens Marco qui arrive aussitôt et se plante devant la dame. Je ne l’avais vue que de dos. C’était apparemment une belle femme, de 45 ans environ, grande, avec des formes épanouies, une bourgeoise assurément, élégamment vêtue. Je m’approche et, stupeur, je la reconnais : c’était Madame Laubier. Madame Laubier, c’était ma prof de français au lycée. Je l’ai eue deux ans de suite en terminale (parce que j’ai redoublé ma terminale). Une vraie peau de vache, qui ne pouvait pas me sentir et je crois bien que c’est à cause d’elle que je n’ai jamais eu mon bac. Elle m’avait mis une appréciation dégueulasse sur mon livret scolaire de sorte que quand je suis allée à la repêche, je n’ai pas été repêchée alors qu’il me manquait seulement quatre points. C’est comme ça que je suis devenue vendeuse aux Grandes Galeries il y a un an. Donc je m’approche d’elle, elle se retourne et elle ouvre de grands yeux : « Ça alors, vous Coralie ! ». Je la regarde droit dans les yeux et je lui dis : « Vous avez volé un flacon de parfum ». Elle accuse le coup, puis prend un air scandalisé : « Comment osez-vous ? Sale petite menteuse ! ». Marco intervient : « N’insultez pas cette jeune fille, je vous prie. Veuillez me suivre chez le directeur. ». Là-dessus Marco la prend par le bras et l’entraîne au 3ème étage dans le bureau de M. Simon, le directeur du personnel. Une fois la porte fermée, je raconte ce que j’ai vu et M. Simon lui demande le flacon. Comme elle pousse de grands cris indignés, M. Simon lui dit : « Ce n’est pas grave. J’appelle la police et vous serez fouillée au commissariat ». Là, Madame Laubier devient blême : « Non, je vous en prie, n’appelez pas la police. Je … Je vais vous le rendre. C’était une erreur … Je ne voulais pas … ». Elle sort le flacon de son corsage et le tend à M. Simon. Celui-ci lui dit : « Bien, il ne sera pas nécessaire de vous fouiller, mais je dois néanmoins appeler la police ». Le visage décomposé, Madame Laubier lui répond : « Non, je vous en supplie, n’appelez pas la police, c’est la première fois que … Je ne le ferai plus … Je vous dédommagerai … ». M. Simon sourit : « Nous n’avons pas besoin d’être dédommagés, mais vous en revanche vous avez besoin d’être punie. Alors, c’est bien simple : ou bien vous serez punie par les tribunaux, ou bien vous le serez par nous-mêmes. Nous avons mis au point un petit système pour les voleurs et les voleuses. Nous acceptons, lorsque c’est la première fois qu’ils volent, de ne pas alerter les autorités s’ils acceptent, eux, de recevoir une fessée administrée ici-même, par nos soins, dans nos locaux. Alors vous avez le choix, mais il faut vous décider vite : vous avez trente secondes, pas une de plus ». Et M. Simon regarde sa montre. Madame Laubier écarquille les yeux, incrédule, elle se tourne vers moi d’un air suppliant et je ne peux pas m’empêcher de lui adresser un sourire ironique. Je suis tellement contente de la voir dans cet état, la garce ! Elle comprend qu’elle ne peut rien espérer de mon côté, se retourne vers M. Simon et lui dit en baissant la tête : « C’est d’accord ». M. Simon lui tend alors une feuille et un stylo : « Vous allez nous signer une autorisation qui aura pour nous la valeur d’une décharge. Écrivez, je vous prie. Je soussigné Marie-Laure Laubier reconnais avoir volé un flacon de parfum aux Grandes Galeries du Midi. Je reconnais avoir mérité pour cela une sévère fessée déculottée et j’ai demandé à la direction du magasin de bien vouloir me l’administrer. Fait à … le … Et vous signez ». Madame Laubier s’exécute et une fois qu’elle a signé et rendu la feuille à M. Simon, celui-ci me dit : « Coralie, vous allez aider Madame Laubier à se mettre dans la tenue requise pour la punition ». En entendant cela, j’exulte. Je lui fais signe d’approcher et je lui dis en la regardant droit dans les yeux : « Avant votre fessée, nous avons un compte à régler. L’année dernière, au lycée, vous m’avez accusée d’avoir triché et vous m’avez donné une gifle. Eh bien, je n’avais pas triché, alors cette gifle, je vais te la rendre. » Volontairement, je la tutoie pour bien lui faire sentir que maintenant les rapports de force ont changé. Et je la gifle sous le regard approbateur de Marco et de M. Simon. Elle rougit et les larmes lui montent aux yeux. Là-dessus je lui ordonne de remonter sa robe autour de sa taille et de l’y fixer. Elle m’obéit. Alors je lui baisse sa petite culotte. Je regarde son sexe, sa touffe, puis je lui ordonne de se retourner, c’est-à-dire de faire face à Marco et à M. Simon. Elle a des fesses larges et pleines. Je la saisis par l’oreille et je la conduis jusqu’à Marco. Elle marche à petits pas, les jambes entravées par la culotte, elle est ridicule. Marco l’empoigne et la couche en travers de ses cuisses puissantes. Il l’immobilise fortement. Elle est dans un inconfortable déséquilibre, elle s’accroche d’une main à un barreau de la chaise, de l’autre à la jambe de Marco, ses pieds battent l’air. Marco passe sa main sur ses fesses nues, il les explore. Il fait toujours cela avant de commencer une fessée, c’est une manière de s’approprier le corps de la personne qu’il va corriger, de lui montrer que pour le temps de la fessée, il lui appartient totalement. Il lui écarte les fesses et, tous les trois, nous pouvons  voir sa vulve, son anus et les poils follets qui l’entourent. J’imagine sa honte ! Enfin la main de Marco s’abat pour la première fois sur son derrière dans un claquement de tonnerre. Je la sens suffoquée par la force de cette première claque. Elle ne va pas être déçue par la suite ! Marco a une force terrifiante. Les claques se succèdent à une cadence effrénée, et de plus en plus fort, elles résonnent dans la pièce, faisant un bruit d’enfer et couvrant presque les cris de Madame Laubier. En moins de dix secondes ses fesses sont toutes rouges, en moins de trente secondes elles sont cramoisies, mais Marco ne va pas en rester là. Elle a beau crier, supplier, se tortiller, sangloter, la correction continue, implacable. Je suis aux anges, je jouis de voir cette femme qui a l’âge de ma mère, qui était ma prof il y a tout juste un an, se faire déculotter et fesser comme une sale gamine sous mes yeux. En tout elle aura reçu, je ne sais pas, cent trente claques, peut-être cent quarante. Quand Marco cesse la correction sur un signe de M. Simon, elle est chancelante, pantelante, secouée de sanglots, anéantie. Je commence à avoir pitié d’elle. Je l’aide à remonter sa culotte. M. Simon l’invite à remercier Marco pour la bonne fessée qu’il lui a administrée, ce qu’elle fait, puis ajoute : « J’ai cru comprendre que vous vous étiez mal conduite avec Coralie quand elle était votre élève. Vous devriez lui demander pardon aussi ». Elle est totalement matée, sans volonté et s’exécute aussitôt. La voix tremblante de sanglots, elle me demande pardon, très humblement. Cette fois je suis complètement vengée. Je lui caresse la joue pour lui faire comprendre qu’il n’y a plus de contentieux entre nous. Elle me tombe dans les bras. Nous nous faisons la bise avant qu’elle ne parte.

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