La premiere histoire en français.
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20 septembre 2021 à 16:32 #70323mariposasdechocolateBloqué
Il m’a été difficile d’oser, mais un jour je devrais être le premier. Comme c’est un texte long, je l’ai passé par le traducteur, donc je suppose qu’il y aura des erreurs grammaticales, excusez-moi, mais mon temps et mon français sont limités. J’espère que ça vous plaitSeptembre arriva, et avec lui le retour à la routine. Les mois d’été avaient décidé d’assouplir les règles, il faut faire une pause, mais il était temps de recommencer.Ils en avaient déjà parlé avant l’été, et elle avait une folle manie de s’endormir sur le canapé. Ce n’était pas prémédité. Il se levait tôt, l’après-midi il avait plusieurs activités, et à la fin entre une chose et une autre il arrivait la nuit épuisé, mais au lieu de se programmer et de se coucher tôt il pouvait être paresseux et étirer les heures sur le canapé jusqu’à la fin, le sommeil l’envahit.Elle se réveillait souvent sur le canapé au petit matin, avec la lumière allumée et la télé allumée. Il se coucha alors, mais à la fin il se reposa à moitié.Il était à l’opposé, il contrôlait très bien ses heures de sommeil, il était très rigide avec les horaires pour pouvoir mieux se reposer. Il avait essayé de le lui inculquer plusieurs fois, mais elle disait toujours que se coucher tôt lui faisait perdre des heures de vie… forme de mauvaise humeur ou de mauvaises réponses.Il l’avait déjà “menacée” avant l’été. Si ça continuait comme ça, je finirais par lui donner l’heure de se coucher. Elle refusa, que dormir à l’heure était trop enfantin, qu’elle était assez âgée pour se réguler.Mais les jours ont passé et la situation n’a pas changé. A onze heures il a dit au revoir, elle a promis d’être sage et d’aller se coucher et la moitié des jours elle a fini par dormir dans le salon. Alors après deux semaines de trêve, et profitant d’un week-end alors qu’il descendait à Madrid, il a décidé de passer aux choses sérieuses.Le vendredi après-midi, il est arrivé après quelques heures de route. Elle l’accueillit chez elle avec enthousiasme, lui apporta une bière et ils s’assirent sur le canapé pour bavarder un moment. Après avoir compté les combats de la semaine, il a décidé d’aller droit au but.– Bébé, il faut qu’on parle sérieusement de ta manie de dormir sur le canapé.« De quoi veux-tu parler ? » dit-elle sur la défensive.– Tu le sais déjà. Depuis que tu as repris le travail, combien de jours as-tu déjà dormi ici ?– Mmmm… un certain roi, mais tu sais que c’est involontaire…– Et je ne dis pas que c’est du jeu, mais tu pourrais l’éviter si tu te couchais plus tôt. Vous ne vous reposez pas bien, vous savez qu’au travail il faut être clair, et totalement, il s’agit juste de changer une petite chose.– Il peut être un roi, tu as peut-être raison – Elle s’est sentie réceptive. Au fond, elle savait qu’elle ne pouvait pas continuer comme ça et peut-être que s’il l’avait “aidée” à changer ses habitudes, ce ne serait pas si difficile.Ils ont convenu que du dimanche au jeudi, il essaierait d’être au lit avant minuit. Ils ont même profité du week-end pour installer une télé dans sa chambre qu’il avait dans le placard sans neuve depuis des années. Ils ont établi un plan, et comme tous leurs accords, ils ont également établi les conséquences en cas de non-respect.C’est ainsi que les choses se sont passées, entre 23h30 et 00h00, elle allait se coucher déjà prête, démaquillée, lavée des dents et tout était prêt à dormir. Il lui demandait de temps en temps, mais l’idée n’était pas de la contrôler au jour le jour, mais qu’elle soit suffisamment responsable pour prendre soin d’elle-même. Bien sûr, chaque nuit il notait l’heure d’aller dormir sur l’agenda, et si un jour il ne s’y conformait pas, il l’écrivait aussi mais à l’encre rouge. De cette façon, ils auraient un dossier auquel il pourrait se référer quand il le souhaiterait.La chose a bien commencé, motivé par le jeu avec la nouvelle télé dans sa chambre ça lui a coûté moins cher. Il lui demandait de temps en temps et elle répondait fière de sa discipline. Mais ils savaient tous les deux que toute la nouveauté se termine et que les choses ne seraient pas toujours ainsi.Ce matin-là, il lui a écrit plusieurs e-mails, et toutes les réponses étaient courtes et sèches. Elle était de mauvaise humeur. Elle pensait que c’était parce qu’elle était de service, ces jours-là la stressaient toujours, alors elle n’y accordait pas plus d’importance. Quand la nuit vint, ils parlèrent à nouveau, elle était toujours sur la défensive. Il attendit qu’elle rentre à la maison et s’installe tranquillement pour lui parler. Il l’a appelée au téléphone pour qu’il la sente mieux.. Bébé, qu’est-ce qui ne va pas chez toi, tu vas bien ?– Oui roi, pourquoi dis-tu ça ? C’est juste que je suis fatigué…– Ouais, mais tu as été bizarre toute la journée. Bord, sec… il n’y a rien d’autre ?– Que veux-tu qu’il y ait ? J’ai servi les autres toute la journée et j’ai sommeil ! – ça sonnait impertinent aussi– Eh bien, mais ne le payez pas avec moi, j’essaie juste de vous soutenir. – Il a répondu sérieusement.– Désolé roi… Je ne voulais pas paraître brusque. C’est que j’ai mal à la tête depuis ce matin et j’ai eu une journée horrible…– Et cette princesse ? Parce que? Vous êtes-vous bien reposé ? – Il a demandé de manière générale, sans chercher autre chose– Bon…– Et c’est bon ? – J’étais là, je l’avais déjà.– C’est qu’hier soir après avoir parlé j’ai commencé à regarder un programme à la télé et je ne m’en suis même pas rendu compte, vraiment. Et à 03h30 je me suis réveillé sur le canapé avec tout embourbé et il m’a fallu beaucoup de temps pour me rendormir… – alors qu’il avouait que sa voix diminuait.– Eh bien bébé, tu as la réponse toi-même. Vous voyez à quel point c’est bon d’être bête comme ça. Tu as été fatale toute la journée et tu n’apprends toujours pas.– Le roi ne sois pas en colère marche …– Je ne m’énerve pas, j’essaye juste pour quelles raisons. Voyez-vous normal de faire ces choses? Cela vous semble-t-il responsable ? En fin de compte, celui qui perd, c’est vous, et que nous avons un plan pour changer cette habitude et que je m’implique avec vous pour vous aider. Il n’avait pas l’air en colère, mais il avait l’air sérieux. Il lui donnait une colère plus que méritée, alors elle n’avait pas d’autre choix que de l’accepter tranquillement.– Je suis désolé roi… vraiment.– Cela me semble très bien, mais maintenant, vous allez l’écrire dans le cahier. Et à côté, vous allez mettre votre comportement avec moi tout au long de la journée pour ne pas l’oublier.– Oui roi. – Elle a dit docilement.– On s’occupera de ça pendant le week-end, j’ai vendredi après-midi libre donc je descends te voir. Et une dernière chose. En ce moment, je te veux au lit, pas de télé, pas de téléphone portable ou quoi que ce soit.– Roi… il n’est que onze heures ! Et j’ai travaillé toute la journée… – son ton de plainte ne l’a pas adouci.– Je ne t’ai pas demandé ton avis, tout de suite tu vas me faire un bisou, tu vas être sage et tu vas te coucher pour dormir. Je ne veux pas ajouter plus de raisons à la punition qui vous attend.– Eh bien roi… un gros bisou. Repose bébé.Et c’est ainsi que la conversation s’est terminée. Elle se mit au lit, nota ce qu’il lui avait demandé sur l’agenda et s’endormit aussitôt. Le lendemain matin, il était reconnaissant d’avoir dormi sept heures, au fond il savait prendre soin d’elle, mais il lui était parfois difficile de passer par le cerceau.Jeudi passa vite et vendredi midi, j’avais déjà hâte de le voir. Ils ne s’étaient pas vus depuis trois semaines, depuis qu’ils avaient signé l’accord. Elle passa en revue l’ordre du jour, celui de mercredi n’était pas le seul défaut… donc quelque chose de nerveux l’attendait déjà.Il est arrivé tard, vers 21 heures. Fatigué, mais heureux de la voir. Ils se sont embrassés dès qu’ils se sont vus, puis quelques bisous, encore des câlins… et ça a fini au lit. C’était la meilleure chose à vivre loin, que les rencontres étaient souvent très passionnées. Ils dînèrent vers onze heures et s’appuyèrent sur le canapé. Ce soir-là, ils n’ont pas parlé d’horaires, ils se sont juste rattrapés.Le lendemain matin, le plan était d’être calme. Prenez votre petit déjeuner tranquillement, descendez à la piscine puis sortez manger et passez l’après-midi là-bas. Ils étaient au cinéma puis se promenaient et ils sont rentrés chez eux vers 20h00. Ils s’assirent tranquillement, lui avec une bière et elle avec de l’eau pour se reposer un moment. Jusqu’à ce qu’il décide que c’était le bon moment.Elle était dans la cuisine en train de chercher des pommes de terre. Il décida de la surprendre.– Bébé, quand tu viens, apporte ton agenda. – Il l’a dit à voix haute mais d’un ton calme.Elle l’entendit de la cuisine et un picotement intérieur la pénétra dès qu’elle l’entendit.– Mais roi, maintenant nous allons dîner…- essaya-t-elle de le persuader– Nous avons tout le temps. Ne m’oblige pas à te le répéter.Elle posa les pommes de terre sur la table et alla chercher le carnet d’adresses. Quand elle est rentrée chez elle, elle s’était douchée et avait enfilé une de ses chemises de nuit d’été, blanche, courte et avec une culotte en dessous, rien d’autre. Il entra dans la pièce avec l’agenda en main et avec un bon visage. Il lui tendit la main pour qu’elle la lui donne. Elle le lui tendit et se plaça devant lui.– Quel jour est-il? Nous sommes le 23 septembre… et notre accord a commencé le premier jour, n’est-ce pas ?– Oui – dit-elle doucement.– Bon, commençons par le commencement…Il a commencé à feuilleter l’agenda jour après jour. Les dix premiers jours ne manquent pas. Le 11, il vit qu’il s’était couché à une heure.– Et ceci? – Je demande– C’est que je regardais une série que j’avais sauvée et j’étais accro jusqu’à la fin… – Ses yeux regardaient le sol pendant qu’il parlait.– Tu as sauvé la série, non ? N’était-ce pas en direct ?– King l’avait sauvé, mais c’était très intéressant…– Ouais, ouais… je vois. Continuons.Les jours suivants plutôt bien, jusqu’au 16 septembre. Ce jour-là, elle était restée endormie jusqu’à 4 heures sur le canapé.– Et ce bébé ? – Il a demandé en regardant son visage– Je n’ai pas réalisé le roi, vraiment… J’ai commencé à regarder la télé et j’ai fermé les yeux.– Pourquoi j’ai mis la télé dans ta chambre ? Dis-moi?– Ya roi…- elle était déjà rouge comme une tomate.– Vous êtes vraiment irresponsable. Tu ne te rends pas compte que tu as besoin de dormir ?– Ce n’était que ce jour là roi… Vraiment.– Non, pas seulement ce jour-là. Pour autant que je sache, mercredi tu t’es couché à onze heures puni pour la même chose. Ou n’est-ce pas?Elle est restée silencieuse.Il acheva de parcourir l’ordre du jour. C’était pas mal du tout. En trois semaines, elle n’avait dormi que deux jours sur le canapé et le jour où elle s’était couchée avec une heure de retard, mais elle voulait mettre fin à ces nuits idiotes qui lui étaient si défavorables.Il a laissé l’ordre du jour ouvert pour la dernière infraction. Là, c’était écrit ce qu’il avait demandé. Comment son comportement avait été envers lui ce jour-là. Il retourna l’ordre du jour pour qu’elle le voie. Son visage ne pouvait pas devenir plus rouge.– Bébé regarde-moi.Elle le regarda timidement.– Voyons ce qu’il dit ici. Je vais le lire à haute voix pour que vous puissiez voir comment vous vous comportez lorsque vous vous reposez mal.– “Aujourd’hui, je n’ai pas bien dormi, la nuit dernière j’ai ignoré Santi et je me suis réveillé dans le salon à 03h30 avec tout allumé et fait une figue sur le canapé. Je n’ai pas pu dormir comme j’aurais dû et j’ai été fatale toute la journée, avec un mal de tête et une somnolence. Cela ajouté à la garde m’a mis d’un caractère très stupide, j’ai été un avantage et un impertinent avec lui bien qu’il ne le méritait pas et à la fin j’ai dû tout avouer et lui demander pardon “Au fur et à mesure qu’il lisait, elle devenait minuscule. Elle avait très honte et en même temps elle remarqua une humidité dans sa culotte qui la dérangeait.– Quelque chose à dire bébé ?– Je suis bien désolé de t’avoir désobéi et de m’être mis en colère contre toi roi…– Bien. Toi et moi avons passé un accord, et tu sais que ça ne sera pas sans conséquences, n’est-ce pas ?– Oui…– Et comment résolvons-nous, toi et moi, ces brèches quand nous avons passé un accord ?– Roi s’il vous plait…Lui, qui la tenait presque debout entre ses jambes, porta ses mains à la ceinture de sa culotte et les abaissa jusqu’à ses genoux.– Alors mieux bébé ? Répondre à la question.– Vous me punissez …- sa voix était un fil.– C’est vrai, je te punis. Je te mets à genoux et je te mets le cul comme une tomate pour mauvaise conduite, comme si tu étais une petite fille. Est-ce le cas ou pas ?– Oui… – c’était rouge comme une tomate et de plus en plus humide– Lève ta chemise de nuit.Elle obéit lentement. Elle le porta à sa taille, découvrant son sexe nu.– Qu’est-ce que je vois bébé ? Êtes-vous déjà mouillé et venons-nous de commencer? – Puis il a mis un doigt entre ses lèvres. Elle ferma les yeux quand elle le sentit et écarta un peu les jambes inconsciemment, lui donnant un plus grand accès. Il ajouta un deuxième doigt et les fit courir plusieurs fois entre son sexe lui faisant cambrer le dos… Je ne m’attendais pas à ce début.– Pensez-vous que maintenant est le prix? – Il a demandé sans s’arrêter de bouger ses doigts.“Non…” sa voix semblait excitée.– Ne pense même pas à jouir ou la punition sera pire…- mais il a augmenté la cadence de ses mouvements de main. Elle était sur le point de venir, elle ne pouvait pas s’en empêcher.– Pour roi ou pas je réponds… s’il vous plait– Eh bien, va avec la dame. Nous commencerons mal si tu es comme ça si tôt.- Maintenant elle a sorti ses doigts et les a montrés trempés.- Tu vas aller dans le coin avec ta chemise de nuit pour pouvoir réfléchir à ton comportement pendant un moment. un petit moment.Elle obéit et s’éloigna avec sa culotte sur les genoux. Elle sentit l’humidité sur son entrejambe et le trouble la submerger.Après une dizaine de minutes dans le coin, il l’appela. Se retournant, elle le vit à nouveau assis sur le canapé. Il avait la pantoufle des punitions sur la table. C’était une pantoufle avec une fine semelle en caoutchouc qu’il n’utilisait que pour la punir. Il avait une relation amour-haine avec elle, d’une part cela le rendait très morbide, mais quand il la sentait sur ses fesses, cela le démangeait au point qu’il finissait par la haïr.Il s’avança vers lui et la tira sur ses genoux. Il n’avait aucune protection, il était directement avec son cul en l’air. Il le caressa un moment, calmement, y prenant plaisir.Après quelques instants de silence, la punition commença. Les cils tombaient en rythme sur ses fesses, d’abord plus doux, et augmentant peu à peu l’intensité. Après quelques minutes sans pause son cul était tout rouge, elle le tint en silence, seulement un petit gémissement.Après cette première séquence, il s’arrêta et la remit sur ses pieds devant lui.– Je veux que tu te retournes et que tu me montres ce cul rouge.Elle venait d’être totalement exposée sur ses genoux, mais devoir le faire debout la rendait encore plus modeste. Elle se retourna lentement, sa chemise de nuit relevée.– Si c’est rouge, oui. – Il l’a dit à voix haute, s’amusant, pendant qu’il passait sa main sur ses fesses.– Dis-moi bébé, pourquoi je te punis ?– Pour ne pas me coucher à mon heure.– C’est-à-dire pour être désobéissant et ne pas se reposer comme vous en avez besoin. Comment vas-tu quand tu ne dors pas bien ?– Capricieux et impertinent – pouvait à peine être entendu dans la pièce– Ça, et qu’est-ce que je fais avec les filles capricieuses et impertinentes ?– Les sanctions” Et comment je les punis ? ” Il savait qu’il forçait la machine. Il imaginait son visage plus rouge que son cul. Il n’arrête pas de le frotter, il était chaud et rouge.– Avec quelques fessées…– Avec quelques fessées, oui monsieur. Quelques coups de fouet sur le cul avec la culotte baissée. Et dis-moi, penses-tu que la fessée que je t’ai donnée a été une punition suffisante ?-… .. Pas de roi– De quoi avez-vous besoin pour bien apprendre votre leçon ?– La chaussure….– Monte sur mes genoux.Elle obéit rapidement. Il s’est remis à genoux.– Je veux que vous comptiez chacun et que vous me demandiez le suivant, êtes-vous prêt ?– Oui Roi…Et c’est alors que le nouveau lot avec la chaussure a commencé. Au total 50 cils qui piquaient comme l’enfer. Quand elle eut fini, elle était déjà épuisée et ne bougea pas non plus, attendant qu’il lui donne des instructions.Il se consacra à lui caresser le dos et les jambes, sans toucher ses fesses alors qu’il la grondait d’une manière déjà affectueuse.– Bébé, j’espère que tu as appris ta leçon, je ne veux pas avoir à te chauffer le cul pour ça ou ce sera pire, d’accord princesse ?– Oui roi… je te promets que ça ne se reproduira plus…– Je l’espère, et maintenant je veux que tu te lèves, enlève ton chemise de nuit et garde ta culotte pour le reste de la nuit, d’accord ?Elle obéit sans poser de questions. Elle enleva sa chemise de nuit et remonta sa culotte sous son regard. Je l’aurais vue nue des milliers de fois, mais après une punition, elle est restée très vulnérable et s’est sentie toute petite à ses côtés. Il le savait et accentuait ces sentiments en lui faisant porter une culotte seulement.Le reste de la nuit, elle était très câline, pratiquement au-dessus de lui tout le temps, se laissant dorloter. A onze heures, il la regarda et lui dit d’une voix grave.– Bébé, va au lit, donne-moi ton portable et pas de télé. C’est l’heure de dormir.– Jo king …. allez, c’est samedi– Ne m’oblige pas à te prendre ou ce sera pire. Allez, donne-moi le portable auquel je n’ai pas confiance. Quand je pars dans un moment je veux te voir dormir ou faire attention aux conséquences…– Rey va… Ne sois pas comme ça ! – Elle commençait à se fâcher. Il ne pensait pas que la peine serait prolongée.Sans y réfléchir à deux fois il se leva, la prit par l’oreille et la tira sans la blesser la conduisit jusqu’à la chambre.— Du thé je viens de me faire rougir le cul et même pas avec ceux-là… Enlève ta culotte.Elle lui obéit instantanément. Il avait l’air vraiment sérieux.– Mets-en quatre sur le lit avec ton cul haut.– Roi s’il te plait… je vais me coucher– Maintenant non? Quand tu vois les oreilles du loup… Tu vas dormir, oui, mais au chaud. Cul, allez.Il s’est positionné comme on lui a dit. Il avait pris la chaussure avant de se lever, sans y réfléchir à deux fois il lui en donna une quinzaine dans le cul très fort. Quand il a fini, ses fesses étaient très rouges. Dans cette position, elle était également bien exposée.Il lui caressa les fesses, elle tressaillit à la vue de sa main. Ils étaient vraiment chauds. Il continua de la toucher pendant un moment, de ses fesses à ses cuisses, de là à leur face interne, et presque involontairement jusqu’à son sexe. Gonflé et humide. C’était une flaque d’eau. Elle se cambra en le sentant.Sans plus tarder, il a déboutonné son pantalon, a baissé son boxer et a enfoncé sa bite dure dans son sexe. Il l’a baisée dans cette position, avec son cul rouge jusqu’à ce qu’ils atteignent tous les deux l’orgasme…Après cela, vous vous êtes couché tous les deux, cette fois sans plaintes, sans reproches…20 septembre 2021 à 20:35 #70331salamboflaubert75Participant
Très agréable, cuisant et torride ce récit!
Comme on dit aux grands maux les grands remèdes et il faut parfois se laisser “aider” et “corriger”…😉
Sal
22 septembre 2021 à 17:04 #70386lunapowerParticipant
Très sympa 🙂
https://lesaventurescuisantesdecamille.blogspot.com/
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