La porte….

Accueil Forums Discussions générales Récits La porte….

7 sujets de 1 à 7 (sur un total de 7)
  • Auteur
    Messages
  • #85589
    anatole
    Participant


    Vlam…

    D’un coup de talon il venait de claquer la porte….C’est que que son cerveau enregistra et transmis à sa conscience….claquer….oui la porte ….mais possiblement bien autre chose….ce qu’elle désirait bien sûr puisqu’elle était là….mais non…pas la porte….

    Elle ferma les yeux, et respira profondément quelques instants. Et puis merde…Après tout, quelques soient les conséquences, elle décida de l’affronter !

    « -Non s’il te plaît, laisse la porte ouverte….la porte…s’il te plaît…. ».

    L’affronter, oui, bien sûr, du genre se refuser à lui quand….mais là….elle sentit qu’elle avait peut être un peu présumé de sa force de persuasion. Elle avança de quelques pas vers lui. Et pour la première fois, elle eut vraiment un peu peur….mais c’était le jeu bien sûr.

    La longue lanière de cuir qui terminait le fouet qu’il avait en main claqua fortement, deux fois….une fois au sol, puis la seconde fois derrière lui, contre la porte….. !!!

    Elle le connaissait si bien….et savait au fond d’elle même que ce n’était qu’un jeu destiné à lui faire peur et monter l’adrénaline….Elle aurait pu lui piquer sa réplique, sachant ce qu’il allait dire….mais peut être ce qu’il allait faire !

    « -Recule, et déshabilles toi…..je te te veux à poil…totalement nue….dans…20 secondes….et je compte avec …ça…! ».

    Le claquement du fouet au sol lui glaça le sang….enfin…son sang à elle car celui de l’homme commençait déjà à bouillir….Elle savait et adorait….quand il jouait à lui faire peur….

    Au troisième claquement du fouet, elle n’avait que reculé de trois pas, mais était encore vêtue de….spontanément elle compta dans sa tête….encore 17…secondes…pour enlever….corsage, chaussures, soutien gorge, culotte….je laisse mon porte jaretelles et mes bas ? Ah oui …ma jupe aussi forcément….Deux coups de fouet supplémentaires avaient retentis sur le sol bétonné, alors qu’il continuait d’avancer vers elle….Bientôt elle serait plaquée contre le mur du fond de la pièce et elle ressentait presque déjà ces mains….oui ces mains là…les siennes….qui n’hésiteraient pas comme il en avait l’habitude à déchirer les quelques morceaux de tissu qui recouvriraient encore son corps….avant de la punir pour….Elle venait d’ôter ses escarpins et offrait ses seins juste masqués par son soutien gorge en dentelle, se pliant en deux pour faire glisser sa jupette le long de ses jambes…elle avait perdu le compte….encore 12….10…secondes….son cerveau était embrumé par le son du fouet….non…jamais il n’avait utilisé un te instrument sur….sur ? Contre ? Son corps….ça elle en était persuadée…c’était juste pour lui faire peur…..Et puis…le bruit infernal cessa son décompte. Elle tentait de dégrafer l’attache de son soutien gorge….Il allait dans un instant voir ses seins exploser devant ses yeux et en général ça calmait l’éventuelle fureur de punition qu’il avait en lui…enfin elle le savait bien….ça le calmait au moins quelques minutes le temps que sa bouche ses mains ses lèvres les honorent comme ils les méritaient….Elle leva les yeux…les claquements du fouet s’étaient éteints….Il avait fait demi tour et était juste devant la porte…..

    Clic-clac…..Oh non….Il venait de fermer à clé …

    « -Non…..s’il te plait…..non….pas ça…..laisse la porte ouv…. ».

    Le temps qu’elle égrène ces quelques syllabes, difficilement car c’était bien sa hantise….tellement de souvenirs d’enfance arrivaient d’un seul coup dans son cerveau….il était contre elle, écrasant son corps contre le mur du fond….Son soutien gorge à moitié défait fut arraché violemment et enfourné dans sa bouche….Elle écarquilla les yeux avant de les fermer quand une main puissance déchira sa petite culotte…..

    Elle grommela comme elle le pouvait….

    « -Non….pas enfermée à clé..  ».

    Enfin c’est ce qu’elle tenta de dire la bouche obstruée….

    Elle bascula dans…ce dont elle rêvait depuis si longtemps…rêve…cauchemar…. ?

    Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

    #85593
    anatole
    Participant


    Quelques instants…secondes…minutes….années….plus tard….plus tôt….Oui ce souvenir intense et obsédant….Mais pourquoi avait elle raconté ce truc à ce mec….Sa mère si méchante qui la punissait….pour un rien, pour une broutille….enfin elle était enfant et elle l’enfermait à double tour….après l’avoir frappée….fessée….et des années plus tard, elle ressentait encore la chaleur sur ses petites fesses frappées, fessées…et surtout elle entendait encore le bruit….le clic clac….quand sa mère après l’avoir sermonnée et punie, fessée ….elle l’enfermait dans sa chambre ou dans un placard….et ce bruit…le clic clac d’un verrou qu’on referme et qui enferme pour un temps toujours aussi long…que ce soit deux minutes ou trois heures…;qu’elle ait eu 5 ans ou 17….sa mère qui la fessait à la moindre incartade et l’enfermait ensuite….ce bruit et son cul si chaud après la sanction….à 5 ans…elle pleurait de honte et de douleur….à 17 ans elle attendait un peu, laissant se diffuser la chaleur si troublante de son cul martyrisé vers son sexe qu’elle commençait à apprivoiser….C’était sa vie…son passé…ce qui obsédait ses nuits et ses masturbations….
    Mais à cet instant, elle se demanda et regretta….regretta juste quelques secondes…mais tout de même….
    Pourquoi avait elle eu si confiance en lui pour lui raconter quelques jours plus tôt ce souvenir si obsédant ?
    Ils venaient de faire l’amour et elle avait joui comme jamais, dans cette belle chambre d’hôtel….elle avait adoré comme si souvent la manière dont il l’avait punie…doucement, profondément, amoureusement avant de la faire jouir si ….tellement…et encore…et s’alanguir contre le corps nu de cet homme qui savait si bien comprendre ses désirs, la punir mais aussi lui donner tant de plaisir…Et donc elle ne pouvait un jour ou l’autre que répondre à cette question itérative…Pourquoi ? Et donc, elle lui raconta…Comment sa mère, et puis tout ça…les coups, l’angoisse, la responsabilité, le pourquoi de la punition, la violence, la douleur des coups, le plaisir qu’elle finit un jour à ressentir mais….ce bruit….le verrou qui clic clac….
    Trop tard pour revenir en arrière ! Elle lui avait dit, il avait entendu et là il venait d’enclencher le jeu. Et fermer la porte à clè qu’il avait glissée dans la poche de son pantalon.
    Et il n’eut aucun pitié !
    Lorsque son bras enserra sa taille, l’immobilisant contre son corps, elle cracha la culotte qu’il avait mise dans sa bouche et recommença ses jérémiades….qui se transformèrent très vite en cris de douleur, jouissance, et bien plus…
    Elle était plaquée contre lui qui la maintenait fermement à demi courbée claquant son cul juste à la main….il avait déjà fait bien plus fort et violemment depuis le temps qu’ils se fréquentaient pour ce genre de jeu, mais là la position l’ambiance et tout le reste…progressivement tout en continuant à la fesser dans cette position si humiliante, il les avança jusque devant la porte….Il arrivait à maîtriser ses battements de jambes et elle ne tentait même plus de résister à cette salve de coups qu’elle recevait sur les fesses….
    Arrivés juste devant la porte, il laissa lentement glisser le corps qu’il maintenait dans son bras .
    Elle leva la tête et le regarda, les yeux emplis de larmes et presque de mépris….Et elle lâcha…
    « -T’es dégueulasse… »/
    Il attendit quelques secondes puis lui répondit
    « -Mets toi à genoux et va chercher le fouet que j’ai laissé là bas…et tu me le rapportes … ».

    Pour le moment l’histoire s’arrête là….Mais je vous laisse imaginer la suite…peut être pourrais je l’écrire si « on » me le demande…..

    Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

    #85609
    Victor
    Participant


    Très belle écriture, comme d’habitude. C’est beau cet enchaînement de points de suspension.

    Ce serait chouette que « on » se manifeste.

    Au plaisir

    #85610
    anatole
    Participant


    Merci…attendons qu”on” lise ce récit qu’elle ma inspiré  juste sur une petite phrase….son médecin qui ferme la porte à clé pour l’examiner!!! J’ai quand même des collègues parfois un peu pervers!

    Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

    #85623
    Paulparis
    Participant


    ON vous en prie !! La suite !! Vite !!

    #85656
    anatole
    Participant


    Elle aurait voulu avoir le courage de se rebeller, de dire non, de se relever, le gifler et précipiter sa main dans la poche de son pantalon pour lui arracher la clé de cette fichue porte ! Mais elle ne se connaissait que trop bien….Elle n’aurait jamais eu la force physique face à lui, surtout dans la tenue qu’elle ne portait plus,, puisqu’il ne lui restait que son porte-jarretelles, ses bas et une chaussure,l’autre ayant quitté son pied alors qu’il la traînait tout en la fessant vers cette satanée porte au pied de laquelle il l’avait abandonnée quasi nue. Et puis surtout, elle ne pouvait pas ignorer le trouble qu’une nouvelle fois il venait de déclencher chez elle, se servant du moindre élément de la vie qu’elle voulait bien lui révéler pour imaginer encore et toujours un nouveau jeu, toujours aussi inquiétant qu’excitant. Même si là, elle trouvait vraiment qu’il avait exagéré.

    Le regard de presque haine qu’elle lui avait lancé quelques secondes plus tôt, elle tenta de la transformer en celui d’une biche aux abois. Au fond, ce n’était pas si difficile puisque c’est un peu dans cet état qu’elle se trouvait.

    « -Non, s’il te plaît….je te demande pardon de ce que je viens de dire…..ne m’oblige pas à… ».

    Elle n’eut pas l’occasion de finir sa phrase. Il venait d’un léger coup de pied aux fesses de la reclouer au sol. Puis tirant ses cheveux il l’obligea à se mettre à quatre pattes.

    « -Alors, plus tu attendras, plus je te fouetterais avec cet instrument…..Tu sais que je ne lâche jamais rien quand il s’agit de te punir…..Donc tu vas être une gentille petite vilaine fille et faire ce que je te demande….à quatre pattes, tu vas me chercher ce fouet et tu me le rapportes….entre tes dents en plus ! ».

    Que faire d’autre que de baisser les yeux, se retourner, lui dire « oui Maître », et commencer à avancer dans la position qu’il souhaite….Et ne pas trop penser à ce qu’il va avoir sous les yeux pendant quelques instants. Cette jolie femme quasi nue qui avance lentement à quatre pattes et dont les mouvements du bassin et de ses hanches vont lui montrer son sexe…hum elle le sent bien hélas…;son sexe qui va être de plus en plus luisant étant donnée la chaleur qu’elle sent monter entre ses cuisses et dans son ventre….Elle refuse d’imaginer mais ne peut s’en empêcher ! Elle sait comme elle peut être attirante dans cette tenue, nue à part des bas et ce qui les soutient. Combien de fois lui, mais d’autres auparavant l’ont filmée ou photographiée ainsi, et lui ont montré ensuite. Même elle se sent excitée à chaque visionnage. Elle pense à ça, avançant doucement, mais commençant aussi à penser à la brûlure de la longue lanière de cuir qui va lui strier le cul bientôt.

    « -Tu peux accélérer où tu veux que je vienne le chercher moi même ? ».

    Elle n’ose imaginer ce que cette possibilité lui fait risquer…. !!!

    « -Désolé, Maître, je me dépêche…

    -Tu sais bien que j’ai horreur que tu m’appelles comme ça…..fais gaffe à ton cul….il est si beau vu d’ici, ça me désolerait de devoir le démolir dans deux minutes! ».

    Un long frisson glacé parcourut son dos et ses reins, alors qu’elle accéléra enfin son avancée de petite chienne….Hum pas facile d’attraper entre ses dents le lourd manche du fouet qui gisait au sol. Et cela lui laissait le temps d’écarquiller les yeux et de mesurer la longueur et le diamètre de la lanière. Elle prit une grand inspiration et ouvrit la bouche mordant à pleine dent le cuir, attrapant enfin l’instrument de sa punition à venir, en fermant les yeux. Elle eut vraiment très peur, réussissant à faire demi tour…Au moins il n’aurait plus que ses seins en vision première et non son cul qu’il avait tellement envie de frapper, mais….Rouvrant les yeux, traînant le fouet derrière elle, elle se trouva nez à nez….enfin nez à nez si on peut dire….nez à…..Elle était tellement dans ses obsessions, délires, fantasmes, paniques, envies…qu’elle avait perdu quelques secondes le sens de l’audition. Donc nez non pas à nez mais nez à….ce qu’il faut bien appeler bite…et quel joli chibre….tendu …prêt à être…englobé dans entre ses lèvres…..Hum….un peu de jugeotte et d’habitude de ses jeux pervers !! Le prendre dans sa bouche et le sucer comme elle en avait d’un seul coup une furieuse envie ? Cela voulait dire lâcher le fouet….Et donc, elle le savait bien, être fouettée encore plus fort et plus longuement !

    Il fallait qu’elle le brave. Plantée devant ce sexe tendu qui s’offrait à ses yeux, sans lâcher l’objet punitif, elle se releva et osa. Attraper sa bite tendue et s’en servir pour se redresser…..soit ça passe, et il l’encourage….soit ça casse, et il la démolit à coups de fouet !

    Quelques instants plus tard, la situation avait évolué. Elle était affalée dans le fauteuil du centre de la pièce. A sa demande, elle avait écarté ses cuisses au maximum, et se caressait, avec ordre de ne jamais fermer les yeux et de ne pas le quitter du regard…Dur challenge….mais moins douloureux que ce à quoi elle s’était attendu avant….mais, elle le savait, la moindre micro faute serait torridement terrible, voire l’inverse !

    Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

    #86640
    anatole
    Participant


    Une nouvelle histoire de porte….elle était entrouverte….

    Je lui avais dit « 20 heures précises », et n’oublie aucun détail.

    Je garai ma voiture juste au pied de son immeuble à 19h50, et fumai deux ou trois clopes fenêtre ouverte tout en ingurgitant quelques lampées à même le goulot de la bouteille de scotch que j’avais toujours dans ma voiture (à l’époque, parce qu’aujourd’hui c’est fini, je ne le fais plus…!).

    A 20h 10, je décidai que l’heure était venue.

    Je pris l’ascenseur mais m’arrêtai un étage plus bas et montai le dernier étage à pied, en chaussettes, les chaussures à la main d’un côté, mon sac à malices de l’autre, histoire de ne pas faire de bruit et qu’elle ne sache pas que j’étais là….

    Comme je le lui avais demandé, elle avait répondu positivement à toutes mes prescriptions.

    La porte d’entrée était juste entrebâillée et je pus la pousser d’un léger coup de chaussette et pénétrer dans son petit studio (avant de pénétrer autre chose, mais ne dévoilons pas la fin du récit tout de suite!) . Je fis trois pas et bifurquai sur la droite pour accéder à la seule pièce de ce petit appartement que je ne connaissais si bien. Sans un bruit je posai mon sac et mes pompes dans la cuisine adjacente et profitai quelques secondes du spectacle….Elle avait parfaitement obéi à mes demandes….

    Totalement nue, au centre de la pièce, elle me présentai sa face postérieure. Elle avait noué chacune de ses chevilles avec des cordes attachées l’une au pied de son lit l’autre au pied de sa petite commode. Ses jambes étaient écartées au maximum qu’elle avait pu le faire. Ses bras étaient tendus au dessus de son corps et, comme je lui avais demandé, elle avait réussi à lier ses poignets dans la corde que j’avais installée plusieurs semaines auparavant, passée dans le crochet qui soutenait le petit luminaire. Ca n’avais pas du être facile, mais elle avait réussi à serrer la corde autour de ses poignets dans le nœud coulant que je lui avais demandé de faire, le plus serré possible….Un jour il faudra que je vous raconte l’histoire de cette corde, mais c’est un autre sujet…Dans cette position, elle n’avait plus aucun moyen de se défaire de ces trois liens et était donc totalement immobilisée….Ah oui, j’oubliai…Je lui avais dit de se bander les yeux avec un petit foulard juste avant de tirer sur le nœud coulant….Je l’imaginai une seconde, les chevilles entravées, se tendre un foulard sur les yeux pour voiler son regard, avant d’avoir repéré l’arrondi de la corde dans lequel elle allait passer ses mains avant de tirer et serrer le nœud….le frisson qu’elle dut ressentir à ce moment…un des multiples moments que je n’avais vécu que dans ma tête en imaginant qu’elle allait le faire…en rêvant des frissons qui allaient parcourir son corps à ce moment..et de tous les autres à venir en attendant que je vienne la rejoindre !

    C’était du sadisme pur….de ma part….Je lui avais dit…20 h pile….Il était 20 h15 quand je commençai à la regarder…sans un bruit….J’avançai lentement toujours sans bruit….observant les petits tressautements de ses cuisses et de ses pieds nus sur le sol…..Les cordes qui enserraient ses chevilles et sur lesquelles elle tirait …Quelles idées folles, rageuses voire angoissantes avaient traversé son cerveau depuis un bon quart d’heure qu’elle s’était ainsi attachée nue, livrée à n’importe qui qui aurait poussé la porte de son appartement, que je lui avais demandé de laisser juste entrebâillée…C’était l’enjeu de cette session…. !

    J’avançais vers elle le plus silencieusement possible. Son cou s’inclinait par instant, peut être pour que ses oreilles soient le plus à l’écoute. Ses mains se tordaient par secousses dans le lien qu’elle devait sûrement regretter de l’avoir un peu trop serré. Ses jambes essayaient par instant de secouer les cordes qui les entravaient….Quel super spectacle elle m’offrait ! J’en étais tellement respectueux que pendant une seconde j’aurais été prêt à avancer à la délier et à lui faire juste un câlin d’amour ! Mais bon , heureusement il y a des moments où il faut se ressaisir ! Mon sexe était déjà tellement en émoi….Le jeu prévu était ce qu’il était, et je me devais, sans trop me forcer je l’avoue, d’aller au bout du bout.

    Je la regardai longuement…enfin bon soyons honnête et n’exagérons pas mon sadisme….quelques secondes…son corps si nu, si fin, si beau, si svelte…que je connaissais si bien….Orné de quelques traces discrètement rougeoyantes….La petite lampe qu’elle avait allumée sur la table basse au centre de la pièce inondait tellement joliment la fine sueur qui commençait à recouvrir sa peau. Juste un dernier regard vers son lit…sur lequel elle avait déposé à ma demande un martinet et surtout le grand fouet blanc en cuir qu’elle avait acheté il y a quelques semaines…Nous l’avions … « essayé » à sa demande la semaine dernière…Une seconde, me revint en tête sa position, nue affalée au sol , le corps zébré de toute part…après une fessée quasi dantesque, et en train de boire un coup de champ, totalement nue dans un fauteuil face à moi, elle avait…presque timidement sorti de son sac cet objet dont elle venait de faire l’achat….Moi je pensais que la soirée avait été déjà assez hard….son regard me fit comprendre qu’il fallait que…que quoi, merde..elle l’avait acheté et mis dans son sac et que quoi…merde le champagne était excellent…frappé….si l’on peut dire sur ce genre de soirée…à souhait mais que bon….tout ce qu’on peut lire parfois en une seconde dans un regard….Je me fis…violence….si on peut dire….et donc un quart d’heure plus tard elle me supplia, en larmes  enfin d’arrêter de la fouetter….moi je n’avais fait que ce qu’on me demandait….je suis quelqu’un de serviable en fait….Juste une petite dizaine de coups de fouet supplémentaires et j’accédais enfin à sa demande suppliante. Avant de la consoler. Parfois il ne faut pas me pousser dans mes retranchements qui peuvent devenir excessifs! Elle eut droit à un câlin aussi grandiose que la fouettée que je venais de lui administrer, mais je le répète, juste à sa demande….Et ces légères traces rosées sur son corps, le haut de ses épaules, son dos, le bas de ses reins  ses si jolies petites fesses et le haut de ses cuisses étaient le reflet résiduel de cette grande soirée de la semaine précédente..

    Il était temps que j’abrège son supplice….avant d’aborder le suivant. Mes mains se posèrent sur ses seins, agrippant ses mamelons et les faisant tourner entre mes doigts pour les tendre comme j’en avais tellement l’habitude. Son corps se tendit.

    « -C’est toi ? » Comme si elle n’avait pas….enfin….reconnu mes doigts sur sa poitrine….

    Je ne répondis que par une grosse claque sur sa fesse droite….Puis lentement j’allai shooter dans la porte d’entrée…Enfin seuls et sûrs que personne d’autre n’interviendrait….

    Je posai mes lèvres sur son cou et caressai lentement et délicatement ses seins….Enfin elle entendit le son de ma voix et se détendit un peu.

    « -Merci….c’est parfait…..Je suis fier de toi….Et maintenant on s’amuse? Vraiment?

    Son corps se tendit dans les liens et sa tête se posa sur mon épaule

    “-Hum…non….j’ai envie….”

    Je compris ces trois mots …et ma main glissa le long d’une cuisse pour se poser sur les lèvres de son sexe…si tellement déjà détrempé. Un doigts s’enfonça là où….son corps entravé se tordit tant qu’il le pouvait pour se coller au mien pendant que j’explorai doucement son vagin….mais juste assez pour que ce soit presque le moment où elle allait jouir…je la connaissais si bien, et elle aussi …me connaissait si bien….je m’écartai vivement de cette proie si facile attrapant sur le lit le martinet et cinglai son cul à toute volée une dizaine de fois….

    “-Maintenant, on va jouer….”

    Son râle me fit comprendre qeu sa réponse si elle l’avait émise aurait été oui…ou non, mais ce n’était que moi qui allait décider!

     

     

     

    Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

7 sujets de 1 à 7 (sur un total de 7)
  • Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.
PHP Code Snippets Powered By : XYZScripts.com