Je proteste vigoureusement contre cet arrêt brutal et l’utilisation de ce mot. «Et mademoiselle regimbe en plus? Nous allons remédier à tant de mauvaises manières».
Je sens une main s’abattre sur mes fesses exposées, puis une autre, et une autre… Si la fessée est progressive au début, elle gagne en intensité. Je suis d’abord incrédule devant ce qui m’arrive, puis j’essaie à nouveau de contester, de lui demander d’arrêter et de me détacher. «Ah mademoiselle, quand allez vous comprendre que ce n’est pas à vous de décider quand une punition est donnée? Si vous avez envie de parler, vous pouvez compter les claques » m’explique-t-il en poursuivant son ouvrage. Rendue silencieuse, je sens ses mains s’abattre avec régularité, ne tombant jamais deux fois au même endroit, et n’épargnant aucune zone, jusqu’au si sensible haut de mes cuisses. Je finis par ne plus pouvoir retenir de petites cris. «Voilà qui est mieux, et vos fesses ont atteint une jolie couleur rouge. Et je vois que çà ne vous déplaît pas tant que çà», constate-il d’une caresse plus intime. «Là aussi, vous allez voir que mes cravates peuvent être utiles autrement.
Il détache mes bras et mes chevilles, me porte jusqu’au lit et attache mes poignets à la tête de lit. Puis il enlève mon bandeau, m’expliquant adorer voir une femme en plein extase. Il me pénètre vigoureusement et m’emmène rapidement dans les étoiles.