La glace, le feu, l’eau et…le martinet

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  • #90494
    anatole
    Participant


    Dans la cheminée, les flammes avaient laissé place à des braises rougeoyantes qui crépitaient encore un peu et diffusaient encore une bonne chaleur. La pluie torrentielle fouettait la grande baie vitrée en cette nuit d’automne, agrémentant de son rythme lancinant les volutes du saxophone de Stan Getz qui nous racontait son Brésil. Cette ambiance sonore avait un côté très romantique et nous étions tous les deux enfermés dans nos pensées, ne désirant pas pendant de longues minutes interrompre ce moment assez magique. Par des mots qui auraient pu être incongrus. Je suis sûr que nos pensées allaient dans la même direction, mais pas forcément dans le même sens ! Enfin elles allaient vers l’objet posé sur la table basse devant la cheminée, entre nos deux flûtes à champagne presque vides. La bouteille reposait, elle, dans le seau à glace, attendant qu’une main secourable vienne la délester de ce qu’elle contenait encore.

    Trois éléments….La glace, la pluie, le feu….

    Ma copine de jeu d’un soir semblait comme moi perdue dans ses pensées. Assise totalement nue dans l’un des deux fauteuils de cuir du salon, sa pose était particulièrement lascive….En fait, une jolie femme totalement nue assise dans un fauteuil de cuir face à une cheminée, je ne crois pas connaître de tableau plus lascif !

    Je la regardai…voire la matai…pas instant, ne me lassant pas d’observer ses jolis seins ronds aux pointes assez tendues, dont la carnation brun rosé contrastait avec la pâleur de sa peau de blonde. Ses seins se soulevaient lentement au rythme de sa respiration et sa tête était un peu penchée en arrière, reposant partiellement sur sa chevelure blonde épandue sur le haut du fauteuil.

    Son ventre plat orné d’un très mignon nombril se terminait pas une petite toison blonde bien entretenue comme je les aime….et ses cuisses longues et fuselées juste entrouvertes…Une envie de laisser passer la chaleur du feu de cheminée vers l’intérieur de ses cuisses ? Me restait ensuite dans ma visite visuelle ses pieds fins et mignons…du 36 …37 peut être ? Mais surtout ce rouge à ongle bien foncé qui relevait la blancheur de sa peau.

    Je l’observais donc en silence, planté moi aussi dans un fauteuil de cuir séparé de moins de deux mètres du sien. J’étais par contre (encore ?) totalement vêtu.

    Il me fallut du courage pour rompre de faux silence….

    « -Tu reveux du champagne ?

    -Non…merci….pas tout de suite… »

    Un long soupir s’ensuivit, soulevant encore un peu plus ses seins….j’adorais…. !

    Je poursuivis :

    « -Alors, c’est non ? »

    Elle savait bien que je répondais pas à son refus de champagne…..

    Elle ne répondit pas….

    « -Va le chercher….et dis moi…. ! »

    Elle me fit mijoter de longues secondes avant de se lever avec la souplesse de la la jolie chatte qu’elle était, se penchant un peu pour attraper l’objet, me permettant de voir de nouveau ses fesses si joliment arrondies et encore un peu rouges…. !

    Elle retourna se poser dans le fauteuil, tenant délicatement le martinet London Tanner qui devait être le clou de la soirée….Un lourd martinet de cuir marron, au manche long et gainé du même métal que la dizaine de lanières qui le terminaient.

    « -Hum….pourtant quand je te l’ai décris tu étais d’accord….

    -Oui…Mais…il me fait très peur….. ».

    Je la laissais dans sa contemplation de l’objet pendant quelques secondes.

    « -Mais tu sais que tu dois m’obéir….d’ailleurs tout à l’heure quand je t’ai demandé….. ».

    Je revis dans ma tête le génial strip-tease qu’elle avait effectué à ma demande quelques moments plus tôt devant les flammes de la cheminée, se dévêtant au fur et à mesure de tous les vêtements qui recouvraient sa peau, obéissant à mes directives dans l’ordre dans lequel je voulais qu’elle se déshabille et dans les poses que je lui demandai de prendre, photographiant avidement chacun de ces instants si érotiques….

    Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

    #90499
    Efficace
    Participant


    Anatole est tout sauf frivole, quelle montée dans l’érotisme avec cette description de moments si intenses, prélude d’autres à venir si prometteurs. Un plaisir de vous lire cher Anatole…

    #90523
    anatole
    Participant


    J’avais croisé cette si jolie femme de 27 ans une dizaine de jours plus tôt.

    Je ne peux que remercier chaudement l’IA de la philharmonie de Paris de m’avoir par hasard octroyé cette personne comme voisine de concert lorsque j’avais réservé ma place sur internet.

    Juste après la pause de l’entracte et avant le début de la seconde partie du concert, elle m’avait demandé ce que je pensais de la dernière œuvre inscrite au programme qu’elle n’avait jamais entendue. Je lui dis en trois mots que la Sinfonietta de Janaceck était une musique sublime, et très sensuelle et qu’elle ne serait sûrement pas déçue…

    Comme elle apprécia beaucoup cette musique, elle accepta sans rechigner le moins du monde d’aller boire un verre avec moi à la sortie du concert. Après deux bonnes doses de coktail bien alcoolisé chacun, il se trouve que deux heures plus tard, j’allais découvrir chez elle un autre penchant que son goût pour les belles musiques.

    Nous étions chez elle sur son lit, et mon sexe allait perforer le sien pour la chevauchée finale (Pas celle des Walkyries, mais presque!) dans la position classique de la levrette. Elle avait facilement accepté que je la raccompagne jusqu’à chez elle après le troquet du soir, et m’avait offert de visiter son petit appartement, un verre de scotch supplémentaire, puis la porte de sa chambre et enfin son corps si délicieux ! Sûrement que le charme de ma conversation avait opéré, ou peut être les 30 ans de plus qu’elle, ou juste l’envie de baiser !

    Donc dans ce moment crucial, celui où les désirs les plus intimes et cachés du corps font taire les réserves de l’esprit, un tout petit moment avant que l’extase n’explose, dans cette position sexuelle idéale, elle tendit un de ses bras en arrière et commença à se donner quelques claques de plus en plus appuyées sur une fesse alors que je la transperçais joyeusement. Je doute qu’elle ait pu imaginer auparavant à quel point ce genre de pratique faisait partie de ma vie intime…Je ne laissai pas en reste son autre fesse et quelques instants plus tard affalés et à bout de souffle tous les deux après avoir pris un pied grandeur XXL nous partageâmes aussi un grand éclat de rire…de connivence et de possible prélude à d’autres jeux ultérieurs…

    Nos échanges intermédiaires entre cette folle première nuit et celle dont je racontai le début un peu plus haut se firent par mail et téléphone, affinant nos désirs et envies pour cette seconde rencontre.

    C’est ainsi que j’en sus un peu plus sur ces désirs de fessée, difficilement partagés avec ses partenaires habituels, un peu trop frileux, son envie éventuelle un jour d’essayer le martinet dont elle rêvait souvent sans l’avoir encore jamais pratiqué, et ma possibilité de lui offrir cette expérience puisque j’avais fait récemment l’achat d’un matériel de ce genre sur le site de London Tanner. Elle ne connaissait pas ce fournisseur, mais avait regardé leur joli catalogue sur le net…

    Mais, il y a un grand pas à franchir, entre la photo du catalogue et l’objet qu’elle avait donc enfin entre les mains….

    Lorsque le taxi la déposa devant chez moi, la voyant telle un petit chaperon emmitouflé dans son imper dégoulinant de pluie, même si j’avais une envie folle depuis trois jours d’étrenner mon nouveau joujou sur ses cuisses et ses fesses, j’aurais été prêt à la dévêtir en 3 secondes et la balancer son mon lit dans la pièce voisine pour jouer au grand méchant loup !

    Je refrénai difficilement cette envie quasi bestiale, l’aidai gentiment à ôter cet imper trempé et l’entraînai vers le salon dans lequel la cheminée jouait son rôle romantique, lui offrant un serviette de toilette pour s’essuyer le visage dégoulinant malgré sa capuche….

    Les premiers verres échangés, et les banalités d’usage concernant le climat, je lui rappelai alors la première clause de notre programme mis à jour par internet….La cheminée brûlante joua surtout son rôle thermique, lui permettant de se dévêtir petit à petit dans ce strip tease que j’avais demandé.

    Ja la priai donc de se lever et d’avancer vers la cheminée, baissant l’intensité lumineuse du lampadaire, et pus jouir de ce spectacle dans de belles teintes tamisées, entre la faible lueur de la lampe et les flammes intermittentes du feu de bois.

    Me regardant droit dans les yeux, elle dégrafa progressivement tous les boutons de son chemisier de satin blanc, tournant sur elle même lorsque son soutien gorge pourrait se trouver face à mon regard, puis revenant de face lorsqu’elle se débarrassa de ce premier vêtement, le jetant nonchalamment sur le tapis, offrant à mes yeux sa si belle poitrine encore masquée par la dentelle de son sous vêtement.

    Elle avança d’un pas et but une gorgée de champagne, se penchant bien avant pour que je puisse immortaliser sur mon appareil photo la rondeur naissante de ses seins. Je l’avais prévenue de ce reportage photo obligatoire et avait accepté sous réserve bien sûr que ce resterait purement personnel, entre elle et moi…Elle avait déjà eu l’occasion de se laisser photographier par quelques uns de ses amants….et avait un book dont elle m’avait déjà gentiment envoyé quelques exemples par mail…A moi de faire mieux…plus joli…plus érotique…plus excitant…

    Avec un tel modèle, c’était assez aisé.

    Se présentant de nouveau de dos, elle fit glisser lentement la fermeture éclair de l’arrière de sa jupe…se tortillant du croupion volontairement un peu plus qu’il n’aurait fallu pour la faire descendre le long de ses cuisses. J’aimai ce jeu de balancement de cul mais…..

    « -Aïe…première faute de goût….Tu ne le savais peut être pas mais tu aurais dû le deviner….Je déteste les femmes qui portent des collants… ! ».

    Elle interrompit la descente de sa jupe et se tourna vers moi, me présentant ses seins arrogants encore masqués, et dis avec une petite moue d’excuse :

    « -Oui, mais tu as vu le temps qu’il fait dehors ? ».

    En réponse à son excuse, une violente rafale de vent plaqua une giclée de pluie sur les vitres de la fenêtre.

    « -J’entends bien….Malgré tout….même si je n’en ai nul besoin, voilà bien un motif de te punir….Mais bon passons….Continue…. ! »

    Un peu vexée, elle haussa les épaules et jeta sa jupe sur le tapis d’un coup de pied un peu rageur !

    Je photographiai cette voltige de tissu .

    « -Dis donc…on avait parlé d’un strip sensuel….Tu aggraves ton cas….

    -Désolée…je vais me reprendre… »

    En effet, la suite fut totalement érotique….à commencer par la descente du collant le long de ses jambes qu’elle accompagna comme une sorte de hors d’oeuvre de quelques claques douces sur ses fesses encore masquées par sa petite culotte.

    Une fois le collant aux chevilles, elle posa son cul sur la table basse pour ôter ses escarpins lentement , et finir de dévoiler ses chevilles et ses pieds.

    C’est à ce moment qu elle remarqua le martinet que j’avais quelque peu caché sur la table basse entre deux piles de revues.

    Elle marqua un petit temps d’arrêt, puis se leva et se défit de ses deux sous-vêtements, soutien gorge et petite culotte en s’avançant lentement vers moi jusqu’à se tenir contre mes genoux .

    Encore quelques clichés, en particulier sur ses seins dans les mamelons pointaient nettement, puis je posai l’appareil photo au sol et la remerciai du spectacle….

    « -Bien….Puisque tu es contre mes genoux, tu vas t’y installer pour recevoir la punition méritée….

    « -Oui, Monsieur…. ! »

    Pour la première fois elle m’appela ainsi….et s’exécuta lentement.

    Malgré la présence de mon pantalon je sentis la chaleur de son ventre et de ses cuisses. Mes mains se posèrent sur ses mollets et remontèrent lentement, la faisant un peu frissonner….

    Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

    #90543
    anatole
    Participant


    Sa peau était tellement douce que c’était un vrai plaisir de la caresser lentement, avant de la martyriser bien sûr ! Les quelques petites claques qu’elle s’était administrées quelques minutes plus tôt n’avait pas laissé de traces et la rondeur de ses fesses apprécia la douceur de la paume de mes mains, ses reins se cambrant en guise de satisfaction. Je remontai un peu au creux de ses reins et continuai longuement ce massage prélude. L’envie me prit d’abandonner à moitié cette région et de tendre un de mes bras sur le côté, à la recherche d’un sein que je saisis, toujours aussi délicatement que possible, trouvant vite entre mon pouce et mon index un mamelon qui répondit très vite à ce geste. Son souffle s’accéléra brusquement et elle se redressa  partiellement, mais mon autre bras la plaqua de nouveau bien contre mes cuisses pour commencer non plus à caresser, mais masser calmement la fesse qui se proposait sous mes doigts. La chair était ferme et élastique et un doigt coquin trouva le chemin sur le sillon qui séparait son cul en deux portions parfaitement égales, glissant lentement dans ce passage étroit jusqu’à trouver un petit orifice que je massai doucement.

    De nouveau elle tenta de se redresser mais cette fois ce sont mon pouce et mon index qui enserraient son mamelon qui lui intimèrent l’ordre de se tenir tranquille, alors qu’une minime plainte venait de s’échapper de ses lèvres.

    « -Tiens toi tranquille, et dis moi….Tu sais ce qui t’attend maintenant ? »

    Dans un souffle, elle répondit :

    « -Oui…oui….s’il vous plaît ».

    Elle me vouvoyait également pour la première fois.

    « -Tu vas être fessée c’est ça ?

    -Ouiiii…

    -Parce que ?

    -…Parce que …je le mérite….

    -OK…Mais pas seulement….

    -Non Monsieur pas seulement….aussi parce que…ohhhh…. ! »

    Mon index venait de se frayer un passage dans son petit trou….

    « -Parce que quoi ?

    -Parce que…Nooonnn…Enlevez votre doigt s’il vous plaît….ohhhhhh !! »

    Une invite à ce que je l’enfonce nettement plus bien sûr…..

     

    « -Parce que j’aime ça….hummmm….Et votre doigt….aussi….et que….Noonnnn pas plus loin s’il vous plaît…vous allez me faire jouir….

    -Tu as raison….il est bien trop tôt pour ça…. ».

    J’ôtai prestement mon doigt et abattis une première claque sur la fesse….

    « -Aïe….Parce que j’en ai besoin….

    -Voilà….Donc maintenant je vais te fesser et te corriger comme tu le mérites et mettre mes doigts où je veux et quand je veux….

    -Ouiiii…oui…Monsieur….faites comme il vous plaira….mais pas trop fort les….Ayeuuuu…. ».

    La seconde claque fut plus forte alors que je crispai mes doigts sur son mamelon, le tordant juste ce qu’il faut pour lui faire un peu mal….

    La fessée prit son envol tout comme les plaintes et « fausses jérémiades » de la si jolie femme nue que j’avais en travers de mes cuisses.

    Etait-ce par jeu ou par douleur parfois un peu plus forte, elle pliai se jambes par instant, se voyant recevoir une claque un peu plus forte en même temps qu’une remontrance, l’enjoignant de se laisser faire et de rester tranquille, lui rappelant à chaque occasion qu’elle savait avoir besoin de ce traitement et que, qu’elle le veuille ou non, elle y prenait peut être encore plus de plaisir que moi.

    Contrairement peut être à ce qu’elle escomptait pendant cette fessée, mes doigts évitaient soigneusement de s’insinuer dans des endroits que je devinais de plus en plus humides….Il faut dire que les mouvements de son bassin et de ses cuisses me laissaient régulièrement voir une large partie de son sexe, et ayant remonter nettement l’intensité lumineuse du lampadaire, une nette luisance y était perceptible.

    Par contre, de temps en temps, entre chaque salve de claques de plus en plus appuyées et marquantes, je passai ma main gauche sur le côté du fauteuil, caressant doucement le haut de ses seins , les griffant parfois légèrement, histoire de varier un peu ses sensations.

    Je revenais ensuite vers ses cheveux blonds que je tirais doucement en arrière, lui demandant si je devais continuer ou pas….

    Jusqu’à cet instant, elle ne répondit pas…Ni oui, ni non…se contentant juste parfois d’un regard rageur quand je venais de frapper un peu plus fort, parfois de fermer les yeux, comme une poupée que l’on caresse.

    Je marquai une pause dans cette fessée, histoire de reposer un peu mes mains et de regarder le spectacle. Les flammes dans la cheminée avaient laissé place à des braises rougeoyantes, et le cul que j’avais devant moi juste en baissant les yeux était un peu de la même teinte, tout juste peut être un peu moins chaud ! Je massai vigoureusement les deux fesses de ma pénitente histoire d’imprégner mes mains de cette suave chaleur la laissant poireauter quelques instants avant la salve finale.

    Son souffle s’était ralenti pendant ce massage ferme et ses mains ne griffaient plus le cuir de mon fauteuil.

    « -Tu en veux encore ?

    -Oui…s’il te plaît…vas y…encore un peu…. » .

    Retour au tutoiement….

    « -Vraiment ? Ton cul est déjà bien rouge tu sais…

    -Oui…mais j’ai encore…envie….mais pas trop fort s’il te pl….ouchhhh…. ».

    Pas trop fort ? Non mais elle se fichait de moi là !

    Alors, s’abattit sur son cul une rasade de claques bien sonores, alternées et parfois frappant le haut de ses cuisses.

    Je dus me débattre un peu pour tempérer ses ruades, maîtriser les mouvements convulsifs de ses jambes et refouler par instant ses mains qui tentaient de masquer son cul enfin puni comme il fallait….Lorsqu’il commença à crier vraiment, je ne poursuivis que quelques secondes avant de stopper mes frappes, écartant fortement ses cuisses d’une main ferme et enfouissant sans ménagement deux doigts dans son sexe trempé, lui arrachant un cri autant de surprise que de….enfin je ne sais pas car j’ôtai vite mes doigts…

    Elle se redressa vivement, échappant à mon emprise et glissa à genoux puis s’affala à plat ventre sur le tapis….

    « -Viens vite….Baise moi maintenant…. ! »

    Je me levai et attrapa son bras dont la main était déjà entre ses cuisses, commençant à se caresser…

    « -Stop !!! C’est moi qui décide….le programme n’est pas fini et tu le sais bien….lèves toi ou je te fouette tout de suite et tu sais avec quoi… ! »

    Elle pivota d’un quart de tour et me regarda les yeux un peu interloqués, alors que je maintenais toujours un de ses bras en l’air….

    « -Allez, lèves toi gentiment ».

    Elle obéit lentement et vins coller son corps nu contre moi…Instinctivement, mes mains se posèrent sur son cul bouillant et massèrent délicatement les chairs meurtries.

    « -Oui…mais j’ai envie….s’il te plaît..

    -Non….on verra tout à l’heure….Viens boire un peu de champagne et repose toi… ».

    Je lâchai son corps et remplis les deux flûtes, lui en tendant une et la repoussant tendrement vers le fauteuil dans lequel elle se câla alors que je regagnai le mien…

    Nous restâmes donc ainsi un long moment sans rien dire, comme je l’écrivais au tout début de ce récit.

    Elle mit du temps à se calmer, laissant redescendre la frustration de son sexe…puis donc, eut le martinet entre ses mains, me disant à quel point il lui faisait peur….

    Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

    #90636
    anatole
    Participant


    Pendant un long moment, je l’observai tenter d’apprivoiser cet instrument couleur de renard.

    Dans ma playlist, Stan Getz avait posé son saxo et le piano miroitant de Michel Petrucciani développait des grappes de notes toutes plus sensuelles les unes que les autres, sur son impro de Caravan…Je fermai les yeux un instant ce qui pourrait être conçu comme du gâchis étant donné ce que j’avais réellement face à moi, cette jolie femme nue caressant le manche du martinet qui allait bientôt la punir….mais revoir dans ma tête ce grand musicien estropié se dandinant sur son tabouret devant le clavier et réussissant malgré sa difformité à mimer une danse du ventre tout en jouant Caravan…un grand souvenir….mais revenons à nos moutons….et à notre petite brebis…

    « -Je conçois qu’il te fasse peur….mais un contrat est un contrat…Certes nous n’avons rien signé, mais tu m’as écrit en mail qui tu voulais essayer..alors il va falloir que…

    -Oui, mais….ces…lanières….c’est…

    -Chut…ferme les yeux et écoute la musique…. ».

    Elle ferma les yeux et tout comme moi pendant quelques minutes se laissa bercer par le piano….mais ses doigts si fins n’en finissaient pas de caresser longuement et lentement les lanières de cuir sur toute leur longueur, remontant puis abaissant lentement sa main….on aurait dit…..oui…on aurait dit….J’avais rouvert mes yeux bien avant elle et j’imaginai d’un coup autre chose que ces lanières qu’elle caressait si lascivement….

    Je lui dis donc…

    « -Donc la réponse est non ?

    -Oui, je viens de te le dire…ça me fait trop peur….

    -OK….mais…peut-être tu pourrais me faire….confiance….

    -…..

    -Confiance….tu sais comme dans le livre de la jungle…kaa…. ».

    Au moins, cette référence la fit rire….

    « -Non, mais…je sais pas….

    -Bon allez ça suffit ..lèves toi bois un coup de champagne et donne moi ce martinet, et arrête de l’astiquer comme ça…. On dirait… Juste envie de te violer si tu continues….

    -Tu ferais ça….dégonflé…c’est juste ce que je réclamais il y a cinq minutes !

    -Allez soit raisonnable et fais ce que je te dis…sers toi un peu de champagne et donnes moi ça…promis je te fouette et je te viole après ça te va ? ».

    Après une longue expiration, elle finit par se lever se dirigeant d’abord vers moi pour me rendre mon martinet tout neuf puis souleva la bouteille de champagne du seau et en avala une longue gorgée à même le goulot, reposant la flacon bruyant dedans….Cela me donna une idée. Les glaçons…

    Je me levai et récupérai la serviette de toilette qui m’avait servi à éponger son visage à son arrivée, et la posai sur le canapé qui jouxtait la cheminée, juste à côté de nos fauteuils.

    « -Viens t’allonger là….Oui là…mets toi sur le dos et allonge tes bras au dessus de la tête… ».

    Gentiment, mais un peu hésitante, se demandant certainement ce que je venais d’inventer, elle s’exécuta.

    Je revins vers elle ayant attrapé sur le tapis son collant et commençai à l’entourer autour de ses poignets…Elle se cabra un peu…

    « -Mais tu fais quoi là ? »

    Elle s’était redressée et presque assise sur le canapé…Je la repoussai doucement…

    « -Tout doux ma belle….confiance…confiance…. ».

    Sous ma poussée, elle s’allongea de nouveau et dit :

    « -Oui, mais ça c’était pas prévu dans le programme….Tu ne m’as jamais dit que tu allais m’attacher….m’attacher…. ».

    Le dernier mot fut prononcé dans un souffle….comme un acquiescement…hum…la résolution d’un désir encore jamais vécu ?

    « -Tsss….du calme….c’est vrai que ce n’était pas prévu…mais il faut bien que je m’adapte… ».

    Ce faisant, je serrai juste ce qu’il fallait pour immobiliser ses poignets et ses bras au dessus de la tête, puis me retournai vers le seau à champagne glissant ma main dedans et saisissant quelques glaçons.

    L’eau glacée dégoulina lentement entre mes doigts mais il resta suffisamment de substance solide dans ma main lorsque je commençai à poser la glace sur la peau de son sein. Ses yeux avaient suivis le trajet de ma main et elle exprima un refus juste avant que je me serve du glaçon.

    « -Non mais tu vas faire quoi….ça va être….hummmm….glaaaacééé….

    -C’est un choix….le froid de la glace ou la brûlure du martinet…à toi de choisir…. ! ».

    Alors que je commençai à faire fondre le glaçon sur sa peau, me rapprochant petit à petit de son mamelon qui était déjà fort tendu, son corps se cabrai sous cette sensation imprévue mais mon geste éminemment sensuel, pour ne pas dire sexuel semblait calmer ses tentatives d’esquive. Il me resta suffisamment de glaçon pour attaquer l’autre sein de la même manière. De mes doigts secs, je triturais gentiment le premier mamelon aussi froid que ferme.

    « -Alors…qu’en penses tu ? »

    Elle gémissait depuis quelques secondes sous cette attaque froide et inopinée, mais la réaction de l’ensemble de son corps me paraissait être un acquiescement.

    L’eau froide dégoulinait lentement sur la peau de ses seins atteignant progressivement le haut de son ventre mais se réchauffant progressivement sous la chaleur de sa peau….

    « -Hum….finalement…c’est pas si désagréable…mais…finalement…hummm…ça donne chaud….

    -Tu veux essayer…ailleurs ?

    -Hummmm…. ».

    Mes doigts trituraient ses mamelons enflés et ce corps se tendait sous ces caresses appuyées….

    Je l’abandonnai quelques secondes et revint armé…Ses yeux étaient clos, probablement pour s’enivrer de ces sensations nouvelles, et elle ne vit pas que j’avais un nouveau glaçon dans une main et « le » martinet dans l’autre.

    J’insistai de la voix.

    « -Continue de fermer les yeux et concentre toi sur ton corps… ».

    Oui, elle était en pleine confiance maintenant.

    Ma main pleine de glace glissa doucement sur son ventre, descendant progressivement alors que je déposai doucement les lanières du martinet sur ses seins trempés, oscillant lentement sur la rotondité et se rapprochant des mamelons. Il me vint alors à l’esprit que ce que je savais déjà mais n’avait pas du tout été appréhendé, que les lanières de cuir bien humidifiées….hummm…faisaient bien plus mal que lorsqu’elles étaient sèches…

    Tant pis ….ou tant mieux…je verrai bien dans quelques instants….

    Ma main glacée avait approché au plus près son sexe et d’un seul coup j’enfonçai le restant de la glace déjà bien fondue dans l’orifice tellement chaud ….Elle se cabra d’un coup, relevant son torse et pliant les cuisses sous cette intromission ….

    « -Noooonnnnn….hum…non arrête….. ! ».

    J’appuyai le manche du martinet sur son torse lui intimant l’ordre de se calmer….comme si c’était possible….

    « -Arrêtes de bouger et laisse moi faire…tu préfères quoi ? Le glaçon dans ta chatte ou les lanières sur tes seins…. ? »

    Son corps s’alanguit d’un seul coup, se laissant librement aller à ces sensations.

    Je dirigeais lentement les lanières vers le centre de ses seins entourant les mamelons framboisés et si fermes…

    « -Alors….dis moi…. ».

    Une longue expiration….

    «-Quoi ?

    -Que désires tu ?

    -Je sais pas…je sais plus….fais ce que tu veux…. ».

    Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

    #90637
    Paulparis
    Participant


    Remarquable description ! Merci

    #90705
    anatole
    Participant


    J’aime ces instants rares dans lesquels une jolie femme nue me demande de faire ce que je veux de son corps….

    Ma playlist avait changé de genre, diffusant le Trio op 65  de Dvorak, musique éminemment adaptée, avec une alternance de plages lentes et sensuelles, et d’autres plus violentes avec de grands climax….tout à fait opportuns pour les moments à venir que j’imaginai déjà dans ma tête.

    Notre accointance vis à vis de la musique tchèque qui avait été le prélude à notre rencontre était évidente….

    Une petite pause photographique avant de répondre à sa demande.

    J’échangeai le martinet, dont je laissai les lanières joliment disposées sur ses seins et le manche posé sur son ventre contre mon appareil photo, enregistrant les superbes irisations que les braises de la cheminée dessinaient sur la peau luisante de sa poitrine, ainsi que sur son sexe entrouvert dont s’échappaient quelques gouttes d’eau qui dégoulinaient sur le haut de ses cuisses…Le glaçon avait bien vite fondu dans la fournaise de cette antre framboisée.

    Je repris le martinet en main et frappai le plus doucement possible ses seins en travers puis le haut de son ventre, juste de délicates caresses auxquelles son corps répondit par quelques torsions. Quelques râles s’échappaient de ses lèvres alors qu’elle gardait les yeux fermés…

    « -Tu vois, ça peut être doux….mais on va aller un peu plus loin….si tu le désires…. ».

    Je frappai juste un peu plus fort sur son ventre, au niveau du nombril…laissant pour la première fois une trace un peu rouge sur sa peau…Elle gémit un peu plus fort….

    « -Alors ? Tu te décides ? »
    Elle entrouvrit les yeux et murmura un petit ….ouiiii….

    Je m’emparai du haut de son collant que j’avais noué autour de son poignet et lui demandai de se lever et de me laisser faire, puisque c’était son désir présent.

    Faisant le tour de la table basse, je l’entraînai devant la cheminée et lui dis de  se mettre à genoux…

    « -La chaleur du feu va sécher la peau de tes cuisses et de tes seins…et je vais te fouetter pour échauffer ton cul….Qu’en penses tu ? ».

    Les bras élevés au dessus de sa tête, comme tenus en laisse, elle se laissa glisser  et prit la position demandée. Une fois positionnée, elle tourna son visage vers moi, les yeux emplis de pépites rougeâtres en rapport avec les braises qui grésillaient…Je pris son regard pour un accord tacite !

    J’étirai un peu ses bras en arrière, juste pour attraper la bouteille de champagne et boire une longue gorgée à même le goulot….L’envie de plonger les lanières du martinet dans le seau rempli d’eau glacée traversa mon esprit un instant mais je trouvai ça un peu sauvage pour une première fois…Ou bien alors peut être un peu plus tard, en fonction de ses réactions vis à vis de la fouettée que j’allais lui administrer…

    J’appréciai les reflets du feu de cheminée sur son torse et son ventre et tendis ses bras bien en l’air…ses seins étaient magnifiques ainsi présentés au feu….son corps nu allait enfin subir les lanières du martinet…Elles étaient encore un peu humides.

    Je posai les lanières sur une de ses épaules et les fis lentement glisser jusqu’au bas de son dos, à la lisière de son cul, puis recommençai la même glissade de l’autre côté de son dos. Je tenais ses bras bien tendus en l’air me réjouissant de la vue de ses seins face au feu de bois…l’eau des glaçons avait totalement disparu…sa peau était sèche, ce que je vérifiai, posant ma main sur son sein gauche….

    « -Alors, es tu prête ? ».

    Dans un moment d’effronterie qui venait de naître dans sa tête, elle tourna son visage, levant les yeux vers moi et dit :

    « -Non…on est jamais prête à ça….mais…tu me possèdes, alors vas y…qu’on en finisse….

    -Hummm…tu joues les coquines…et je ne t’ai pas encore possédée…enfin si…l’autre soir mais pas encore aujourd’hui….ne me tentes pas trop…je pourrais devenir méchant ! ».

    Je crispai mes doigts sur le sein que je…possédais, lui arrachant un petit geignement de douleur, mais elle continuait à braver mon regard….

    Je lâchai mon emprise sur son sein et utilisai ma main pour dégrafer la ceinture de mon pantalon, pour pouvoir le baisser ainsi que mon caleçon, libérant mon sexe qui n’en pouvait plus d’être enfermé. Le rouleau dur de chair se présenta face à ses lèvres et je posai ma main sur le haut de sa tête appuyant juste ce qu’il fallait pour que sa bouche soit proche et…prête !

    « -C’est ça que tu veux n’est ce pas ? Alors vas y…je te propose deux possibilités…soit tu suces gentiment et je te fouette, soit tu mords et je te fouette aussi… ».

    Je ne lui laissais pas le temps de répondre, appuyant sur son crâne…ses lèvres s’écartèrent juste ce qu’il faut pour englober le gland puis quelques centimètres de ma verge…Plus besoin de gérer son crâne, elle têta lentement et langoureusement quelques secondes jusqu’à ce que je décide de mettre fin à cette caresse buccale…il était encore trop tôt pour que je me laisse aller.

    J’étirai encore un peu plus ses bras en l’air en tirant sur son collant et lui demandai de baisser les yeux maintenant que je puisse la fouetter comme une pénitente qu’elle était.

    Mon pantalon et mon caleçon au milieu des chevilles, la bite à l’air, je pense que ma pose n’avait rien de très sexy, mais ce n’était pas mon intention d’apparaître comme un sex-symbol…Juste l’envie et l’intention de lui faire tâter du martinet, et j’abattis, gentiment pour la première cinglée les lanières sur le bas de son dos, juste au dessus de son cul, en travers, puis laissai passer quelques secondes, le temps d’apercevoir la trace rouge apparaître sur sa peau et de jouir de la torsion de ses reins et de sa légère plainte…Je réitérai, juste un peu plus fort, au milieu de son dos…Elle se plia un peu plus que précédemment, mais accepta ce second coup sans broncher. Ses lèvres et son menton étaient encore luisants de sa salive qui avait coulé après que j’ai extirpé ma bite de sa bouche et elle passa sa langue dessus. J’en profitai pour frapper son cul en travers, cette fois bien plus fortement, puis encore une fois l’empêchant de se tortiller trop en tirant sur la laisse de son collant. Puis je poursuivis quelques secondes cinglant son cul et ses reins dans tous les sens, couvrant sa peau de jolies boursouflures rouges.

    Elle avait commencé à se plaindre vraiment par quelques petits cris.

    Je tirai fortement sur ses bras.

    « -Lèves toi…je ne vois pas assez les marques sur ton cul…allez debout…. !!! ».

    Elle eut un peu de mal à se redresser alors que je frappai ses cuisses mais fut enfin debout. Le résultat était intéressant mais insuffisant à mon goût.

    Je relâchai le collant qui immobilisait ses bras et passai ma main entre ses cuisses lui intimant l’ordre de les écarter, agrémentant mon discours de quelques coups supplémentaires sur ses hanches, puis enfin obtenu un angle d’ouverture suffisant, je projetai les lanières tout en haut de l’intérieur de ses cuisses, frappant son sexe…Elle cria fortement, pliant les genoux, agrippant ses mains enfin libérées sur le dessus de la cheminée et me jeta un regard furieux, mais j’interrompis sa plainte, posant ma main libre par devant, glissant mes doigts le long des lèvres trempées, à la recherche de son clitoris que je commençai à masser délicatement…Ce qui s’échappa alors de ses lèvres….de ses lèvres buccales…était plus proche de gémissements de plaisir que de douleur…Je repris ma fouettée sur son cul rayé de traces rouges tout en la caressant de plus en plus précisément…Ses genoux se pliaient régulièrement, ses poignets se tordaient sur le rebord de l’âtre et la liqueur s’échappant de son sexe devenait gluante et profuse…Je la sentais proche de l’orgasme et j’arrêtai enfin de la fouetter, la propulsant à plat ventre en travers de la table basse, repoussant le seau à champagne pour qu’elle puisse s’étendre. Malgré l’entrave à mes chevilles, il ne me fut pas difficile de venir me mettre à genoux derrière son corps et de glisser mon sexe dans le sien d’une seule poussée qui lui arracha un premier cri de vrai plaisir, puisque c’était ce qu’elle attendait et désirait depuis si longtemps.

    C’était à mon tour de sentir la chaleur de la cheminée sur mon cul , mais surtout bien plus encore celle de ses fesses meurtries que j’emprisonnai entre mes mains, les inondant encore de quelques claques bien sonores….La jouissance commune arriva probablement bien plus vite que nous l’aurions désirée, mais elle fut intense….

    Le temps de reprendre quelque peu nos esprits, je l’aidai à se relever et l’entraînai vers le canapé sur lequel nous nous étendîmes, dans les bras l’un de l’autre. Une de mes main cajolait son cul encore bouillant et l’autre ses cheveux alors qu’elle tenait mon sexe alangui de son côté.

    Pas besoin de paroles….juste le sentiment du devoir accompli de ma part et d’avoir outrepassé ses limites de la sienne.

    La playlist était cuite et notre silence n’était obstrué que par les légers crépitements des dernières braises et la pluie qui redoublait de violence contre la fenêtre….

    « -Ca va ? pas trop endolorie ? Tu as des regrets ?

    -Ouiiii ». murmura t elle dans un souffle….Mince…aurais je été trop violent ?

    « -Désolé je ne voulais pas…

    -Non…juste je regrette….de n’avoir pas essayé plus tôt…c’était….hum….. ».

    Long silence….Ouf….

    « -On se revoit quand tu veux ma belle….On finit le champ’ et je t’appelle un taxi… ».

    Je me redressai et l’aidai à se remettre debout…

    « -Tourne toi un peu…ah oui.. .tout de même…. ! ».
    Je chopai l’appareil photo et pris quelques images volées à son dos, ses hanches, ses cuisses et son cul, puis je les fis défiler devant ses yeux. Elle posa une main douce sur mon épaule pour regarder….

    « -Hum…oui c’est joli…en effet….tu ferais la même chose sur mes seins ? ».

    Non mais quelle coquine…pour ne pas dire salope (ce qui a toujours été de ma part un qualificatif particulièrement positif !)

    «- Ok…suce ma bite et quand tu m’as fait rebander, on s’y colle… !

    -Rhooo….non suis HS là…on verra la prochaine fois….

    -You’re welcome….j’appelle le taxi….et rhabille toi tu vas prendre froid…. ».

    Quoique, entre le résidu des braises de la cheminée et la chaleur de son cul je n’étais pas trop inquiet…..

    Je jetai quelques  derniers regards, le premier sur le martinet déposé au sol devant la table basse et que j’eus envie de reprendre en main, mais…puis sur le corps de cette jolie femme qui se rhabillait progressivement…la dernière vision de ses seins avant qu’elle ne remette son soutien gorge…Hum….j’avais déjà des tas d’idées pour m’occuper d’eux….

    Notre prochaine rencontre s’annonçait déjà très chaude…

    Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

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