La folle semaine

[anatole]

Je ne veux pas imaginer une référence vers Monsieur de Beaumarchais avec la folle journée …quoique….

LUNDI

J’arrivai comme toutes les semaines à 8h25….Ma secrétaire préférée était déjà là et je l’avais vu garer son véhicule…..

Je pénétrai dans le cabinet et fonçai vers l’office.

« -Alors, comme d’hab, vous êtes là depuis une minute et le café n’est pas encore prêt !!!! »

Elle coula vers moi son regard de biche …comme d’hab….

« -Ben non Docteur….vous savez bien que je suis nulle et blonde !

-Ben non, vous n’êtes pas nulle ni blonde…enfin vu la couleur de vos cheveux, je dirais que non, mais on peut se tromper…. ! »

Depuis deux ans que je bossais dans ce cabinet comme remplaçant ( ce terme de remplaçant prendra toute sa valeur au cours du récit….!), comment dire….nous nous tournions autour depuis le début. A coup de blagues salaces, de jeux de mots à la con sur le nom des patients, d’histoires toutes plus coquines les unes que les autres, de sous entendus tous plus ou moins…voire plutôt plus sexuels par inadvertance….enfin, on s’amusait bien à faire semblant que…et, j’y prenais garde, à chaque fois devant témoin…qu’une autre secrétaire ou un autre des médecins qui travaillaient avec moi soit présent au même moment lorsque nous plaisantions ainsi…Enfin plaisanter….des mois et des mois que souvent nos blagues revenaient systématiquement sur le cul, et ce qu’on pouvait en faire, et archi souvent sur la fessée que ceci cela et tout ça…..

Enfin bref une ambiance de jolie camaraderie !

Bien des fois je me sentis prêt à aller un peu plus loin….Et autant de fois je me dis au dernier instant, non arrêtes tes conneries, elle rigole, moi aussi, c’est sympa…si tu oses ça va te retomber sur la gueule….reste calme, zieute la comme elle est mignonne à croquer, et surtout reste sur tes fantasmes et ne va jamais trop loin….mais pute borgne que j’aimerais bien me la culbuter cul nu sur le lit d’examen mais non….

Bon soyons clair…des mois et des mois que je fantasmais sur cette charmante collaboratrice !

Ce lundi matin là donc, je la disputai de n’avoir pas mis le café en route dans les soixante secondes suivant l’ouverture de la porte…Elle me coula son regard de biche habituel, mais j’y vis quelques ondes étranges…je les interprétai comme possiblement lascives mais pas vraiment….Quelques minutes plus tard alors que j’allais débuter mon premier examen, elle toqua à la porte et s’avança doucement, s’appuyant difficilement sur le haut de mon fauteuil. Je me retournai et vis son visage un peu blême….

« -Ca va pas ? Un problème ?

-Non….enfin si…je ne me sens pas bien…. »

Le médecin que je suis repris la main…Je me levai et fis demi tour posant une de mes mains sur son épaule.

– »Vous avez mangé ce matin ?

-Non…pas eu le temps…. »

Ok…Je ne sais pas pourquoi, mais ce fut machinal, mais avec tant de conséquences….

Mes lèvres se posèrent sur la base de son cou de l’autre côté de l’épaule sur laquelle j’avais posé ma main…Ce fut la première fois que nos peaux se touchèrent depuis deux ans qu’on se côtoyait…..Elle frémit…mes lèvres remontèrent doucement le long de son cou puis sur sa joue. Ses mains étaient toujours appuyées sur le haut de mon fauteuil et sa tête bascula doucement en arrière lorsque mes lèvres arrivèrent à proximité des siennes….elle se releva vivement….

« -Oui, vous avez raison Doc, je vais prendre un café….

-Mais je n’ai rien dit…. »

Je vais prendre un café….

« -T’as raison Léon, c’est moi vient de le faire…doit être bon là…..Vous m’en amenez une tasse ?

-Bien sûr Doc…. ».

Elle m’énerve quand elle est comme ça….Mais tout de même …la première fois que nos épidermes se touchent….depuis deux ans….

Un long moment plus tard…Elle a reprit du poil de la bête et est en pleine forme….Nous papotons comme d’hab et elle explique à sa collègue de travail que son mari et son fils sont partis en vacances pour toute la semaine…

« -Ben ma biche, ça va être Broadway toute la semaine là….

-Ouaip….je vais enfin pouvoir dormir tranquille….

-J’en doute pas…et arrêtez de vous foutre de ma tronche…. ! »

Pas de réponse, le patient suivant vient d’arriver….

Une heure plus tard, je lui demande…exceptionnellement en privé, les yeux dans les yeux….

« -Sans dec….si vous voulez ….on boit un verre ensemble demain soir ?

-Eh….Pourquoi pas….

-Ok ma poule….je vous envoie les coordonnées sur votre tel dès que…. ».

Interruption ….Sa collègue hurle dans le couloir…

« -Mel…j’ai un problème, y a plus de worklist…. ».

Un grand sourire…elle tourne les talons et file au secrétariat…..

MARDI

Je lui avais envoyé l’adresse…Elle ne savait pas que c’était celle de chez moi. Elle sonna à l’heure proposée vers 20 heures….

Je lui ouvris le portail et la fis pénétrer…non pas dans ma maison mais vers la petite dépendance au fond de mon jardin….

Sur une table basse j’avais déposé une bouteille de champagne et deux verres…

Elle était vêtue d’un bel imper léger tout blanc, d’une jupe style salopette avec un chemisier léger ….divine à croquer !

« -Mais, je croyais qu’on allait au café du coin….

-Ben non…mais y a de quoi boire….allez venez vous assoir…. »

Elle leva juste les yeux et vit bien la cordelette qui pendouillait enroulée dans l’anneau planté au plafond….

Elle me regarda intensément….La deuxième jour de cette folle semaine commençait….

Elle vint poser ses fesses à mes côtés sur le canapé et prit la flûte remplie de champagne que je lui tendis. Les verres s’entrechoquèrent et elle but une grande gorgée, les yeux rivés sur la cordelette suspendue au plafond.

« -C’est quoi ça ?

-Ben c’est une corde….

-Et ça sert à quoi ?

-Devinez…. ».

Elle posa sa flûte vide sur la table basse et se leva pour tripoter un peu ladite corde.

« -Vous voulez l’essayer ?

-Hum….Pourquoi pas…. ».

Je me levai et m’approchai d’elle. Je ne pensais pas que cela aurait été si facile !

« -Donnez moi vos mains s’il vous plaît… ».

Elle obéit et j’entourai ses poignets, puis repassai la corde dans l’anneau, étendant ses bras au dessus de sa tête.

Elle se laissa faire….me laissa faire….

Mes mains se posèrent doucement sur ses épaules puis descendirent sur son dos recouvert encore de tous ses vêtements. Je massai lentement ses reins puis écartant d’une main son imper mon autre main descendit un peu plus bas, s’infiltrant lentement sous sa jupe que je remontai un peu, puis se posa sur sa fesse droite appuyant un peu cette caresse au travers de sa culotte. Son corps se tendit un peu et elle commença à respirer un peu plus fort. Je baissai juste un tout petit peu cette culotte et déposai une gentille claque sur cette fesse enfin partiellement nue. Elle ne broncha pas….ce que je pris pour un encouragement…Quelques claques supplémentaires, un peu plus appuyées à chaque fois et elle commença à murmurer des choses incompréhensibles. J’arrêtai ce début de fessée et lâchant son imper, je remontait lentement sa jupe salopette… Ce n’était guère facile mais je réussis à la faire passer au dessus de ses épaules et à l’enrouler n’importe comment autour de la corde. Elle me laissait toujours faire, mais je sentais bien son regard fuyant qui refusait de croiser le mien ! Je me reculai d’un pas la regardant un petit moment. C’était déjà très excitant mais je ne comptais pas en rester là.

Délicatement j’attaquai un à un tous les boutons de son chemisier et en écartai les pans sur le côté pour enfin….la première fois…observer sa poitrine généreuse encore masquée par un si joli soutien gorge en dentelle mauve. Sa petite culotte du même métal était à peine descendue sur le haut de ses cuisses et je me permis de la faire glisser jusqu’à mi-cuisse. Son joli pubis était parfaitement entretenu partiellement rasé mais comme j’adore avec juste ce qu’il faut de petits poils tout fins et tout doux. Je me rapprochai d’elle et repris dans une main son imper blanc et l’écartai largement, me permettant cette fois de fesser bien plus allègrement son cul. Les claques résonnèrent et elle commença à se tortiller sévèrement dans la corde en émettant quelques petits cris. Ma bouche était encore disponible et je baisai doucement sa nuque comme je l’avais fait la veille, pensant que le jeu ne faisait que débuter lorsqu’elle dit enfin très clairement :

« -Stop ! ».

Interloqué, tenant toujours dans ma main un pan de son imper, je m’écartai un peu et me plantai face à elle….

« -Stop ?

-Oui…j’ai dit stop…on arrête….

-On arrête ?

-Oui…stop…. ».

Je lâchai l’imper et lui répondis.

« -Ok….désolé…. ».

Lentement je dégageai ses mains de la corde et massai doucement ses poignets.

Elle fit un pas en arrière et maladroitement remit sa jupe en place et reboutonna son chemisier, assez nerveusement….

Je me sentais un peu comme un con et lui offris la nouvelle dose de champagne qu’elle me réclama.

« -Je n’aurais pas du ?

-Non, vous n’auriez pas du….mais promis, je ne dirais rien à personne….A demain….. ».

Elle avait déjà tourné les talons et se dirigeait vers la porte. Je ne fis rien pour la retenir et entendis son pas rapide sur l’allée de mon jardin, le portail claquer et sa voiture démarrer…..

Bon….Je me retrouvai comme un con, vexé et frustré, regardant bêtement la corde pendue, puis tout ce qu’il restait dans la bouteille de champagne que je m’enfilais à même le goulot en cinq minutes.

Je m’allongeai sur le canapé et ayant baissé mon pantalon, commençai à me masturber. Mon téléphone était juste à côté et je fis une courte vidéo de quelques secondes de ce que je faisais.

Un peu plus tard, je lui adressai un SMS avec la petite vidéo accompagné de quelques mots.

« -Avec toutes mes excuses….et effacez vite cette vidéo de votre téléphone ».

Au petit grésillement, je sus que le message avait été lu.

MERCREDI

La matinée de travail se passa tranquillement, comme d’habitude, comme s’il ne s’était rien passé la veille. Bon, je pensai l’incident clos, mais au moment de partir, alors que je remettais mon manteau, elle me coinça dans la salle d’examen et me dit :

« -Bon, je vous dois un café…Je finis à 16 h…Vous venez chez moi ? »

Très surpris, je bredouillai un « oui, bien sûr » et m’éclipsai.

Quelques secondes plus tard, j’avais reçu sur mon téléphone son adresse et le code d’accès à son immeuble.

A 16 h pile je sonnai à sa porte. Elle m’ouvrit et se recula nettement lorsque je tentai de lui faire juste une bise sur la joue.

« -Entrez et allez au bout du couloir …à droite il y a la salle de bain…Vous vous déshabillez et j’arrive avec le café ?

-Euh…Je me déshabille ?

-Oui, tout nu….allez….allez…. ».

J’étais plus que surpris, mais je compris que c’était à mon tour de lui obéir. Je l’avais prise de court hier soir et elle voulait me rendre la pareille !

Je fis ce qu’elle me demandait et entendit le bruit de la machine à café.

Je posai mes vêtements au sol et observai la salle de bain…Au bord de la baignoire, il y avait deux tabourets. Je restai debout à loilpé, me demandant si elle allait me rejoindre dans la même tenue ! Perdu….

Quelques instants plus tard la porte s’ouvrit et elle entra un plateau à la main supportant deux mugs de café remplis et quelques bricoles que je ne repérai pas sur le moment.

Elle posa le plateau sur l’un des tabourets et s’assit sur l’autre. Elle était vêtue d’un jean ( elle savait bien que je déteste les femmes en jean!) et d’un petit pull.

« -Allez ne soyez pas timide…venez vous asseoir dans la baignoire, là juste au bout..Tenez..;votre café…. ».

Je chopai le mug tendu au passage et vins poser mes fesses là où elle m’avait indiqué….Je me sentais vraiment très con, mais aussi un peu impatient….Qu’avait elle inventé pour me punir de mes actes insensés de la veille ?

Elle sirota lentement son café, sans me quitter du regard….enfin surtout mon sexe en berne, je dois bien l’avouer !

Je n’avais pas vraiment envie de café et posai mon mug sur le rebord de la baignoire, la laissant mener le jeu.

Elle fit de même puis :

« -Alors ma belle, tu es en moins bonne forme qu’hier soir sur la vidéo….mais je vais arranger ça! ».

Joignant le geste à la parole elle s’empara de sa proie d’une main ferme et d’un flacon de gel douche de l’autre, inondant mon sexe de ce liquide gluant et commençant à l’astiquer doucement….

J’avançai une main pour tenter de la placer sur la sienne mais :

« -Ah non….aujourd’hui vous ne me touchez pas ! ».

Houla…le ton de sa voix était assez rédhibitoire…Je reposai ma main sur le rebord de la baignoire et décidai de me laisser faire…et aller.

Il ne fallut pas beaucoup de secondes pour que ma bite reprenne un aspect plus conforme à ce genre de jeu . Elle massait si adroitement, jusqu’à ce qu’elle s’attaque à mes testicules qu’elle massa lentement juste avant de saisir un petit truc que je n’avais pas repéré sur le plateau du café….Un long lacet de chaussure en cuir…Sans me demander mon avis elle commença à l’enrouler à la base de mon pénis déjà bien tendu et en vraie experte elle continua son laçage autour des petites boules, terminant par un nœud qu’elle serra violemment, m’arrachant un petit gémissement de…douleur ? Elle prit la douchette et régla la température puis le jet sur l’objet de sa convoitise, continuant à branler gentiment mon sexe….

C’était totalement délicieusement douloureux, voire atrocement délicieux ! Je basculai ma tête en arrière et fermai les yeux, me laissant aller à ces sensations torrides….une belle experte….

Le jet d’eau humidifiai le lien de cuir qu’elle s’amusa à retendre encore un peu plus, avant de saisir sur le plateau deux belles pinces à linge qu’elle déposa plus ou moins….voire plutôt plus méchamment sur mes mamelons !

Je repensai alors à toutes les âneries que j’avais pu lui raconter dans les années précédentes ! Quelle mémoire elle avait…et depuis combien de temps avait elel rêver de me faire subir ce traitement…

Pas eu le temps de repenser à d’autres bêtises que j’avais pu proférer….Deux de ses doigts emplis de gel douche s’infiltraient déjà dans mon cul…

« -Avancez un peu que je puisse…oui…voilà c’est mieux…. !!! »

Le massage prostatique fut torride et alors qu’elle venait d’inonder mon sexe d’eau tiède pour le débarrasser du gel douche, elle ouvrit la bouche et maniant ses deux mains tout en me suçant profondément, elle me laissa tranquillement jouir entre ses lèvres !

A peine le temps de me rendre compte que…..Ses doigts s’étaient retirés de mon cul et elle avait abandonné mon sexe à la fin de ma jouissance.

Déjà debout…

« -Allez zou….Rhabillez vous et filez je vous ai assez vu pour aujourd’hui »

J’entendis la porte claquer et me retrouvai seul…

Bon….pas mal comme vengeance….j’en connais qui aimeraient bien….

Je me rhabillai lentement après avoir fait un brin de toilette et sortis de la salle de bain. Je l’aperçus allongée sur le canapé du salon et tentai de pénétrer dans la pièce mais elle me congédia.

Je compris que je n’avais plus rien à faire ici et filai.

Quelques minutes plus tard, dans ma voiture, mon téléphone grésilla…

J’ouvris le message….Quelques secondes de vidéo…Elle allongée sur son canapé, son jean au bas des chevilles en train de se caresser avec un vibromasseur, accompagné d’un petit message :

« -Avec toutes mes excuses… et effacez etc….. ».

Quelle coquine…. !

JEUDI

Ma « petite semaine de travail était terminée, et je ne devais la recroiser que le lundi suivant….

Je trouvais cependant un prétexte à la con pour repasser au cabinet le matin…j’aurais par inadvertance oublié le câble de mon portable….Je fis semblant de le chercher et le retrouvai…bien sûr dans la poche de mon manteau…

J’eus cependant la possibilité de la croiser dans l couloir et glissai doucement dans la poche de sa blouse un petit papier plié en quatre. Elle tenta de le saisir mais e lui fis un petit « non » de la tête, avant de m’enfuir….

« -A lundi Mesdemoiselles… ».

Lorsqu’elle l’ouvrit, elle put lire….

« -J’ai trouvé un hôtel dayuse à 5 kilomètres d’ici. J’ai réservé une chambre pour demain….je sais que vous finissez à 14 h et nous aurons jusqu’à 18 h…Dès que je serais dans la chambre je vous enverrais l’adresse et le numéro de la chambre….si par hasard ce message ne s’autodétruit pas dans les cinq secondes, passez le dans le broyeur de documents…. ».

Je passai l’après midi et la nuit à me demander si elle viendrait, et surtout à préparer dans ma tête tout ce qui pourrait éventuellement s’y passer….

Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

[anatole]

VENDREDI

J’arrivai dans l’hôtel à 13 h55. Pour les gens qui ne connaissent pas un hôtel dayuse est un endroit où on peut réserver une chambre pour quelques heures dans la journée….officiellement pour les gens qui bossent et qui doivent préparer en urgence un dossier avant une réunion professionnelle fatidique….en fait le paradis des couples illégitimes…..Que ce fut dur pendant la période de confinement…..!!!Enfin bref, dans le temps on appelait ça un hôtel de passe….Dayuse c’est plus classe tout de même…..

Dès que je pus rentrer dans la chambre, je lui adressai un SMS avec l’adresse exacte et le numéro de chambre, et un petit message supplémentaire…..Histoire sans parole….Aucun mot ne devra être prononcé…..

Je n’avais eu aucun retour après qu’elle ait lu le bout de papier glissé dans sa blouse. Ca ne m’étonnait pas vu la manière dont se passaient nos relations depuis quelques jours….normal….me laisser dans l’incertitude.

Je sus que le message avait été lu….Donc….possiblement elle arriverait dans quelques minutes, me laissant le temps de préparer.

Il était 14 h12 lorsqu’elle toqua à la porte. Ouf….enfin peut être….J’avais compris qu’avec elle il fallait s’attendre à tout ! Et si lorsque j’allai ouvrir la porte, je me trouvais nez à nez avec son mari…..voire des flics….Ben oui….je n’y pensais que trop….Harcèlement….sexuel total….et donc je me dis une nouvelle fois que je n’étais que remplaçant, et qu’au pire, je me prenais un poing dans la gueule de la part de son mari, ou juste viré de mon boulot de remplaçant !

Bref….une grande inspiration…d’ailleurs avais-je été bien inspiré ? De lui ouvrir la porte totalement à poil….

Je me reculai derrière la porte pour ne pas me montrer dans cette non tenue si quelqu’un d’autre qu’elle passait dans le couloir….Ouf….ce n’était qu’elle !

Je la laissai entrer, refermant doucement la porte, avec un doigt en travers de mes lèvres lui réexpliquant l’histoire sans parole.

Elle avança et regarda la chambre dont j’avais fermé les rideaux pour plus de sécurité et allumé les lampes des deux chevets.

Elle s’approcha du lit et regarda.

Une paire de menottes, une belle corde de bondage et des ciseaux, un plug de latex noir avec une belle embase qui lui permettait de se tenir debout et raide sur le lit, un tube de gel, et enfin un beau martinet de cuir tressé….et surtout le lacet de cuir dont elle s’était servi dans la baignoire et que j’avais gardé précieusement….Je ne savais pas trop ce que j’allais en faire mais…..

Elle posa le bout d’un doigt sur le haut du plug, lui adressant une petite caresse, puis revint vers moi.

Je posai ma main sur la poignée de la porte et l’entrouvris, faisant de mon autre bras un geste interrogatif, puis lui indiquant la sortie au cas où….

Elle me fixa un long moment, moi à poil faisant le portier, puis posa sa main sur la mienne et ferma lentement la porte, tournant le verrou.

Bien, on allait pouvoir commencer à s’amuser.

Je m’avançai vers elle et fis…..enfin glisser le petit imper blanc de ses épaules…depuis 4 jours que j’attendais ça !

Elle me laissa la déshabiller totalement sans aucune résistance….Ce fut déjà un tout grand premier plaisir. Cela dit, je m’étais mis à nu et il fallait bien égaliser.

J’hésitai quelques instants….par quel bout la prendre ? Par où commencer ?

Je me décidai pour le chemisier rouge dont je défis lentement tous les boutons, l écartant doucement pour revoir enfin sa poitrine généreuse…Tiens ? Le même soutien gorge en dentelle mauve de mardi soir ? Elle ne broncha pas lorsque je posai mes deux mains sur ces seins qui me faisaient rêver depuis si longtemps…La douceur du tissu était probablement bien inférieure à celle de sa peau, mais j’allai le découvrir bientôt. Mes mains descendirent sur ses flancs puis ses hanches et je dégrafai sans difficulté l’attache postérieure de sa petite jupe noire qui glissa doucement le long de ses jambes jusqu’à ses escarpins. Dans ce strip tease, c’est le seul geste qu’elle fit, soulevant une puis l’autre cheville afin que je ramasse ces premiers vêtements au sol avant de les déposer sur le grand fauteuil puis ôtant ses chaussures.

Quelle belle fille….Tellement ravissante en culotte et soutien gorge. Même pas de regret qu’elle n’ait pas porté de bas et porte-jarretelles…Peut être la prochaine fois….et puis chut…silence radio…histoire sans parole….pas le moment de lui en faire la réflexion.

Sa peau si douce accueillit une nouvelle fois mes mains chaudes qui remontèrent tout le long de ses jambes, marquant un temps d’arrêt sur son cul toujours masqué avant de faire rendre l’âme à l’attache de son soutien gorge…Enfin ses seins nus….arrogants….fermes et ronds….déjà les mamelons turgescents…..Au passage tout autant que mon sexe d’ailleurs !

Je savais que j’allais m’en occuper bien plus ultérieurement et je ne leur accordai qu’une légère caresse….prise en mains douce en les englobant…Je sentis bien que là, elle commençait à réagir en soufflant légèrement, les yeux clos et la tête en arrière. Et encore plus lorsque je mis fin à l’obstacle de sa petite culotte….Enfin nue et….superbe. Je gardai ce dernier objet au creux de ma main et l’entraînai lentement vers le pied du lit…..

Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

[anatole]

Je pense que comme moi mercredi, elle devait tenter de se souvenir de toutes les bêtises qu’elle avait pu proférer en rigolant depuis deux ans !

On dit que la femme est inconstante. L’homme l’est aussi parfois.

Pourquoi avoir attendu et bavé pendant deux ans avant de pouvoir la mettre totalement à nu devant moi et juste quelques instants plus tard la rhabiller ! Bon, certes le vêtement que j’allai lui faire porter ne cacherait pas grand chose de sa superbe anatomie.

Après avoir longuement respiré sa petite culotte, je la posai sur le lit et pris la corde de bondage. Lui montrant par le geste qu’elle devait mettre ses bras en l’air, j’entrepris le laçage. Un bon moment que je n’avais pas eu l’occasion de faire ça, mais c’est comme le vélo ces choses là ne s’oublient pas ! Un premier tour de corde juste au dessus de la poitrine, puis un second en dessous, un petit nœud dans le dos puis retour devant, encerclant chaque globe en serrant juste ce qu’il faut voire un peu plus pour les tendre . Ses seins déjà naturellement fermes et juste volumineux comme il faut se prêtèrent magnifiquement à cette pratique, et ses mamelons qui étaient déjà bien excités gonflèrent encore un peu plus. Une pause de quelques instants pour leur rendre un petit hommage buccal, délicieusement parfumé tout comme l’était sa petite culotte…Quelques gloussements m’indiquèrent qu’elle appréciait. Retour à la corde que je fis descendre jusqu’à la base de son dos, petit nœud et un tour de corde autour de sa taille et dernier petit nœud…Me restaient suffisamment de longueur pour achever un peu plus tard.

Je pris le temps d’admirer mon œuvre et surtout le modèle, lui exprimant ma gratitude par un baiser envoyé par mes doigts depuis mes lèvres. Elle me sourit, puis ferma les yeux quelques secondes en respirant profondément, avant que je ne la fasse basculer à plat ventre sur le lit. Décidément, même si pour le moment ce n’était que furtif mais à chaque fois que je posai mes mains sur sa peau, je m’enthousiasmais de la douceur de celle-ci. Deux ans d’attente, mais quelle récompense enfin !

J’attirai ses deux bras en arrière et déposai les menottes autour des poignets, laissant passer quelques secondes avant de lui faire entendre le clic-clac de la fermeture….

Bien….Réfléchissons…..Depuis deux ans que nous nus agacions réciproquement avec des sous entendus salaces voire percussifs, deux ans de petites bêtises toujours oubliées par son sourire enjôleur….je n’avais aucune raison de la punir….de plus, bien que remplaçant, j’étais tout de même son supérieur….Donc aucune raison de la punir….sauf une….Il me semblait qu’elle en crevait d’envie…..Pour moi, c’était plutôt une certitude….Alors….pourquoi s’en priver….

Mes mains se posèrent sur son cul qui exhalait déjà une certaine chaleur et surtout quelques senteurs bien spécifiques. Je massai longuement ses fesses, en appréciant enfin calmement leur rondeur, leur fermeté, et leur belle couleur encore un peu pâle….Ca n’allait pas durer…enfin concernant la couleur…..Les claques commencèrent à remplacer les caresses et doux massages….Tranquillement….comme deux vieux potes qui faisaient ça tous les jours ou presque. J’observai les légers tressaillements de son corps et les petites reptations qu’elle tentait de faire, comme si elle faisant semblant de vouloir y échapper. J’accentuai progressivement cette délicate fessée, la rendant de moins en moins délicate….et juste pour la rime en « cate » la couleur de sa peau se rapprochait progressivement de l’écarlate….et pour re rimer avec écar….mes pouces avaient de plus en plus tendance à se poser entre chaque salve de coups sur l’intérieur de ses fesses, les « écartant » chaque fois un peu plus, jusqu’à….oui enfin…..s’insérer dans la raie de son cul, dont la moiteur me ravit.

Pas encore question d’aller plus loin…j’avais tout mon temps et voulais absolument profiter…..

Je savais malgré tout que je ne n’étais pas le premier à lui flanquer une rouste….Monsieur son mari semblait….enfin….plus que des doutes j’avais….et ses réactions actuelles m’en donnaient la preuve…..

D’un coup, si j’ose dire, j’accélérais la cadence et la violence….Enfin des gémissements qui se transforment en petits cris !

Je la laissai quelques instants reprendre son souffle…je venais de repérer les ciseaux que j’avais bêtement laissé sur le lit…trop dangereux. Je me levai et pris l’objet pour le déposer sur la table de chevet….au passage, juste devant son visage, ma verge dans un état que je n’ai pas besoin de vous décrire lui fit…..dans un réflexe habituel ? Entrouvrir les lèvres…..Du bout d’un doigt je luis fis signe que non…..

Je revins vers le bas du lit et tirai sans prévenir sur la corde passée autour de sa taille, l’obligeant à se mettre à genoux, et d’une poussette écartai ses cuisses…..enfin son sexe entrouvert et tellement luisant….son cul bien rouge déjà, mais ce n’était qu’un début…..Je m’emparai du plug et le fis glisser doucement entre les lèvres de son sexe. Il me fallut mettre une tension supplémentaire sur la corde pour la faire tenir en place….elle commençait à ronronner….

Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

[Victor]

Mais c’est une dinguerie ce texte @anatoleenfer ! J’adore la petite séance dans la baignoire. Pour ce dimanche matin, ma main droite a migré du côté de mon cul et la gauche entre mes cuisses. Je ne savais plus comment tourner les pages de cette histoire. :):)

On se laisse prendre au jeu. J’aime beaucoup ce jeu de je te domine tu me domines. Le petit papier glissé malicieusement : cela fait clairement James Bond ou Tom Cruise. Fallait y penser. Et puis un peu de shibari pour magnifier la fessée : on en redemande.

Et puis ce style inimitable, mi cru mi soigné, mi vif et dynamique mi suave, un peu centré sur le point de vue masculin, c’est bien aussi parfois. Non de Dioussss ! (Oups.. :))

[anatole]

reste calme…la suite et fin arrive dès que possible…juste pour info c’est une histoire vraie et vécue, mais j’expliquerais à la fin! et ravi que cela déclenche quelques envies pour toi!

 

 

Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

[Nush]

Une semaine folle pour aller et venir, au gré des plaisirs. Ma lecture suit le parcours de ces deux amants qui s’agacent, qui se cherchent, qui se trouvent et se retrouvent.
Pourquoi j’aime ?
Parce que ce dialogue sensible des désirs pourrait être celui de n’importe lequel d’entre nous. S’y accomplissent des rites qui sont les miens, et probablement ceux de la plupart ici.

C’est bien écrit, enlevé et votre rythme permet de soutenir l’attente… Encore !

 

Car le feu qui me brûle est celui qui m'éclaire .

[anatole]

Bien que le parcours tout le long des lèvres de son sexe l’ait déjà franchement lubrifié, je préférais enduire l’objet de gel avant de l’insérer à l’endroit adéquat. De plus, par principe, un gel c’est un peu froid et le contraste avec la chaleur locale me paraissait être une intéressante plus-value dans les sensations à venir.

C’était tout de même la première fois de ma vie que j’allais faire ce genre de truc, sans demander l’autorisation verbale ! Bon certes, un certain nombre de fois la réponse fut non et je n’en fis qu’à ma tête, ignorant ce refus….toujours au grand bonheur de la dame tout de même, mais là…enfin c’est moi qui avait marqué cette règle du silence, donc j’assumai.

Je fus assez vite rassuré. Je posai délicatement l’extrémité du « truc » au bord de son anus, et comme prévu la différence de température la fit sursauter, mais je la maintenais toujours fermement avec la corde autour de sa taille…il n’était plus question qu’elle m’échappe à cet instant crucial, lorsque je fis pénétrer de quelques centimètres le plug. Le « cérémonial » dura un temps tellement agréable ! Comme je le pressentais, Madame connaissait et appréciait ! A chaque petite poussée, elle gémissait de façon plutôt jouissive, aidant même la progression en reculant son cul pour être encore un peu plus pénétrée….Je jouai un peu, reculant puis enfonçant…jusqu’à ce que d’une poussée, j’enfonçai enfin l’objet au plus profond, jusqu’à ce que l’embase soit au ras de son anus. Inutile de vous préciser que mon sexe aurait adoré se trouver à cet endroit mais j’imaginai que dans quelques minutes, probablement…..

Il n’empêche, pour la première fois, elle perdit…..Au moment de la pénétration ultime, elle cria un long « ouiiiiiiii », accompagné d’un fort recul de son cul comme si elle en aurait voulu encore plus et plus, avec comme résultat une pénétration complète!

La sanction fut immédiate….une énorme salve de claques à toute volée sur ses fesses, les faisant passer d’un rouge certain au stade de cramoisi !

Pas besoin de commenter, elle avait compris la leçon et s’apprêtait à en recevoir une bien pire ! Mais elle ne réagit à cette volée de claques que par quelques cris non par des mots, et de nombreux soubresauts que je gérai la maintenant toujours par la corde. En parlant de corde, il était temps d’en finir avec les centimètres restants, mais auparavant, l’utilité non réfléchie du lacet de chaussure en cuir qui avait servi à enserrer mon sexe et mes couilles venait de trouver sa raison d’être !

Ramasser la culotte jetée sur le lit….mes doigts sur ses narines l’obligeant à ouvrir la bouche, non pour sucer mon sexe qui pourtant ne demandait que ça mais pour y enfourner le morceau de dentelle si doux et odorant, et bien maintenu en place par deux tours de lacet de cuir autour du crâne…C’était juste un acte charitable de ma part….au moins elle ne dirait plus rien et ne supporterait pas une punition supplémentaire après celle que j’allais lui offrir maintenant. A son regard écarquillé, je sus que cet épisode ne faisait pas partie des choses qu’elle avait envisagées, et qu’elle n’appréciait pas trop…tant pis….le jeu est le jeu !

Finir l’utilisation de la corde de bondage. Récupérer les deux bouts pendant, les passer entre ses fesses et les poser bien à plat sur l’embase du plug, en insistant juste ce qu’il faut….hors de question que l’objet s’échappe…elle en aurait été fort déçue j’en suis sûr…faire pivoter son corps et la positionner sur le dos quelques instants, récupérer la corde et en passer les deux morceaux, tenter mais c’est difficile de les poser à plat sur les grandes lèvres de son sexe, tout en sachant que ça ne tiendrait pas bien longtemps, remonter jusqu’au tour de taille et nouer l’une et l’autre latéralement, en tirant juste ce qu’il faut pour que d’une part ça tienne bien et aussi voire surtout que ça l’agace un peu…..Hum….des années que je n’avais pas fait ça, mais….pute borgne….j’adore….et pas perdu la main semblait il, vu la rosée qui perlait sur les bords de son sexe ouvert et offert….L’instant où le cerveau doit commander la bite…..Non, je sais tu n’as envie que de ça et moi aussi…(juste pour expliquer le sens du dialogue….le cerveau parle à la bite!) aller te fourrer là dedans mais attends..c.’est pas fini loin de là….plein de choses à faire encore et si tu es sage et réussis à pas jouir trop tôt, tu auras ta récompense tout à l’heure…promis juré ! Des fois je me demande si ma bite et moi, on ne serait pas un peu schizophrène elle et moi….mais n’est ce pas une constante masculine ? Bon, ce débat nous entraînerait trop loin et il fallait revenir au présent et à la suite….parce que…c’est maintenant que ça commence….enfin presque !

Mes bras entourèrent sa taille et je lui fis reprendre la position précédente, à genoux, le dos creusé et le cul offert….offert à quoi ? Aux lanières du martinet que je venais de saisir et dont j’allais enfin me servir. J’étais debout au pied du lit et matais ce corps nu et encordé, et que je m’apprêtais à fouetter comme…il le méritait ? Même pas…..juste comme j’en avais envie….deux ans d’attente vous font passer toute retenue….

La manière dont je m’y pris fut fonction de l’instant présent, et de l’envie d’entrecroiser les traces laissées par les lanières de cuir ! Tout d’abord debout, après une longue observation de Madame…ainsi présentée à moi selon mon désir….ce cul offert, déjà si rouge, ses reins abaissés entouré de cette corde, ses cuisses et ses jambes si fines et si délicatement ondulées, sa peau si douce que mes mains commençaient à caresser….elle à peine un peu plus que la moitié de mon âge….je vous laisse faire la division….

Tout d’abord un pas de côté et cingler ses fesses en travers, puis revenir face au lit et frapper la fesse droite puis la gauche en alternance et haut en bas….et puis très vite la remettre en place parce que je frappais de plus en plus fort, reprenant la corde autour de sa taille pour la maintenir en place et frapper encore et encore malgré ses soubresauts….Bien sûtr qu’elle ne le méritait pas mais elle en avait envie….enfin c’est ce que je pensais, et surtout moi….et puis me mettre sur le lit à califourchon sur son dos, les cuisses suffisamment levées pour ne pas l’écrabouiller mais tenant la corde bien serrée dans une main comme si je chevauchai ma belle jument dont je fouettais la croupe, frappant de haut en bas et laissant par instant et inadvertance….tu parles…. ! Laisser les lanières fouetter le bas du plug voire ce qui se présentait juste un peu plus bas…ou haut….tout dépend du point de vue visuel…..Enfin bref, je m’en donnais à cœur joie et envie joie. Les striures laissées par les lanières du martinet devenaient bien plus belles que ce dont j’aurais pu rêver depuis le temps que j’en avais envie….Toujours à genoux au dessus de ses reins, ma bite en feu se trouva vite au contact de ses mains entravées par les menottes et ses doigts commencèrent à jouer bien gentiment avec l’objet de chair. Comme quoi….méchant comme j’étais….en colère comme elle aurait pu ou du l’être….que des caresses….Je me courbai en deux et la laissant faire quelques instants je posai mes lèvres sur son cul en feu léchant la peau brûlante de son cul puis jouant d’une main avec le plug déjà si profondément enfoncé dans son cul, appréciant la tension parfois torride de ses doigts sur ma bite lorsque je recommençai à la fouetter sur le côté de ses cuisses….

J’étais au bord de la jouissance mais non…pas encore…pas tout de suite….

Je sautai au dessus de son corps et me remis debout, un peu titubant je l’avoue….comme quoi il n’y a pas que l’excès d’alcool qui puisse vous faire tituber !

Son corps s’était affalé à plat ventre et je regardai quelques secondes le résultat de mon travail….en tâtant le résultat sensitif…ces fesses écarlates et bouillantes et zébrées dans tous les sens dans un entrecroisement des plus jouissifs visuellement….et son corps qui tressaillait à chaque seconde où je posai ma main dessus….

Je pris ce corps à plein bras et le fis basculer sur le côté, défaisant les menottes qui entravaient ses poignets, l’aidant à remettre ses bras douloureux en place en massant généreusement ses épaules engourdies puis vint m’allonger contre elle, tête bêche….mes mains agrippèrent son cul bouillant l’approchant de mon visage alors que ma bite se posa au milieu de ses seins. Et mes doigts commencèrent à jouer….et les siens aussi. J’aurai du…aimé…adoré….sentir mon sexe s’enfoncer dans le sien que mes doigts pénétrèrent si facilement…passer un long moment à aller et venir dans cette grotte tellement chaude frémissante et humide, mais mes doigts y arrivaient si bien….et puis ses mains encore un peu engourdies s’occupaient déjà si bien de ma bite….à peine quelques secondes….le temps que ma langue trouve un passage entre les cordes que j’avais déposées autour de son sexe, trouver son clitoris, le lécher à peine quelques secondes avant qu’elle ne me joue la femme fontaine ! Ce n’était pas vraiment la première fois qu’une femme me fasse ce coup là, mais….le visage inondé de ce liquide translucide et bouillant, la tête coincée entre deux cuisses qui se tendent….un signe qui ne trompe jamais quant à la profondeur de la jouissance ressentie par la dame…tout son corps qui se tend et se crispe, et même ses mains qui s’agitent frénétiquement sur le sexe qu’elles tenaient et qui en quelques secondes crache ce liquide visqueux sur ses seins alors que mon bassin imite les mouvements du sien….le pied intégral quoi !

Nous restâmes ainsi un très long moment, sans bouger …ou presque…mon index et mon majeur toujours profondément enfouis dans son vagin tellement mouillé, bougeant imperceptiblement de temps en temps, déclenchant des contractions réflexes des muscles de tout son périnée, et le bout de ses doigts caressant mon gland avec la petite goutte qui en sortait de temps en temps….longtemps…longtemps….

Avec beaucoup de regret, je finis par tenter de me remettre debout et m’approchai de son visage. Sur la table de chevet, comme dans tous les bons hôtels, il y avait un petit bloc note et un stylo. Je m’en sais et les doigts gluants j’écrivis maladroitement : « Le jeu est fini ? »

Elle s’empara du stylo et ses doigts aussi trempés que les miens inscrirent un « ok »….

Bien gentiment, parce qu’au fond, je suis quelqu’un de gentil…si si…je vous assure, je défis le nœud du lacet derrière son crâne et ôtai sa culotte de sa bouche, m’essuyant tranquillement les mains puis mon sexe avec et le déposai sur la table de chevet….je m’approchai de ses lèvres et y déposai un léger baiser, bouche fermée….pour une fois, elle ne détourna pas la tête !!!

Enfin reprendre la parole….

« -Tiens je la pose là, ça vous fera un petit souvenir… !».

Malgré ce que nous venions de vivre, je ne pouvais pas faire autrement que de continuer à la vouvoyer !

« -Ne bougez pas, reposez vous un peu je vais nous faire couler un bain ».

Je me dirigeais vers la salle de bain et ouvris les robinets, tâtant la température jusqu’à qu’elle fut adéquate.

Je revins vers la chambre quelques secondes plus tard et le spectacle était….était….

Toujours allongée sur le dos, mais cette fois les cuisses largement ouvertes et un peu repliées, elle caressait son clitoris tout en massant un de ses mamelons toujours entravé dans les cordes d’un doigt humidifié de mon sperme….Spectacle totalement indécent mais tellement érotique…Je la laissai faire quelques instants car elle avait les yeux clos, partis on ne sait où….

« -Ce n’était pas suffisant ?

-Désolée…je n’en ai jamais assez…j’ai toujours envie..;tout le temps….pas votre faute….. ! ».

Dit elle tout en continuant à se caresser.

Je m’approchai du lit et enlevai lentement sa main qui triturait son sexe…

« -Allez venez, on va se détendre un peu…. ».

Je réussis à la remettre debout. J’eus franchement la flemme de défaire les nœuds de la corde de bondage et la sacrifiai, de trois ou quatre coups de ciseaux que j’avais laissés sur la table de chevet….Un à un les morceaux de corde glissèrent le long de son corps .

Face à moi, mes doigts parcoururent un moment les traces laissées par les nervures de la corde tout autour de ses seins encore si collant des résidus de mon sperme, puis je la fis pivoter et se courber sur le lit. Le plus doucement possible j’ôtai le plug….Ses mains griffant le drap, elle murmura quelques syllabes tellement crues que je n’ose vous les rapporter !

Je l’emmenai vers la baignoire, le plug à la main que je jetai dans le lavabo histoire de lui faire un brin de toilette un peu plus tard et je m’allongeai au fond de la baignoire. Elle vint s’étendre sur mon corps et nous restâmes ainsi un long moment, peau contre peau, moi caressant ses seins doucement .

Ce fut un long moment de calme, certes avec un petit brin d’agitation lorsque nous fîmes enfin l’amour ! J’eus une pensée pour la femme de ménage qui allait passer après notre départ et qui allait devoir éponger au sol la moitié de l’eau de la baignoire déversée au sol lors de notre….enfin bref, quand on avait enfin réussi à baiser !

Penser à lui laisser un petit billet de 10 balles sur la table de nuit !

Il fut bientôt l’heure d’abandonner cet endroit….

Elle se rhabilla en silence….sans culotte bien sûr vu l’état dans laquelle elle était….la culotte…pas elle !

Nous nous sommes dit au revoir et à lundi sans plus.

Un peu plus tard , après avoir remis mon matos dans mon sac, je quittai aussi les lieux dans un semi brouillard, me demandant encore si j’avais rêvé ….

LUNDI

J’arrivai comme d’hab à 8 h 25 et arpentai le couloir le plus doucement possible. J’entendais la cafetière glouglouter et mes deux secrétaires en train de papoter.

« -Alors cette semaine célibataire ?

-Bof…je me suis fais chier comme un rat mort….j’ai regardé plein de séries à la con sur mon canapé à rien faire d’autre….. ! »

Quelle fieffée menteuse….mais finalement je préférais qu’elle raconte cette fausse version à sa copine plutôt que la vérité !

« -Alors le café va être prêt aujourd’hui ?

-Ouais Doc….et vous n’aurez pas de raison de me fesser aujourd’hui….

-Oh vous inquiétez pas..;d’ici la fin de matinée, je suis sûr que je vais en trouver une….

-Possible…. ! »

Croyez le ou pas….cette semaine torride date d’il y a environ trois mois…nous n’en avons jamais reparlé ! Et encore moins jamais recommencé ! Juste continué nos taquineries verbales….peut être encore un peu plus orientées qu’avant….sans plus ni moins.

Tant de sexe pour un seul et unique chaste baiser sur les lèvres….c’est fou non ?

Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

[Efficace]

Un des plus beau récit de ce site, bravo. Vous devriez écrire des nouvelles érotiques vous trouveriez votre public.

[anatole]

Merci pour ce commentaire élogieux, mais non, enfin si, je vais peut être continuer à écrire ce genre de bêtises mais seulement ici….on m’a déjà plusieurs fois proposé de publier dans les années précédentes, mais à quoi bon….je ne cherche pas de droits d’auteur!

Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

[Loca73]

Merci pour ce superbe récit. Des semaines que je flâne sur le site, et particulièrement vos récits Mr Anatole, car dès les premiers lus, j’ai trouvé cela plus que plaisant.

Finalement je me suis décidée à me créer un compte pour vous remercier de vos écrits, un plaisir à chaque fois. Merci.

[anatole]

Merci et ravi d’être enchanté! Je ne cherche donc pas de droits d’auteur mais une abonnée supplémentaire sur ce site grâce à moi…..Faut que je parle aux admin!

Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

[Paulparis]

Absolument génial, ce récit….Quelle belle semaine….

[Jérémie]

Original et amusant, bravo Anatole 😉

[Loca73]

anatole wrote:

Merci et ravi d’être enchanté! Je ne cherche donc pas de droits d’auteur mais une abonnée supplémentaire sur ce site grâce à moi…..Faut que je parle aux admin!

Quote

Mes compliments sont sincères, et peut être que les admins pourraient vous récompenser effectivement ????

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