La fessée organisée d’Amandine, version revue et corrigée, 3ème partie

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    PanpanKuku
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    Cinquième chapitre

    Oh la la !… Sa foufoune était généreusement offert à nos vues. Personne ne regardait ailleurs, ni même son visage ruisselant de larmes. Seul ce sexe obscènement exposé, retenait toute notre attention.Elle a essayé nerveusement, dans un geste désespéré de pudeur, de cacher maladroitement sa foufoune avec ses petites mains. Ça a fait rire Anika. Le prof a donné une grande giffle à Amandine.

    « <i>Mains sur la tête ! </i>»

    Amandine s’est exécutée. Déjà sa bouche commençait à avoir le rictus des gens qui sont sur le point de se mettre à pleurer.

    « <i>Voilà. Regardez bien vos camarades. Eux ils se donnent de la peine, ils travaillent, ils essaient. Vous, vous vous moquez de moi et de nous tous. Vous voulez agir comme une sale gamine ? Alors vous allez recevoir la seule punition que méritent les sales gamines : la fessée, culottes baissées, devant toute la classe !!! </i>»

    Puis il l’a forcée à se retourner pour la mettre en position et la basculer sur ses genoux. Pour le coup il s’était légèrement tourné de côté et l’avait placée de sorte qu’on la voyait de l’arrière. Elle était cochée sur les genoux du prof, la poitrine sur ses genoux, les jambes tombant derrière elle, repliées, genoux presque à terre. Une vue incroyable sur son entrejambe et son sexe qui apparaissait sous les fesses, entre le commencement des cuisses !!!

    Un râle de satisfaction a parcouru la salle. Le prof a passé son bras gauche par dessus son dos pour l’enroulé jusqu’à ce que sa main gauche soit sous son ventre, dangereusement près du sexe d’Amandine. Puis il a levé la main, et la fessée a commencé. Ah mes amis, quelle fessée ! Ça a été hallucinant du début à la fin… Le prof a bien tenté de commencer doucement et d’augmenter la force mais il n’a pas pu se maîtriser et la fessée est très vite devenue très sonore.

    Le bruit si caractéristique, clair et un peu métallique, des claques a retenti dans la salle. Après trois claques seulement, Amandine a littéralement éclaté en sanglots sonores et déchirants. Et dès la cinquième claque elle s’est mise à faire un danse incroyable sur les genoux du prof. Elle agitait les jambes, les écartait, puis les rapprochait et les ré-écartait. Parfois elle se redressait sur les genoux du prof, et l’instant d’après elle se recouchait, la tête presque au sol. Puis elle a rué des jambes dans tous les sens.

    Elle se tournait à droite puis à gauche, exhibant bien son sexe, malgré elle, à ceux qui étaient dans les bords des rangée. Et surtout, elle essayait désespérément d’interposer sa petite main tremblotante. On entendait ses pleurs, elle poussait des véritable <i>siclées</i>, comme on dit chez nous, des hurlements, elle s’étranglait dans ses hoquets, brisée par l’émotion et la honte, mais aussi la brûlure aux fesses, qui devait être horrible.

    Autour de moi, tous réagissaient à présent à leur façon. Certains riaient à gorge déployée. Notamment Anika, mais aussi la belle jeune fille à côté de moi et le couple de derrière que nous ne connaissions pas.

    D’autres, comme mes amis aussi, derrière moi, se masturbaient sans pudeur, on voyait qu’ils étaient sur le point de jouir. Alors je me suis remonté la jupette et, alors que riais aussi avec les autres, je me suis caressée jusqu’à me faire jouir d’un orgasme d’une intensité que je n’avais jamais ressentie.

    Et, sans même s’être concertés, on s’est tous mis à lancer des quolibets au milieu de nos rires.

    « <i>Aaaaah ha ha ha ha !!! </i>»

    « <i>Hi hi hi hi hi hi hi </i>»

    « <i>On voit tout !</i> »

    « <i>Ouais la foufoune à l’air… </i>»

    «<i> Devant toute la classe !</i> »

    « <i>Aaaaaah ha ha ha ha ha !!!</i> »

    « <i>Quelle honte !!! </i>»

    « <i>Tu vois bien, ma chérie ? Viens par ici, on voit tout encore mieux…</i> »

    « <i>Haaa ha ha ha ha ha !!! Hi hi hi hi hi hi hi !!!!!</i> »

    Et les pleurs désespérés dp’Amandine…

    « <i>Non ! Nooooooon !!! Aïïïïe !!! Aïeaïeaïeaïeaïe !!!!! Bouuuuuuuuh !</i> »

    Tout ça sur fond du bruit des claques monstrueuses !

    <i>Tah tah tah tah tah tah tah tah ah tah tah tah ah tah tah tah ah tah tah </i>

    Les gens des dernières rangées se levaient pour mieux voir. Le rire d’Anika était ininterrompu, de même que celui de Christy. Ils remplissaient la salle plus que tous les autres.

    Sixième chapitre

    Mais là, une chose s’est passée qui m’a sidérée, et fait plaisir finalement. Je voyais le sexe d’Amandine, puisque j’étais vraiment tout derrière elle. Je n’ai pas beaucoup d’expérience dans ce domaine, mais c’était tellement évident que je ne pouvais pas ne pas le remarquer : son sexe s’ouvrait de plus en plus ! Amandine jouissait, malgré la douleur incroyable de ces claques monstrueuses … Et le prof s’en était rendu compte aussi.

    Alors là, j’ai craqué. Je me suis mise à pleurer d’émotion. Je riais et je pleurais à la fois, je me caressais comme une folle, la jupette complètement relevée, jusqu’à me faire avoir un second orgasme aussi fort que le premier, et même un troisième. Derrière moi, mes amis Yasin et Marion se masturbaient furieusement. Yasin avait même discrètement sorti son sexe de son pantalon, et Marion avait elle aussi l’air d’en être à son second orgasme.

    Mais hélas toutes les bonnes choses bonnes ont une fin. Le prof a arrêté la fessée. Amandine s’est relevée et s’est mise ses mains sur ses fesses, en hurlant et en pleurant, et surtout en sautillant tout en tournant sur elle-même … sans plus aucune pudeur, en exhibant de plus belle son sexe. Le prof lui a laissé faire deux ou trois tours ainsi, puis l’a arrêtée en attrapant une dernière fois son bras. Et il l’a à nouveau forcée à se tourner vers nous. Elle a essayé de cacher son sexe de ses petites mains, maladroitement. Mais le prof lui a flanqué une nouvelle claque monstrueuse :

    « <i>Mains sur la tête !!!!! Voilà. Vous vous excusez et vous promettez de vous mettre au travail, d’être sérieuse, et de ne plus vous moquer ni de moi ni de vos camarades. </i>»

    Amandine s’est exécutée d’une petite voix tremblant encore de ses pleurs, le visage bouffi,. La culotte et le pantalon étaient tombée au sol pendant la très longue fessée. On n’a pas tout compris, elle s’étranglait encore dans ses hoquets, et respirait difficilement. Je regardais encore une fois ce sexe si généreusement offert à ma vue. J’essayais d’en graver à jamais le souvenir dans ma tête.

    Puis, sur ordre du prof, Amandine a ramassé sa culotte et la remontée, ainsi que son pantalon., tant bien que mal, et elle est revenue s’asseoir à sa place. Je voyais qu’elle n’osait pas nous regarder. Elle pleurait encore, elle cherchait à reprendre son souffle mais tout son corps était agité de soubresauts. Asise à sa place, elle essayait encore de se recomposer une posture, en remettant en ordre ses cheveux en désordre.

    Celles qui avaient ri s’essuyaient les yeux, en riant encore. Les visages hébétés semblaient essayer de se remettre de leur orgasme. Et les commentaires continuaient de fuser dans la salle.

    « <i>Quelle fessée, mais alors quelle fessée !!! </i>»

    « <i>Quel rire ha ha ha mis quel rire ah ah ah ah ah !!! </i>»

    « <i>Ou c’était drôle comme elle s’agitait…</i> »

    « <i>Oui ha ha ha on lui voyait tout !!!</i> »

    « <i>Quelle honte !!!</i> »

    «<i> Oh merci François ! </i>»

    «<i> Quelle belle fessée c’était ! </i>»

    « <i>Oh ouiiiii ! C’est la plus belle que j’ai vue… </i>»

    «  <i>Tu as bien tout vu, ma chérie ? </i>»

    « <i>Oh ouiiiiiii !!!</i> »

    « <i>Tu as vu, elle pleurait comme une gamine ! </i>»

    « <i>Oh oui ! Moi ça m’a faite jouir ! </i>»

    « <i>Oh moi aussi, j’ai joui comme jamais !.. </i>»

    « <i>Tu crois qu’elle a joui, elle ? </i>»

    Sixième chapitre

    Alors j’ai eu pitié d’elle. Au risque de la perdre comme amie, je me suis penché vers elle et je lui ai expliqué que j’avais vu son journal intime et que tout était organisé. Elle a eu un sursaut, m’a regardé un instant. Et elle s’est levée pour me prendre dans ses bras et m’embrasser fougueusement.

    « <i>Oooooh merci ! Je savais pas que tu m’aimais autant ! Merci ma Marcelline chérie !!! </i>»

    Puis je me suis soudain sentie obligée de dire :

    «<i> Ce serait dommage, vous ne croyez pas, de s’arrêter là ? Certains ont peut-être envie de continuer le cours et d’assister à d’autres fessée ou même d’en recevoir… </i>»

    Alors Jean-Jacques s’est raclé la gorge et a commencé d’un air hésitant :

    «<i> Hum hum … oui … en fait vous avez reçu un vrai cours de compta. François Grabert m’a certifié qu’il pouvait continuer de vous donner le cours, gratuitement, jusqu’à vendredi, avec ou sans fessées à la clé. A vous de décider… </i>»

    Anika s’est écriée très spontanément :

    «<i> Oh ouiiiiiiii ! </i>»

    La jolie fille à ma gauche a ajouté :

    « <i>Moi, perso j’aimerais que vous soyez encore plus sévère ! Si je fais mal, il faudra aussi me la donner, la fessée ! Et j’aimerais aussi voir Anika la recevoir … cette petite peste qui se moque de sa camarade qui reçoit la fessée !…</i> »

    Anika est devenue rouge-pivoine. Kevin lui a lancé :

    « <i>Oh oui, tu dois la recevoir, toi aussi. Tu verras ce que ça fait, on verra tout, et on rira tous de bon cœur  !!! </i>»

    Alors elle a accepté, la voix un peu étranglée par l’émotion, mais non sans ajouter :

    « <i>Oh toi, mon chou, tu devras aussi la recevoir !!!</i> »

    Le prof nous a regardés, en appuyant spécialement son regard sur moi :

    « <i>Je vois quelqu’un, là, qui devrait aussi la recevoir… quelle indécence, cette jupette relevée, devant tout vos camarades !!!</i> »

    J’ai vu le regard d’Amandine, et croyez-moi, c’était un désir plein d’excitation !… D’amour, oui, mais aussi de réjouissance d’assister, peut-être, dans les jours qui suivraient, à ce spectacle…

    Je vous laisse deviner si je vais, oui ou non, la recevoir… faites vos paris !

    Bref on s’est tous donné RDV le lendemain. Et nous nous sommes quittés. Le retour à la maison a été un second rêve. Amandine avait été tellement touchée par ce cadeau que je lui avais fait, qu’elle m’a affectueusement pris la main et que nous avons marché presque sans rien dire, comme perdues au septième ciel.

    De retour à la maison, nous sommes allées au salon commun. Là, j’ai regardé Amandine et je lui ai demandé :

    « <i>Alors ça t’a plu ? Tu ne m’en veux pas d’avoir lu ton journal ?</i> »

    Et Amandine, avec regard comme elle ne m’avait jamais regardée, m’a répondu très tendrement :

    « <i>Mais non, mais non, ma Marcelline chérie, je ne t’en veux pas, au contraire ! C’est le plus beau cadeau qu’une amie pouvait me faire … </i>»

    Elle m’a alors expliqué que la fessée à laquelle elle avait assisté dans sa jeunesse l’avait tellement marquée, que sa sexualité en avait été bouleversée au point qu’elle ne pouvait jouir qu’en recevoir la fessée ou y en y assistant. Elle se donnait en cachette des fessées et c’était sa manière de se masturber jusqu’à l’orgasme. Mais elle a précisé :

    « <i>Tu sais, ce soir, ça a été incroyablement due, ce que j’ai vécu. Le plus dur, à part la brûlure des claques, c’est de me retrouver nue du bas, face à vous, avec vos regards qui voyaient tout. C’est un sentiment de honte qu’on ne peut pas imaginer si on ne l’a pas vécu. Ça commence déjà quand on est devant le prof, sachant que les culottes vont être baissées et qu’on ne va pas pouvoir empêcher que tout le monde voie tout. Un terrible nœud au ventre, qui fait mal, le cœur qui bat très très fort, le visage brûlant de rougeur, les mains moites qui se mettent à trembler, tout comme les jambes, la bouche sèche, c’est tout ça, la fessée, tout ce que je voulais tellement vivre. </i>»

    « <i>Et tous ces sentiments sont encore décuplés au moment de la déculottée, avec vos regards lubriques … et les rires, ah les rires !!!.. Je les entendais, comme dans un brouillard, et ça me faisait un coup de poignard au cœur à chaque éclat de rire. J’entendais aussi chaque claque, j’en sentais la brûlure terrible et chacune d’elles me rappelaient encore plus que la précédente la terrible honte de ma position et du ridicule du spectacle que je devais vous offrir …</i> »

    Je la regarde, comprenant enfin :

    « <i>C’est pour ça que tu as joui , aussi ? … Car tu as joui, aussi, n’est-ce pas ?</i> »

    Et elle, d’une toute petite voix, mais avec un sourire épanoui, l’œil troublé :

    « <i>Oui j’ai joui, comme jamais j’aurais pensé…</i> »

    Nous sommes restées un moment là, sans parler, juste à se regarder avec amour… Puis j’ai rompu le silence :

    « <i>Je peux t’en donner, tu sais ? Autant que tu veux !… </i>»

    « Oh oui … ouiiiiiii !!! »

    Amandine a encore ajouté :

    « <i>Mais toi aussi tu la recevra, demain ou après-demain, hein ?</i> »

    Là j’hésite :

    « <i>Tu sais, je ne suis pas tellement fessée …</i> »

    Elle :

    « <i>Mais tu as joui pendant ma fessée ? Tu auras peut-être aussi du plaisir à la recevoir ?… </i>»

    Alors j’ai répondu :

    « <i>Oui ! … Oui, mais c’est bien pour toi que je le ferai !!!</i> »

    Amandine :

    « <i>Oooooh merci ! Comme ça tu verras ce que ça fait, quel incroyablement intense moment c’est…</i> »

    Et on s’est embrassées. Ce soir-là, de simples amies que nous étions, nous sommes devenues amantes.

    #98406
    Loca73
    Participant


    Cela appelle une suite…

    Et j’espère que vous écrirez d’autres histoires mais du point de vue du fesseur. Je pense que cela sera encore mieux, même si je ne sais pas pourquoi.

    #98434
    Monsieur T
    Participant


    Beau texte. Juste une précision ; la gifle, ici une grande gifle je suis contre et je déconseille. Toujours mettre des claques sur les fesses

    Une fessée est convenue , un "Art" de vie

    #98461
    Monsieur Jones
    Maître des clés


    @monsieur-t a dit: “Juste une précision ; la gifle, ici une grande gifle je suis contre et je déconseille. Toujours mettre des claques sur les fesses”

    Je crois qu’il faut bien se garder de ce genre de raccourci catégorique qui ne correspond qu’à votre expérience personnelle.
    Une “gifle” peut être très érotique pour certains. Chacun son univers et sa façon d’érotiser les choses.
    Il m’est arrivé de voir une femme avoir un orgasme avec une simple gifle pendant un moment sexuel. Et clairement, c’est cette claque sur la joue qui l’avait déclenché.
    Après, il faut savoir gérer “cet acte”, appliquer ce mélange de sévérité, de sensualité, de surprise qui change tout.
    Et pas besoin de lui dévisser la tête à la pauvrette, hein…? parfois une simple claque, un peu molle, du bout des doigts a un effet terrible…😬

    Faites de vos fesses le plus bel endroit de la terre...

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