La fessée organisée d’Amandine, version revue et corrigée, 2ème partie

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    PanpanKuku
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    Troisième chapitre

    Inutile d’essayer de décrire l’état d’excitation dans laquelle j’étais. Mais je faisais tout mes efforts pour ne pas laisser transparaître quoi que ce soit d’anormal dans mon attitude. J’avais choisi de ne pas trop parler.

    Ainsi que nous en avions convenu, ils sont tous arrivés vers 18h00, pour régler rapidement les derniers détails de la mise scène. Il fallait absolument que tout ressemble à 99% à un vrai cours, surtout le premier soir. Ce que je ne savais pas, évidemment, en arrivant au local, c’est qu’ils avaient décidé d’essayer de faire en sorte d’accélérer le processus et de donner la fessée déjà le lendemain, le mardi.

    Bref nous sommes arrivés, Amandine et moi-même. C’était un local qui ne faisait pas partie d’une maison plus grande, isolé à l’écart des autres bâtiments, une ancienne petite épicerie de quartier. Les murs étaient à l’ancienne, épais, avec, par contre, des fenêtres modernes et insonorisée. L’intérêt était que l’insonorisation fonctionnait dans les deux sens : à l’extérieur aussi, on n’entendait quasi rien de ce qui se passait dedans.

    Bref nous somme arrivées avec Amandine. Elle était elle-même tout excitée, mais évidemment pas pour la même raison que moi. A l’entrée, il y avait un grand gaillard, 1m80 minimum, cheveux très courts, presque rasés. Ce devait être le prof. J’ai demandé :

    « <i>C’est là, le cours de compta ? </i>»

    Il a répondu aimablement :

    « <i>Mais oui ! Entrez-donc. Nous attendons encore deux personnes, et nous serons au complet…</i> »

    Nous avons passé la porte d’entrée. A l’intérieur, il y avait des chaises qui faisaient en même temps table, comme on en voit aujourd’hui dans toutes les salles de séminaire d’entreprise. Elles étaient alignées sur 3 rangs, avec 4 chaises par rang, en léger arrondi. Nous avons pris place où il restait des chaises libres. J’ai fait un petit signe à mes amis Kevin et Anika. Et effecti-vement, deux autres personnes sont arrivées. C’étaient Yasin et Marion, les deux autres amis que nous avions invités. Le prof a alors commencé le cours en nous invitant à nous présenter. Nous étions en tout huit étudiants, placés en deux rangées.

    Jean-Jacques était devant, tout à gauche, avec sa femme Françoise à sa droite, et à la droite de Françoise, il y avait Kevin et Anika. Jean-Jacques et Kevin sont deux agriculteurs fringants, de respectivement 28 et 29 ans. Si Jean-Jacques a une coiffure assez traditionnelle, en brosse, cheveux relativement courts, Françoise a les cheveux courts extrêmement bien coiffés, on croirait presque qu’elle a une permanente, selon les termes des coiffeurs … Nous étions au deuxième rang, Amandine et moi-même, Amandine à ma droite.

    Il y avait, à ma gauche Christy, une très jolie jeune femme blonde un peu du style d’Amandine, mais avec les cheveux plus courts, au carré, et à droite d’amandine, un homme assez BCBG, le cheveu ripoliné, en costard cravate noir qui devait sortir tout droit d’une banque. Il s’appelait Bernard. Derrière nous, de gauche à droite, d’abord deux personnes du groupe de fessée, que nous ne connaissions pas, plus âgés que nous, portant les noms de Greg (Grégory?) et Maude, l’homme cheveu en bataille, mi-longs, et la dame avec un chignon. Et enfin nos deux amis, Yasin et Marion.

    Yasin et Marion … comment vous dire ? Ils représentaient vraiment le beau couple, dans route sa perfection. Même grandeur, même gabarit si je peux dire, cheveux noirs chacun. Yasin était coiffé de manière bohème, cheveux courts, frisés. Et Marion avec de très beaux cheveux longs, raides, la raie au milieu. Bref, nous étions au complet, 12 personnes, moi et Amandine comprises. 13 avec le prof de compta.

    Toutes les femmes avaient mis soit une minijupe très courte, sauf Amandine et la jeune femme, Christy, à côté de moi, qui avaient mis un pantalon d’été, clair et relativement moulant. On aurait dit qu’elle s’étaient donné le mot. Ah, Anika était venue en short en jean très moulant et hyper court.

    Quant au prof, c’était bien, comme on nous l’avait dit, un grand gaillard, baraqué, 1m80 au moins, le cheveux très court, presque rasé. Et il a commencé son vrai-faux cours. Je veux dire que c’était vraiment de la comptabilité. Je vous passe les détails. A la fin du cours il a donné un devoir à faire pour la prochaine fois. En fait nous avions vraiment fait comme si c’était un cours très accéléré, chaque soir pendant une semaine…

    À ce stade du récit, je dirais que, si j’éprouvais effectivement de l’amour véritable pour Amandine, avec son lot d’attirance sexuelle, je n’étais pas insensible à l’extrême sex-appeal d’Anika. Et Christy, à ma gauche, m’a fait l’effet d’une bombe sexuelle !!! Je n’hésitais pas à les mater pendant tout le cours, m’imaginant les voir, elles aussi, déculottées…

    A la fin du premier cours, nous nous sommes salués chacun et chacune, en essayant de nous rappeler nos prénoms, surtout ceux que nous ne connaissions pas encore. Et nous nous sommes quittés.

    Lorsque nous sommes rentrés à la maison, Amandine était toute excitée, tellement contente du cours. Nous avons fait nos exercices ensemble, en nous entraidant. Et nous nous sommes couchées, toutes deux enthousiastes de ce que nous étions en train de vivre. Moi je jubilais intérieurement, en regardant Amandine, lorsqu’elle était de dos, son magnifique derrière tellement bien arrondi dans son jean, on devrai dire même : moulé dans son jean serré. Et j’essayais de visualiser ce qui allait pouvoir se passer le lendemain. Mais j’étais loin de l’imaginer vraiment.

    Quatrième chapitre

    Bref, nous nous sommes tous retrouvés, le lendemain, à la même heure. Dès que j’ai vu l’œil brillant du prof, j’ai immédiatement su que les choses sérieuses allaient commencer. Il a vérifié nos devoirs, puis il a fait venir au tableau les étudiants pour leur faire faire des exercices au tableau. D’abord Jean-Jacques puis Anika. Ensuite il a eu encore interrogé Christy, la jolie personne qui était à ma gauche.

    Les exercices étaient relativement complexes, mais ils s’en sont tous les trois assez bien tirés. On sentait que le prof était sévère, ne laissait passer aucunes fautes. Il n’hésitait pas à corriger les étudiants lorsqu’ils faisaient une faute. Enfin … il les corrigeait … verbalement. Mais assez sèchement. Amandine buvait littéralement toutes ses paroles. Elle était totalement dans son cours ! La pauvre, si elle avait pu imaginer ce qui allait lui arriver …

    Je jouissait intérieurement. Qu’est-ce que tout le monde jouait bien son rôle !… Et enfin le prof a choisi Amandine. Je dois préciser ici que nous avions encore beaucoup parlé, la veille au soir, au téléphone, pour préparer ces moments et amener la fessée de manière subtile, réaliste et surtout d’une manière qui prenne vraiment Amandine par surprise (j’étais sorite acheter du lait au centre commercial situé à 1 km de chez nous, et j’avais appelé J.-J. Au téléphone portable).

    Donc Amandine a eu une question un tout petit peu plus difficile que les autres, mais juste un tout petit peu. Et évidemment elle a eu plus de peine à résoudre le problème. C’est alors que le faux prof (il s’appelait François mais nous devions dire Monsieur Grabert) a progressivement augmenté l’aigreur de ses remarques.

    D’abord :

    « <i>Vous avez de la peine, hein, Amandine ?… </i>»

    Puis :

    « <i>Eh bien … bravo ! Ah la la, c’était laborieux…</i> »

    Des murmures ont commencé à se faire entendre dans la classe. Anika a laissé échapper un petit rire. Je voyais Amandine commencer à se liquéfier. Elle essayait désespérément de trouver la solution au problème. Le prof l’aidait mais ça ne marchait pas, et il devait lui dire chaque fois :

    « <i>Non, non … ce n’est pas ça. Vous n’avez toujours pas compris le problème …</i> »

    J’en étais presque malheureuse pour Amandine, mais pour rien au monde je n’aurais tenté d’interrompre cette séance. Je brûlais trop de la voir déculottée. J’avais la jambe qui en tremblait presque. Mon cœur battait dans ma poitrine plus fort que d’habitude.

    Je lançais des regards furtifs à droite et à gauche. Il y en avait qui souriaient ou même, comme Anika, qui maintenant riaient franchement. D’autres avaient cet œil brillant qui ne laisse rien ignorer de l’état d’excitation dans lequel ils étaient. Les garçons particulièrement… Mais les filles avaient aussi l’air particulièrement intéressées par ce qui était en train de se passer.

    Puis le prof a accéléré ses remarques en les lançant de manière de plus en plus sèches et avec un ton de plus en plus énervé :

    « <i>Mais enfin concentrez-vous ! Je vous ai montré comment faire ! </i>»

    Et enfin, comme nous jouions bien notre rôle d’étudiants et amis d’Amandine, nous rigolions de plus en plus de ses fautes bêtes, le prof a fini par lancer :

    « <i>Mais c’est pas possible ! Vous vous moquez de nous ?… Ça vous amuse de vous moquer de moi et de faire rire la galerie ? </i>»

    Le silence s’est fait. Ah ça y est, c’était LE Moment que nous avions choisi. Amandine était stupéfaite. Elle regardait tour à tour le prof et la classe, l’air hébétée. Ses jambes tremblaient légèrement. Oh la la. Je commençais presque à mouiller dans ma culotte. J’espérais qu’Amandine ne verrait pas mon trouble intérieur. J’avais mis une minijupe du style de celles que portent les écolières japonaises, vraiment bien courte, et elle aurait pu voir entre mes jambes mon trouble. Mais heureusement elle était dans un tel état de décomposition qu’elle n’a rien vu sans doute.

    Le prof lui a alors asséné le coup de grâce :

    « <i>Vous savez, si c’est ce que vous voulez, j’ai une autre méthode d’enseignement … celle qu’on utilisait avec les enfants pas sages à l’époque.</i>»

    Amandine le regarde sans pouvoir articuler une réponse. Il reprend :

    « <i>Bon. Vous allez me refaire cet exercice. Et je vous en prie, faites-le correctement. Je vous ai aidée tout au long et maintenant vous connaissez la méthode. Si vous ne le faites pas correctement, ça va vraiment mal se passer pour vous .</i>.. »

    Alors Amandine ressaie de faire l’exercice. Mais ça ne marche pas. Elle fait une faute, une deuxième, une troisième. Et le prof l’arrête :

    « <i>Bien cette fois je vais vous appliquer ma méthode. Je vais vous baisser les culottes devant toute la classe </i>! »

    Silence. Amandine est terrorisée. Jamais elle n’aurait imaginé cela. Elle nous regarde, cherchant une aide. Mais elle ne rencontre que des visages brillant d’excitation, même moi. Alors elle comprend qu’elle va y passer. Je la vois se décomposer encore un peu plus. Les larmes lui viennent aux yeux. Et là, elle a cette phrase tellement touchante, la voix tremblotant, pleurant quasiment :

    « <i>Oh non ! Pas devant toute la classe …</i> »

    Le prof réplique :

    « <i>Vous avez voulu un cours d’où vous ressortiriez en sachant la compta ? Eh bien cette fessée déculottée devant toute la classe est l’ultime chose que je puisse faire, et qui pourra peut-être vous aider à vous concentrer !</i> »

    Et il ajoute :

    « <i>Bien venez ici.</i> »

    Il prend une chaise posée là, à côté du tableau, et vient la placer devant nous tous. Amandine est tellement sidérée qu’elle n’essaie même pas de s’enfuir, ni même de protester. Le prof attrape Amandine par le bras et la traîne vers la chaise où il s’assied. Les larmes coulent déjà sur le visage d’Amandine.

    Tout autour de moi je ne vois plus que des visages hilares ou excités à mort. Anika se met les mains l’une contre l’autre comme si elle allait applaudir. Elle a un sourire comme je ne lui en ai jamais vu ! Son ami Kevin avait son visage d’une rougeur incroyable, comme si c’était lui ui allait recevoir la fessée… J’ai vu ma voisine Isabelle glisser discrètement une main dans son pantalon pour se caresser. Voyant cela, nos amis Jean et Marion en ont fait autant.

    Et le prof a attrapé le pantalon d’Amandine et l’a baissé d’un coup sec. Amandine n’a même pas pu réagir. Elle est maintenant en culotte, devant nous. Amandine est très pudique, je n’avais jamais vu sa culotte. Je regardais comme jamais je n’avais regardé quoique ce soit. Le silence était pesant dans la classe. Et le prof a attrapé la culotte et l’a baissée jusqu’au niveau des cuisses, aussi brusquement qu’il avait baissé le pantalon aux chevilles. Ouaaah le spectacle !… Les fesses d’Amandine s’offraient à nos yeux, dans toutes leur sublime splendeur !

    Anika a pouffé de rire, ainsi que deux autres filles, celle qui était à ma gauche et la dame de derrière moi à gauche. Je voyais Kevin au bord de l’apoplexie. Son visage rouge pivoine d’émotion était prêt à exploser. Nos amis derrière moi à droite commençaient sérieusement, et sans pudeur, à se caresser dans leur culotte. Moi-même, je n’ai pas pu m’empêcher de rire nerveusement. Je ressentais une excitation incroyable. Mais en même temps, j’avais les mains moites, la gorge sèche, mon cœur battait dans ma poitrine, ce qui me faisais penser que mon visage devait être aussi rouge que celui de Kevin.

    Le prof avait placé la chaise de telle sorte que lorsqu’il était assis, il se présentait à nous de trois quarts face, comme on dit<i>.</i> Et on voyait Amandine de trois quarts arrière. Donc on voyait aussi un tout petit peu de son visage, et les larmes coulaient à présent sur son visage, sans que l’on eusse pu dire, à ce moment précis, si elle pleurait vraiment … Mais le prof savait ce que l’on avait décidé. Il l’a attrapée par le bras et a commencé par la forcer à se tourner vers nous.

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