La fessée de Stephanie

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  • Ce sujet contient 8 réponses, 8 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Sevy-67, le il y a 3 semaines.
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  • #103875
    Marc
    Participant


    Un récit qui met en scène la fessée au travail  méthode managériale qui pourrait s’avérer sinon innovante pour le moins pertinente dans certains cas…

    Je suis  Stéphanie, une pétulante quinquagénaire doté me dit on d’un sale caractère et particulièrement portée, depuis toujours,sur les bêtises en tout genre qui m’ont d’ailleurs values à moult reprises et pendant très longtemps des fessées maternelles.

    Physiquement je suis plutôt jolie, pulpeuse, un peu trop à mon goût mais je dois dire que  ce sont sans doute mes rondeurs qui me valent un indéniable succès auprès de la gente masculine…

    Aujourd’hui je travaille en tant qu’assistante à la Direction financière d’une grosse entreprise de promotion immobilière.

    De mon enfance, sans doute, j’ai conservé une attirance particulière pour la fessée qu’il m’est arrivé de pratiquer avec quelques amants, souvent rencontrés au sein de l’entreprise où je travaille, plus récemment sur un site de rencontres dédié à la fessée sur lequel j’ai fini par m’inscrire.

    La direction dans laquelle je travaille est essentiellement gouvernée par des femmes dont ma Directrice, Mme Regina Durand, maitresse femme, élégante et belle au demeurant, à la stature imposante. Mme Durand est  très crainte des salariés et la rumeur publique, cette grande bavarde, lui prête une relation intime  avec notre Directeur général, Luc Delaporte, homme falot placé dit on à ce poste par népotisme.

    Ce matin là je manquais sans doute un peu d’activités et j’étais surtout, il faut bien l’avouer, plus intéressée par mes activités personnelles que par mon travail.

    Vers un 11h je n’y tins plus et décidai d’aller faire un tour sur mon site préféré pour répondre au message du spanker avec qui  j’étais en relation.

    Tellement absorbée que j’étais par  mon

    écriture que je n’entendis pas ma directrice qui, passant par là, s’était subrepticement et discrètement approchée de mon poste de travail et considérait attentivement ma coupable activité. Alarmée trop tard par sa presence je ne pus réagir, j’étais prise la main dans le sac !

    Eh bien Stéphanie ! Mais où vous croyez vous ?

    Quel est ce site sur lequel vous êtes? J’ai vu le logo et les illustrations qui ne laissent aucun doute sur sa nature!! N’est ce pas ?

    Honteuse , le palpitant qui bat la chamade  je ne pus que bafouiller et confirmer son observation.

    C’est inqualifiable Stéphanie!

    Pensez vous que vous êtes payée pour vous livrer  à de telles activités sur votre lieu de travail!! et en utilisant de plus le matériel de l’entreprise au risque de mettre en péril notre réseau informatique !

    Stéphanie, vous filez un mauvais coton ! ce n’est pas la première fois que j’ai à vous faire des observations sur votre comportement et votre négligence professionnelle ce qui vous a valu récemment un énième avertissement mais là je crains que cette nouvelle faute soit irrémédiable.

    Vous ne me laissez pas d’autres choix que de faire un rapport à la DRH!

    Écoutez Stephanie je dois partir en réunion nous verrons ça plus tard mais croyez moi que je vais m’occuper personnellement de votre cas.

    J’étais assommée, anéantie,  je ne pouvais pas prendre le risque d’une nouvelle sanction disciplinaire voire d’un licenciement pour faute grave ce qui me pendait au nez. Et oh mon dieu! toute la boîte allait être alertée quelle honte pour moi. Comment allais je justifier de ça vis à vis de mon époux? Comment me sortir de ce guêpier? Quelle imbecile!

    Foutu pour foutu je décidais de solliciter un entretien dans les plus brefs délais avec Mme Durand avant qu’il ne soit trop tard et qu’elle ait averti la DRH de ma nouvelle incartade.

    Je lui adressais immédiatement un mail  en la suppliant de m’accorder une entrevue dès  que possible . Elle me répondit une heure plus tard me convoquant dans son bureau à 18h .

    À l’heure dites je toquais à sa porte, entendit sa voix autoritaire qui m’invitait à entrer. Elle était occupée à rédiger sur son ordinateur et me laissa mariner un moment avant que de lever la tête vers moi. Je me tenais debout face à elle la tête baissée les mains jointes que je me frottais nerveusement . Eh bien Stéphanie ?

    « Madame balbutiais- je… Je regrette mon comportement qui mérite bien sûr une sanction sévère mais je vous en prie, j’ai trop honte et je voudrais que cela reste entre nous …. »

    Elle ne répondit pas et à nouveau me laissa quelques interminables secondes dans l’embarras. Lorsque je me décidai à lever la tête pour la regarder elle me fixait de son regard à la fois sévère et impassible. J’étais toute rougissante puis au bout d’un moment elle me dit « Que voulez vous dire Stéphanie je ne comprends pas ?»

    Je me jetais à l’eau : «  Madame mon comportement est extrêmement fautif je suis prête à accepter de votre part la punition  que je mérite mais de grâce n’en informez pas  la DRH »

    Elle me considéra encore un long moment puis : « vous pensez à une punition en particulier Stéphanie?» me dit elle paraissant faussement déconcertée sans se départir pour autant de son regard pénétrant.

    « Oui Madame »

    « Et bien Stéphanie je vous écoute ! » me dit elle pressante d’un ton excédé.

    Je ne me souviens pas avoir connu pire humiliation. Je triturai nerveusement mes mains la tête toujours baissée et fini par parvenir à dire de façon à peine audible

    «  Une fessée » comment Stéphanie ai je bien entendu ? Voulez  vous répéter plus fort s’il vous plaît en me regardant « Une fessée Madame » répétais je rouge cramoisie à plus haute voix. Mme Durand toujours assise derrière son bureau me fixait de son regard impressionnant.

    Puis elle me dit: «Une fessée Stéphanie?

    Mais enfin! vous rendez vous compte de ce que vous êtes en train de me demander ? Je crains ma fille que vous ne fassiez qu’aggraver votre cas !»

    « Je vous en supplie Madame, j’ai vraiment besoin de cela pour être recadrée mais je voudrais absolument éviter un rapport à la DRH  s’il vous plaît ! »

    « Ma pauvre Stéphanie vous ne cesserez pas de me surprendre … » puis elle ajouta sèchement et en me regardant droit dans les yeux «Je vais réfléchir à votre demande …vous pouvez disposer Stéphanie »

    Deux jours après mon passage dans le bureau de Mme Durand je reçus un matin  un mail de sa part qui me disait en substance:

    « Stéphanie pour faire suite à votre demande vous voudrez bien vous présenter à mon bureau demain soir à 19h après votre travail »

    Je ne savais pas précisément à quoi je devais m’attendre et reçus  cette convocation avec un certain soulagement mêlé d’une crainte et d’une espèce d’ excitation indicible.

    Deux longues journées à attendre avant le dénouement de ma dernière bêtise et de connaître le sort que Mme Durand me réservait. Allait elle accéder finalement à ma demande de punition, s’en chargerait elle personnellement ? Je frissonnais et tremblais dans ma culotte à cette pensée.

    Le lendemain je préviens mon époux que je devais assister à une réunion en début de soirée et que je ne rentrerai pas tôt, qu’il ne m’attende pas .

    Comment allais je m’habiller pour la circonstance? Je décidais finalement de me présenter avec une jupe ample juste au dessus du genou, mon kilt ferait l’affaire, et je choisis une culotte blanche couvrante en espérant que si Mme Durand se mettait effectivement en devoir de me fesser elle n’irait pas jusqu’à me déculotter …Quoi que? Je décidai finalement de revêtir également un collant.

    Je croisais Mme Durand à plusieurs reprises dans la journée, égale à elle même, elle ne me fit aucune allusion quand à notre rendez vous du soir. Monsieur Delaporte fit comme à son habitude plusieurs incursions dans son bureau, (il me jeta plusieurs regards furtifs que je n’avais jamais remarqué auparavant …) Dans l’après midi Mme Durand m’appela pour me demander de rédiger une note dont elle m’indiqua les grandes lignes en m’indiquant que c’était urgent et qu’elle la voulait sur son bureau une heure plus tard. Je rédigeai à la hâte cette note craignant quelques fautes et approximations et m’empressais de la lui apporter. Lorsque je quittai son bureau elle me considéra avec toujours ce regard appuyé et se contenta de me dire «  Nous nous verrons tout à l’heure Stephanie, soyez à l’heure ».

    Alors que tout le personnel avait quitté la boîte je me retrouvais seule à mon poste de travail attendant nerveusement le moment fatidique où j’allais, dans un quart d’heure, toquer à la porte du bureau de Regina Durand …

    À l’heure dite je me décidais. J’étais dans un état d’angoisse et de crainte que je n’avais jamais vécu auparavant.

    « Oui Entrez » me dit Mme Durand

    Je n’étais pas fière c’est le moins qu’on puisse dire pour qualifier ma contenance.

    Sans propos liminaires et contre toute attente Mme Durand m’invita à m’asseoir à une petite table, dans un coin de son bureau, où étaient disposés papier et stylo . Elle m’indiqua alors :

    «  Stéphanie j’ai décidé à  titre exceptionnel d’accéder à votre demande très spéciale, vous en conviendrez, j’en ai informé  M Delaporte compte tenu du caractère que je qualifierais de très particulier de la sanction que vous avez vous même sollicitée, il y souscrit dans votre cas uniquement pour vous éviter un licenciement et si cette sanction doit effectivement vous permettre de vous amender. Nous sommes convenus de recueillir  un écrit de votre part que je conserverai personnellement dans votre dossier »

    Allons y : et elle me dicta:

    Je soussignée Stéphanie Lapousse  exerçant la fonction d’assistante au sein de la Direction administrative et financière de l’entreprise Boursimmo reconnais, sur mon lieu et temps de travail, m’être connecté sur un site de rencontres pour adultes concernant la fessée. J’ai conscience, ce faisant,  non seulement d’avoir enfreint les règles élémentaires de ce qui est permis dans le cadre du travail mais d’avoir de plus mis en péril la sécurité et l’intégrité du réseau informatique de l’entreprise. Je reconnais que ce grave manquement de ma part est également consécutif à plusieurs autres fautes qui m’ont valu avertissements.

    C’est à ma demande expresse que j’ai sollicité de Mme Durand, ma directrice, de bien vouloir faire preuve de mansuétude en m’ administrant une fessée, sanction à laquelle je consens pleinement, que je reconnais tout à fait adaptée en la circonstance, et que je sais pouvoir me recadrer et me prémunir au mieux contre toute nouvelle récidive.

    Fait à          Le

    Signée Stéphanie Lapousse

    Je tendis ensuite le feuillet à Mme Durand qui l’examina avec attention, nota au passage quelques fautes d’orthographe qui me valurent de vertes réprimandes.

    Puis elle me saisit par l’oreille pour me lever de ma chaise et me fit faire ainsi le tour de la pièce tout en me sermonnant « Ah vous voulez être punie Stéphanie et bien soit je vais vous la donner cette fessée ma fille. d’autant plus que j’ai lu la dernière note que je vous ai demandée et que ce n’est vraiment pas brillant, il va falloir sérieusement vous amender

    Stéphanie ! Qu’en pensez vous ? »

    «  Oui Madame je vous le promets »

    « Je vais y veiller et m’y employer Madame Lapousse croyez le bien! »

    Elle lâcha enfin mon oreille rouge écarlate et alla quérir une chaise qu’elle installa au milieu de la pièce .

    Elle pris place sur la chaise et tendant sa main droite vers moi elle m’invita à lui donner la mienne qu’elle saisit fermement pour m’installer sur ses genoux, les fesses hautes juchées, la tête basse mes mains appuyées sur le sol par obligation . Ainsi Mme Durand avait accès à mon séant sans que je puisse opposer la moindre résistance ni même utiliser mes mains pour me protéger .

    Elle commença par caresser mes fesses à travers la jupe, prémices à la fessée pendant lesquelles elle éprouvait le volume et la fermeté de mon postérieur.  Elle était dotée de larges mains à l’avenant de sa stature. Ses mains effectuaient maintenant de grands mouvements circulaires sur mes globes fessiers; j’étais parcourue de frissons tant par la sensualité de ces mouvements que par la crainte de la correction qui promettait de s’abattre sur mon derrière joufflu qu’elle semblait apprécier. Visiblement Mme Durand n’en était pas à sa première fessée je dirais même que je la pressentais plutôt experte en la matière.

    Après avoir pris la mesure de mon fessier la première claque bien sentie s’abattit sur ma fesse gauche puis sur la droite. L’effet produit, alors que ma jupe me protégeait encore, me laissait  déjà craindre la pire des corrections. Mme Durand alternait les claques d’une fesse à l’autre d’un rythme lent mais soutenu. Elle marqua une pause pour masser mon fessier, semblait prendre son temps pour accomplir la punition avec application et dans les règles de l’art…

    Puis elle se saisit de ma jupe et me troussa prestement. La honte montait en moi exposée comme je l’étais sur les genoux  de ma directrice. Je craignais le pire . C’est alors que Mme Durand m’intima l’ordre de me lever et de retirer mon collant que j’avais pris la précaution bien inutile de revêtir.

    Puis elle m’invita à reprendre ma position.  Maintenant ses claques s’abattaient avec toute la vigueur dont elle était capable sur mes cuisses nues et sur mes fesses seulement protégées par ma culotte en coton. Heureusement que le personnel avait quitté le bureau car les claques

    sonores que je recevais n’auraient pas manqué d’alerter et de renseigner les auditeurs présents. Je me mis alors à gémir, commençais à me cabrer en montant mes fesses ce qui me valut une avalanche de claques plus fortes et rapides et que ma fesseuse m’intima l’ordre de me taire.

    « Taisez vous Stéphanie vous avez vous même demandé cette correction amplement méritée, je vous demande de la subir en silence s’il vous plait » Puis elle marqua une pause et ajouta: « considérez ma fille qu’il s’agit là du prix de votre redemption et d’une discipline qui vous est devenue nécessaire. M’entendez vous ? »

    « Oui! » « comment je n’ai pas entendu ?»

    « Oui Mme La directrice »

    « A la bonne heure ! On progresse! »

    Sur ces paroles Mme Durand se saisit de l’élastique de ma culotte qu’elle baissa jusqu’à mes genoux , mon derrière déjà sans doute passablement rougi se trouvait alors honteusement exposé sans la moindre défense et à la merci de cette maitresse femme qui ne lésinait pas sur les claques de plus en plus vives et sonores qui s’abattaient sur mes fesses à un rythme de plus  en plus soutenu. Elle marqua quelques pauses au cours desquelles j’appréciais tout de même un peu de répit pour ressentir le massage prodigué par ma directrice sur mes fesses brûlantes.

    Elle cessa enfin cette fessée magistrale et m’invita à me mettre debout . Alors que je restais troussée et la culotte baissée elle gratifia ma fesse droite de de deux bonnes claques et m’invita à me mettre au coin la culotte baissée, les fesses exposées en ajoutant :

    «  Stéphanie, je vous invite à méditer sur vos bêtises, voulez vous bien mettre vos mains sur la tête et ne pas bouger s’il vous plaît ! Je vous surveille gare à vous! »

    Elle s’installa alors à son bureau pour contempler son œuvre et me surveiller. Au bout d’un long moment je l’entendis se lever et j’en profitais alors pour relâcher ma pose et tentais en tournant ma tête de constater l’état de mon fessier que je frottais pour apaiser la douleur lorsque j’entendis Mme Durand!  « Stéphanie je vous ai demandé de ne pas bouger !! Venez ici immédiatement !

    Elle reprit place sur sa chaise et m’invita à repasser sur ses genoux.

    « Vous n’avez pas bien compris, il me semble Stephanie, alors vous allez m’obliger à vous montrer ce qu’il en coûte de votre désobéissance. »

    Vous avez gagné deux séries de 10 claques supplémentaires sur chacune de vos fesses et pour que la punition vous soit profitable et bien comprise, je vous demande de les compter à haute voix. Méfiez vous Mme Lapousse, une  erreur et nous reprenons à zéro. Elle me tapota le derrière avant que d’administrer la première claque d’une intensité incroyable « 1 hurlai je !» puis une série de neuf autres claques semblables et rapprochées se succédèrent jusqu’à 10 m’obligeant à compter de plus en plus vite et de plus en plus fort.

    Jamais encore je n’avais subi une telle correction et humiliation .

    J’étais en larmes et je serrai les dents.

    « Deuxième série Stéphanie vous êtes prête ?»

    «  Oui Mme la Directrice me surpris je à crier à l’instar d’un soldat effectuant un exercice »

    À nouveau 10 claques s’abattirent sur mes fesses jusqu’à la 40ème qui sonna enfin la fin de la punition .

    « Bien Stéphanie nous allons nous arrêter là. Pensez vous avoir bien compris la leçon? »

    «  Oh oui Mme la directrice hoquetai je entre deux sanglots »

    Je l’espère pour vous car je n’hésiterais pas à nouveau à recourir, si besoin, à cette discipline dont nous évaluerons les effets.

    Est ce entendu Mme Lapousse ? »

    «  oui Mme la directrice »

    « veillez vous courber sur la table 5 mm encore  »

    Mme Durand ouvrit alors un tiroir de son bureau et pris un tube de crème dont elle oint entièrement mon large derrière

    puis en guise de conclusion elle flatta mon postérieur en  le gratifiant de deux ultimes  claques .

    «  Voilà Stéphanie vous pouvez vous rhabiller »

    Je ne me fis bien évidemment pas prier et me rhabillai sans plus attendre sous le regard de Mme Durand .

    «  Bonne soirée Stéphanie, à demain »

    « Oui merci Mme la directrice. Bonne soirée,  à demain »

    Après cette première punition je me montrais immédiatement plus respectueuse des règles auxquelles il convient de se conformer en entreprise.

    Ma directrice me demanda de tenir une espèce de journal de bord où je devais consigner ce que j’avais réalisé au regard des tâches et objectifs qui m’étaient assignés. Une rencontre avec Madame Durand était programmé en fin de semaine 2 fois par mois et lors de l’entretien annuel pour évaluer l’atteinte de mes objectifs, en noter les écarts observer les nouveaux manquements et envisager, bien sûr, les mesures correctives… et les éventuelles gratifications.

    Autant dire que même si mon comportement s’améliorait de jour en jour. Il m’ arrivait malgré tout d’être encore punie. « ne serait ce qu’à titre préventif et pour bien entretenir l’ancrage de ces meilleures dispositions » disait Madame Durand . Nobody’s perfect !

    #103876
    Linette
    Participant


    Ah, l’histoire de Stéphanie ! On dirait qu’elle a trouvé la faille du système… ou alors, son boss a un sens de l’humour à toute épreuve ! Franchement, si sa méthode “particulière” a marché, je me demande si on ne devrait pas tous essayer des approches un peu plus… créatives, disons. Imagine les réunions : “Bon, pour résoudre ce problème, j’ai pensé à…” 😂 Le monde du travail deviendrait tout de suite plus divertissant..

     

    #103878
    BadCristou
    Participant


    Effectivement, Stéphanie a trouvé la faille pour une méthode disciplinaire qui pourrait être bénéfique a beaucoup… J’dis ça, j’dis rien 😁 😋
    Merci pour ce superbe récit

    #103879
    Paulparis
    Participant


    Sachant que notre lieux de travail est souvent l’endroit où on passe le plus de temps dans la journée, y intégrer la pratique de la fessée semble plein de bon sens ! Si seulement l’exemple de Stéphanie faisait école …

    bravo

    #103886
    Marc
    Participant


    Bonsoir à toutes et tous

    Merci pour vos témoignages d’ intérêt voilà qui est gratifiant et qui plaide la cause de la fessée au travail!

    Marc

     

    #103893
    Fessochix
    Participant


    Comme quoi une fesseuse peut aussi être efficace…

    On dit parfois une "bonne" fessée : mais c'est normalement toujours bon ! Et pour les deux...

    #103895
    Homfc78
    Participant


    Super récit

    #103967
    Mystic78
    Participant


    Magnifique aventure, sans temps mort. Merci pour ce beau partage.

    #103973
    Sevy-67
    Participant


    J’ai une amie qui s’apelle Stéphanie, secrétaire également, tête en l’air aussi. Amie que j’aimerais bien voir subir le même sort sous mes mains. Vais-je en profiter pour lui partager ce récit et lui dire tiens, ça te ressemble non ?

    En tous cas cette stephanie a pu trouver ce qu’elle cherchais !

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