La fessée de Julie

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  • #61272
    gaulois76
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    La fessée de Julie

    Lorsque j’étais au lycée, j’avais une amie, pour tout dire ma meilleure amie, qui avait les plus jolies fesses que l’on puisse imaginer. À cette époque-là, je me trouvais grosse, ce qui était loin d’être le cas, j’en bavais d’envie à voir celles de Julie qui étaient si bien proportionnées. Julie avait 18 ans elle aussi, mais pas pour les mêmes raisons que moi. Elle avait eu une grave maladie et avait passé deux ans en sanatorium, ce qui avait provoqué chez elle un retard sur le plan scolaire, mais elle était différente de moi, la seule de mes amies qui travaillait bien. Je l’avais connue car mon père l’avait sauvée, suite à un grave accident de la circulation, elle s’était fait renverser par un chauffeur ivre. Elle avait été soignée dans sa clinique et suivie par lui pendant deux ans et comme nous étions dans le même lycée, il m’avait demandé de sympathiser avec elle car son moral était au plus bas et elle avait perdu toutes ses amies pendant sa longue période de guérison. Cette fille trop sérieuse aurait dû m’énerver, mais non, elle était sympa et on est tout de suite devenues amies. En plus, elle m’était bien utile car elle me filait les cours que j’avais loupés et aussi ceux où j’avais dormi, récupérant de mes virées nocturnes et me elle couvrait face aux surveillants quand elle le pouvait. Julie était une fille adorable, qui jamais ne me jugeait, elle me conseillait seulement de faire des efforts !

    Je n’aurais jamais dû être encore au lycée, car j’avais déjà 18 ans au moment où commence cette histoire. Je me croyais adulte, je l’étais sur le papier, majeure selon les lois de la République française, mais j’étais encore une vraie gamine dans ma tête. Je pensais que la majorité me donnait tous les droits, me donnant une impression de toute puissance et pour tout dire d’impunité, mais le cap officiel ne changeait pas grand-chose pour moi, car mes parents ne m’avaient jamais punie et très rarement disputée. Ils me faisaient confiance, ils n’auraient pas dû, un peu de sévérité aurait sans doute évité bien des catastrophes, mais c’est ainsi. Ils croyaient bien faire. Mon père, chirurgien et patron de sa clinique, avait été éduqué de manière libérale, mais cela ne l’avait pas empêché de tout réussir, sa carrière de chirurgien et de président de l’ordre départemental des médecins. Il était heureux dans son couple et même dans sa vie sociale. Il avait été maire de notre commune, une chic banlieue résidentielle et était ensuite vice-président du département, tout en restant conseiller municipal, une histoire de cumul de mandat, mais je n’y comprends rien. Il n’avait qu’un seul loisir, le golf, où il excellait, là encore.  Ma mère, au contraire, avait été élevée dans la sévérité, elle avait reçu des châtiments corporels et avait été tenue sévèrement, très tard dans son adolescence et même jeune adulte, c’est-à-dire jusqu’à son mariage. Elle était devenue médecin, mais selon elle, sans une éducation stricte et plutôt triste, elle y serait aussi bien parvenue, car elle avait envie d’y arriver, elle voulait être médecin et elle aussi, elle y avait réussi. Elle était gynécologue et heureuse dans son mariage, engagée dans la gestion de leur clinique et avait une vie associative assez riche, elle était catholique et participait activement au secours catholique et à d’autres mouvements d’église. Cependant, elle avait souffert de son enfance et ne voulait pas reproduire la même éducation avec moi, sa fille unique. J’avais bien travaillé jusqu’en seconde, sans trop me fouler, mais dès la classe de première, j’ai rencontré une bande de fêtards et je sortais quand je voulais, je faisais n’importe quoi, buvant, fumant et rentrant tard, profitant du rythme de travail très chargé de mes parents ainsi que de leurs multiples activités extra professionnelles et je les voyais très peu. En rentrant à la maison, je mangeais, debout devant le frigo ou vautrée devant la télévision, ce que la bonne avait préparé. Je matais des séries débiles avant d’aller me réfugier dans ma chambre pour surfer sur des sites interdits ou le plus souvent, de ressortir.  Bien entendu, j’avais redoublé ma première, sans me faire engueuler. C’est donc à 18 ans passés que je devais avoir mon bac, si je l’avais, ce qui était loin d’être gagné, car en terminale, c’était encore pire, je séchais les cours, je découchais régulièrement, profitant du laxisme familial et des préoccupations professionnelles de mes parents, qui avaient de gros problèmes dans la gestion de leur clinique et rentraient fatigués et l’esprit encombré.

    Un jour, Julie m’a raconté que son fantasme absolu, c’était de se prendre une grosse fessée déculottée. Elle me racontait cela sans cesse et moi, je ne rêvais plus que de ça, de voir le joli derrière de Julie dénudé et sévèrement fessé. Son fantasme avait déteint sur moi et c’était moi qui fantasmais, mais bien sûr, jamais, je ne lui ai raconté ce que cela me faisait, lorsqu’elle me décrivait ses envies. C’est sans doute la première fois que j’ai pris conscience de ma sexualité, de cette attirance pour la fessée et je me suis aperçu que je mouillais et que mes seins durcissaient, étant follement excitée, rien qu’à la pensée de voir un tel spectacle. Pourtant, j’avais déjà une vie sexuelle plutôt débridée, mais peu intéressante, car les soirées trop arrosées ou trop enfumées se terminaient souvent par du sexe et bizarrement, si j’avais beaucoup expérimenté, j’avais tenu et réussi à rester vierge, en tout cas de ce qui fait qu’une femme est une femme, le reste ayant été exploré à maintes reprises, mais souvent avec un certain détachement de ma part, quand ce n’était pas du dégoût.

    Quand nous étions à la piscine, je n’avais qu’une envie, c’était de m’approcher de Julie, de soulever son maillot de bain noir une pièce et de toucher son postérieur, pour vérifier si c’était chaud, mais évidemment, je ne l’ai jamais fait. Je le vivais en revanche tous les soirs en rêve et je me masturbais de manière fanatique, ce qui m’obligeait à piquer des produits à ma gynéco de mère, tant j’avais le sexe irrité. J’avais bien essayé dans ma bande où les soirées finissaient parfois de manière un peu orgiaque, en demandant si quelqu’un voulait se faire fesser par quelqu’un d’autre, je me sentais plutôt voyeuse ou même par moi, à la rigueur, mais personne n’a répondu à mes attentes, cela ne faisait pas partie des fantasmes de ma bande.

    Je surfais sur Internet, je cherchais d’abord tout ce qui concernait la fessée et j’ai découvert un monde, avant même d’avoir l’âge pour accéder à ces sites, il suffisait de cocher la case : « j’ai plus de 18 ans » et j’ai découvert beaucoup de choses sur le sadomasochisme et sur la soumission et je rêvais que je pouvais fesser de jolies fesses, en particulier celles de Julie. A ce moment-là, j’étais majeure, j’aurais pu faire des rencontres et assumer mes envies, mais je n’ai pas osé, ma bande était mon refuge et je ne faisais des conneries qu’avec mes amis, garçons et filles, sauf avec Julie, éternellement sage.

    Ma mère était médecin, je le rappelle, et un jour, alors qu’elle m’emmenait acheter des fringues, elle a été appelée en urgence dans un collège un peu spécial, qui d’ailleurs a disparu depuis, je n’ai jamais su pourquoi, pour un avortement raté, il me semble. Je suis dans la voiture de ma mère, j’attends et pendant qu’elle va soigner une adolescente, j’aperçois trois filles qui partent vers le bois. Je ne sais pas ce qui m’a pris, machinalement, je les suis. Elles entraînent une quatrième fille qui crie, qui hurle, qui se débat. Personne ne les surveille. Je continue ma poursuite en me cachant derrière les arbres et je visualise la scène. Les trois filles sont toutes en survêtement, le style « racaille de banlieue », comme disait mon cher père, également élu conseiller départemental et très à droite. Elles baissent le survêtement et la culotte de la quatrième et se mettent à la fesser avec un acharnement inhumain. Chacune leur tour, elles claquent les fesses de la pauvre fille, ne laissant aucun endroit indemne du bas du dos au haut des cuisses. Les cris, puis les pleurs de la fille ne les impressionnent pas, au contraire, je les entends l’insulter en disant que « c’est bien fait pour toi, pétasse ! », « ça t’apprendra, salope, à piquer le mec de Jessica » qui semble être une des trois fesseuses, selon ce que je comprends des insultes. Je vois à travers les arbres, un derrière passer du blanc laiteux au rose uniforme et très vite au rouge vif puis à l’écarlate, je n’avais jamais vu un truc pareil, je suis subjuguée, emportée, en transe.  La fille hurle de plus belle, rien ne les arrête et je l’entends se mettre à sangloter. Il m’arrive un truc incroyable, je sens mes seins durcir immédiatement, mon sexe se mouiller, une vraie fontaine et une secousse incroyable dans mon bas-ventre. Je ne saurais que plus tard que j’ai eu mon premier orgasme. Mes compagnons de débauche, tellement nuls et défoncés, n’avaient semble-t-il jamais appuyé sur le bon bouton. J’entends un coup de klaxon, je rejoins ma mère qui ne comprend pas ce que je faisais. Je ne dis rien. Elle me regarde bizarrement, me pose des questions, car je dois avoir l’air d’une folle, je ne réponds rien, puis comme elle insiste, je lui dis que j’ai mes règles et que je ne me sens pas bien. Elle me dépose à la maison, s’excusant pour l’achat de mes vêtements et elle me dit qu’elle me fera un virement pour que j’y aille toute seule. Elle file vers sa clinique et moi, je file vers la salle de bains où je me termine en beauté.  Rien que de revoir la scène, je jouis deux fois de suite. Après, dans mon lit, j’essaie de comprendre ce que j’ai vu et je réalise avec un peu de honte, qu’à aucun moment, je n’ai eu de pitié pour cette pauvre fille.

    A suivre…

    #61274
    Anonyme
    Inactif


    Très beau récit vivement la suite

    #61276
    celine
    Participant


    Tres beau recit. Vivement la suite

    #61315
    Daddy-for-brat
    Participant


    Jolie histoire

    Je vais devoir utiliser... mon imagination !

    #61318
    gaulois76
    Bloqué


    Je vous envoie la suite, puisque certains semblent apprécier. Merci pour vos commentaires

     

     

     

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