la délicate soirée d'une jeune fille au pair
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anatole, le il y a 5 années et 8 mois.
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- 28 août 2019 à 20:19 #39498
anatole
ParticipantAurélia était à la fois excitée et un peu inquiète en se préparant dans sa chambre pour cette soirée qui allait bientôt débuter. Nue devant le grand miroir de la salle de bains elle observait son corps qu’elle trouvait toujours trop fin et pas si sexy que ça…
Ses 158 centimètres, et son 85 a ne suffisaient pas à intéresser les étudiants qu’elle fréquentait, à son grand regret …L’intense pratique sportive avait voulu ça, mais elle regrettait ses seins trop petits, qu’elle caressait cependant doucement, comme si cela pouvait leur donner un peu de volume. Cette soirée s’annonçait difficile. Depuis qu’elle travaillait au pair dans cette si jolie ville de Saint Hellier, à Jersey, ses patrons si britiches donc rigoureux ne permettaient aucune faute de goût. Ce soir, on l’en avait averti, ils recevaient son médecin du sport, qu’ils ne connaissaient pas, mais avaient eu le bon goût d’inviter passer un week end pour lui faire plaisir, tellement elle leur avait parlé de lui avec des pépites dans les yeux depuis tous ces mois qu’elle travaillait pour eux. Ils avaient pensé que rencontrer un vrai ami lui ferait du bien, esseulée comme elle était sur cette île étrangère.
Quelle délicatesse de la part de gens si guindés!
Il était temps qu’elle s’habille pour aller mettre la dernière main au repas du soir en cuisine.
Juste pour le fun, pour elle même, elle décida d’oublier le soutien gorge…de toute façon, ses seins n’en avaient pas besoin. Elle hésita, mais opta par contre pour une petite culotte un peu sexy, noire en dentelle…du genre de celles que son médecin favori n’avait jamais vue…toujours petite culotte de sportive quand elle devait le rencontrer…depuis toutes ces années….15 ans…a chaque fois, elle redoutait le moment où il lui demandait de la poser, et qu’elle devait se présenter totalement nue devant lui…cela avait débuté à 12 ans…
Cette phrase si souvent entendue…
« -Allez ta petite culotte aussi et pose la, là , sur mon bureau ».
Et depuis…son corps…et ses idées avaient tellement changés…Oui, même il y a un an, lors de sa dernière visite médicale, elle s’était mise nue devant lui, sur son ordre, et il l’avait examinée aussi consciencieusement que les fois précédentes…Mais les vibrations qu’elle ressentait lorsque ses mains se posaient sur elle n’étaient plus vraiment les mêmes…Le soir, dans son petit lit, elle rêvait souvent lorsque ses mains s’égaraient entre ses cuisses que…que….
Ses mains sur ses seins, sa nuque, tout le long de sa colonne ou le long du pli de l aine… là où les sensations commencent à s’intensifier…la chaleur envahit son ventre et machinalement sa main se porta entre ses cuisses, déjà trempées….Elle porta ses doigts à son nez et renifla les senteurs de son sexe…mais non, jamais cela ne pourrait se produire, et surtout pas ce soir…Elle essuya vite fait ses doigts sur sa petite culotte noire en dentelle.
ll fallait qu’elle descende vite en cuisine. Ses patrons ne l’avaient jamais tancée méchamment, mais elle ressentait bien qu’il ne fallait jamais les décevoir.
En quelques secondes, elle enfila sur son torse nu sa chemise blanche, fit glisser le long de ses jambes musclées la petite jupe écossaise qu’elle serra de la ceinture de cuir, posa ses jolis pieds dans les chaussures basses, et finit sa toilette par la cravate autour de son cou. Elle se regarda une dernière fois dans le miroir, tournant sur elle-même. Oui, elle était vêtue telle que ses patrons aimaient la voir….Sous certains angles de la lumière, ses siens nus pouvaient se voir au travers du léger tissu de sa chemise, mais bon…il était trop tard pour les couvrir…Elle descendit rapidement l’escalier puis obliqua directement vers la cuisine sans pénétrer dans le salon. Déjà elle entendait quelque discussion….Elle identifia à la volée plusieurs voix, celle du maître de céans, celle de son médecin favori, et puis une autre voix d’homme qui lui rappelait vaguement quelque chose, mais elle n’eut pas le temps de se poser la question. Il fallait qu’elle file vite récupérer en cuisine les petits canapés qu’elle avait patiemment préparés un peu plus tôt pour l’apéro.
Quelques instants plus tard, elle pénétra dans le salon, stoïque son plateau à la main, mais tressaillit et faillit renverser les canapés sur la profonde moquette. La voix qu’elle avait perçue sans l’identifier était celle d’un homme qu’elle avait croisé dans l’après midi. Elle avait emmené les enfants dans une librairie pour leur acheter quelque manuel franco-anglais. Le temps qu’ ils cherchent leur butin, elle était tombée sur un vieil album de Manara, s’était assise par terre et avait commencé sa lecture, se plongeant dans les affres que les jolies filles de papier devaient subir aux mains d’hommes tous plus pervers les uns que les autres. L’après midi était douce et calme et très vite, elle oublia les enfants qu’elle accompagnait et l’endroit où elle se trouvait…Cela faisait trop longtemps qu’elle n’avait pas rêvé à ça…Alors que sa main avait plongé dans sa petite culotte, soulevant sa jupette dans ce petit coin sombre de la librairie dévolu aux BD érotiques, la voix sévère du libraire stoppa sa masturbation…
« Hello miss….Where are you…that’s no correct…Your childs are waiting for you… ».
Il tourna les talons et repartit vers la caisse, la laissant honteuse, le rouge aux joues et la main luisante…Elle posa la bd à même le sol et rajusta sa jupe, courant pour récupérer les gamins et payer leurs achats.Elle évita son regard quelque peu égrillard et claqua la porte derrière elle, engueulant gentiment les gamins d’avoir traîné tellement longtemps alors qu’elle les attendait, juste pour se donner une contenance.
Elle avait mis cet épisode torride dans un coin de sa tête, mais voilà…Il était là, assis tranquillement dans un fauteuil face à elle arrivant son plateau à la main, dans sa petite tenue parfaitement correctement britiche. Elle ne put éviter le drôle de regard qu’il balança sur son corps de bas en haut… et en un instant se demanda s’il avait vraiment vu sa main s’activer sur son clitoris sous sa culotte quelques heures auparavant. Elle réussit à déposer sans dégât le plateau rempli de canapés sur la table basse, rajustant par principe et par réflexe sa jupe qu’elle suspecta bien trop courte sur le moment, et s’accrocha au sourire de son médecin favori qui venait de se lever et de la prendre dans ses bras pour une accolade qu’elle trouve si intense…et chaleureuse…ce dont elle avait vraiment besoin sur l’instant…
« -Je suis tellement heureux de te voir enfin dans d’autres circonstances…allez vient t’assoir à côté de moi , je suis sûr que tes employeurs trouveront normal que tu trinques avec nous pour l’apéritif… ».
Elle jeta un regard au Maître des lieux qui accepta d’un froncement de sourcil. Elle versa dans les verres les breuvages demandés par les divers convives puis vint poser ses fesses sur le canapé côtoyant comme jamais d’aussi près son médecin adoré. Elle sentait le feu dans ses joues et son ventre. Elle avança le bras vers la bouteille d’eau pétillante, mais la main si douce de son voisin l’arrêta…
« -Allons, je sais que tu ne bois pas d’alcool, mais ce soir je pense que tu en as le droit…n’est ce pas cher Sir…
-Yess…she can this night…. ».
On lui servit donc une bonne rasage de scotch 18 ans d’âge dans un verre qu’on lui tendit, et ils trinquèrent….
Décidément, elle savait que cette soirée allait être étrange, mais elle n’imaginait pas à quel point…Elle porta le verre à ses lèvres et avala une première gorgée brûlante…Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser
29 août 2019 à 13:04 #39514Zatopek33
BloquéBRAVO, mon cher Anatole qui traduit si voluptueusement les troubles, les affres d’une jeune fille .
Nous en attendons la suite avec impatience !31 août 2019 à 09:25 #39561anatole
ParticipantAurélia qui ne buvait jamais d’alcool plissa les yeux et faillit s’étouffer en déglutissant cette première gorgée de vieux scotch titrant 43 degrés ! En haussant les épaules, elle fit l’effort d’avaler le liquide qu’elle sentit progresser tout le long de son œsophage puis inonder d’une chaleur intense son estomac, et se répandre petit à petit dans tout son ventre. Lorsqu’elle rouvrit les yeux, elle se trouva transpercée par trois regards qui la fixaient intensément, ce qui intensifia nettement la rougeur qui était montée sur ses joues. Le silence de quelques secondes fut enfin coupé par des éclats de rire !
C’est son médecin qui fit la première remarque :
« -Ben alors poussinette (elle détestait à son âge qu’il continue à l’appeler ainsi ! Maintenant, elle était femme tout de même), il était temps que tu te mettes à picoler…aurais-je raté quelque chose dans ton éducation ? Allez un peu de courage, à la troisième gorgée, tu vas trouver ça très bon et tu vas te sentir légère comme tout ! ».
Ces mots déclenchèrent un rire franc chez les deux autres hommes qui la regardaient toujours aussi intensément.
A la seconde gorgée qu’elle ingurgita, elle dut bien s’avouer que ses idées commençaient à batifoler quelque peu. Mais une énorme question la taraudait depuis qu’elle avait franchi le seuil du salon. Que faisait ici ce libraire d’une soixantaine d’années qui l’avait trouvée dans une position peu flatteuse quelques heures plus tôt et l’en avait sérieusement tancée ? Etait-ce une vieille connaissance de ses patrons, ou un hasard de rencontre récente ? Ou bien s’était il fait inviter spécialement ce soir, et surtout, avait il informé Mister Jones de son activité lubrique au sein de sa boutique en plein après-midi ? Et encore plus étrange, il semblait très proche d’Anatole, son médecin chéri (ben oui, faut bien que je lui donne un prénom à celui là…au hasard, Anatole, allez savoir pourquoi!). Se connaissait il d’avant ? Auquel cas, serait elle tombée dans un traquenard ? L’alcool n’avait pas encore fait suffisamment d’effet pour qu’elle ose poser ces questions en réalité.
Pour se donner une contenance, elle posa délicatement le verre de cristal sur la table basse et s’empara d’un des canapés au concombre qu’elle avait soigneusement préparé dans l’après -midi, qu’elle engouffra en une bouchée. Elle se rendit compte en même temps que ce n’était guère convenable. S’étranglant à moitié avec le pain de mie moelleux , elle réussit à se lever et dit :
« -Désolée, je manque à tous mes devoirs….voilà ce que c’est que de me faire boire de l’alcool… ! ».
Elle se saisit du plateau et avança lentement tout autour de la table, présentant les canapés à chacun des convives.
Mister Jones répondit à ses excuses, avec son délicieux accent anglais.
« -Mais non, Mademoiselle Aurélia, ce soir vous êtes pardonnée de toutes vos….fautes…euh…comment dit on en français ? Manquements…oui…. manquements…c’est votre soirée, et je vous autorise à quelques…bévues….du moment que vous les avouez vous même… ».
Tout en tentant de ne pas se prendre les pieds dans le tapis, les mots qu’elle venait d’entendre pénétrèrent dans son cerveau, et elle rougit encore plus, pressentant le double sens de cette phrase, surtout lorsqu’elle présenta le plateau de canapés devant ce satané libraire. Leurs regards se croisèrent, et elle y vit les mêmes reflets un peu pervers que quelques heures plus tôt, lorsqu’elle s’était enfuie si vite de la librairie. Le regard du sexagénaire quitta les yeux d’ Aurélia reluquant les jambes et le bas des cuisses que la jupe qu’elle portait par obligation laissait apparaître, et il ne la quitta pas des yeux lorsqu’elle retourna s’assoir vers celui qui la connaissait si bien, ce brave Anatole, dont elle ne craignait rien. Elle sentit presque le poids de ce regard lubrique sur ses fesses et tira sur sa jupe en rejoignant cet endroit de sécurité.
Elle dut se ressaisir de son verre et trinquer de nouveau à leur demande.
« -Buvons, à la soirée d’Aurélia ! Et maintenant restez assise et dégustez avec nous ces merveilleux canapés que vous avez confectionnés pour nous. Nous nous servirons tout seul…Nos mains sont encore suffisamment alertes malgré notre âge avancé ! ».
Allons bon….encore une phrase à double sens ? Ou était ce l’alcool qui lui faisait imaginer des choses si peu convenables ?
Elle profita de ce moment de répit et se coula bien au fond du canapé de cuir, dégustant petit à petit le contenu de son verre, commençant à trouver ça plutôt agréable. La chaleur avait envahi son ventre et même un peu plus, faisant virevolter de drôles de papillons un peu plus bas. Elle se prit à soupirer d’aise lorsqu’elle sentit contre sa cuisse un peu dénudée le tissu du pantalon d’Anatole venir se frotter doucement contre sa peau.
La conversation des convives était classique et banale, centrée sur les beautés de cette île, et les joies des sports de mer. Elle se sentit rassurée et se dit que finalement, tout allait bien se passer dans cette agréable soirée entre amis.Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser
1 septembre 2019 à 10:57 #39589anatole
ParticipantL’atmosphère s’était détendue, au moins dans la tête d’Aurélia qui avait laissé les vapeurs d’alcool envahir son cerveau. Les idées inquiètes qu’elle avait eues s’étaient estompées, et le délicat frottement du genou d’Anatole sur le bas de sa cuisse nue l’incitait à la rêverie, lorsque Miss Jones fit enfin son apparition dans le salon. Elle venait de coucher et d’endormir les mouflets, comme tous les soirs, considérant que c’était son seul et unique devoir de mère, qu’elle n’aurait jamais dévolu à qui que ce soit d’autre, et surtout pas à cette péronnelle d’Aurélia dont elle se demandait tous les jours un peu plus pourquoi son mari l’avait engagée. Aurélia et elle s’étaient détestée au premier regard, et la jeune femme au pair avait tout de suite compris que, bien que beaucoup plus jeune que son mari, c’est elle qui menait la barque dans cette belle résidence. La quarantaine bien tassée, c’était une fort jolie femme qui menait son mari et ses affaires par le bout du nez, et elle avait fort mal pris l’acte de rébellion de ce dernier lorsqu’il lui présenta sans lui en avoir parlé auparavant cette jolie donzelle. Le contrat était déjà signé et elle ne pouvait le récuser. Depuis, leurs entrevues restaient dans une politesse toute britannique, mais Aurélia savait qu’elle ne la louperait pas à la moindre bévue. C’est elle qui avait imposé qu’elle soit toujours vêtue comme une collégienne.
La douceur qui l’avait envahie s’estompa d’un coup en la voyant arriver, et surtout lorsqu’elle la vit venir s’assoir sur le fauteuil voisin de celui du libraire, posant sa main sur son genou, et lui disant avec un regard plus qu’affectueux :
« -My Dear, je suis contente que tu sois là. Depuis le temps que je t’invite, je me demande bien pourquoi tu as enfin accepté de venir dîner ce soir…. ».
Et ses yeux basculèrent vers Aurélia, avec un sourire étrange….
« -Chère Aurélia, veuillez aller en cuisine et me servir un Gin aux baies roses, avec une petite dose de tonic, deux glaçons, et une lamelle de concombre, et vite, j’ai soif…. ».
En parlant de glaçon, celui qui parcourut la colonne vertébrale d’Aurélia la ramena à ses doutes concernant cette soirée. Elle venait d’avoir en quelques secondes les réponses à ses questions.
Elle se leva, encore un peu chancelante vu son alcoolémie inhabituelle, prenant appui sur le rebord de la table basse, fit un gros effort pour sortir droite et presque altière du salon en disant un « Oui Madame, tout de suite ».
Pendant les quelques mètres qu’elle parcourut la séparant de la cuisine et les deux minutes qu’elle prit pour préparer la boisson préférée de Miss Jones, elle tenta de remettre ses idées en place.
Ainsi donc, le libraire et elle se connaissent semble t il de longue date, et exceptionnellement ce soir, il accepte enfin une invitation à dîner….après ce qu’il a vu cette après midi..Il n’y a pas de hasard….
Aurélia revint un peu tremblante un plateau dans les mains, portant quelques canapés supplémentaires et le verre de Madame. Les longues queues de morceaux de concombre découpé lui faisaient penser à d’autres longues queues…Elle effaça rapidement ce désir enfoui depuis si longtemps dans ses neurones, présentant sa boisson favorite à la Maîtresse de ces lieux.
« -Madame est selfie….Oups désolée….servie… ! ».
Ce lapsus lui arracha un petit rire de gorge qu’elle refoula le plus vite possible sous le regard perçant de Miss Jones.
En un instant, elle revit les selfies qu’elle rêvait d’adresser à Anatole, lorsqu’elle se caressait dans son lit en pleine nuit, les mains sur son sexe trempé en se demandant quand il aurait enfin envie d’elle depuis le temps qu’elle se montrait nue devant lui par obligation sportive. Jamais elle n’avait eu le cran d’appuyer sur la touche envoi…
Miss Jones attrapa le verre rempli de boisson glacée et le porta à ses lèvres.
« -Merci Mademoiselle Aurélia, vous pouvez vous assoir jusqu’à ce que vous donne l’ordre…(elle déglutit une gorgée) …excellent…pour une fois c’est parfait….vous vous êtes surpassée…cette après midi…pour me préparer ce cocktail….allez prenez place parmi nous avant d’aller préparer le dîner… ! »
Aurélia retourna se frotter contre la jambe de son médecin tout en pensant dans son cerveau ébouriffé à se ce mot…cocktail…la queue du …la queue de quoi ? De qui ? Fugitivement, une case du livre de Manara qu’elle avait feuilleté avec tant d’assiduité un peu plus tôt s’imprima dans sa mémoire…Une jolie fille nue écartelée et ligotée sur un chevalet, le sexe pourfendu par le sexe d’un homme en rut….Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser
7 septembre 2019 à 19:13 #39775anatole
ParticipantDésolé….la jeune femme (au demeurant fort charmante) qui m’avait inspiré le début de ce récit ne répond plus…Elle m’orientait vers telle ou telle péripétie, et même si je pourrais broder, je n’ai plus envie sans ses directives (pour une fois que je me laissais diriger!).
Donc je saborde cette histoire….
La brave petite Aurélia un peu coquine va vite se retrouver confrontée à ses errances de l’après-midi, et va devoir en subir les conséquences…Pif paf boum, déculottée (ici c’est la moindre des choses!) en moins de temps qu’il n’en fallait à Yul Brynner pour se faire la raie au milieu (pour les plus jeunes qui ne connaissent pas cet acteur, jetez un œil sur sa tronche via Google), et en parlant de raie, la sienne va trinquer autant que ce qui l’entoure, vu le nombre de mains disponibles dans cette soirée…Elle jurera, mais un peu tard, qu’on ne l’y reprendrait plus, même si elle en tira une intense satisfaction….
Bon, ça aurait dû me prendre une bonne quinzaine de pages….tant pis pour vous, et pour elle surtout…Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser
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