L insolente
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6 octobre 2024 à 16:56 #98504ProFesseur67Participant
Ce matin-là, l’atmosphère était lourde dans la salle de classe, une tension palpable qui émanait surtout d’une élève au fond de la salle. Camille, une étudiante brillante mais effrontée, avait cette façon bien à elle de défier l’autorité. Son insolence, toujours subtile mais claire, était devenue de plus en plus difficile à ignorer au fil des semaines. Elle n’avait pas peur de se faire remarquer, que ce soit par des répliques cinglantes ou des attitudes désinvoltes. Aujourd’hui, elle semblait décidée à tester les limites une fois de plus.
“Camille, peux-tu répondre à cette question?” demandai-je, essayant de maintenir un semblant de calme malgré son comportement perturbateur.
Elle leva les yeux de son cahier, sans se presser, et haussa les épaules. “Pourquoi est-ce que je devrais? C’est pas comme si c’était important,” répondit-elle, la voix traînante, l’arrogance visible dans son regard.
Un murmure parcourut la classe. Mon sang ne fit qu’un tour. Il était clair que Camille ne prenait plus rien au sérieux, et il fallait remettre les choses en place. “Bien,” dis-je, me redressant. “Tu as choisi de jouer. À la fin des cours, tu resteras en retenue.”
Les ricanements se dissipèrent rapidement, et la cloche sonna peu après. La plupart des élèves quittèrent la classe en silence, jetant des regards furtifs vers Camille, dont le sourire suffisant n’avait pas bougé. Elle semblait presque s’amuser de la situation, comme si la retenue ne représentait rien de plus qu’une autre opportunité de me défier.
Une fois la salle vide, je l’attendis. Camille resta là, assise, me fixant avec un sourire en coin. Elle ne se leva même pas quand je m’approchai de son bureau. “Alors, c’est ça, ma punition? On va s’asseoir ici et tu vas me faire un discours moralisateur?” ironisa-t-elle.
Il était clair que les mots ne suffiraient pas cette fois. “Tu crois que tout est un jeu, Camille, mais aujourd’hui tu vas apprendre ce que signifie vraiment le respect.” Je la pris par le bras, la tirant doucement mais fermement vers le bureau. Ses yeux s’écarquillèrent légèrement, comme si elle commençait à comprendre que la situation prenait un tournant inattendu.
“Qu’est-ce que tu fais?” demanda-t-elle, l’insolence dans sa voix commençant à se teinter d’un soupçon d’inquiétude.
Sans un mot de plus, je m’assis sur la chaise, puis la basculais en travers de mes genoux. Camille tenta de se redresser, mais je la maintenais fermement en place. Ses protestations furent soudaines et véhémentes, mais inutiles. Je relevais sa mini jupe et découvrais son petit cul couvert par un string rose en coton.
“Tu as cherché à me défier, à tester mes limites. Maintenant, tu vas en subir les conséquences.” Ma voix était calme, mais déterminée. Je sentais sa résistance, mais il était temps qu’elle comprenne que l’autorité ne se moque pas impunément.
La première claque résonna dans la salle vide, et un choc traversa son corps. Camille émit un léger cri de surprise, mais je ne m’arrêtai pas là. Une autre claque, puis une autre, retentirent dans l’air. Chaque coup, précis et calculé, faisait rougir sa peau de ses très belles fesses. Rapidement, ses elles prirent une teinte écarlate, brûlante sous mes paumes. Sa respiration accélérait.
“Arrête…” balbutia-t-elle, mais sa voix trahissait quelque chose de plus profond qu’une simple douleur physique. Elle était surprise par l’intensité de ce qu’elle ressentait, une confusion troublante qui se mêlait à la douleur et à la honte. Ses tentatives de se débattre faiblissaient à chaque coup, et bientôt, je sentis son corps se relâcher, ses larmes coulant silencieusement sur ses joues.
Toutes résistance devint inutile, je sentais le plaisir qui montait dans son corps.Son string rose prit un ton plus sombre entre ses cuisses, me signalant son extrême excitation. J osais abandonner une caresse, sur ces belles fesses de jeune fille et fit glisser un doigt le long de sa vulve. Son gémissement fut une invitation à continuer et me lâcha doucement et presque inaudible un « encore…oui »
Les cliquetis des dernières claques résonnèrent dans l’air, plus légères cette fois, mais tout aussi fermes. Ses fesses étaient désormais d’un rouge vif, marquées de l’autorité qu’elle avait tant cherché à défier. Lorsque je relâchai enfin ma prise, elle resta immobile un instant, respirant difficilement, ses larmes silencieuses coulant encore.
“Tu as voulu me défier, Camille, mais il y a des leçons qui ne se donnent pas avec des mots.”
Prenant conscience de la situation dans laquelle je m’étais fourvoyé, je m’imaginais déjà devant le conseil de discipline et avec en prime la fin de ma carrière, quand d un coup elle se leva, rajusta sa jupe et là … elle m embrassa à pleine bouche avec force et envie. Elle prit la porte en me remerciant et me gratifiant d’un « Bonne soirée Monsieur le ProFesseur, à demain.
ProFesseur67.
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