l eRoman de Virginie Chapitre 11 suite
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2 août 2024 à 22:14 #97524A. ThibaudParticipant
- elle me parla de sa marraine.
Les parents de Anne habitaient en Afrique et Jeanne, sa marraine était la correspondante chez laquelle elle passait ses sorties et qui signait son carnet scolaire. Un jour que Anne, alors qu’elle était en terminale avait eu une mauvaise note de discipline, sa marraine qui était d’habitude si douce devint très sévère et la persuada qu’elle devait être fessée en punition. Les choses continuèrent par la suite à chaque mauvaise note allant des claques sur les fesses nues au martinet sans atteindre jamais un niveau vraiment douloureux. Anne commençait à s’interroger sur les motivations de sa marraine d’autant plus qu’elle avait maintenant, avec moi, découvert les jouissances de la fessée. Nous en discutâmes longuement. Anne me fit remarquer que les corrections n’avaient commencé que lorsqu’elle avait eu un corps de femme et que jamais lorsqu’elle était enfant elle n’avait été fouettée bien que les motifs en existassent tout autant. Jeanne prenait aussi le prétexte de ne pas fouetter les fesses de façon trop rapprochée pour la faire mettre toute nue et une dernière chose avait intrigué Anne : Une fois qu’elle était arrivée en avance, elle avait croisée une jeune femme qui s’en allait les yeux rouges. Quand sa Marraine l’accueillit, elle avait l’expression qu’elle lui connaissait quand elle la corrigeait. Nous décidâmes d’en avoir le cœur net.
Depuis que Anne était en faculté, il n’y avait plus eu de bulletin de note et cela faisait plus d’un an que les fessées avaient cessé sans que ni Jeanne ni Virginie n’y fissent allusion.
Nous nous invitâmes chez Marraine. Anne me fit mettre mon jean le plus moulant et elle-même mis une jupe droite très stricte qui stylisait la ligne des hanches et des cuisses jusqu’aux jambes qui sont si belles comme tu le sais. Jeanne nous accueillit très gentiment avec cet air très doux qui trompe tout le monde. La conversation vint comme prévu sur nos études et Anne raconta comment elle et moi travaillions ensemble et au bout d’un moment :
– D’ailleurs, Marraine, j’ai adopté ta méthode, quand Florence ne comprend pas assez vite, je la fouette.
– Tu la fouettes ? Tu as un martinet ?
– non, en effet, je n’en ai pas. je luis donne simplement une fessée, elle mériterait pourtant plus.
Jeanne était restée impassible mais son regard brillant et une légère contraction de sa mâchoire ne nous échappèrent pas. Jeanne hésitait à prendre le risque de ne plus être la parente irréprochable chargée de punir dans un rôle pédagogique et de révéler le plaisir qu’elle y prenait. Nous craignîmes, un moment nous être trompées ou que sa prudence l’emporterait mais sans doute que nous étions trop tentantes.
– Si ton amie mérite le martinet, dit-elle, je peux le lui administrer.
Je fis semblant de protester mais de protester contre une chose qui devait normalement arriver et comme Anne et moi en étions convenues
– Si je mérite le martinet dis-je, il me semble bien qu’Anne, la première, le mérite, elle ne vous a pas raconté tous les cours qu’elle a séchés pour aller au café avec son petit ami.
Jeanne nous regarda sans rien dire puis au bout d’un moment.
– Je crois, jeunes-filles, que vous avez toutes les deux mérité d’être punies, allons dans le petit salon .
Comme tu le sais Jeanne habite un hôtel particulier avec de nombreuses pièces dont le fameux petit salon que je crois tu as expérimenté aussi lors de tes visites. Nous suivîmes Jeanne à travers le hall d’entrée, elle s’arrêta remettre des objets en place sur une console, elle était très à l’aise et sûre de son fait. Arrivées dans ce petit salon qui allait me devenir familier mais que je voyais alors pour la première fois.
– Eh bien, Anne, nous allons commencer par toi, ton amie pourra juger de ce que c’est d’être fouettée.
Elle alla prendre dans un tiroir le martinet.
– Déshabille toi, Anne .
Malgré l’appréhension de ce qui allait suivre me concernant, je fus émue au plus profond de moi-même, sans doute comme je ne l’avais jamais été jusque là, de voir Anne dégrafer sa jupe, enlever sa culotte et s’agenouiller sur le divan en relevant son chemisier pour dégager le bas du dos, offrant ses longues cuisses et ses fesses à mes regards et à la punition que sa marraine allait lui infliger. J’en aurai eu le fantasme que je n’aurai pu résister à me caresser jusqu’à l’orgasme. Tu vois, des années après j’en suis encore toute bouleversée. Je regardais fascinée. Quand Anne fut rhabillée, je ne pus pas m’empêcher de me précipiter la prendre dans mes bras et l’embrasser terriblement excitée. La jeune femme distinguée intouchable que je serrai contre moi était cette jeune femme fouettée nue.
– À vous, me dit Jeanne, mais puisque nous faisons connaissance, mettez-vous toute nue .
J’étais très pudique dans ce temps là, je le suis d’ailleurs toujours, je commençais cependant à me déshabiller, mais quand je fus en culotte et soutien-gorge, je ne pus continuer, la vision de Anne était trop présente, je ne pouvais moi-même dénuder mes fesses pour les offrir, j’allais m’agenouiller sur le divan et m’appuyer sur son dossier comme je l’avais vu faire à Anne et les yeux fermés j’attendis. Alors je sentis les longs doigts de Anne s’accrocher à l’élastique de mon slip et le descendre. M’abandonnant je la laissais faire.
Nous quittâmes Jeanne aussitôt que je fus rhabillée. Arrivées chez nous nous fîmes pour la première fois véritablement l’amour, ce qui avait précédé n’avait été que des caresses, cette fois nous eûmes un vrai rapport lesbien et connûmes l’orgasme.
– Et après, tu es retournée chez Jeanne ?
Les yeux de Virginie brillaient.
– Oui, quelque fois mais rapidement, nous nous sommes découvertes. Anne réalisa sa passion pour les fessées, pas pour les recevoir mais pour les donner et moi mon amour des filles. Nous avions dix-huit ou dix-neuf ans. Anne a négocié avec Jeanne, elle se faisait fesser de temps en temps mais en échange elle entrait dans le cercle et Jeanne lui procurait les rencontres nouvelles
– Et toi, tu as continué ?
– Continuer quoi ? à me faire fesser ? En fait pour moi, au début, ce que j’aimais c’était de me faire déshabiller par une fille et, avec Anne, de me faire caresser, la fessée était le prétexte, je ne dis pas que je n’éprouve pas de plaisir à être offerte, à offrir mes fesses de cette façon et surtout à ce que de jolies filles s’offrent ainsi à moi, mais quand j’ai abandonné les études de droit pour choisir d’être photographe j’y ai trouvé mon plaisir : faire déshabiller et rhabiller une fille, lui faire prendre les poses, l’intimité de ce corps nu au milieu de nous, photographe et techniciens habillés, ce corps à disposition de nos regards, ça m’excite encore plus que de fesser.
– L’autre jour je t’ai entendu fesser ton modèle.
– Oui je sais, j’avais deviné que tu étais là, ça a ajouté au plaisir. Fesser, fouetter, ce sont des envies que j’ai certains jours… un jeu sexuel comme les différentes positions quand on baise, ça entre dans la variété mais je ne suis pas comme Anne qui est totalement accro, elle, c’est son plaisir dominant, elle ne peut pas s’en passer.
– C’est pour ça que vous vous êtes quittées ?
– Oui et non, Anne avait fait la connaissance de Marc. Nous faisions encore l’amour de temps en temps et un jour elle m’a demandé de me faire fesser devant Marc. J’ai d’abord refusé mais l’idée a fait son chemin et j’ai accepté. Ensuite on a fait l’amour tous les trois et je me suis aperçue que je n’aimais pas les hommes. Après coup, j’ai été terriblement vexée d’avoir cédé à Anne, j’étais furieuse je ne supportais pas l’idée que Marc gardât le souvenir de la scène, je ne voulais pas le revoir. Nous nous sommes disputées Anne et moi et nous nous sommes séparées, fâchées.
– Mais finalement vous vous êtes réconciliées ?
– Oui, je ne raconterai pas ça à une autre que toi, mais toi tu peux comprendre. J’étais honteuse, humiliée et furieuse d’avoir été nue devant Marc, les fesses en l’air et fessée mais un jour où j’y repensai, j’ai senti en moi une telle excitation, une telle jouissance tout aussi forte que mon humiliation que malgré moi, je n’eu plus qu’une idée : que Anne me fouette nue devant Marc. Alors j’ai revu Anne puis progressivement elle a compris ce que je désirai. Et nos relations ont repris C’est pourquoi tu te trouves ici, ajouta Florence avec un petit rire.
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