Julie et le mauvais contrôle

[Hyperion]

Ca faisait quelques mois que je partageais une colocation avec Julie, et tout se passait plutôt bien, même si​

parfois certains comportements m’irritaient, et que je me prenais à rêver de pouvoir la mettre sous mon autorité…​

Elle m’en fournit un beau soir la possibilité, au moment où je m’y attendais le moins. Voilà comment cela se déroula…​

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Nous étions un vendredi soir, j’étais rentré à l’appart depuis une heure ou deux, et je me reposais tranquillement ​

au salon en parcourant un bouquin. Soudain, j’entendis la porte d’entrée et j’entendis Julie entrer, poser ses affaires​

dans le couloir et venir me rejoindre au salon.​

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-Salut ! s’exclama-t-elle avec un grand sourire.​

-Salut ! répondis-je. Ta journée a été bonne ?​

-Hum, ouais, plus ou moins, enfin disons jusqu’à que ce que je prenne la route pour rentrer… j’ai eu un petit souci à vrai dire.​

-Ah ? fis-je en fronçant légèrement les sourcils. Il s’est passé quoi ?​

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Julie haussa les épaules.​

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-Oh ! et bien il y avait un contrôle de police, tu sais, au niveau du rond-point ? Et bien en fait, ils m’ont dit ​

que mon contrôle technique n’était plus à jour, mais comme j’ai pleurniché un peu, ils ont eu pitié de moi je crois​

et ils m’ont laissé repartir avec juste un avertissement…​

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Je commençais à m’agacer devant son attitude désinvolte.​

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-Et donc ? ​

-Ba je dois faire mon contrôle dans les trois semaines…​

-Et je peux savoir pourquoi tu ne l’as pas fait en temps et en heure ?​

-Je ne savais même pas qu’il fallait le faire ! ​

-Comment ça, tu ne “savais pas” ? C’est ta voiture, tu en es responsable, tu dois être au courant !​

-C’est bon, les policiers m’ont déjà assez pris la tête avec ça, tu ne vas pas t’y mettre non plus ! Je suis assez grande​

pour gérer cela moi-même !​

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Je sentis à ce moment-là que c’était l’occasion que j’attendais… elle était trop belle pour la laisser passer.​

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-Et bien, dis-je d’un ton soudain plus froid et autoritaire, on ne dirait pas que tu es grande, justement ! Tu te rends compte​

à quel point ton insouciance aurait pu avoir des conséquences graves ? Si ta voiture a un problème de sécurité, tu imagines ​

ce qui aurait pu se passer ? Et tout cela parce que tu n’es pas fichue de l’entretenir correctement !​

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Julie ne semblait pas prendre mon couplet très au sérieux. Elle bredouilla une vague réponse, qui signifiait clairement​

“c’est bon, laisse-moi tranquille”… et quand je lui fis remarquer que je ne plaisantais pas, elle me fixa droit dans les yeux​

et me lança d’un ton de défi :​

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-Ah oui, et tu vas faire quoi ? ​

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Là, j’étais obligé d’agir où l’occasion s’envolerait pour de bon… ​

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-Et bien je vais être obligé de te donner une leçon, puisque tu ne me prends pas au sérieux et que tu te moques​

des conséquences de tes actes… approche-toi.​

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Julie se méfiait, sans doute incapable de croire à ce qui allait se produire. Mais je sentais en même temps qu’elle ​

n’attendait qu’un geste de ma part pour se laisser totalement aller… alors doucement, je me suis levé du canapé, ​

je l’ai empoigné délicatement par le poignet et je l’ai fait avancer vers moi. Elle n’opposa pas de résistance, et resta muette.​

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-Julie, lui dis-je d’un ton net, tu sais que je t’apprécie beaucoup, mais depuis un moment ton comportement m’agace…​

tu laisses traîner des choses, tu ne ranges pas l’appart y compris dans les espaces communs que je partage avec toi,​

et aujourd’hui j’apprends qu’en plus tu ne t’occupes pas de choses essentielles et potentiellement dangereuses… ​

C’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase, je ne peux pas te laisser t’en tirer comme cela ! Tu comprends ?​

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Julie avait l’air terriblement gênée, elle rougissait, balbutiait des excuses, semblait très émue… je la rassurais un peu​

mais continuais néanmoins à la sermonner, et dans le même temps je la fis basculer sur mes genoux, son fessier bien calé​

devant ma main droite. Elle accepta son sort sans protester. ​

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-Julie, pour avoir été négligente, tu vas être punie. Je vais te donner une fessée, et ensuite tu feras ce que je te dirais, sans discuter.​

Je le fais pour ton bien, pour que tu comprennes qu’il est temps de devenir plus responsable, et de te prendre en main comme une véritable adulte.​

Tu comprends ?​

-Oui… fit-elle d’une voix étouffée… je suis désolée…​

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Sans perdre de temps, je commençais à la fesser sur son pantalon, pas trop fort car je savais que c’était une première pour elle​

et que je voulais y aller progressivement. Comme je voyais que cela ne la faisait visblement pas trop souffrir, ​

je la fis se relever et se mettre debout devant moi. J’entrepris de lui déboutonner le pantalon dans l’optique de le lui​

baisser, mais Julie se mit à protester, à dire qu’elle avait compris, que c’était trop honteux, qu’elle ne recommencerait plus…​

mais je savais que la leçon était encore loin d’être suffisante, et que je devais me montrer inflexible cette fois, ou​

elle ne m’écouterait pas à l’avenir. ​

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-Non, Julie, ne fais pas l’enfant ! l’interrompis-je. Tu sais très bien que tu as mérité cette punition… plus vite tu l’accepteras,​

et plus vite ce sera terminé, alors ne rends pas les choses plus compliquées…​

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Elle finit par se résoudre et je baissais rapidement son pantalon jusqu’à ses chevilles. Puis, je le replaçais sur​

mes genoux et reprit la fessée sur sa sage petite culotte de coton blanc.​

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CLAC ! CLAC ! CLAC !​

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Julie commençait à s’agiter, ma main se faisait plus vive, je cherchais à châtier chaque recoin de ses fesses plantureuses.​

Je commençais à ressentir sa douleur, encore légère, mais désormais réelle. ​

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Au bout de 5 bonnes minutes de ce traitement, je m’emparais de l’élastique de sa petite culotte, et avant de lui laisser le temps​

de comprendre ce qui lui arrivait, je la baissais à mi-cuisses. Quand elle se rendit compte qu’elle était désormais déculottée,​

Julie eut le réflexe de vouloir remonter sa culotte, mais je l’en empêchais en lui bloquant les mains dans le dos.​

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-Tu savais ce qui allait arriver, et tu l’as amplement mérité, alors laisse-moi terminer la punition ! Tu as été vilaine,​

et les vilaines filles reçoivent la fessée déculottée, même à 26 ans !​

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CLAC ! CLAC ! CLAC !​

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Désormais, je laissais ma main claquer son postérieur avec plus de vigueur, ses fesses rougissaient à vue d’oeil, et ​

visiblement les plaintes et les gigotements de Julie n’étaient pas simulés… Je savourais l’instant, j’avais enfin ​

réussi à parvenir à mes fins, lui donner cette fessée déculottée qu’elle recherchait plus ou moins inconsciemment depuis longtemps,​

et qui semble-t-il ne la laissait pas non plus insensible…​

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Je savais qu’elle était débutante, je n’insistais donc pas plus que nécessaire, supposant que la honte ressentie serait un châtiment ​

largement suffisant. Je la fis se relever, le visage et les fesses écarlates, et la consolais 5 minutes dans mes bras, ​

en lui faisant promettre de mettre son contrôle technique à jour dès le lundi.​

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-Bien, lui dis-je, tu vas rester un peu les fesses à l’air, et tu vas aller réfléchir à ce que je viens de te dire au coin,​

mains sur la tête, comme une gamine. Tu ne bouges pas avant que je te dise de revenir et de te rhabiller. Va te mettre face au mur !​

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Julie, la tête basse, obéit et alla se mettre au coin, me laissant profiter de la vue réjouissante de son cul brûlant. ​

Je la laissais une dizaine de minutes avant de la rappeler. ​

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-Tu vas dans ta chambre, tu mets ton pyjama, je t’appelerai pour manger et ensuite tu iras au lit sans autre distraction.​

Ce WE tu es privée de sortie, sois tranquille je te donnerai de quoi t’occuper, et désormais je prendrai soin de vérifier​

que tu fais bien tout ce que tu as à faire en temps et en heure. C’est bien compris ?​

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Mat&ée, Julie obéit sans faire d’histoires, et je passais le reste de la soirée à imaginer ce que notre cohabitation​

allait désormais nous apporter à tous les deux…​

[BadCristou]

Jolie histoire entre colocataires, d’une demoiselle vite mise sous contraintes et autorité.
Voilà ce qui peut arriver quand on ne respecte pas les règles de vie en colocation et quand en plus on est négligeant. Tout était réuni pour une première fessée semble-t-il recherchée

[Fleur]

Cet interessant récit me conforte dans l’idée qu’une colocation entre filles est moins risquée…

[Lisa]

Très jolie récit bravo !

C’est vrai qu’il faut faire attention à nos actions et que cette fessée était amplement mérité

Est ce qu’on aura le droit à la suite des aventures en colocation avec cette jeune femme ?

[Marine]

Bonjour, très joli récit.  oh oui une suite … et j’avoue que j’aimerais bien avoir un colocataire comme ça 🙂

[Hyperion]

Merci pour vos commentaires ! La suite existe, je la publierai également si cela vous intéresse. 🙂

[Anonyme]

Très belle histoire captivante, immersive et qui donnerait presque envie de partager son appartement avec une colocataire négligente… 😊 Vivement la suite !

[Auteur]

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